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Un homme de pouvoirs

Chapitre 1

Inceste
William était ce qu’on appellait un homme pouvoir, il dirigeait une grande entreprise, se montrait autoritaire avec ses employés, dur avec ses partenaires en affaires. Il brassait des millions d’euros. Et pourtant... il était gaga de sa fille, Anora. Depuis qu’elle est née, il fait tout pour elle, répond au moindre de ses caprices, faisant d’elle une enfant gâtée. Mais elle était aussi très intelligente, elle suivait des études de gestion d’entreprise pour remplacer son père. Elle pouvait se montrer aussi... dure que lui, parfois.
Anora était une belle jeune femme, avec de longs cheveux bruns et un regard marron, ses yeux pouvaient s’enflammer quand elle travaillait sur un projet ou qu’elle défendait son point de vue. Elle était fille unique et sa mère avait malheureusement perdu la vie, quand elle était enfant. Aujourd’hui, âgée de vingt-deux ans, elle œuvrait dans l’entreprise de son père et ... suivait des cours en même temps. La jeune femme était toujours vierge, elle ne s’en était pas trop préoccupée pendant son adolescence et aujourd’hui aucun homme ne l’attirait vraiment ... sauf un, son père. Elle avait donc décidé de lui donner sa virginité (qu’il le veuille ou non d’ailleurs).
La jeune femme se trouvait dans sa chambre. Elle habitait dans un grand domaine. Elle se mit nue devant la glace de sa chambre, pour observer son corps, elle avait des seins de taille correcte, mais plutôt fermes et hauts. Un ventre plat, des jambes plutôt ... courtes. Elle avait des fesses rondes et hautes et musclées. La jeune fille passa sa main sur son corps au fur et à mesure qu’elle le regardait, pour en chercher les défauts. Il y avait une tache rouge sur le haut de sa cuisse, une tache de naissance qu’elle n’aimait pas beaucoup. Et elle trouvait ses genoux ... mous.
Elle ouvrit la porte de son placard et commença à chercher les sous-vêtements sexy qu’elle avait achetés, il y avait un an. Son projet était mûrement réfléchi depuis des mois et elle ne voulait pas en démordre. Anora savait qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de son père et elle ferait de lui son amant. Elle se glissa dans les sous-vêtements, une culotte bleue en dentelle et un soutien-gorge assorti. Ensuite choix cornélien ? Devait-elle mettre une robe, une jupe ? Ou bien un pantalon ?
Elle sortit presque toute sa garde-robe sur son lit et essaya un peu tout pour voir ce que ça donnait. Après plus d’une heure d’essayage, elle se décida pour une robe verte qui lui descendait un peu plus bas que ses genoux. Elle ajouta un petit gilet, et se trouvait bien. Elle s’assit devant la coiffeuse et chercha la coiffure parfaite avec différents essais. Finalement, ce fut une simple couette. Elle se maquilla légèrement, elle n’avait pas besoin de ressembler à un pot de peinture pour être belle. Voilà, elle était prête.
La jeune femme descendit vers le bureau de son père, il avait un coin à lui dans la maison. Elle ne le laisserait ni se défiler ni se refuser à elle. Elle l’avait décidé. Anora frappa à la porte et il l’invita à entrer. Elle entra la pièce et ferma à clé derrière elle.
— Coucou papa ! fit-elle avec le sourire.
William avait maintenant quarante-cinq ans, il était bel homme, avec des cheveux bruns coupés courts et les tempes grisonnantes. Il portait un costume. Assis devant son bureau, il était plongé dans son travail.
— Anora ! fit William en levant son regard vers elle.
La jeune femme lui fit un sourire et comme d’habitude, il se sentit « fondre » à l’intérieur de lui-même. Elle était vraiment très belle sa fille, ce soir. Se faisait-elle belle pour un homme ? Une pointe de jalousie vint lui piquer le cœur, mais il ne s’imaginait pas du tout... avoir une relation charnelle avec sa fille.
— Est-ce que tu veux quelque chose ? demanda-t-il.
Anora hocha la tête et s’avança vers lui, avec le sourire. Elle s’arrêta à quelques centimètres de lui et s’assit à califourchon sur lui.
— Qu’est-ce... tu fais. ... balbutia William.
