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[Horreur] L'incube

Chapitre 1

L'incube

Trash
—!\ Attention, le texte contient des scènes particulières (zoophilie, trash, et la mort).
Il avait l’apparence d’un chien, et marchait sur le bord d’une route. Pour trouver une femme à ... féconder. Il devait se reproduire. Kabbale était un incube, un démon qui cherchait une femme pour qu’elle reçoive sa semence. Il était un « jeune » incube, leur rite d’initiation était d’engendrer une femme afin d’avoir le plus d’enfants possibles en 9 jours. Le temps qu’il avait le droit de rester sur la Terre, avant de retourner en enfer. Un incube pouvait prendre autant d’apparence possible, telle que le chien, cheval, taureau et serpent, et plus encore. Kabbale avait un autre pouvoir, celui de pouvoir repérer les femmes en période d’ovulation.
Il suivait donc une jeune femme, elle était de petite taille, un peu ... ronde. Mais son corps était parfait pour porter ses enfants. Au détour d’une ruelle, il prit l’apparence d’un homme, un bel homme. Il était grand, brun avec des yeux verts, une jolie fossette au coin des lèvres. Kabbale bouscula exprès, la jeune femme afin de faire connaissance avec elle. Le sac de la jeune femme tomba et éparpilla son contenu. Le démon fit exprès s‘échanger leurs portables, au cours du rangement du sac.
— Désolé ! Je suis pressé ! fit-il en partant en marchant vite.
Il s’arrêta au détour d’un couloir, et observa la jeune femme qui partait, sans avoir remarqué leurs échanges de portable. Kabbale alla s’installer à une terrasse et attendit que le téléphone sonne. Il en profita pour le déverrouiller et observer les photos dans son album, beaucoup de paysages, très peu de portraits. En regardant ses contacts, il ne trouva que ses parents, et la plupart étaient des collègues de travail. N’avait-elle aucun ami ? Ou bien est-ce que c’était un téléphone professionnel ?
Une femme s’installa en face de lui, elle était belle, et de nombreux hommes l’observaient, mais elle ne semblait n’avoir d’yeux que pour lui. Kabbale sourit, elle n’était ... pas en période d’ovulation, et elle ne lui plaisait pas, maintenant qu’il avait sa proie en ligne de mire. Quand cette dernière s’avança vers lui, pour lui proposer de faire connaissance, il la laissa faire, avec une idée en tête. Elle riait un peu fort, et posait souvent sa main sur sa cuisse.
— Je n’habite pas très loin, murmura la femme.
Kabbale se dit que si c’était elle qui l’appelait, elle ne pouvait pas se plaindre, s’il lui arrivait quelque chose. Le démon et la femme entrèrent dans un appartement décoré avec goût, dans la simplicité.
— Voulez-vous boire quelque chose ? demanda-t-elle. — Non, merci ! répondit Kabbale avec le sourire.
La femme s’avança vers lui, et vint poser ses lèvres sur les siennes, elle chercha à insinuer sa langue dans sa bouche. Il ouvrit la bouche, et leurs langues se rencontrèrent.
La jeune femme sentit les bras de l’homme se refermer sur elle. Elle ferma les yeux, et se sentait ... bien, vraiment trop bien. Comme si tous ses soucis étaient oubliés, elle voulait tout faire avec cet homme.
— Tu es ... prête à prendre du plaisir avec moi ? demanda Kabbale. — Oui.
— Laisse-toi faire ! dit-il en prenant la main de la jeune femme.
Il la conduisit vers la chambre, et commença à l’habiller. Elle fut nue, dans ses bras. Il allongea la jeune femme, et commença à caresser son corps avec volupté. Le démon parcourut le corps de son amante avec ses mains, pinçant ses tétons, il le glissa dans sa bouche. Il ne transforma que sa langue en celle du serpent, et enroula le téton autour de sa langue et pouvait le tirer, pour donner du plaisir à la jeune femme.
— Mmmh ! fit-elle en posant ses mains sur ses cheveux.
La femme prenait beaucoup de plaisir à cette caresse. Kabbale continua de faire descendre sa langue, et vint se poser sur son sexe. Sa langue serpent entoura son clitoris pour tirer dessus, et le pincer, en tournant autour... Ce qu’une langue humaine ne serait pas capable de faire. La femme se mit à jouir... jamais, elle n’avait connu un truc pareil. Quelle langue il possède ? C’était possible un truc pareil ?
— Oh... mon Dieu... c’est trop bon !
Le démon serra plus fort, en l’entendant parler du bon dieu... Il n’aimait pas ce nom-là. Logique, il était un démon. Il récolta la cyprine de la femme, c’était un très bon nectar pour lui, comme ... une drogue. Les succubes, les démons féminins, de leur côté, préféraient le sperme des hommes.
