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Homo sapiens Pornoensis

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
La partie de broute-minou déclenchait des commentaires animés. Cela fit rire Teuboku qui me traduisit leur étonnement. Apparemment les hommes de cette contrée ne pratiquaient pas le cunnilingus.
Je lui demandai alors s’ils se faisaient sucer car j’étais frappée de voir tous ces types agiter leur bite autour de moi sans qu’aucun n’approche la sienne de ma bouche pour en profiter comme aurait fait tout un chacun.
Cependant, il n’existait pas de dictionnaire assez précis pour traduire en langue indigène ce qui m’intriguait. Teuboku n’avait pas assez de mots à son vocabulaire pour exprimer les désirs et pratiques sexuelles, ni dans sa langue, ni dans la mienne. Mais sa langue avait d’autres qualités qu’il occupait très bien pour l’heure entre mes cuisses.
Je le priai néanmoins de suspendre ce plaisant exercice, à la fois pour ne pas jouir trop vite et à la fois pour montrer à la tribu réunie une fellation magistrale. Je suçai donc Teuboku rapidement.
Sa bite, un peu courte, mais au gland bien dessiné et très nerveuse, rentrait entièrement dans ma bouche il est vrai, et cela dit sans vouloir me vanter, assez experte en gâteries. J’aime bien les bonnes sucettes qui pulsent jusqu’à la glotte et qui vous inondent d’un foutre bien  crémeux.
Il fut ainsi possible de mettre le mot indigène sur cette délicieuse gourmandise et j’en appris les dérivés à Teuboku, en allant de pipe à turlute, tout en passant par fellation etc...
Les Boukipus, voyant mon nouvel amant se pâmer sous les coups de langue enragés que je lui donnai, se décidèrent enfin à m’approcher. Jusqu’ici, ils avaient encore peur que je dévore la quéquette du pauvre Teuboku, au sens propre du terme. Mais voyant celui-ci pousser une sorte de mélopée indigène qui montrait combien il était satisfait de ma prestation, ils avaient vaincu toute appréhension.
Du coup, le pauvre Teuboku fut écarté et ce fut à qui le premier m’enfoncerait sa bite jusqu’aux amygdales.
En lot de consolation, et comme aucun mâle ne s’ essayait encore à me lécher la chatte, Teuboku y reprit son emploi, avec la même fougue que moi je mettais à sucer les petits bâtons durs qui se présentaient à moi. Car, il faut le dire, la tribu a le pénis plutôt petit. Par contre, il est extrêmement propre et très dur dans son écrin de poils très serrés. Quelques calibres dépassaient, à vue de nez 17 ou 18 cm, mais ils étaient rares.
Cela n’entamait en rien ma satisfaction.
Je devais découvrir ensuite que le Boukipus sont habitués à vivre en communauté et que les rapports sexuels ne sont jamais cachés, de sorte qu’aucune gène n’existe à baiser devant des quidams ou à forniquer en groupe.
Désormais, il y avait bousculade pour se faire lécher. Il fallait y mettre bon ordre. Je décidai donc de me positionner en levrette. Teuboku le prit comme une invitation et m’enfila aussitôt. Ce fut le signal qui débrida les autres. Teuboku fut prié une nouvelle fois de dégager pour laisser la place à un vieil homme dont la biroute très dure fit aussitôt des merveilles dans ma chatte. D’autres mâles se mettaient à genoux devant moi ou s’allongeaient pendant que tous les chefs de familles, ou de clans devrait-on dire, se succédaient en moi.
La chaleur de l’air, le bruit incessant de la forêt, le cri des oiseaux et des bêtes sauvages, la douceur du "lit", le parfum des fleurs et la lumière vive et vacillante des torches dégageaient une atmosphère exceptionnelle et enivrante dans laquelle je me laissais aller sans retenue. Bientôt mes cris déchirèrent la nuit, et leur intensité surprit d’abord les Boukipus mais ils s’y firent très vite.

Malgré tout, les postures restaient un peu conventionnelles et je m’inquiétais de savoir s’ils arrivait à mes hôtes de se mettre à plusieurs sur la bête ou de pratiquer la sodomie.
Le meilleur moyen de le savoir, c’était de se mettre en action.
-  Encule moi, dis-je à Teuboku.
Après m’avoir lubrifié la rondelle du mieux qu’il pût à grands coups de langue, il me sodomisa. "L’entrée en matière" fut difficile. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais fait prendre par ce côté. Mais l’excitation aidant, mon partenaire put bientôt aller et venir à sa guise. Je profitai de la circonstance offerte par un indigène qui s’était allongé pour que je le suce pour me dégager un instant de l’étreinte de Teuboku et venir m’empaler sur le sexe fièrement dressé. Ainsi installée, Teuboku reprit sa place dans mon trou de balle pour une double bien vigoureuse. Pour aller un peu plus loin dans les sensations, j’avisais un grand gaillard (selon les normes de la tribu, un mec qui faisait donc presque ma taille) bien sculpté et avec une verge plus longue que la moyenne locale. Je demandai à Teuboku de lui céder ma croupe et quand ce beau garçon m’eut bien plantée à fond je priai Teuboku de traduire mes instructions qui étaient de passer du cul à la chatte et vice versa autant de fois qu’il le voudrait.
L’aisance de l’exécution me convainquit rapidement que ces petits hommes n’en étaient pas à leur première double.
Ils étaient très endurants. J’étais dans un véritable marathon du cul et les orgasmes se succédaient.
