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Et hop, tout le monde à la campagne !

Chapitre 4

Première sodomie

Avec plusieurs hommes
Bringuebalée dans la 404 camionnette juste au saut du lit, c’est un drôle de réveil. Heureusement que je n’ai pas eu le temps de prendre mon petit-déjeuner, je crois qu’il aurait fini sur les caisses de légumes. Je suis en bonne compagnie, Raymond et Paulo sont aussi de la fête. Il donne, depuis toujours, un coup de main à Tonton Claude les jours de marché, surtout l’été, quand la fourniture est abondante. Claude et Ginette ont pris place devant, nous sommes tous trois sous la bâche, entre les cageots de légumes, le cul posé sur un sac de jute qui nous arrache la peau.
Les deux garçons somnolent, le jour commence à peine à se lever. Paulo est assis devant moi, Raymond à ma droite. Je remarque assez vite que si Paulo reste immobile, ses yeux s’occupent. Ils sont rivés sur mes jambes, ou plutôt sur ma culotte, vu que j’ai les genoux relevés, ma tête est posée dessus. Je lui rends la pareille en lorgnant à mon tour sur la jambière de son short, j’attends avec une certaine impatience que le soleil pointe son nez pour éclairer la situation. Je ne me suis pas trompée, Paulo commence à se faire du cinéma, de sa courte jambière pointe le nez de son reptile rougeoyant. Raymond, qui le sait un peu obsédé par la gent féminine, n’en a pas perdu une miette :
— Mate encore un peu, l’anaconda va pouvoir sortir de son terrier ! lance-t-il pour mettre l’autre dans l’embarras.— A nous chauffer la nouille comme elle le fait depuis qu’elle est arrivée, Nath’ est condamnée à nous soulager à chaque fois que nous en aurons besoin, répond Paulo.— J’aurais peut-être à donner mon avis, voire mon accord, si ça ne vous fait rien, n’est-ce pas les branleurs ?— A propos de branleur, je me laisserais bien branler, lance Raymond. Si on faisait un concours ?— De quelle nature ? Je lui demande aussitôt.— Ben, je sais pas, par exemple, tu pourrais nous branler tous les deux en même temps et le premier qui jute a gagné. Tu serais d’accord, Paulo ?— Bonne idée, répond-il, en se déplaçant pour s’asseoir à ma gauche.

Amusée par cette proposition, je me dis qu’il faut bien passer le temps jusqu’à l’arrivée au marché.
— Je suis droitière, Raymond va être avantagé, je vais le serrer beaucoup plus fort. Et puis tout ça, c’est bien beau pour votre pomme, mais moi, avec les mains prises, ça ne va pas me chatouiller beaucoup.— Mais nous deux, on aura les mains libres, t’inquiète pas ! reprend Paulo.

Tournée vers Paulo, je n’avais pas fait attention à Raymond lequel exhibe fièrement son engin en commençant à le lisser tranquillement.
— Tricheur, tu ne dois pas démarrer avant que je donne le départ officiel, c’est moi qui le donne, personne d’autre.

Tout en affirmant d’autorité la règle à suivre, j’empoigne le tuteur de droite pour éviter à Paulo d’être trop tôt disqualifié. Raymond se positionne également sur la ligne de départ en m’offrant sa queue. Je commence par apprécier ces deux sexes semblables au toucher, mais absolument différents par la forme. Autant la pine de Raymond fait penser à une asperge que celle de Paulo, plutôt courte, presque massive, me rappelle les andouillettes suspendues à sécher sur une perche de noisetier près de la cheminée après la cuisine de cochon. Cette disparité physique me laisse présager qu’il ne doit pas en exister deux semblables sur la Terre. Mais peu importe, je dois m’occuper de ces deux lascars, maintenant impatients.

