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l'Horloger du Temps

Chapitre 2

Bienvenue chez les Hadjimandi (Part. 2/2)

Inceste
Slurp...hmm...mouiii...hhmmm...ahhh...
Les bruits qui résonnent dans la pièce, sont obscènes mais excitants. C’est un glougloutement très sonore, en rythme par une succion intense et rigoureuse de mon sexe, que ma cousine Tamara effectue.
Elle prend le soin de me mordre et de me lécher abruptement le prépuce, serre le corps de mon pénis de sa main d’une force herculéenne comme si elle avait peur qu’elle lui échappe et, de l’autre, malaxe mes boules, les égratignant au passage, avec ses ongles dignes de griffes de chats. Est-ce que je prends du plaisir dans tout ça ? Assurément pas.
Bordel !!! Arrête-toi !! Ta pipe me fait plus de mal que de bien ! T’es pas en train d’éplucher une banane avec tes dents alors pourquoi diable tu fais tout comme !??
Depuis que je vis ici, je connais beaucoup de personnes de ce quartier, dans mes précédentes et actuelles classes et même parmi mes amis qui fantasment, un jour, d’avoir des rapports sexuels avec leurs membres de leurs familles, comme leurs grandes / petites sœurs, leurs cousines, leurs tantes et même leurs propres mères !
Ils s’y prêtent corps et âmes pour décrire, avec un vocabulaire bien propre à eux, comment se seraient passés leurs rapports dits "torrides" et "intenses" avec elles. D’autres au contraire sautent le pas et sont tout fiers d’eux et n’hésitent pas à réitérer l’acte plusieurs fois d’affilée.
J’essaye parfois de m’imaginer certaines scènes de sexe avec les membres de ma famille que je trouve sublime et sexy à mes yeux. Vous notez bien le mot "essayer". Car, oui, quand il m’arrive de m’imaginer en train de coucher avec un membre de ma famille, la seule personne que je vois n’est autre que Mileena, la chatte noire égyptienne aux yeux émeraude de ma tante Leïla.

Ce n’est pas fameux mais c’est ce que j’ai de mieux. À ce moment même, malgré la vision de la lourde poitrine espacée, de ma cousine, ballotant devant mes yeux et de son ample fessier à présent relevé, se dandinant, qui laisse deviner la naissance de sa raie, je préfère mille fois me faire mâchonner et même griffonner le pénis par Mileena que par cette bourrine de Tamara.
— Alors... slurp... on est... Bordel c’qu’elle sent bon ton p’tain de chibre... toujours en train de...cette foutue odeur m’rend dingue... d’prend’ son pied ??? Marmonne Tamara entre deux coups de crocs et de langue.— Bien sûr que no... Aïe ! T’es en train de me... Ouille ! Plus doucement enfin !!! Je disais.... rohhh mais merde ne les écrasent pas en même que tu mords... que tu vas finir par me rendre inopérant à ce train-là ! Lui annoncé-je, griffant la porte de mes ongles en essayant de ne pas hurler de douleur.— Ah bon ? Demande-t-elle en s’arrêtant, pour mon plus grand soulagement.— Oh que ou... euh... j... je veux dire que ta pipe est merveilleuse, me rattrapé-je, mais c’est... trop dommage de me la faire à moi ! A.. après tout ton petit-ami ne vas pas être jal…— J’n’ai pas de petit-ami et mon plan cul a décidé d’stopper notre relation. Me coupe-t-elle directement.— Vus ta personnalité et tes talents en matière de sexe cela ne m’étonne pas ! marmonné-je pour moi.— Qu’est-ce que tu viens de dire là ?
Ah... j’ai peut-être déconné en parlant à voix haute.
— Non mais je veux dire qui ne serait pas subjuguée par ta personnalité de plus ton abomina... merveilleux talent de branleuse et suceuse et à oublie...perfectionner !
Tamara me regarde sans rien dire pendant un long moment puis m’adresse un terrible sourire, dont elle a le secret, et relâche mon sexe rouge et baveux de l’abominable traitement qu’il a subi. La sœur aînée se relève alors et saisit sa serviette la mettant autour de sa poitrine et couvre par la même occasion son corps intégralement puis daigne à me lancer un regard.
— Tu as raison Archie. Par-fai-te-ment raison. Vue la tronche que tu tires en c’moment après que j’t’ai taillé une pipe il faut que je perfectionne mon talent d’branleuse et d’suceuse...
Je ne sais pas pourquoi, mais je n’aime pas du tout le ton qu’elle emploi en ce moment...