— J’ai décidé que tu serais mon premier amant, fit la jeune fille. — Anora ! ... Qu’est-ce que tu racontes... Descends de là ! — Je crois que tu n’as pas très bien compris. Je décide ! dit-elle, sûre d’elle.
Elle le fixa du regard, confiante qu’il ne pouvait rien lui dire et même qu’il ne saurait lui refuser. La jeune fille se frotta donc un peu plus contre lui et laissa sa main glisser sur son sexe qu’elle sentait ... déjà dur.
— Tu ... penses à moi de cette manière aussi, papa !— Non... enfin... Anora... Ce n’est pas bien, ce que tu fais. — Pourquoi tu ne mets pas plus d’énergie à me repousser... Tu ne sais pas me dire non, papa.
La jeune femme se pencha vers lui et vint poser ses lèvres sur celles de son père et força le barrage de sa bouche avec sa langue. Et bientôt leurs deux langues se rencontrèrent, Anora se mit à gémir doucement pour encourager son père à se laisser aller. Elle détacha sa bouche et croisa le regard surpris de son père.
— Anor...
Anora reposa sa bouche sur celle de son père pour le faire taire, puis elle glissa sa main sur sa chemise et commença à défaire les boutons de cette dernière. Soudain, la main de son père se posa sur sa tête, il saisit ses cheveux et lui fit reculer sa tête.
— Anora... On ne peut pas faire ça. — On ne peut pas... donc ça veut dire que tu veux ... — Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit.
La jeune femme, toujours assise sur ses genoux, finit d’ouvrir la chemise de son père. S’il tenait toujours sa tête, elle avait les mains libres, l’une d’elles vint caresser sa poitrine et l’autre glissait le long de son sexe, toujours sous son pantalon.
— C’est moi qui décide, papa ! Je veux que tu sois le premier, que tu me fasses découvrir... le plaisir charnel. — Tu te rends compte... que ce n’est pas dans l’ordre des choses. — L’éducation d’un père n’est-il pas d’apprendre à son enfant tous les aspects de la vie ? Le sexe n’est-il pas un aspect de la vie ? Donc en tout logique, est-ce qu’un père ne devrait pas apprendre à son enfant... le sexe ! fit la jeune femme dans une logique implacable. — Ano... — Je suis majeure et consentante. Vu ton ... pénis, tu l’es tout autant que moi. Alors dis-moi où est le problème ? Est-ce interdit par la loi ? J’ai regardé ça ne l’est pas. Bon je te conçois que ça ne semble pas « moral » sauf qu’il y a plein de choses qu’on ne pensait pas « morales » il y a cinquante ans et qu’aujourd’hui le sont. Une relation entre deux hommes ou entre deux femmes. Alors peut-être que dans cinquante ans... Et puis même la bible prône l’inceste ... alors si Dieu est d’accord. — D’où tu sors ça ?— Et bien Adam et Ève étaient seuls sur Terre et on eut des enfants... et bien s’il n’y avait pas eu ... de l’inceste quelque part, ça serait arrêté là, non ? Bref... rien ne l’interdit.
La jeune femme continuait d’aligner argument sur argument, que son père avait du mal à réfuter cette logique qu’elle dressait point par point. Mais de toute façon, au fond de lui-même William savait qu’il était déjà convaincu, depuis le torride baiser qu’ils avaient échangé. Il se rendit compte qu’il avait même posé ses mains sur ses jambes et lui caressait doucement les cuisses. Sa robe remontait petit à petit sur ses cuisses et ses mains entrèrent en contact avec sa peau. Sa peau si douce et si chaude.
Soudain, quelqu’un frappa à la porte, le père et la fille échangèrent un regard. Si William pouvait voir de la déception dans le regard de sa fille, Anora pouvait voir dans celui de son père, un peu d’embarras et ... de honte. La jeune femme se releva et s’avança vers la porte, tourna la clé pour l’ouvrir et sourit au nouvel arrivant. C’était la secrétaire de son père qui venait lui apporter des papiers concernant le travail. William se tourna précipitamment vers le mur et referma les quelques boutons de sa chemise.
— Bonjour, Mlle Palmer, fit Anora dans un sourire forcé et un ton hautain. — Bonjour, Mlle Tarrin, répondit-elle sur le même ton.