Le démon remonta vers la bouche de la jeune femme, sa langue avait repris force humaine, et il l’embrassa avec ... passion. Il présenta son sexe près du vagin de la femme. Il leva son regard vers elle, et joignant leur main, il s’enfonça en elle... Il étira son pénis au maximum, pour remplir la jeune femme, autant en largeur, qu’en longueur. Le démon commença le coït. Il fit des va-et-vient profonds et lents. Puis de plus en plus vite, afin de faire jouir sa partenaire... Et surtout de pouvoir y laisser son ... sperme, même si cela ne servait à rien, puisqu’elle n’était pas dans la bonne période, pour porter son enfant.
La femme, sous les assauts de l’homme, prenait le plaisir, elle se sentait pleine, il avait un art certain pour faire l’amour à une femme, quelque chose qu’elle n’avait jamais connu avec un autre homme.
— Oh !! fit-elle en sentant son point G être... stimulé d’une façon magique.
Elle se cambra, et cherchant à le serrer davantage, elle serra ses jambes autour de sa taille, et elle eut l’impression qu’il... grossissait encore plus, c’était possible un truc pareil. Elle entoura le corps de l’homme avec ses bras... C’était trop bon, elle pensa vaguement au milieu des assauts de l’homme qu’il devait être un ... dieu du sexe. Elle se mit à jouir, et se sentait si bien.
Le démon éjacula dans le corps de la jeune femme, son sperme se répandit bien dans l’utérus de sa partenaire. Il se retira et son sexe reprit une forme humaine plus normale. Même si ... elle devait bien savoir qu’il y avait quelque chose de particulier chez lui. La femme sentit la « chaleur » du sperme du démon, et cela eut un effet ... euphorisant. Elle se sentait tellement vivante. Les deux partenaires étaient couchés l’un à côté de l’autre, nus, et sur le dos. La femme était ... perdue dans l’euphorie, et le démon savourait son coït avec cette femme. Il repensa à ce que le vieux sage incube lui avait dit. Cette pauvre femme aurait bien du mal à retrouver son bonheur dans les bras d’un homme ordinaire. Il avait presque pitié pour elle. Soudain, le téléphone sonna, il sourit et se leva... sa proie ... l’appelait.
— Oui ! répondit le démon. — Euh... Je suis désolée de vous déranger, mais je crois que nous avons échangé nos portables, fit la voix au téléphone.
Kabbale se dit qu’elle avait une belle voix. Ils décidèrent de se fixer un rendez-vous pour refaire l’échange, dans un restaurant. C’était bien sûr avec l’intention d’inviter la jeune femme à venir au restaurant. Le démon observa la femme avec qui il venait de faire l’amour, encore allongée sur le lit. Est-ce qu’elle dormait ? Il haussa les épaules et quitta les lieux sans même s’en assurer.
La jeune femme se nommait Zora, elle avait 24 ans, et elle n’avait jamais connu d’hommes. Elle n’était pas assez jolie pour qu’on vienne la draguer, et malheureusement, elle était trop timide pour faire le premier pas auprès des hommes. Quand elle s’était rendu compte que les portables avaient été échangés, elle avait essayé de le craquer pour appeler directement avec le téléphone, sauf... qu’elle n’avait pas pu. Elle avait donc dû rentrer chez elle pour lui téléphoner.
L’homme lui avait donné rendez-vous devant un restaurant, il devait y être avec une belle femme. Elle n’avait pas vraiment fait attention à lui, lorsqu’ils s’étaient bousculés, surtout parce que le peu qu’elle avait vu l’avait fait rougir jusqu’à la racine de ses cheveux. Elle arriva devant le restaurant, et le repéra, il l’attendait devant le restaurant.
— Bonsoir ! Voici votre téléphone, dit-elle avec le sourire. — Merci, et voici le vôtre.
L’homme lui tendit, elle s’en saisit, mais il refusa de le lâcher, et la força à lever le regard vers lui. Elle rougit à nouveau, en découvrant le plus bel homme qu’elle n’ait jamais vu.
— Accepterez-vous de dîner avec moi ? — Moi ... Vous ... et ... moi ? balbutia la jeune femme. — Tout à fait !
L’homme reprit le téléphone de la jeune femme dans sa poche, et entra dans le restaurant. La jeune femme se mit à le suivre pour au moins récupérer son portable. L’homme venait de demander une table pour deux. Il saisit la main de la jeune femme, qui rougit à nouveau, pour la conduire vers la table.
— Asseyez-vous ! fit l’homme avec le sourire.
La jeune femme s’assit à table, et regarda autour d’elle. C’était un beau restaurant, les gens étaient bien habillés, avec des costumes et des robes de soirée. Et elle portait un simple jean, et un tee-shirt.
— Je ne suis pas... habillée. — Vous êtes très belle ! dit-il avec le sourire.
Zora rougit comme une tomate, elle ne savait pas s’il était vraiment sincère, ou s’il voulait la mettre dans son lit. Mais dans ce cas, il pouvait sans doute prendre n’importe quelle fille, femme dans la rue.
