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l'Horloger du Temps

Chapitre 1

Bienvenue chez les Hadjimandi (Part 1/2)

Inceste
Toc toc toc.
Trois coups résonnent à ma porte. Ces trois coups, bien que légers, sont en réalité une source d’agacement et d’ennui pour moi. L’auteur de cette série de coups ne fait que me prévenir de l’horrible calvaire que je ne vais pas tarder à subir. Je m’installe plus confortablement et m’enveloppe plus douillettement dans ma lourde couette et je rejette intérieurement l’existence de ces trois coups.
Toc toc toc toc !
Les trois coups résonnent de nouveau mais un quatrième retentit. Il est suivi d’un long et pesant silence pendant lequel je prie silencieusement pour que la personne derrière la porte finisse par se lasser et s’en aller sans insister.
Hélas, pour moi, ma prière n’est pas entendue ! La porte s’ouvre alors violemment laissant apparaître une ombre gigantesque sur le mur devant moi. Plus les lourds bruits de pas se rapprochent, plus l’ombre menaçante projetée contre le mur s’agrandit.
L’individu, cependant, s’arrête net à quelques pas de mon lit. Un long silence s’ensuit, sans qu’aucun bruit ne vienne le troubler. Brutalement, de l’eau glacée se déverse sur moi, me faisant bondir tout en criant de surprise et de colère.
Je bous intérieurement de rage malgré l’eau gelée me recouvrant. Je fais face à la personne qui se tient à un pas de mon lit. Elle rit à gorge déployée, un seau dans une main et un téléphone dans l’autre, le flash activé. Je sors du lit et la fixe du regard.
— Allez debout la belle au bois dormant, déclare-t-elle entre deux fou rire. Tu l’as peut-être oublié mais t’as cours aujourd’hui !
— Le seau d’eau au petit matin était-il vraiment nécessaire ? demandé-je, en le pointant du doigt sans rompre le contact visuel.
— Bien sûr que oui ! Sinon qui serait venu te mettre de bonne hum… te réveiller je veux dire ?
— T’es vraiment pas nette, tu le sais ça ? lancé-je, en lui arrachant son téléphone toujours en train de me filmer, et en le jetant avant de le jeter sur mon lit.
Elle pousse un glapissement de protestation et se précipite sur mon lit trempé pour le récupérer. Elle procède à une rapide, mais précise vérification sous tous les angles possibles et inimaginables de l’objet. Je pousse un soupir et me pince l’arête du nez, sentant naître une migraine. Je dirige mon regard face à la petite commode en bois placée à côté de mon lit sur laquelle est posée une horloge électronique rectangulaire.
6 h 35 min 34 sec... Me réveiller à cette heure est était normal pour elle ??? J’avais encore deux heures avant d’aller en cours et cette petite peste me réveille prétendant que je vais être en retard.

Je me présente, je m’appelle Archibald B. Dulac, j’ai dix-huit ans, actuellement en terminale général et je déteste ma misérable vie. La raison me demandez-vous ? Ma famille, le lycée et mes tortionnaires.
Celle qui vient, à l’instant, de me balancer un seau en pleine figure en est un parfait exemple. Elle est la fille de la sœur de ma mère, décédée trois ans plutôt ; ma cousine.
Elle se nomme Zoé Hadjimandi, est âgée de dix-huit ans et est la benjamine de la famille. Zoé est petite de taille et a une silhouette svelte et élancée, la peau praline et des cheveux mi-longs bouclés de couleur châtain foncé dont les pointes sont blond-miel.
Elle a des sourcils fins et arrondis, une cicatrice figurant sur son sourcil gauche, des yeux marron foncé, un nez camard couvert d’un pansement, des joues pleines sur un visage en forme de diamant et des lèvres roses moyennement épaisses en forme de pomme.
Elle est vêtue d’un large tee-shirt gris couvert par-dessus d’un grand sweat-shirt gris à capuche zippé ainsi que d’un legging short long, deux en un, qui était noir. Elle porte à ses pieds des socquettes grises.
Capturant encore quelques photos à mon insu, la benjamine prend finalement congé satisfaite, un rictus mauvais sur les lèvres, et laisse la porte grande ouverte. Je pousse un soupir de fatigue et ferme la porte derrière elle. J’enlève mes habits mouillés et les jette au loin dans un panier marron rempli à ras bord de linge sale.
