Au fil de mes échanges sur le site libertin, j’ai fait la connaissance d’un beau couple de quadras, Martine et Pierre, que je vois régulièrement. Pierre souhaitait trouver un amant régulier pour sa femme, qui puisse la rencontrer sans lui ou avec lui en trios et gangbangs. Ma grande disponibilité et leur goût du sexe nous permettent de passer de nombreuses soirées ensemble chez moi, et nous sommes devenus un vrai trio complice. Il m’arrive également de les rencontrer chez eux sans coquiner en présence de leurs enfants, Valentin et Alexandra, 19 et 18 ans, qui, bien sûr, ne savent rien de nos relations libertines et pour qui je suis juste un bon ami intime du couple. Martine et Pierre ont une villa sur la côte. L’été, je vais souvent les y rejoindre pour y passer les week-ends avec eux et leurs enfants. Un samedi après-midi, Valentin et Alexandra partent pour la plage en nous laissant à la maison. Lorsqu’ils se sont éloignés, nous nous retrouvons tous les trois nus dans la chambre du couple et nous commençons à nous amuser en trio. Après avoir bien caressé et sucé les seins et le sexe de Martine, je commence à la prendre vigoureusement en position de missionnaire sous les yeux de Pierre. Nous adorons cette position, car je peux la dominer et la pénétrer fortement et profondément comme elle l’adore. Sous mes assauts fougueux, Martine se met à crier son plaisir tout en prenant le sexe de Pierre dans sa bouche. Elle le regarde avec des yeux brumeux, et il aime la voir comme ça, chienne et impudique, livrée en pâture à son amant. Nous nous activons déjà à baiser et à nous éclater depuis une bonne demi-heure, quand soudainement, la porte de la chambre s’ouvre. Valentin et Alexandra en maillots de bain entrent dans la pièce et nous regardent en souriant. Surpris, j’arrête mes va-et-vient dans le vagin de Martine et me retire. Un peu embêtés par cette intrusion surprise, nous ne savons pas quoi dire pour nous justifier. Ce sont les enfants qui détendent l’atmosphère. Alexandra s’approche du lit et vient caresser mon sexe, celui qui transportait sa mère vers l’orgasme quelques instants auparavant et qui est toujours en demi-érection. Elle me griffe délicatement les bourses avec ses ongles et passe sa main sur ma verge encore humide de la cyprine de Martine. — Il est beau et qu’est-ce qu’il te fait bien jouir !! dit-elle à Martine qui se lève, rassurée, et me dit d’un air coquin et complice : -Je vais te la préparer.
Martine enlève le maillot de bain de sa fille et nous découvrons sa magnifique poitrine bien ferme, son beau sexe et son pubis intégralement rasés. Comme nous, elle semble aimer avoir le sexe lisse, ce qui nous étonne agréablement pour son âge. Martine fait allonger sa fille sur le lit, et attirés tous les deux par son beau corps, nous commençons à lui lécher la chatte et les seins pour la préparer à la pénétration. Nous coordonnons les mouvements de nos langues pour stimuler ensemble ses lèvres gonflées de désir et son clitoris. En réponse, Alexandra me caresse le dos et passe la main dans les longs cheveux de Martine. Sa respiration s’accélère et elle commence à gémir. — Elle est prête. Baise-la bien maintenant cette petite garce, m’ordonne Martine. Le sexe tendu par l’excitation, je me place à genoux entre ses cuisses et présente ma verge à l’entrée de sa chatte. Je fais d’abord coulisser ma tige sur ses lèvres et son clitoris déjà bien humides pour la préparer doucement, puis je pousse sur mon gland pour l’introduire dans sa fente. D’un coup de reins, je suis entièrement en elle. Alexandra me regarde bien droit dans les yeux, elle ouvre grand la bouche et me tend sa langue gourmande pour que je vienne l’embrasser goulûment. Nos langues s’enroulent et tournent rapidement dans un balai effréné. Je n’y tiens plus. Mon sexe est en feu et je commence à aller et venir dans son vagin en position de missionnaire. Je la pilonne de toutes mes forces à grands coups de reins. Alexandra se laisse transporter par le vice et elle commence à gémir et à crier son plaisir. Pendant ce temps, excité par la scène, Valentin a lui aussi enlevé son maillot de bain et a commencé à se caresser la verge et les bourses en nous regardant. Il a lui aussi le sexe rasé intégralement.
Visiblement, il ne reste pas indifférent au superbe corps de Martine, et il bande bien dur en regardant ses seins et sa chatte. — Putain, j’en peux plus, tu m’excites salope, j’ai trop envie de te baiser, dit-il à sa mère.