Alors, je branle. Au début, un peu dans le désordre. Je dois régler un problème évident de synchronisation, l’une étant plus courte que l’autre, je m’impose de différencier l’amplitude de mes mouvements. Au début, je ressemble à un oisillon agitant maladroitement ses ailes pour sortir de son nid, ensuite, j’améliore mon style. L’image d’une skieuse en plein slalom, accrochée à ses deux bâtons me fait glousser de rire, mes deux branlés se demandent pourquoi je pouffe, pour toute réponse, j’accélère le mouvement. J’aime la chaleur de leurs queues dans mes mains, je fanfaronne intérieurement à l’idée de maîtriser pleinement la situation, de les avoir à ma merci, empoignant vigoureusement leur totem de mâle. Raymond ne peut retenir un balancement de son bassin visant à amplifier l’effet de ma pogne, je pressens qu’il veut en finir. Du coup, délaissant un temps Paulo, je m’acharne sur l’objet. Me penchant légèrement, je lèche au même rythme son gland.
Le résultat n’attend pas, je me prends la première giclée sur la joue, le reste part sur le plancher de la camionnette.
En me tournant vers Raymond, j’ai exposé, sans m’en douter, ma croupe au regard de Paulo, lequel ne s’est pas fait prier pour glisser aussitôt ses doigts dans la raie de mon cul, jusqu’à fouiller par derrière mon minou tout humide, dégoulinant. Ce salaud sort même sa main pour se lécher et s’enivrer de mes liqueurs. Ses caresses ne sont pas très habiles, mais dans l’état où ils m’ont mise, le moindre effleurement m’excite. J’hésite à reprendre ma position initiale au risque de gâcher le plaisir, je persiste donc à tourner le dos à Paulo, je continue à le branler sans le regarder. Depuis ma chatte, ses doigts remontent jusqu’à mon trou de balle pour l’engluer de ma mouille, tant et si bien que je ne sens presque pas son majeur emprunter le sens interdit. C’est au moment où il commence ses allers-retours qu’une sensation nouvelle m’agite le popotin. Je me rue véritablement sur ce doigt tellement délicieux une fois passés l’effet de surprise et les premiers picotements.
Je ralentis la branlette pour me concentrer sur les agissements de Paulo. Il revient sur ma chatte puiser une grande quantité de lubrifiant, puis, au retour, engage deux doigts que j’accueille en déployant mon anus du mieux possible. Ça passe ! Vu que Tonton Claude y fourre toute sa queue dans celui de Ginette, il doit y avoir du potentiel au fond de ce trou. Ça me fait un bien fou. Je rends grâce à Paulo d’avoir fait ses premières armes avec des garçons. Sa délicatesse résulte sûrement de son expérience, il doit se souvenir de sa première bite dans le cul, intuitivement, il connaît les gestes qui rassurent, son ou sa partenaire, selon le cas.
Raymond ne voit rien de ce qui se trame sous ses yeux. Paulo paraît poursuivre un but bien précis. Il ne va quand même pas m’enculer, me mets-je à penser. J’ai un peu mal à la hanche mais ce n’est pas le moment de flancher. Je me débarrasse de ma culotte devenue gênante, je rapproche mon fessier du ventre de Paulo. Il y voit immanquablement un signe d’encouragement. Toujours à demi-assis, à demi-couché, il écarte au mieux mes fesses de ses deux mains, me laissant l’initiative de présenter sa grosse andouillette devant mon anus bien ouvert. Complètement inconsciente mais excitée comme une chèvre en chaleur, je tire sur sa queue et la poste juste à l’entrée. Paulo pousse un peu, mais sans violence, seulement pour caler son gland au bon endroit, pour me donner le temps d’apprécier. Cette chaleur est sublime, elle me déclenche un frisson de folie, inimaginable. Je veux être prise, je veux être pénétrée, j’ai le feu. Je ne m’appartiens plus. Paulo pousse. Ouille ! Ça ne passe pas.
J’ai l’impression de recevoir une betterave de la taille de celle qu’on donne entière aux petits cochons. Ne force pas Paulo, attends sagement que je me détende, que je m’ouvre plus complètement. J’ai mal. J’ai mal, pourtant j’ai envie de tout me mettre au fond. Comme si cette douleur était annonciatrice d’une grande jouissance. Je respire un bon coup et pousse du bassin vers ce chibre tant attendu. Ça marche, ça glisse, ça pénètre. Oh ! Pas bien vite. Au début, la peau du prépuce m’a protégée du frottement contre mes muqueuses, maintenant, c’est autre chose, à un point que je n’ose plus bouger.
Nous restons immobiles un bon moment. Moi, craignant chaque secousse de la camionnette, le cul en feu. Paulo, toujours tendu, se demandant ce que je veux. Nous allons devoir décrocher, à mon grand désespoir, je vais en rester là. Cette première expérience serait-elle aussi mon premier échec ?
Soudain, il me vient une idée :
— Tu pourrais envoyer tout ton jus, maintenant, mon petit Paulo ? lui demandé-je en sourdine.— Heu... Oui, bien sûr, susurre-t-il, très coopérant.

Sans trop bouger, j’attrape la grappe de couilles de Paulo à pleine main pour les agiter violemment. Aussitôt, je sens son gland enfler dans l’entrée de mon cul, puis son souffle sur ma nuque se transformer en rugissement. Le déferlement de sperme ne se fait pas attendre, je sens le flot bouillant exploser dans ma cavité anale, remplaçant favorablement mes petits agacements par une douce onction. Paulo n’arrête pas, il m’envoie une série de grands jets, il me remplit. Je saisis l’occasion pour m’empaler complètement sur son pieu. Le lubrifiant naturel de sa semence, associé à la décongestion du gland me rendent la manœuvre tout à fait acceptable. Ça y est, Paulo est au fond de mon cul, je ne vais pas le lâcher de sitôt. Je le laisse un peu reprendre ses esprits, ensuite, je commence à balancer mon bassin pour le faire coulisser dans son jus de couilles. Il est un peu mou, mais pour l’instant, ça m’arrange.
Paulo a compris ma demande, me tenant fermement par les hanches, il entame également une bien agréable danse du ventre. Tant qu’il ne s’approche pas trop de la sortie, je constate que c’est très agréable, d’ailleurs, ma moule n’en tarit pas de fraîches sécrétions. La sensation de son gland étranglé par mon anneau me fait monter la fièvre, je savoure et...
Je jouis. Paulo s’en aperçoit, si bien que sa queue reprend aussitôt son volume initial. Je n’ai pas encore soufflé cette jouissance qu’il se met à me pilonner tel un Claude sur sa Ginette. C’est bon. Douloureux certes, mais très bon. Paulo veut de nouveau envoyer sa giclée. Son bassin claque sur mes fesses au point que Raymond prend conscience de ce qui se passe, il en reste bouche bée. Je regarde Raymond, je lui prends la main, pour l’associer peut-être au plaisir à venir. Mes entrailles s’enflamment, je griffe la main de Raymond. Paulo rugit de nouveau, l’enflure pousse son membre jusqu’à heurter ma vulve de ses couilles. J’ai très mal à la hanche. J’ai le cul embrasé, la chatte liquéfiée, je hurle de bonheur, je suis une femme. Paulo me remplit de nouveau.
Raymond conclut dans un éclat de rire :— Il n’y a aura sûrement pas de gagnant à ton petit jeu, Nath’, mais au moins, on sait qui décroché la timbale !
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