— Ne vous moquez pas ! fit-elle tout bas, nerveuse. — Je ne me moque pas. Je suis sincère, vous êtes très belle. J’aime votre joli visage, qui aborde souvent le sourire. Vos longs cheveux châtains, vous avez de petites mains adorables. J’aime bien vos belles rondeurs sur vos hanches.
Zora ne savait pas du tout, elle n’arrivait pas à croire qu’il pouvait vraiment le passer. Tout le monde s’était toujours moqué de ses rondeurs, même sa mère lui avait dit qu’elle ne trouverait pas d’hommes si... elle ne maigrissait pas.
— Je pourrais vous laisser partir, le souci, c’est que vous me plaisez beaucoup, et je ne voudrais pas vous ... Perdre ! fit-il en prenant une main dans la sienne.
Il passa le repas en lui tenant la main dès que c’était possible, et lui caressait le dos de sa main. Il souriait, et proposa de parler de littérature. Zora, qui passait beaucoup de temps dans les livres, fut ravie de ce sujet. Elle avait des choses à dire sur les livres. La jeune femme se rendit compte qu’elle passait une magnifique soirée avec cet homme. A la fin de soirée, Kabbale raccompagna Zora jusqu’à son immeuble. Et c’est elle qui l’invita à monter chez lui.
La jeune femme se surprit elle-même à faire une telle chose. Elle avait toujours dit qu’elle ferait sa première fois avec un homme qu’elle aimerait, mais à l’allure où les choses allaient, elle doutait de trouver cet homme-là. Elle soupira et poussa sa porte pour le laisser entrer. Kabbale découvrit un nid douillet, agréable, avec de nombreux livres. Il allait concevoir ses enfants. Il ne fallait que quelques heures pour qu’elle accouche des petits démons, les femmes vont souvent des grossesses multiples.
— Tu veux boire quelque chose ? demanda Zora.— Non, merci !
Ils avaient décidé de se tutoyer au cours de la soirée. La jeune femme ôta ses chaussures, et posa sa veste. Kabbale s’approcha d’elle, pour la prendre dans ses bras. Il se pencha vers elle, et l’embrassa avec passion. Zora répondit à son baiser, en se fondant dans ses bras. Elle avait l’impression qu’elle ... allait être heureuse dans les bras de cet homme. Il posa ses mains sur ses hanches, et la serra contre lui pour qu’elle puisse sentir son érection.
— Où est ta chambre ? demanda-t-il. — Heu... Hein... Par-là ! fit-elle en désignant une pièce.
Kabbale prit sa main, et la ramena dans la chambre. Il referma la porte derrière lui, et observa la jeune femme. Elle était petite, sans doute dans le un mètre cinquante. Elle avait des rondeurs, elle devait faire au moins 70 kilos, peut-être un peu plus. Zora observa l’homme, il était grand, 1m70 sans doute, et il était mince, mais musclé. Le jeune homme ôta le tee-shirt de la jeune femme. Il dégrafa son soutien-gorge, et découvrit une poitrine en forme de poire. Parfait pour donner du lait à ses enfants, pendant les premières heures de leurs vies. Il défit le bouton du jean de la jeune femme, et l’invita à l’enlever. Pendant qu’elle s’activait, il en profite pour se déshabiller lui-même.
Kabbale saisit les cheveux de la jeune femme et le tira doucement sur un côté, et vint poser ses lèvres sur le cou de Zora. Cette dernière se laissait faire, elle était un peu à l’ouest, émoustillée par ce qui allait arriver. Elle avait lu des centaines de livres sur l’amour entre deux personnes. Des descriptions physiques et émotionnelles de l’acte, mais elle était incapable de savoir ce qu’elle allait pouvoir ressentir. Il posa une main sur son sein, et commença à la caresser.
— Mmmh ! Je ...— Chut ! Laisse-toi aller, ma reine ! dit-il.
Il la recula sur le lit, et l’allongea. Il posa sa bouche sur le corps de Zora, et sa langue serpent s’entoura autour de son petit téton, et le téta, tira dessus. La jeune femme gémit dans ses bras, et arquait son corps contre le sien. On aurait dit un petit chat, elle était vraiment très mignonne. Il n’avait pas entièrement menti sur ce sujet. Avec sa bouche, il tétait un sein, et avec sa main, il caressait le bout de son autre téton. Les mains de la jeune femme étaient posées sur ses épaules, et lui serraient la peau.
— J’aime quand tu me serres comme ça, ma reine ! fit Kabbale.
Zora serra alors plus fort les épaules du démon, il fit descendre sa langue sur son ventre, il la glissa dans son nombril. Puis il continua son chemin vers le sexe de la jeune femme, et lui titilla son clitoris avec sa langue serpent. Elle ondulait sous son corps comme une belle ondine des eaux. Il la suçait, et sa cyprine avec un étrange goût, qu’il n’avait pas encore eu l’occasion de goûter. Elle lui semblait plus ... sucrée.
— Kabbale, je ... commença Zora avant se sentir quelque chose de nouveau dans son corps.