— J’n’ai pas tirer un coup d’puis un bail et j’pense qu’l’est grand temps pour moi d’élargir mes horizons, donc d’ici là j’vais m’perfectionner sans r’lâche et sans r’pos...
Elle ne va quand même pas me dire ça ? Non c’est sûr qu’elle ne vas pas me dire ça ! Pitié faite que j’ai tort et que ce n’est pas ceux à quoi je pense !
— Et comme tu sembles tellement adorer mes pipes, t’vas m’aider à les perfectionner et t’vas aussi m’aider à parfaire mon éduc’ concernant le sexe !
Et merde elle l’a dit...
— Bien sûr j’ne te force en rien et t’es libre d’refuser.
Ai-je bien entendu ? Le tyran me laisse le choix à moi d’accepter ou de refuser ??!
Je relève doucement la tête et je m’apprête à lui dire la vérité tout en douceur quand je croise son visage crispé par une colère noire. Son regard est celui d’un rapace attendant le prochain faux pas, une veine rouge proéminente est visible sur son front et a un sourire diabolique montrant ses canines blanches aiguisées. Elle m’indique clairement, sans un mot de sa part, que si je viens à refuser de l’aider je vais vivre un calvaire pire que tout ce que j’ai pu expérimenter depuis que je l’avais rencontrée. Je ferme les yeux et pousse un soupir de résignation. Tamara est une personne contre laquelle je ne peux me permettre de lutter physiquement. J’accepte, à regret, à la grande joie de cette monstrueuse Bête.
— J’savais bien que t’allais accepter mon p’tit Archie. T’es p’têt maigrichon mais t’es pas du tout con ce qui fait d’toi mon parfait larbin ! On ne forme pas une bonne équipe toi et moi ?
Non en aucun cas...
— Tu as parfaitement raison Tamara.— Évidemment car j’ai toujours raison. Très bien, puisque tu t’es montré si conciliant je vais te faire juter mon p’tit Archie.
Elle joint le geste à la parole en se mettant à quatre pattes une fois de plus et enfonce sa bouche le plus profondément possible sur mon phallus et atteint en même pas quelques instants mes roubignolles. Son nez se colle presque à mon pubis et je sens plusieurs fois son souffle chaud et saccadé, de la bave commence à se coller au coin de ses lèvres. Ses yeux sont exorbités et semblent être fous sur le moment.
Mon gourdin, lui, est pleinement ancré dans sa gorge et obstrue l’entrée de sa gorge. Ces nouvelles sensations que je ressens ne me déplaisent pas le moins du monde et m’envoient même au septième ciel. Cependant Tamara se met à faire tourbillonner sa langue et à lécher ma bite, atteignant un point culminant de désir sans précédent. Je pousse un long râle guttural et je suis traversé par des longs spasmes de plaisir plus particulièrement vers mon bas-ventre.
Je saisis la tête de Tamara en la renforçant plus à la base de mon sexe et immédiatement après, je libère une grande quantité de sperme qui passe directement dans son œsophage et atteint son estomac. Ma cousine, qui s’enthousiasme par le fait que j’ai une fois de plus céder face à elle, est rapidement prise au dépourvu par mon éjaculation qui semble se prolonger, jet par jet, sans vouloir s’arrêter. Du foutre mélangé à de la bave commence à s’échapper par les commissures de ses lèvres et dégouline le long de ses lèvres, de son menton et sa gorge. Tamara déglutit d’innombrables fois les gorgées de sperme qui s’agglutinent dans sa bouche. Un liquide translucide et scintillant, s’échappant du vagin de ma cousine, ruisselle abondamment sur ses cuisses et genoux tout tremblants et forme en dessous d’elle une petite flaque transparente et brillante qui s’étend progressivement.
La Bête et moi restons longtemps dans nos positions, dans un temps que je ne peux pas déterminer. Nous faisons abstraction de l’environnement qui nous entoure et profitons en silence du calme et de la béatitude que nous nous sommes mutuellement procurée. Puis vient le moment fatidique que je redoute tant, celui du retour à la réalité. Ma conscience morale qui jusque-là était en veille suite à la peur induite par ma cousine s’est brusquement mise en route.
Elle me fait passer de mon attitude calme et paisible au seuil du nirvana en un remord sans pareil et à l’imagination de multiples et potentielles situations d’avenir si l’on vient à découvrir cette relation incestueuse.
Alors, certes, si les deux parties sont passées à l’acte, elles ont juste à en discuter calmement et en détail de ce qui les a poussés à aller aussi loin et à se promettre mutuellement de ne rien révéler à personne ni même de recommencer. Malheureusement, je peux difficilement appliquer ces méthodes-ci puisque je suis en quelque sorte celui qui s’est laissé faire et qui, de plus, n’a pas montré trop ou pas de résistance. Je me suis, quand-même, adonné et ai pris du plaisir à l’acte. Mais le pire cependant est que je vais être amené à récidiver cet acte tabou avec la crainte pesante d’être pris en flag et d’être le bouc émissaire de Tamara si on vient à nous démasquer.
