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L'horrible monstre d'Halloween.

Chapitre 1

Divers
(Cette histoire se déroule après les évènements survenues dans l’histoire publié par moi-même pour le concours de Noël. NdA)
«_Ding-gong ! »« _Et merde, merde… Encore ces salles gamins…»Salomé se leva péniblement de son fauteuil près de la fenêtre et traîna les pieds jusqu’à la porte d’entrée. Elle attrapa sur le chemin un pot de friandise, ainsi que son peignoir pour cacher sa nudité aux enfants qui venaient de sonner à la porte, puis l’ouvrit.« _Des bonbons ou une farce ! »« _Ciel, des monstres, à moi je suis perdu..! Allez les enfants, prenez tous et dégageaient maintenant ! » Ordonna la jeune femme blonde, d’une voix si autoritaire que des larmes montèrent presque aux yeux des joyeux enfants. Salomé referma la porte après avoir regardé les bambins courir à vive allure, à la fois ravis d’avoir gagné beaucoup de friandise d’un coup, mais en même temps terriblement apeurés par la belle mais froide jeune femme qui leur avait crié dessus. Elle se dirigea au salon, prête à songer une fois de plus à la nuit des plus étrange qu’elle avait passé il y a maintenant plusieurs mois de cela. Une fois au salon, elle remit une bûche dans l’âtre de la cheminée, puis alluma une bougie au parfum de camomille, et se rassit sur son fauteuil près de la fenêtre. Elle regardait le vent souffler les feuilles mortes, et ferma les yeux, écoutant le vent dans les branches vide pendant de longues secondes…« _Chiotte. Dans Pocahontas ça marche pourtant ! Merde et merde, je vais finir par devenir folle à force de penser à ce putain de Noël et à cette, cette… » Salomé se tut. Elle savait ce qu’elle avait fait, elle savait que c’était bien avec sa mère qu’elle avait fait l’amour ce soir-là, mais ignorait encore pourquoi sa mère ne l’avait pas reconnue. Et encore moins comment sa mère, morte depuis plusieurs années, avait pu revenir la voire, habillée en mère noël ! Sa vie avait beaucoup changé depuis ce jour-là. Conséquence du fait qu’elle ait vu sa mère plus ou moins vivante ou pas, elle semblait moins abhorrer les hommes, et avait même eu une petite aventure avec l’un d’entre eux ; un garçon adorable qui cherchait de son coté à essayer le sexe avec les femmes, suite à une rupture avec un énième homme. Cette expérience lui avait permis de se rendre compte que tous les hommes n’étaient pas des ordures, et cela lui faisait du bien de le savoir. Elle était bien plus posée depuis sa nuit avec sa mère, bien que l’expérience, aussi agréable fut-elle, lui laissa un grave trouble psychique, dont elle essayait de se défaire en voyant une psychologue deux fois par semaine. Salomé se décida à fermer les stores de son chalet dans les Pyrénées, et à monter se coucher. Elle n’aimait toujours pas plus les fêtes, et Halloween ne faisait pas exception : elle ne comprenait pas comment des enfants pouvaient se déguiser en monstre de tout genre, et réclamer des friandises chez des gens qu’ils ne connaissaient ni d’Eve ni d’Adam sans éprouver de honte. « _Je dois être un peu trop coincée pour ce genre de chose… Bah, tant que je le vis bien, hein. »Elle marchait dans le couloir, et s’apprêtait à monter les escaliers, quand la lumière se mit à grésiller et une sorte de raclement se fit entendre derrière la porte. Salomé s’approcha lentement du judas, pour jeter un coup d’œil au petit plaisantin qui allait tenter de lui faire peur, quand elle vit la poignée de sa porte s’abaisser, et de la brume sombre passer par le trou de la serrure…
Une jeune femme à la peau très pâle marchait d’un pas vif et régulier vers le Laboratoire de la ville, tandis que les riverains s’éloignaient prudemment de son chemin. Elle sourit face à la peur qu’elle inspirait chez ses monstres de seconde zone, se pria presque pour que l’un d’eux la défie du regard… Cela lui aurait permis de se défouler un peu, et elle en avait grand besoin : on était la veille de la Grande Halloween, la fête nationale de la Ville des Monstres, dont elle était devenue la tyrannique gérante, après avoir proprement massacré l’ancien porteur du titre. Elle ouvrit la porte du Laboratoire d’un grand coup de sabot, et marcha volontairement sur les mains des Alchimistes et autres Sorciers qui avaient eu la folle idée de se prosterner devant elle.