La jeune femme était en train de jouir, cela ne lui arrivait pas souvent, quand elle essayait de se doigter, mais là... c’était différent, c’était magique... Vraiment jouissif. Elle tira les cheveux de Kabbale avec ses petits doigts. Ce dernier goûtait encore la cyprine de la jeune femme. Il savait qu’il avait senti la personne idéale pour lui. Le démon remonta vers elle, et présenta son sexe contre le vagin de la jeune femme. Il la regarda fixement dans les yeux, puis il la pénétra. Elle poussa un petit cri, en faisant une grimace. Il s’arrêta et l’observa. Il venait de lui prendre sa virginité. Surpris, il se pencha pour venir l’embrasser tendrement.
— Merci de ... ce cadeau. Ça va aller ! fit Kabbale.
Il attendit un peu, avant de se mettre à faire des va-et-vient lents et profonds, en faisant grossir son sexe dans le vagin de la jeune femme. Il accéléra le rythme, et sentit Zora se mettre à jouir. Il éjacula dans son corps avec bonheur, avec délice.
Il resta dans son corps pour ... sentir la fécondation des ovules de la jeune femme par son sperme démoniaque. C’était trop bon à sentir, la vie qui venait de se créer dans le corps de Zora. Il se redressa et prit le visage de la jeune femme entre ses mains, et vint l’embrasser avec passion. Mêlant leurs langues.
— Tu es parfaite, ma reine. — Pourquoi tu m’appelles ma reine ? — Parce que tu seras la reine de mon royaume. — Pff ! rigola la jeune femme en se calant dans ses bras.
Kabbale observa Zora s’endormir dans ses bras. Il posa sa main sur le ventre de la jeune femme, et le caressa pendant toute la nuit. Il faudrait environ trente-six d’heures pour qu’ils viennent au monde. Une heure représentait une semaine pour une grossesse humaine ordinaire.
Zora dormit une longue et belle nuit, quand elle ouvrit les yeux, elle se redressa avec une étrange impression. Elle courut presque jusqu’aux toilettes pour uriner. Puis elle repensa à sa soirée. Kabbale n’était plus dans le lit. Est-ce qu’après avoir eu son ... sa partie de jambe en l’air, il l’avait abandonnée comme une vieille chaussette. Elle se rendit dans la salle de bain, et trouvait qu’elle avait une étrange silhouette. Elle passa sa main sur son ventre, puis son bas-ventre. Il lui semblait être plus gros. Elle releva la tête et croisa le regard de Kabbale dans le miroir.
— Bonjour ! fit-il avec le sourire. Le petit-déjeuner est servi.— Bonjour !
Zora le suivit dans la cuisine, où une tasse de café l’attendait et des croissants croustillants.
— Merci, fit Zora de cette délicate attention. — De rien, ma reine.
Ils passèrent encore quelques instants à discuter, quand Zora s’alarma d’être en retard à son travail. Elle se rua dans sa chambre pour s’habiller. Quand elle revint vers la porte d’entrée. Kabbale se tenait debout. Il la regardait d’une manière... féroce.
— Oui ? demanda-t-elle nerveuse. — J’ai téléphoné à ton travail, pour leur dire que tu étais malade. Nous allons passer la journée tous les deux. — Kabbale... mais ... pourquoi t’as fait ça ? — Tu préfères travailler, ou que je te ramène au septième ciel, fit-il en venant lui lécher le cou. — Kabbale...
Il souleva la jeune femme et la ramena dans la chambre, elle se laissa faire, après tout, elle travaillait dans cette bibliothèque depuis maintenant deux ans, et elle n’avait jamais pris un jour pour maladie, elle pouvait bien faire exception. Kabbale l’allongea sur le lit, et la déshabilla avec un regard brulant, et passionné. Elle lui serra les épaules, et lui ôta ses vêtements. Le démon ne savait pas très bien pourquoi, il avait envie de coucher avec elle, il avait déjà conçu les enfants qu’il voulait. Mais il avait encore envie de la toucher, de la goûter. Il glissa sa langue sur son sexe et but à la source la cyprine dont il raffolait tant. Elle avait encore ce goût sucré ... Merveilleux !
Elle jouit sous sa bouche, arrosant la bouche du démon, en plus... elle pouvait lui en donner une sacrée quantité. Il fit glisser sa langue serpent dans le vagin de Zora pour en récolter la moindre goutte.
— Je peux ... te toucher ! fit-elle d’une voix timide.
Le démon releva la tête, il sourit à la jeune femme, et se mit sur le dos pour dévoiler son corps. Elle posa ses mains sur son corps, et commença à le caresser. Elle passait doucement d’une manière timide, du bout des doigts, puis elle appuya de plus en plus, au fur et à mesure qu’elle prenait confiance. Le démon ferma les yeux quelques instants, en se laissant aller à ses caresses. Elle était vraiment très belle. Il sursauta en sentant la bouche de Zora se poser sur son ventre.