Jamais cette femme n’aurait le dessus sur elle. Elle était sa future patronne et elle ne serait pas secrétaire pendant longtemps de son père, surtout si elle posait ses doigts sur lui. Son père était à elle et le serait toujours.
— A tout à l’heure papa ! fit Anora avec le sourire. Travaillez bien ! dit-elle en quittant la pièce.
La secrétaire, qui se nommait Catherine, fantasmait sur son patron depuis qu’elle avait été embauchée quelques mois plus tôt. Elle avait fait une tentative de rapprochement, mais l’homme n’avait pas semblé y être sensible. Elle entra dans la pièce, Mr Tarrin était de dos, face au mur, elle s’avança vers le bureau et posa les documents.
— Votre fille est très jolie ce soir. — Mmhh ! répondit-il.— C’est de son âge de sortir avec des garçons. — Oui, sans doute.
Son patron se leva de son bureau et se rendit dans les toilettes, elle fronça les sourcils, devant son attitude étrange. Elle haussa les épaules, tira un fauteuil pour s’asseoir, prit un pupitre à main, pour avoir un support sous sa feuille blanche. Elle venait pour qu’il lui dicte son courrier.
William n’avait pas pu calmer l’érection que sa fille lui avait donnée à se frotter contre lui et l’embrasser aussi sauvagement. Il repensa à ce baiser où leurs deux langues avaient dansé ensemble. Il était donc allé dans les toilettes pour se soulager. Il se branla devant les toilettes, ce n’était pas la première fois qu’il faisait ça, ça arrive même assez souvent, mais c’était bien la première fois qu’il pensait à sa fille dans un moment pareil. Sa fille était ... une superbe femme. Il tira la chasse d’eau, se lava les mains et soupira en croisant son regard dans le miroir. La prochaine fois, il saurait lui dire non, ce n’était pas bien du tout. Il revint dans la pièce et observa sa secrétaire.
Elle était de taille moyenne et juchait sur de hauts talons qui rehaussaient sa silhouette, elle avait de longs cheveux bruns, portait un tailleur, chemise-pantalon cachant sa peau, mais dévoilant ses formes. Voilà, il devrait prendre une autre femme dans son lit, cela dissuadera peut-être sa fille de continuer son petit jeu. Elle se trouverait un autre homme pour lui apprendre ces choses-là, ce n’était pas le rôle d’un père. Avec cette nouvelle résolution en tête, il s’assit à son bureau. Il dicta sa lettre à sa secrétaire qui avait un autre bureau dans la maison pour qu’elle la rédige et la mette au propre.
— Que diriez-vous de prendre un verre quand vous aurez fini votre travail ? proposa William. — Euh... oui volontiers. — Parfait ! A tout à l’heure.
Quand Catherine revint dans son bureau, Anora était assise sur un fauteuil dans la pièce, elle n’avait pas pris sa place, mais la jeune femme avait très bien compris le message.
— Vous désirez quelque chose ? — J’ai bien compris que mon père vous plaisait, Mlle Palmer, mais il me doit de vous mettre en garde... Vous ne pourrez pas prendre la place de ma mère, ni dans sa vie ni dans son lit. — Je comprends que ça soit difficile pour vous de voir votre père... se remarier, que ce soit avec moi... ou une autre, dit-elle plus bas, vous avez passé beaucoup de temps avec votre père, seule dans cette grande maison. La présence d’une femme ne vous ferait que le plus grand bien. — Haha ! fit Anora en se mettant à rire.
Non, elle ne pouvait laisser aucune femme mettre la main sur son père. Elle se leva du fauteuil, et observa de haut la secrétaire de son père.
— Je suis venue en toute ... amitié, pour vous prévenir. Ne venez pas vous plaindre quand il vous arrivera des ennuis.
Anora quitta la pièce sans un mot, un geste ou un regard de plus pour cette femme. Elle était plus âgée qu’elle, mais si son père devait faire un choix entre elle et sa fille, Ano savait quel choix il ferait. Son père était à elle, entièrement, de ses cheveux au bout des orteils en passant par ses mains et son sexe, mais aussi pour toujours, pour chaque moment de la journée, ses matinées, ses après-midis, soirées et ... nuits.
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