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Et hop, tout le monde à la campagne !

Chapitre 1

Inceste
Moi, c’est Nathalie. Un peu plus de 60 ans, la tête pleine de flash-back, je suis « dans la vie », de manière à vivre pleinement chaque jour qui passe. Parmi tous mes souvenirs joyeux, j’ai très envie, en cet instant, d’évoquer mon éveil à la sexualité, juste après la « révolution » de 1968. « Révolution... Sexuelle ! » qui n’a pas imprégné de la même manière tous les pans de la population. Malgré tout le bien qu’on en dise aujourd’hui, dans le milieu ouvrier, catho de gauche, il appartenait encore à chacune de découvrir, par ses propres moyens, ces secrets tenus à l’écart de la curiosité naturelle des adolescentes. En préambule, je tiens à préciser que cette narration n’est pas construite avec le vocabulaire ou à partir les connaissances des années 70. Les mots sont venus après, au cours de ma vie, grâce à l’évolution sociale autour des thématiques du couple, de l’anatomie, du sexe, etc.
Le plus souvent, la parole n’existait pas lorsque deux corps tentaient de se rapprocher avec l’intention de partager un instant de plaisir. Seules les pulsions, la force de la nature dans sa toute-puissance, s’exprimaient avec plus ou moins de finesse. Le règne humain jouxtait manifestement le règne animal. L’épée de Damoclès que nos mères s’employaient à poser, en diadème au-dessus de la tête de leurs filles, se résumait en un seul mot : grossesse. D’ailleurs, sans donner plus d’explications ! Avec ça, en route vers l’initiation !
Du plus loin de mes souvenirs d’adolescente, je sais bien que ma libido a explosé au cours l’été 1972. Ma vie a pris un vrai tournant vers l’âge adulte durant les deux semaines passées dans la ferme de mon oncle Claude, près de Rochefort, au fin fond des marais charentais. Je venais d’avoir dix-huit ans, je m’orientais alors vers une carrière de sténodactylo en étudiant dans un collège technique à Surgères. Deux ans déjà que je n’avais pas mis les pieds dans cette cambrousse florissante de surprises de toute sorte. Un lieu béni pour la citadine que j’étais, un lieu où j’arrive, toujours emballée de retrouver ma seconde famille.
Claude et Ginette, la quarantaine, exploitent alors avec Jean-Paul, leur commis, quelques hectares de terres maraîchères ajoutées à de grandes parcelles de prairies consacrées à l’élevage de plusieurs dizaines de vaches, de leurs veaux plus deux taureaux acteurs de la reproduction. Ils n’ont pas eu d’enfants, depuis mon plus jeune âge, je suis la bienvenue dans leur univers. Claude a toujours été très gentil avec moi, son jeu favori résidait, le soir quand j’étais petite, en d’interminables séances de chatouilles, de grattouilles coquines sur le canapé, sous le regard parfois un peu sévère de Ginette. Dieu, que j’adorais ces moments-là. Ces pratiques, aujourd’hui empruntes de suspicion, vouées à la vindicte populaire et à la censure bienveillante des médias, ont été, au moins pour moi, un inoubliable terrain d’éveil à la sensualité. Le contact de l’autre avec mon corps n’a jamais représenté rien d’autre qu’une intention joyeuse, très affectueuse.
Je remercie Claude de cet inestimable cadeau.
En retrouvant mes repères dans ces lieux toujours mystérieux aux yeux d’une enfant, je sens bien que mon regard a changé, je ne vois plus les mêmes choses que les années passées. Par exemple, mon sens aigu de l’observation m’oblige à constater que la ferme représente le sanctuaire de la copulation, de la reproduction en continu. Où que tu tournes la tête, tu ne vois que des animaux qui baisent ou qui tentent de baiser. Ça commence le matin à la sortie de l’étable, lorsque les vaches les plus chaudes se mettent à chevaucher leurs consœurs leur signifiant que le taureau serait le bienvenu. Ensuite, dans la basse-cour, lorsque les poules se ruent à becqueter, aussitôt lancé, le grain que tu viens de leur répandre sur le sol, il n’est pas rare qu’un coq profiteur en enfile vite fait une ou deux. De là, tu passes dans le clapier donner du foin aux lapins.