Zora le sentit sursauter sous sa langue, elle se redressa et chercha son regard, elle y lut de la surprise, mais aussi du ravissement. Du désir. Elle se pencha à nouveau sur lui, et commença à passer sa langue sur son ventre, remontant vers son torse. La jeune femme se redressa, et vint s’allonger sur lui. Ils s’embrassèrent, et Kabbale l’aida à se mettre à califourchon sur lui. Il glissa son sexe dans le sien, et commença à lui donner du rythme avec ses hanches. Il posa sa main sur son ventre, et le caresser. Zora posa son regard sur son ventre, il lui semblait plus gros que d’habitude, mais elle n’y pensa plus, quand elle sentit le plaisir commença à monter.
Elle posa ses mains sur le torse du démon, et se mit à danser sur lui de plus en plus vite. C’était si bon. Le démon fit grossir sa queue en elle. Il sentait ses enfants grandir et évoluer dans le corps de la jeune femme qui ne s’était encore rendu compte de rien. Il n’était novice en la matière, mais il n’avait jamais entendu des histoires sur les femmes qui « montaient » les démons. C’était le contraire... Tout comme les succubes, n’étaient jamais en dessous des hommes humains.
— Ma reine ! fit-il en se sentant à nouveau jouir dans le corps de Zora.
Normalement, elle portait déjà ses enfants, elle ne pouvait pas être fécondée une nouvelle fois. Mais là aussi, c’était rare qu’un démon... jouisse deux fois comme ça dans le même vagin d’une femme.
Elle s’allongea auprès de lui, et se cala dans ses bras. Il la serra contre lui, et l’observa. Elle avait les yeux fermés, mais ne semblait pas dormir. Soudain, elle se leva précipitamment pour se rendre dans les toilettes. Kabbale se leva, surpris, et la suivit.
— Désolée, j’avais envie de faire ... d’aller aux toilettes. — Pas de souci.
Zora se tourna vers le miroir, et remarqua sa silhouette, on aurait dit qu’elle était ... enceinte. Elle se tourna vers Kabbale, le regard plein de questions sur ce qui lui arrivait. Le démon, hypnotisant la jeune femme, s’avança vers elle, lui prit la main, et la ramena dans la chambre. Il l’assit confortablement sur le lit, reposant sur des cousins. Puis il lui attacha les mains au lit.
— Kabbale, tu fais quoi ? Qu’est-ce qui m’arrive ? demanda-t-elle paniquée.— Tu attends mes enfants ! Ils grandissent en toi. Je te l’ai dit que tu étais ma reine. Tu vas me donner des princes et des princesses. — Hein... Kabbale...— Je ne suis pas humain ! dit-il.
Zora ouvrit de grands yeux, et sentit les larmes de peur, de tristesse, coulaient le long de ses joues. Kabbale lui saisit le visage et se pencha pour lécher les larmes sur sa joue.
— Tu es vraiment très belle, Zora ! Vraiment !— Tu es ... Un ... tu es quoi ? demanda-t-elle.
La jeune femme avait fait l’amour deux fois avec une ... créature qui n’était pas humaine, qui en avait pourtant toutes les caractéristiques. Il avait deux bras, deux jambes, une tête, une belle tête, un beau corps humain.
— Je suis un incube, un démon des profondeurs. J’ai droit à neuf jours sur Terre, tous les neuf ans. Je féconde une femme pour qu’elle donne naissance à des enfants, que j’amène aux enfers avec moi. Ils deviendront des démons... et dans neuf ans, viendront à leur tour féconder une femme et ainsi de suite. — Mon Dieu... — Ah non, parle pas de lui !
Zora observa son ventre, il avait pris des rondeurs, on aurait dit qu’elle était enceinte de trois ou quatre mois. Elle sentait les bébés bouger dans son ventre.
— Que va-t-il m’arriver ? — La mère meurt en mettant les enfants au monde, répondit-il.
Il posa sa tête sur le ventre de la jeune femme, elle tenta de le faire bouger, de s’en dérober. Mais il encercla sa taille avec ses bras, et la serra plus fort contre lui.
— Ma reine, il faut être honorée d’être la mère de mes enfants !— Je veux pas ... mourir, fit-elle en pleurant.— Tous les humains meurent. Une partie de toi va vivre ... éternellement, c’est plus ce qu’ont les humains, tu sais.
Kabbale se redressa et s’assit sur le lit en face d’elle, et passa une partie de la matinée à lui expliquer comment les choses sont censés se passer. Il faisait l’amour avec une femme, elle tombait enceinte, et couvait les enfants pendant 36 heures, ensuite elle les mettait au monde, et elle mourrait. Les bébés démons viennent prendre le sein de leur mère morte pour téter, et boire le lait. Puis le démon-père amène les enfants dans les enfers. Si le temps le lui permet, il peut remonter féconder une nouvelle femme dans les neuf jours.
— Ça fait déjà trois jours que je te cherche. Donc quand j’aurais ramené mes enfants en enfer, je n’aurais plus le temps de féconder une autre femme. — Pourquoi moi ? — Parce que tu passais par-là, et j’ai senti que tu étais en période d’ovulation. — C’est tout ?— Eh bien... tu es aussi très belle. Mes enfants seront magnifiques grâce à toi.