Ravie du compliment, Martine lui répond alors : — Approche mon chéri, viens t’occuper de moi avec ton père. Tu es super bien monté, je veux ta queue, fais-moi jouir. Il s’approche du lit, où la jouissance d’Alexandra monte, et vient caresser les seins de sa mère pendant que celle-ci commence à sucer sa bite et celle de Pierre en même temps. Elle alterne les fellations entre le sexe de son fils et de son mari, et c’est très agréable pour eux deux, visiblement. Pierre dit à Martine : — Tu aimes ça salope hein ?! Vas-y suce-le bien. Elle continue pendant que Valentin commence à lui caresser les cheveux et à gémir de plaisir. Au bout d’un moment, Martine s’arrête et va s’allonger à côté d’Alexandra. Les jambes largement écartées, elle invite Valentin à venir la rejoindre : — Viens me faire jouir maintenant mon chéri, lui dit-elle. Elle se caresse les seins, se pince les mamelons et passe ses doigts sur ses lèvres et son clitoris pour lui indiquer encore plus son impatience. Valentin regarde Pierre qui lui fait un hochement de tête pour lui confirmer que la voie est libre. Rassuré, il se met à genoux sur le lit devant Martine qui écarte les cuisses pour lui ouvrir le chemin à suivre. Il bande comme un taureau devant cette offrande et vient présenter son sexe à l’entrée de la chatte de sa mère. D’un coup de reins rapide, il commence à la pénétrer. Appuyé sur ses bras musclés, il domine sa mère qui passe ses mains autour de ses épaules. Il en profite pour l’embrasser dans le cou, tout en la besognant et en lui suçant les seins. Martine l’encourage en prenant ses fesses dans les mains. Elle commence à gémir, les yeux révulsés par le plaisir : — Oui, oui, encore, vas-y, prends-moi bien. Putain, t’es bon, j’aime ta queue !!. Les assauts de Valentin s’accélèrent, sa verge va et vient dans la chatte de Martine à la vitesse grand V. Les cris de jouissance de Martine s’intensifient. Elle lui met de petites claques sur les fesses afin qu’il aille plus fort et plus profond. Je suis habitué à cette technique de Martine qui signifie qu’elle prend un super pied dans ce coït. Elle sourit et regarde Pierre avec des yeux de bonheur qui en disent long sur le plaisir que lui procurent les assauts de son nouvel amant. Pierre au pied du lit regarde avec délectation nos quatre corps s’agiter sur le lit dans nos deux duos de baise simultanés. Je continue de tout donner pour emmener Alexandra vers l’orgasme, et en même temps, à nos côtés, Valentin en fait de même avec Martine. Un instant, je me penche en avant au-dessus de Martine pour venir l’embrasser à pleine bouche. Je suis super excité de la voir se faire pilonner la chatte par son étalon de fils. Il s’y donne à cœur joie afin de se répandre dans ce même sexe qui lui a donné naissance. Pendant ce temps, Alexandra a repris une partie de ses esprits et elle saisit le sexe de son père. Elle commence à lui sucer la verge et les bourses et elle lui dit alors : — Papa, je veux la tienne aussi.— Bien sûr ma chérie, avec grand plaisir, répond Pierre. Alexandra se redresse et je me retire de sa chatte, ma verge encore bandante et trempée de sa cyprine. Elle entraîne Pierre vers le pouf situé dans le coin de la chambre et le fait asseoir dessus. Elle guide son sexe vers le sien et vient s’empaler dessus vigoureusement en lâchant un râle sauvage de plaisir. Pierre la saisit par les hanches pour donner le rythme à ses va-et-vient. Il est super excité et bande comme un fou. Pendant qu’il la prend, les seins d’Alexandra s’agitent au-dessus de son visage. Elle a la même silhouette que Martine à son âge et il est ravi de découvrir que sa fille est aussi salope et gourmande que sa mère. La bite de Pierre lui fait énormément d’effet, elle commence à gémir fortement et à crier son plaisir. Dans son délire orgasmique, elle se lâche complètement et lui dit des mots obscènes à sa plus grande joie : — Putain, elle est bonne ta bite. Oh ouais c’est bon. Vas-y défonce-moi comme une salope. Encore, plus fort, ouiiii !! De son côté, Valentin a soulagé son excitation dans le vagin de sa mère et s’est retiré pour me laisser la place. Je recommence à bander très fort. Martine m’attire vers elle et nous reprenons les ébats que l’arrivée des enfants avait interrompus. Cette fois-ci, Martine me chevauche vigoureusement et nous recommençons à jouir fortement. A notre grande surprise, Alexandra invite son frère à la rejoindre avec Pierre en lui disant : — Viens mettre la tienne avec, je veux une double. Valentin s’exécute. Il plaque sa sœur contre Pierre et vient présenter sa verge contre son anus. Doucement, il la pénètre et ils commencent à coordonner leurs allées et venues dans son vagin et son anus. Visiblement, elle apprécie et le plaisir la transporte complètement. Martine et moi-même les regardons en profitant du spectacle. Quel bonheur pour Pierre de baiser sa fille avec la complicité de son fils, couilles contre couilles, sous les yeux de sa femme et de son amant !! Lorsque nous sommes arrivés au bout de notre jouissance, nous nous sommes tous reposés ensemble dans la chambre. Alexandra nous a expliqué qu’ils étaient au courant de l’existence de notre trio depuis longtemps, et qu’eux-mêmes faisaient souvent l’amour ensemble. Ils nous admiraient pour notre vie sexuelle épanouie et attendaient depuis quelques mois le bon moment pour nous dire qu’ils savaient et qu’ils avaient eux aussi commencé à suivre notre chemin en fréquentant le milieu libertin sans que nous nous en apercevions. Leur fantasme était de pouvoir venir baiser avec nous pour que nous puissions leur faire profiter de notre expérience libertine et sexuelle. Nous étions ravis de leur initiative et de leur franchise. Nous pouvions désormais envisager de bien plus belles parties de jambes en l’air tous ensemble.