Déjà le gros mâle, tenu à l’écart dans une cage, claque le sol de la patte, espérant accéder aux cages des plus jeunes femelles n’ayant jamais sailli. Les deux chiens ne sont pas en reste. Linou, indissociable de Mastard, ne rate jamais une occasion, lorsque la chienne est en chaleur, de copuler vaillamment jusqu’à rester ensuite collés une heure durant.
Les années précédentes, j’étais aveugle, ou insensible, à tout cet environnement bouillonnant de suggestions érotiques. Au cours du dîner, j’en fais part à toute la tablée :
— Ça baise dans tous les coins de la ferme en ce moment, lancé-je, tout de go.— On n’y fait plus attention, c’est la nature, répond Ginette.— C’est bien la première année que tu abordes ce sujet, s’étonne Tonton Claude, tu dois commencer à discuter de tout ça avec les copines, à ton âge, maintenant ?— Plus ou moins, la plupart d’entre elles ne sont pas très à l’aise sur le sujet. Tu sais bien que ce n’est pas à la maison qu’on peut en parler...— Ah, je reconnais bien là ma sœur, toujours aussi coincée, affirme Ginette.— Au moins, tu sais que chez nous, il n’y a pas de sujets tabous, la nature, nous vivons avec, nous la laissons s’exprimer le plus souvent possible, lance l’oncle dans un grand éclat de rire.— Calme-toi quand même un peu mon garçon, reprend Ginette, il s’agit de ta nièce tout de même !

La conversation repart sur un autre sujet. Assez rapidement, une fois la cuisine bien rangée, nous regagnons nos chambres. Mes hôtes dorment au rez-de-chaussée, ils m’ont aménagé un couchage dans une partie de l’ancien grenier. On y accède par une échelle meunière qui craque souvent quand on l’emprunte. Un petit cabinet de toilette, attenant à cette chambrette, me rend indépendante de leur salle d’eau pour mes ablutions du soir.
C’est en me brossant les dents que j’entrevois, reflétée par le miroir, la bouille de Claude dans l’embrasure de ma porte. Il me demande s’il peut entrer, si ça ne me dérange pas. Vu que je suis en slip-soutif, j’enfile vite fait un t-shirt, plus par habitude que par crainte de le mettre dans l’embarras. Affublé de son polo siglé « Massey Fergusson », de son short orange et vert, offert par « Roundup », c’est un Claude en Arlequin qui s’assoit au bord de mon lit. Je reste plantée devant lui :
— Vu ton âge, je pense qu’on peut continuer la conversation de tout à l’heure. Tu dois bien te douter que j’ai constaté que tu avais beaucoup grandi, aussi, j’en déduis que nous pouvons aborder les questions de sexualité, qu’en penses-tu, me demande-t-il ?— Vu toutes les questions que je me pose, nous allons y passer la nuit, mais j’ai tout à fait confiance en toi, tu me serviras de guide dans ce domaine nouveau pour moi. Par quoi commence-t-on ?— Ton corps a beaucoup changé, as-tu cherché à l’explorer un peu ? As-tu découvert en quoi, il peut te donner des plaisirs nouveaux ?— Je pensais que je ne pouvais rien faire toute seule, qu’il fallait que j’attende d’être avec un garçon, de lui laisser l’initiative, attendre qu’il me donne du plaisir, réponds-je étonnée.— Ça, c’est dans les livres, ma petite, dans la vraie vie, en général, on est beaucoup mieux servi par soi-même, heureusement qu’on n’est pas obligé d’attendre le voisin ou la voisine si on veut jouir. Si j’attendais le bon-vouloir de ta tante, inutile de te dire que je me la mettrais sur l’oreille plus d’une fois par semaine. Heureusement que je me secoue tout seul jusqu’à me faire jouir tout seul.— Jouir ?!?— Oui, c’est le mot qu’on utilise, ça illustre un peu le sommet du plaisir sexuel, si tu veux. Il s’agit d’une explosion d’une rare intensité, qui arrive tant aux hommes qu’aux femmes. On peut jouir, à deux, en baisant, mais chacun peut jouir tout seul, en se caressant. En se branlant. Se branler reste le terme le plus souvent utilisé.— Oui, d’accord, mais les hommes ou les femmes ne se branlent pas de la même manière ?— Pour ma part, tout est bon. Soit, je le fais à la main, simplement, soit je trouve des astuces plus excitantes, comme de pénétrer une vache ou la jument, ou encore de me faire sucer par le commis. Mais nous verrons ça plus tard, ce soir, parlons de toi, ça te dirait que nous partions à la découverte de ton corps de femme ?— Tonton, je te fais confiance, je suis prête. Mais tu es bien sûr que ta proposition paraît convenable, vraiment normale ?— Il n’y a que nous deux, ta tante nage dans les limbes depuis au moins une heure, nul n’en saura rien, en attendant, ça va te faire grandir. Mets-toi donc toute nue, tu le faisais tellement simplement quand tu étais petite, qu’après la sortie du bain, je te faisais des chatouilles. Attention, Mesdames et messieurs, le spectacle va commencer...