Kabbale se rendit dans la cuisine pour préparer un repas à la jeune femme, il allait devoir veiller sur elle pour les heures encore à venir. Il ne savait pas trop ce que les autres démons faisaient pendant la gestation, mais il avait bien envie de continuer à lui faire l’amour. Il lui donna à manger. Elle refusa de manger, alors il dut sévir, en lui fourrant la nourriture dans la bouche.
— Mange ! — Sinon quoi, tu vas me tuer !— Non, mais je peux te gaver comme une oie. Tu as besoin de forces pour qu’ils grandissent en toi. — Combien, il y en a ? — Généralement, ça tourne autour de 6. J’ai entendu parler d’une grossesse de 18 démons, mais je ne t’en demande pas temps. 6, ce sera très bien. — Les garçons vont devenir comme toi, mais les filles ? — Des succubes. Elles choisissent un mâle humain pour les féconder, puis une fois l’acte accompli, elles leur coupent la tête !— Tu mens, je n’ai jamais entendu parler de tête coupée ! — Parce que généralement, ça ressemble plus à une crise cardiaque, ou un malaise. La tête n’est pas coupée physiquement. Par exemple, toi, ils vont te retrouver morte dans ton lit, une crise cardiaque dans son sommeil. — Ils ne verront pas que j’ai donné naissance ? — Pas vraiment, c’est arrivé qu’ils remarquent quelque chose.
Le repas fut fini, et il se rassit sur le lit. Il l’observa un moment avec le sourire. Elle continuait de pleurer, en refusant de leur regarder. Le démon continuait de vouloir posséder son corps, de goûter encore son délicieux jus.
— Tu veux qu’on continue de s’amuser. Je peux te donner plein de plaisir... — Je veux pas... — Attends, je vais te montrer, un truc.
Kabbale se transforma en serpent sous ses yeux, elle ouvrit de grands yeux, elle voulut crier, mais le regard du serpent l’hypnotisa. Elle se retrouva figée. Le serpent tenta de glisser entre ses jambes, mais elle les serra aussi fort qu’elle le pouvait, il glissa alors le long de son corps, monta sur son ventre, et son museau vint se poser sur son front.
— Laisse-toi faire, ma reine ! fit une voix dans sa tête. — Non ! dit-elle dans ses pensées. — Tu vas mourir, ne veux-tu pas passer tes dernières heures dans la volupté... dans la joie. Oublie et laisse-toi aller ! dit-il.
C’était un argument ... valable. Après tout, elle allait mourir, elle était déjà enceinte, il ne pouvait pas faire pire. Non, il ne fallait pas. Elle ne savait pas les deux premières fois, elle ne pouvait pas ... donner son corps à un ... démon. Non ! Mais... c’est vrai aussi qu’elle avait envie... Le démon l’avait réveillée à un désir, une volupté qu’elle ne connaissait pas. Il l’avait tellement fait jouir, fait du bien, si c’était ses dernières heures, elle voulait le connaître encore une fois. Non ! Il ne faut pas, c’est un démon. Mais si, pourquoi pas. Non !
Kabbale entendait le questionnement de la jeune femme, sa conscience qui se battait avec son désir. Il sourit intérieurement, et descendit doucement sur les jambes de Zora, et chercha à glisser sa queue entre ses jambes, forçant le passage pour aller s’y engouffrer. Soudain, les jambes de Zora s’ouvrirent, il s’y glissa mieux. Avec ses dents, il déchira le pantalon en toile de la jeune femme, et sa petite culotte. Avec sa langue, il commença à titiller son clitoris, il enfonça sa tête entre les lèvres intimes de la jeune femme.
Zora avait ouvert les jambes, mais continuait de pleurer comme une petite fille. Elle avait tellement peur, qu’elle avait fini par se laisser faire. Elle posa la tête sur le rebord du lit, et ferma les yeux. Elle sentit la langue du démon-serpent sur son sexe, il tira son petit clitoris, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle se mette à jouir, en poussant des gémissements. Le serpent entoura la jambe de la jeune femme. Avec le bout de sa queue, il la pénétra, aussi loin qu’il le pouvait. Puis il tourna sa tête, pour que sa langue vienne titiller son clitoris.
La jeune femme sentit le serpent entrer en elle. Elle était en train de faire l’amour avec un serpent, non... plus exactement un serpent était en train de la pénétrer. Il commença par faire des va-et-vient en elle. Puis il se mit à faire des ondulations, qui faisaient vibrer son vagin. Peu de femmes avaient eu la chance de ... ressentir une telle chose. Cette vibration lui fit cambrer son corps, et elle se mit à gémir, et à haleter. Elle venait de jouir comme une folle. Zora leva le regard, et vit le spectacle dans le miroir en face. Elle avait un serpent dans le vagin.