Je tourne les talons et me rends vers le placard, saisissant au passage un nouveau pyjama. Je prends un instant pour me regarder dans le miroir de la porte du placard. Je ne réalise pas à quel point j’ai changé depuis que j’ai commencé à vivre chez ma tante six ans plus tôt.
Je mesure près d’un mètre quatre-vingt-quatre et pèse près de soixante-dix-huit kilogrammes. Je possède un physique robuste et très athlétique. J’ai la peau blanche et les cheveux blonds mi-longs lisses et volumineux, coiffés en brosse. J’ai des yeux bleu clair, les sourcils droits peu épais, un nez grec, des joues creuses sur un visage ovale, et des lèvres moyenne rose clair.
— Tant que je suis debout, je vais en profiter pour me laver, me dis-je en me reniflant l’aisselle.
Je saisis ma serviette accrochée sur la porte du placard, me chausse de mes pantoufles noires et sors de ma chambre, marchant dans un mince couloir. Je m’arrête devant la porte à ma gauche, ornée d’une plaque en bois, sur laquelle est écrit en majuscule : "SALLE DE BAIN".
Je toque quelques coups pour m’assurer qu’il n’y a bel et bien personne, mais aucun bruit ni même une parole ne me vient en retour. J’actionne donc la poignée et entre à la va-vite dans la pièce en refermant rapidement derrière moi et verrouille la porte, j’accroche par la même occasion ma serviette aux patères fixées en haut de la porte mais me stoppe net.
Une grande et large serviette noire, ornée en son centre d’une grande flamme bleue est suspendue à l’un des crochets. Je l’ai déjà vue à maintes reprises et j’en connais le propriétaire. J’essaie de me persuader, tant bien que mal, que cette même personne a juste oublié sa serviette ici vu que je n’entends aucun bruit dans la salle de bain. Mais je ne peux pas en être certain puisque je n’ai pas pris le temps de vérifier la cabine de douche et que, par-dessus tout, les vitres sont opaques de l’extérieur.
— Je ne savais pas que tu tenais tant à te prendre une raclée dès le matin, Archie. Siffle une voix grinçante à mon oreille.
Des frissons me traversent instantanément et mes mains deviennent subitement moites. Je tourne doucement ma tête tremblante puis fais face à la personne que je soupçonnais et que je veux le plus éviter dans cet appartement.
— B.. Bon... Bonjour Tamara, commencé-je d’une voix mal assurée. Ecoute je ne savais pas que tu étais là et je te jure que je n’avais pas de mauvaises intentions.
— Difficile à croire si tu ne me regardes pas dans les yeux, d’un, et ta bite en train de bander, de deux.
Faut aussi dire que tu ne me rends pas la tâche aisée !
Tamara Hadjimandi est l’aînée de ses sœurs et est âgée de dix-neuf ans. Elle a une tête de moins que moi et a un physique dodu mais musclé. Elle a le teint brun couplé d’une chevelure mi-longue, cuivrée, épaisse et bouclée.
Tamara est totalement nue, dégoulinante d’eau et de vapeur, devant moi. Je peux difficilement tenter un contact visuel à cause de son alléchante poitrine, de ses courbes rondes sexy ou bien encore de son pubis grossièrement rasé.
Je me force, cela dit, à la regarder dans les yeux et je vois instantanément ce qui me semble être une lueur de folie meurtrière et de sadisme, dans ses yeux à moitié couverts de ses cheveux trempés, lui donnant un air encore plus féroce. Sans m’en rendre compte, je me plaque dos contre la porte et ma main, animée d’une volonté propre, cherche désespérément la poignée et le verrou.
Bam !
Un rapide et puissant coup de poing fuse dans mon estomac et me fait hoqueter de douleur. Je tombe lourdement sur mes fesses et saisis mon ventre meurtri à deux mains, essayant d’atténuer la douleur, sans succès.
— Tout ce temps passé à squatter chez nous et tu ne peux même pas résister à un seul de mes coups ? Pathétique ! crache Tamara en me toisant d’un regard noir.
— Kof... Kof... Je suis déso... balbutié-je en essayant de la calmer. 
Bam !
Tamara ne me laisse même pas le temps de m’excuser, elle me donne un coup de pied avec la même force dévastatrice, mais cette fois en visant ma cage thoracique. Des larmes silencieuses de douleur coulent le long de mon visage et je me mets à cracher des filets de bave et renifle bruyamment.
— Je me lasse pas de la merveilleuse sensation de t’avoir comme sac de frappe ambulant, pas toi ? jubile-t-elle le regard lointain et rêveur, un sourire carnassier sur les lèvres.