J’enlève mon t-shirt, dégrafe mon soutien-gorge, enfin, je glisse mon slip sur le plancher. C’est la première fois que j’exhibe ma nudité complète devant un homme... Alors là ! Celui qui me regarde en a la mâchoire décrochée. Il ne peut plus dire un seul mot. Il me dévisage comme s’il avait vu la vierge, ce qui est un peu le cas quand même. De grosses larmes coulent sur ses joues.
— Qu’est-ce qui t’arrive, Tonton Claude ? Tu n’as pas vu une fille nue depuis longtemps ?
Il ne me répond pas. Il se relève, recule un peu, tel un expert, lorsqu’il admire un tableau de maître ou une statue qui le fascine. Claude semble tellement scotché sur ma poitrine qu’il n’a même pas réalisé que son short n’en peut plus tellement sa poutre s’est subitement enflée. A ma grande surprise, il fait demi-tour, ouvre la porte, sort à toute vitesse, toujours sans un mot. Je l’entends dévaler l’escalier quatre à quatre puis sortir dans le jardin par la porte de la buanderie.
Inquiète de son sort, je le suis sans prendre le temps de me couvrir. Me voilà complètement à poil, en train de le chercher dans le potager. La sensation de l’herbe fraîche sous mes pieds est délicieuse. Au bout d’un moment, je distingue une ombre qui s’agite sous un pommier. J’entends en même temps un râle doublé d’un essoufflement. Je m’approche, c’est bien Claude. Il a baissé son short, il tient son énorme bite à pleine main, ça me rappelle que je l’ai vu cent fois tenir le pis d’une vache afin d’en extraire le lait. Il la secoue à grands allers et retours du poignet en grognant, imitant presque le goret. La scène m’impressionne au point que j’ai l’impression qu’il rumine une colère, même qu’il pourrait se blesser. J’approche. Je me plante sans pudeur aucune devant lui :
— Calme-toi, il ne s’est rien passé de grave, tu as perdu la tête Tonton, ne te mets pas dans cet état, lui dis-je avec bienveillance, en posant ma main sur la sienne.

À mon contact, il calme aussitôt la friction de sa queue puis enlève assez vite sa main. La mienne vient se poser sur son sexe. Là, je ressens quelque chose de bien singulier. La tige est brûlante, étonnamment douce, presque brûlante. Toujours face à lui, je me surprends à faire maladroitement le même geste que celui qu’il entreprenait précédemment. Ses grognements reprennent de plus belle, mais sans colère cette fois, avec plus de douceur. Cette queue devenue tellement volumineuse m’oblige à l’enserrer de mes deux mains. Je la secoue en va-et-vient plutôt maladroitement. Au bout de quelques minutes, j’arrive à déceler les mouvements qui lui conviennent le mieux, suite auxquels il en redemande. Je vois bien que lorsque je pousse vers son ventre en serrant plus fort, il aime ça.
À un moment, il saisit ma main gauche puis la pose à l’extrémité en me montrant comment faire des petites caresses tournantes tout en continuant à agiter l’autre main du même geste. Au contact de cette partie encore plus douce, je suis prise d’une forte envie d’y déposer un baiser. Je me baisse donc un peu jusqu’à placer mes lèvres sur ce champignon à l’odeur âcre. Ne sachant pas trop quoi y faire, j’en reste là. Je me relève. Claude pose ses deux mains sur mes épaules en nichant sa tête dans ma chevelure. Je continue les mouvements qu’il apprécie, même si le rapprochement de nos corps ne facilite pas vraiment la tâche. Je frôle aussi ses grosses boules poilues, mais je n’ose pas y toucher. À vrai dire, je suis un peu effrayée. Je ne peux pas dire combien de temps, nous restons ainsi, sous ce pommier. Il fait bon, je sens le vent caresser mes fesses nues, ça me donne envie.