Ce dernier serait bien rentré encore plus profond, et même s’enrouler dans le vagin de la jeune femme, mais il y avait déjà du monde à l’intérieur. Il se recula quand il la sentit jouir, et ondula sur les draps du lit. Puis il reprit forme humaine, et s’approcha de la jeune femme. Il déposa un baiser sur son front.
— Tu es vraiment délicieuse, ma reine ! Ton goût va me manquer. — Mon goût ? — Ta cyprine a un gour sucré et acidulé. Tu as aimé ? demanda-t-il. — Euh... oui, murmura-t-elle.
A quoi bon nier qu’elle venait de jouir comme elle ne l’avait jamais fait, même les deux fois d’avant n’étaient pas comparables à ça.
— Tu peux prendre d’autres formes ? — En chien, en oiseau, en cheval, en renard, en loup, et en ours, énuméra le démon. Pourquoi tu veux essayer avec ... un autre animal. Le loup ou le chien, sont le plus intéressant, et faisable ici. — Non... c’était pour savoir. — Menteuse, fit-il en lui touchant le bout du nez.
Zora l’observa, il avait des attentions étrangement tendres envers elle, alors qu’en même temps, il ... lui disait qu’elle allait mourir. Il était tour à tour méchant et attentif. La jeune femme soupira et détourna la tête. Kabbale s’assit à côté d’elle, et la tira vers lui pour qu’elle pose sa tête sur son épaule.
— Repose-toi ma reine. Cela peut-être épuisant d’être enceinte.
La jeune femme finit par s’endormir. Elle se réveilla quelques heures plus tard, son ventre avait encore grossi. Elle en était à combien maintenant, 4 ou 5 mois ? Le démon était là et la fixa du regard, il caressait tendrement son ventre rond.
Il sortit de la pièce, et revint une vingtaine de minutes plus tard, avec un plateau de nourriture. Pourquoi n’avait-elle pas crié pour demander de l’aide ? Et puis qui aurait répondu ? La jeune femme avait toujours le sexe à l’air. Il sourit à cette vision.
— Tu vas manger, et je mangerai après ! dit-il.
Il donna à nouveau à manger à Zora, qui saisit les bouchées, et les mâchait avec difficulté, on aurait dit du carton dans sa bouche. Une fois son repas fini, Kabbale posa le plateau par terre, et s’allongea entre les cuisses de la jeune femme. Il leva son regard vers elle, et l’observait avec le sourire. Il attendait son accord pour aller pus loin. Il savait qu’elle lui donnait. Il voyait encore le questionnement dans son regard.
Zora souleva le bassin vers lui, et la seconde suivante, sa bouche magique était sur son sexe. Cette fois-ci, il avait une plus grosse langue qui prenait presque tout son pubis dans un seul coup de langue. Elle était plus râpeuse, titillant très fort son clitoris. Il faisait glisser cette langue entre les replis intimes de la jeune femme. Puis revenait la lécher comme une glace, la fourrant dans son vagin pour récolter la cyprine. Zora sentait le plaisir monter et monter dans son corps. Enfin, elle se mit à jouir... en gémissant.
Kabbale se redressa et vint près de son oreille, pour lui dire qu’elle venait de jouir sous la langue d’un loup. Elle le regarda, surpris.
— Veux-tu ... un loup en entier ? demanda-t-il.
Zora hocha doucement la tête. C’était la fin, de toute façon, elle allait mourir, alors autant prendre du plaisir de toute une vie en ces quelques heures qui lui restent. Elle avait déjà vécu presque 24 heures de grossesse, il ne lui restait plus que douze heures à vivre. Le démon lui détacha les bras, et finit de lui enlever son pantalon tout déchiré. Puis il l’invita à se mettre à genoux. Elle posa ses mains sur le lit, et ainsi à quatre pattes, elle sentit qu’il se transformait en loup derrière elle.
Le démon présenta sa truffe contre le sexe de la jeune femme, et la lécha encore un peu, il leva ses pattes avant sur le dos de la jeune femme. Il s’avança vers son sexe et donna des coups pour venir ... s’enfoncer dans son sexe. Une fois bien à l’intérieur d’elle, il se mit à faire un coït rapide, et ... presque violent. Il aurait pu y aller plus fort, et plus violent, s’il n’y avait pas eu ses bébés dans le vagin de la jeune femme. Mais elle avait de quoi sentir qu’il était là bien en elle, et en profitait ... un maximum. Zora le sentit entrer en elle, c’était étrange de sentir des pattes d’animal sur son dos. Il s’enfonçait en elle, la possédait comme une bête en chaleur, comme un mâle dominant, qui ne la laisserait jamais partir...
Pour la première fois depuis longtemps, elle se sentait vivante, pleine d’énergie, d’amour, c’était triste qu’elle allait mourir dans un peu plus de douze heures. La jeune femme se sentit jouir sous les coups de boutoir du loup.
— Mmmh ! fit-elle.