J’en vins à penser que, même au cas où je ne trouverais pas les "grands hommes noirs" de la forêt, mon séjour dans cette tribu allait me procurer bien des satisfactions. J’avais eu une riche idée en me faisant poser un stérilet avant mon départ car je ne ressortirais pas indemnes de ces étreintes dont je perçus bien qu’elles n’en étaient qu’à leur début.
Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pris une bonne double et je savourais pleinement ces petites bites nerveuses qui s’agitaient en moi. L’avantage des queues courtes, c’est qu’elle vont bien au fond et les mecs peuvent les enfiler en entier et sans douleur. Là, ils étaient collés contre mon cul. Je sentais leurs couilles ballotter sur le haut de mes cuisses et je jouissais de ces bonnes levrettes claquées qui me sont toujours un régal.
Finalement l’un des mecs éjacula dans ma chatte. Je perçus nettement le sperme fuser et cela déclencha le rire de l’autre mec dont la queue fut inondée dans l’affaire.
Le mec qui avait joui se retira et, comme il passait devant moi, j’attrapai sa grappe pour le sucer. Il dut faire attention à ne pas marcher sur le gars couché sous moi. Il se laissa faire avec contentement. Le peu de vocabulaire que Teuboku avait réussi à m’inculquer me fit comprendre les mots "femme, bon" et l’équivalent de "plaisir". Puis il disparut vers les cases et j’admirais la rondeur de son beau petit cul. Celui-là, il faudrait que je le retrouve à tout prix !
Mais, déjà, il avait été remplacé par un autre type qui avait joint sa queue à celle de son camarade dans ma chatte toute foutrée. Il paraît que cela glissait mieux.
J’étais assez surpris que les mains ne viennent pas m’agripper les nichons ou les bouches me sucer les tétons. J’en fis part à Teuboku, qui s’étend renseigné fut pris d’un grand fou-rire. Là encore, la crainte retenait les assauts des candidats. Ils trouvaient mon poitrail tellement gros et laiteux qu’ils craignaient qu’il n’éclatât.
Pourtant, leur femmes ont plutôt de sacré belles mamelles, bien rondes et fermes, aux tétons très saillants et ces appendices sont d’autant plus attirants que la petite taille des femmes les fait paraître énormes.
Teuboku dut encore une fois payer de sa personne pour venir me bouffer les seins et tripoter les tétines. Ils ne connurent plus de repos de la soirée et furent triturés dans tous les sens.
Un deuxième mec vida ses couilles en moi et, celui qui partageait ma chatte avec lui à ce moment là  ne permit pas à un autre de venir. Il me mit en levrette et se déchaîna. Désormais, c’était une tournante Les types m’enfilaient, me chevauchaient longuement, jutaient et se retiraient. Teuboku avait reprit ma tête entre ses mains pour bien me faire bouffer toute la longueur de son zob. Je le sentis se crisper soudain puis des jets abondants envahirent ma gorge. Je faillis étouffer, et avaler de travers ce sperme abondant que je n’attendais pas. Voyant le filet de foutre qui s’échappaient de ma bouche lorsqu’il se retira, un autre homme vint s’y soulager. Ainsi prise par devant et par derrière, je compris qu’il n’y en aurait plus pour très longtemps et que je pourrais enfin avoir la conversation que je souhaitais sur les "grands hommes noirs de la forêt".
Il ne devait plus rester que quatre ou cinq mecs qui attendaient de soulager leur crampe quand il se fit un certain vacarme.
Autour de nous la foule grossissait. En fait, les hommes qui avaient joui et qui étaient rentrés dans leur cases avaient raconté leurs exploits, excitant tous les mâles de la maisonnées. Ceux-ci sortaient donc pour demander leur tour. Et j’eus bientôt tout autour de moi plus d’une centaine d’hommes de tous âges, bite en l’air qui espéraient me grimper et parlementaient avec le chef pour obtenir ce droit.
Trop c’était trop. 18 mecs, passe encore. Mais tout un village !
Je fis donc traduire que, restant dans le village plusieurs semaines, les guerriers qui voudraient copuler avec moi le pourraient pourvu qu’on me permit de savoir et de faire ce que je voulais.
Le chef fut enchanté par cet acte de haute diplomatie qui lui évitait une émeute. On accorda tout ce qu’on voulut.
Tout ce beau monde rentra donc dans ses pénates et aux cris de jouissance qui s’en échappèrent bientôt, je compris que ces messieurs passaient leur désillusion provisoire sur leur femme. Ce soir là, le village connut un immense orgasme.
Enfin, les derniers types me sautèrent, toujours plus sauvagement à force, sans doute, d’avoir attendu plus longtemps que les autres.
J’étais couverte de semence. J’ai toujours aimé le sperme. Mais je dois reconnaître que le leur me parut extraordinairement fruité et sucré. Et je m’en délectai donc comme il se doit.
Maintenant que les hommes avaient eu ce qu’ils souhaitaient, je désirais qu’on m’instruisît sur l’objet de ma recherche.
Il me fut répondu qu’il était tard et que, demain, on me ferait rencontrer les deux femmes qui étaient revenues de chez les"grands hommes noirs de la forêt" lors de la dernière lune.
Je me sentie un peu couillonnée dans l’affaire. Mais dans le fond, j’étais claquée par cette orgie. J’avais une promesse et je n’étais plus à quelques heures près.
Teuboku et moi regagnâmes donc la case des invités, où nous étions seuls. Nous nous allongeâmes, Teuboku contre moi, laissant reposer sa main dans l’humidité de mon entrecuisse. Je le laissai faire et le sommeil nous prit dans cette position.
A suivre
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