Tamara n’est pas une personne avec laquelle on négocie facilement. À moins que la personne soit un ou une adulte ayant de l’autorité sur elle ou bien que quelqu’un lui soit égale ou supérieure physiquement, la sœur aînée n’accepte aucunement de faire des marchés avec ce qu’elle appelle les "faibles". Un ordre de sa part et j’obéis. Tout simplement. Ça ne marche que dans un sens et pas dans l’autre. D’ailleurs celle-ci, commence doucement à reprendre ses esprits et retire lentement mais sûrement sa bouche de mon phallus qui crache encore quelques maigres traînés de sperme qui atterrissent sur sa généreuse poitrine. Quand ma cousine retire totalement la tête de mon engin, avale plusieurs fois la quantité restante de sperme dans sa bouche, qu’elle rassemble dans ses joues et qu’enfin elle lâche un petit rot, Tamara me regarde puis s’exclame.
— Toi, Archie, quand tu jutes tu ne fais pas les choses à moitié ! Non mais r’garde dans quel état j’suis, sérieux ! J’suis quasiment tartiner de sperme et j’te parle même pas de mon p’tit abricot qui mouille comme pas possible, bordel !
Alors ça je ne m’y attendais pas le moins du monde.
— Bien sûr, ta grande quantité de lait ne me laisse pas que des bons côtés, poursuit-elle en indiquant sa gorge. J’ai la gorge ruinée pour la journée et c’est d’ailleurs même un miracle que je puisse te parler en c’moment.
La prochaine fois je m’assurerai de ne pas te laisser parler du tout de toute la journée... je veux dire l’occasion de se représenter !
— Tamara, commencé-je en déglutissant fortement, tu trouves pas que c’est.... disons... mal ce que nous venons de faire ?— J’te suis pas là. Qu’est-ce tu m’baragouines encore ? — Et bien nous sommes de la même famille bien qu’éloignés, nous sommes toujours parentés. C’est incestueux ce que nous venons de faire et très particulièrement immoral et tabou vis-à-vis de la société et même au sein de la famille.— Tabou ? répète Tamara, intriguée.
Il faut tout lui expliquer mot par mot à celle-là ! C’est pourtant pas compliqué à comprendre voyons !!
— Oui tabou, un ou plusieurs sujets sur lesquels on fait silence par pudeur ou bien qui est religieusement proscrit car considéré comme sacré ou dans le cas contraire, dans notre situation, impur.— J’ai pas capté un mot de c’que tu m’racontes là, Archie !
Je ne m’en serais même pas étonné...
— Grosso modo, c’est mal et interdit.— Ahhh d’accooorrrrd ! Bah c’est simple, on s’fait pas choper et tout ira pour le mieux mon n’veu !
Je suis quasiment sûr à quatre-vingt-dix-neuf pour cent qu’on va se faire choper.
Je soupire bruyamment et me relève en m’appuyant sur la porte. Je tourne le verrou de la porte et indique à Tamara de s’en aller. Elle passe la porte mais s’arrête près de moi et me murmure à l’oreille.
— Tu sais ce qui arrivera si tu tentes d’en parler à qui que ce soit ou même de me dénoncer, n’est-ce pas ?— Je sais, réponds-je sans lui accorder un regard et en refermant la porte derrière elle.
Quelques minutes après son départ, je prends le temps de me remémorer, plusieurs fois, intégralement les événements qui se sont produits.
Mes pas me guident devant le lavabo où je prends le temps de scruter longtemps mon reflet devant un grand et large miroir ovale, avec une seule phrase en tête : Credo quia absurdum. Cette courte expression latine signifie tout bonnement : "Je le crois parce que c’est absurde". Monsieur Gauthier, mon professeur particulier de langues avait l’habitude de me le répéter ou plutôt de le pousser comme un juron face à ma grande capacité innée d’apprendre, de comprendre et de retenir toutes langues qu’il m’avait enseigné. Il faut admettre aussi que le pauvre avait raison de jurer à voix haute et de se tirer les cheveux puisqu’en à peine quelques années j’ai appris près de six langues, en comptant le français, ce qui, lui, lui avait pris plus d’une dizaine d’années et de pratique ! Il ne pouvait que se venger en prolongeant exprès ses cours et en me donnant de longs textes à traduire. Je ne pouvais pas comprendre, à l’époque, son obstination à vouloir me rendre la vie plus dure qu’elle ne l’était déjà, à parler et à spéculer des insultes ou des théories complètement farfelues au personnel de maison quand j’avais le dos tourné et à me fixer comme une sorte d’anomalie.
Mais à l’heure actuelle, cette phrase si anodine pour moi à l’époque, résume merveilleusement bien l’irréalisme dont je suis victime mais également l’un des auteurs. J’ai beau essayer de fuir aussi loin que possible la réalité allant même jusqu’à être dans le déni mais l’acte a bel et bien été conclu et les preuves sont là pour me le rappeler. Ça c’est bel et bien produit.
Je ferme les yeux lentement et expire un grand coup puis je me déshabille complètement et entre dans la cabine, où je tourne le gros robinet orné en son centre d’un cercle bleu, qui commence à libérer au-dessus de ma tête un grand et large jet d’eau froide qui coule le long de mon corps en même temps que mes larmes.
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