Kabbale sentit aussi qu’il montait, il allait ... éclater dans le corps de la jeune femme. Ils étaient rivés l’un dans l’autre, et Kabbale cessa de bouger, puis il éjacula dans le corps de Zora. Son vagin se remplit de sperme de loup, après avoir reçu celui de l’humain. Il avait bien envie d’essayer un autre animal... mais... un cheval ou un ours serait trop gros pour l’appartement.
Il se retira de la jeune femme, et vint la lécher pour la nettoyer, le mélange de son sperme et de la cyprine de Zora n’était pas si mauvais. Elle se remit sur le dos, et tendit les bras vers lui. Dans le corps d’un loup, il vint se coucher sur elle. Il posa sa tête, son museau, sous son tee-shirt au creux de ses seins, et lui léchait ses bouts de temps en temps. Zora riait comme une enfant. La jeune femme finit par s’endormir. Il se redressa et reprit forme humaine. Il posa la couverture sur elle, et s’en alla dans le salon. Il s’assit sur un fauteuil, et attendit.
Il était six heures, quand il entra dans la chambre de la jeune femme. Il la réveilla, lui servit un petit-déjeuner rapide, puis l’aida à s’habiller. Zora le suivait docilement, lui prenant la main, Kabbale la conduit hors de son appartement, ils montèrent en voiture, et se rendirent dans une forêt. Il amena la jeune femme au cœur de cette dernière, et l’allongea dans une clairière. Son ventre avait la taille d’une femme enceinte de 7 ou 8 mois. Il ne restait que peu de temps avant qu’elle ne lui donne enfin ses bébés. Zora avait accepté son sort, elle allait sans doute mourir au milieu de cet endroit. Ce n’était pas si mal, elle pouvait entendre les oiseaux chanter. Les mains de Kabbale se posèrent sur son corps, elle leva les bras pour encercler son cou, et le tirait vers elle.
— Je veux te prendre une dernière fois. — Mmmh !— L’ours, ça te va ? dit-il en enlevant les vêtements de la jeune femme.
Zora ouvrit de grands yeux, et se laissa faire. Il l’aida à se mettre debout contre un arbre. Elle attendit, sans oser regarder ce qui se passait derrière elle. Une truffe se posa sur son sexe, et elle écarta au mieux les jambes. Et une langue dure lui caressa son sexe. Elle posa de son mieux les mains sur l’arbre, quand elle sentit l’ours se dresser au-dessus d’elle, ses grosses pattes vinrent se poser à côté des siennes. Elle sentit le sexe de l’ours chercher son entrée, elle se courba pour venir saisir sa verge pour la guider à l’intérieur d’elle. Le sexe de l’ours était de bonne taille. Il s’enfonça en elle. Il donna des petits coups de boutoir, avant d’en donner un puissant. Zora crut qu’il allait lui arracher les entrailles. Son ventre cogna contre le tronc d’arbre, et le sexe de l’ours sortit de son corps.
Il se remit en place, et revint se mettre entre ses jambes, il repénétra la jeune femme, et la fit jouir sous ses coups... Et il éjacula lui aussi du sperme d’ours dans le vagin de Zora. Elle se retourna et glissa le long de l’arbre. L’ours reprit forme humaine. Kabbale s’accroupit à ses côtés, et posa sa main sur le ventre de la jeune femme. Il avait eu peur quand il avait cogné contre l’arbre. Mais ses petits gaillards étaient vaillants.
— Il reste à peine une heure, fit-il.
Kabbale aida la jeune femme à s’allonger, elle ne semblait plus savoir où elle était. Il se transforma en serpent, et revint se loger dans son vagin, et passa les dernières minutes en ondulant dans son sexe, en lui titillant le clitoris de sa langue. Elle criait de jouissance lors des derniers moments de sa vie.
Soudain, il sentit qu’elle perdait les eaux. Il se retira et reprit forme humaine. Le premier bébé sortit du vagin de la jeune femme, qui poussait aussi fort qu’elle le pouvait. Kabbale le prit dans ses bras, c’était un petit garçon, il le posa dans l’herbe à côté de sa mère. Puis il eut le second, le troisième, le quatrième, cinquième, sixième, septième, huitième et neuvième enfant. Ils étaient plus petits que des humains, mais de belles tailles pour un démon. Zora tourna la tête vers eux, pour les regarder. Elle était épuisée, et n’avait qu’une envie, c’était de dormir. Elle ferma les yeux, pour ne plus jamais les ouvrit. Les démons tendirent leurs petits bras, et vinrent prendre les seins de leur mère. Kabbale observa ses enfants se nourrir, et lui se pencha pour venir récupérer le placenta de la jeune femme et se mit à le manger. Cela avait un joli goût sucré. Les neuf enfants avaient reçu le lait de leur mère. Puis Kabbale les emmena vers les enfers.
Et dans neuf ans, ils... remonteraient pour prendre une Reine à leur tour.
Le corps de Zora fut abandonné dans la forêt, où des chasseurs la retrouvèrent à moitié mangée par des animaux.
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