Espèce de psychopathe attardée ! Je ne suis pas un de tes putain de jouets !!! 
Je peine à essayer de lever la tête et à la convaincre à nouveau de cesser ce massacre gratuit et sans raison quand, d’un coup, elle pose son pied sur mon entrejambe.
— Intéressant, murmure Tamara d’un ton songeur. Tu bandes toujours alors que tu viens de te faire frapper.
— Ça ne se contrôle pas aussi facilement que tu le penses une érection, sale garce ! L’insulté-je pour moi-même.
Tamara accentue la pression sur mon entrejambe et frotte de haut en bas mon pénis, de son pied. De temps en temps, je lâche un mince gémissement de plaisir malgré moi. 
Mais Tamara le remarque et sourit de malice. Sans prévenir, elle précipite ses mains sur mon pantalon et le tire violemment vers elle, enlevant à moitié mon vêtement et mon boxer par la même occasion, qui libère mon pénis fièrement debout.
Gloups ! Elle compte sérieusement... me branler ?
Mon pénis est à présent décalotté. Il est d’une grande longueur et assez large. Mon sexe a atteint sa véritable forme et ne passe pas inaperçu aux yeux de ma cousine. Le gland est rougeâtre et vire presque au violet. De grosses veines dorsales bombées parcourent l’ensemble de mon pénis.
Le sang pulse à travers elles et battant à plein régime. Mes testicules sont dénudés de poils et sont gros et lourds, indiquant le long temps passer à accumuler une grande quantité de sperme en eux.
La sœur aînée se redresse subitement et ouvre grand ses yeux de stupeur. Elle ne peut pas détacher ses yeux du spectacle qu’offre mon phallus tendu comme un arc. Après quelques secondes passées à le contempler, elle approche doucement son pied et se met à le frotter cette fois-ci plus... sensuellement.
— Eh ben ! Qui aurait cru que dans ce corps de lâche se cacherait une bite aussi mastoc, hein Archie ?
— Elle est donc vraiment en train de me masturber avec son pied... et de plus elle semble avoir du plaisir ??? Me questionnais-je dans la tête.
Mon tyran esquisse un mince sourire à mi-chemin entre l’amusement et le sadisme, elle trouve sans doute là situation à goût. Ma pensée se révèle être exacte car ses jambes, cèdent, d’un coup, et elle se met à genoux courbant le dos. Elle me branle de sa main dominante et saisit mes couilles pour les broyer fortement de l’autre.
Je retiens un cri de surprise et de douleur en me mordant la langue. On passe, rapidement, d’une situation sensuelle et érotique à la prise d’otage de mon sexe et l’écrasement sans considération de mes testicules en même pas quelques minutes !
— Tu avais l’air de prendre un peu ton pied, Archie, alors je me suis dit, en bonne branleuse, que je vais te faire un massage que t’es pas prêt d’oublier de sitôt ! déclare Tamara en resserrant son emprise sur mon sexe.
— T’es vraim... Aïe ! Je... ve... veux dire pas.... Ouille !!! P... pa... pas obligée tu le sais ? Bordel ! Tu vas me les arrachée si tu continues ! gémis-je de douleur en implorant du regard.
Tu vas me rendre eunuque à ce train-là oui ! C’est pas une poupée Barbie avec laquelle on s’amuse en la secouant dans tous les sens !!!
Je tente de la repousser, avec mes bras sur ses épaules, au loin. Mais, anticipant mon geste, la Bête gobe mon gland et marmonne.
— Tente encore une fois de me repousser ou ose ne serait-ce que de me toucher et je te jure que bientôt t’auras rempli l’une des obligations pour être juif !
 Elle... elle plaisante j’espère là ? Elle ne va quand même pas m’arracher le gland avec ses dents quand même ??!!! 
Je retire lentement et calmement mes bras et les lève au-dessus de ma tête, bien en évidence. Elle lâche un grognement de satisfaction mais ne retire pas ma bite de sa bouche pour autant.
Les secondes passent et mon inquiétude de me retrouver eunuque grandit. Je lui jette un coup d’œil, de temps à autre, vérifiant qu’elle ne s’endorme pas sur ma bite mais ce n’est pas le cas et elle semble plutôt en pleine réflexion.
C’est à ce moment-là, que ma cousine prend une longue inspiration par le nez et qu’elle se met à me faire une pipe.
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