Envie de quoi, je ne saurais le dire, je sens seulement que mon corps ne m’appartient plus vraiment, j’ai envie de m’ouvrir, sans trop comprendre ce que cela peut figurer. Son souffle soudain changeant de rythme, Claude se plaque contre mon ventre, pris de spasmes inquiétants. Au même moment, la raideur de sa queue s’accentue, je sens un liquide brûlant jaillir par saccades entre mes doigts puis s’étaler sur ma touffe foisonnante. Le flot continue jusqu’à couler le long de mes cuisses. Presque en même temps, Claude se met à pleurer sans retenue, à croire qu’un très grand malheur venait de lui arriver.
— J’ai honte Nathalie, j’ai honte, je n’aurais pas dû faire ça devant toi. C’est dégueulasse, je me maudis.— Moi je trouve ça plutôt marrant, c’est la première fois que je touche à une bite, comme disent les gars. Il semble que mes caresses n’aient pas été vaines, tu avais l’air d’apprécier, Tonton, dis-moi, je me trompe ? Tu as aimé ou pas ?— J’ai adoré, ce n’est pas le problème, mais je ne voulais pas t’infliger ça, pas à ma nièce chérie.— Tu as bien dit « chérie », donc où tu as vu un problème ? À propos, je crois que j’ai ressenti quelque chose de nouveau moi aussi, on en reparle demain soir ?— OK, c’est bon pour ce soir, bonne nuit Nathalie. À demain.

Je laisse le tonton à ses remords avant de retourner dans ma chambre faire disparaître sur mes poils, sur mes cuisses, toutes les traces de sa jouissance gluante à l’odeur animale.En faisant ma toilette intime, je passe et repasse le gant chaud, bien savonné, dans mon entrecuisse. À chaque fois que je remonte sur mon petit bouton, je ne peux m’empêcher de recommencer, excitée en même temps par la grosse trique de Tonton qui se rappelle à moi. Tout en m’éternisant sur mon clito, de l’autre main, je me mets à fouiller un peu dans ma fente maintenant humide d’autre chose que l’eau du bain. Mes doigts s’enfoncent à me tordre le poignet. À chaque intromission, c’est sa queue ferme que j’imagine glisser en moi. Mon regard se pose sur la brosse à cheveux dont le manche rond en bois me donne des idées. Aussitôt, tout excitée, je prends la savonnette et la brosse avant de m’étendre sur le lit, les genoux relevés, les cuisses écartées. Je glisse la savonnette sur mon pubis, j’introduis le manche dans ma chatte.
Tout doucement, sans empressement inutile, je me fais une douceur. Je trouve ça excellent. Plus je continue, plus je sens bien que ça ne suffit pas, que je dois pouvoir aller plus loin dans le plaisir. J’abandonne un instant le manche introduit à fond et, des deux mains, je m’occupe plus précisément de mes parties extérieures appelant toujours plus de caresses. À un moment, je suis à un point de non-retour, rien ne peut plus m’empêcher de continuer à me branler de toutes mes forces, à m’user la peau. Je sens qu’il faut que ça éclate. Quoi, je n’en sais rien. Mais je dois continuer quoiqu’il arrive. Mes cuisses serrent le manche de brosse afin qu’il ne sorte point de sa niche, qu’il emplisse encore ma cavité. Mes doigts s’affairent dans les plis de ma moule, ma main droite remonte vers mes seins et, allez savoir pourquoi, je me pince violemment le téton en secouant brusquement le mamelon ainsi épinglé, tout en comprimant mon bouton de rose entre l’index et le pouce de la gauche.
Je hurle, je me retourne vers l’oreiller, tentant d’étouffer ce cri dont j’ignore la provenance, mais qui semble me libérer de toute contrainte. Tout mon corps est pris de soubresauts, une vague de chaleur inonde mon bassin. Je suis en train de jouir...
C’est ma première fois.
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