« _Frankenstein ! Où es-tu ?! Montre-toi, si tu es un homme ! Toi et moi on a des comptes à régler ! » Vociféra la belliqueuse dame.Des bruits de pas répondirent à sa demande, tandis que qu’une jeune femme couverte de cicatrice s’avançait vers elle. Elle avait le teint affreusement tuméfié, presque bleue, mais ses yeux étaient encore bien vivant et alerte. Elle s’adressa à la visiteuse d’une voix monocorde :«_Avant toute chose, sachez que Maître Frankenstein est décédé il y a deux nuits, et m’a confié le titre, comme il est spécifié dans le Grand Codex des Fêtes. Avant son trépas il m’avait prévenu que vous passeriez probablement, sans me dire la raison de votre venue. Alors, que puis-je pour vous ? »« _Franken est mort ? Merde. Ce vieil escroc devait me… Il devait me changer l’organe qu’il m’avait greffé. Celui qu’il m’a mis était loin de ce que je lui avais demandé ! T’a-t-il parlé d’une commande reçue ? Un modèle hd-35. Il me le faut absolument ! »« _Haaa oui, le horsedick-35. Je me demandais bien à qui il pouvait être destiné. Veuillez me suivre, vous allez devoir remplir un formulaire avant que je puisse procéder à la greffe, madame..? »« _Maudit soit les protocoles..! Madame Festinatus. » Siffla-t-elle entre ses dents.Festinatus était l’une des premières créations de l’avant-dernier Frankenstein, le Grand Ordonnateur de la fête d’Halloween de l’époque. Elle était âgée de plus de 130 ans, mais les drogues et autres potions lui faisaient garder son apparence de femme fatale que même les nombreuses opérations faites par deux générations de Frankenstein n’avaient pu altérer. En effet, elle avait fait remplacer son bassin et ses jambes, bien trop humain, par une croupe de jument et des pattes de cheval depuis bien des décennies, et s’était laissé pousser un pair de corne des plus seyante avec sa chevelure rouge sang. Cependant dans un but tout autre, elle avait entreprit récemment de découvrir le maximum de sensation possible, et avait donc demandée au Frankenstein récemment mort, de lui greffer une langue extensible jusqu’à 15 centimètres, puis un pénis de cheval à la place de son clitoris de jument, tout en en gardant la sensibilité. Seulement le modèle qu’il lui avait greffé ne correspondait pas du tout à sa demande, aussi fut-elle suffisamment contente du résultat une fois la nouvelle greffe terminée pour embrasser avec fougue, la jeune femme qui l’avait opéré.Festinatus sorti du laboratoire d’un air guilleret. Rien ne pourrait faire baisser son morale, son nouveau pénis concentrant toute son attention, elle n’avait plus qu’une envie : rentrer chez elle pour l’essayer sur sa poupée gonflable, ce qu’elle fit pendant toute la nuit, sans s’arrêter.«_Ding-gong ! »
« _Et merde, merde… Encore ces salles gamins…»Festinatus se leva péniblement de son divan, et s’approcha de la porte en tentant de cacher son érection et les longues traînées de cyprine qui avait séchées sur ses cuisses. Elle s’empara d’un peignoir, puis ouvrit la porte doucement et passa la tête dans l’encadrement.« _Qui a-t-il ? J’espère que c’est important ! » Aboya-t-elle d’un air mauvais.«_Madame Festinatus, nous sommes le jour d’Halloween… Vous, vous devez faire votre tournée de frayeur vous vous souvenez ? » Répondit le jeune vampire d’un air timide.La jeune femme resta un moment sans répondre, la bouche entrouverte et le regard perdu, puis elle se souvint qu’il était effectivement question d’arpenter le monde des humains le soir d’Halloween, afin de vérifier que tout le monde respectait bien la fête, et d’effrayer convenablement ceux qui le ne font pas. Maudit soit les protocoles pensa-t-elle en son for intérieur, avant de répondre au jeune gamin avec un grand sourire :«_Va dire à tout le monde que je serai bientôt prête mon choux. Et plus vite que ça ou je t’équarrisse ! »Elle referma alors la porte, tandis que le gamin s’enfuyait en courant, et tenta de respirer calmement. Son regard se porta sur la pendule, puis sur l’escalier, et elle fonça dans sa salle de bain pour se préparer en quatrième vitesse. Elle fut prête en une dizaine de minute, et se rendit sur la grande place, d’où les Sorcières et Sorciers créèrent un passage magique, pour lui permettre de se rendre dans le monde des humains immédiatement. Elle salua l’assemblée venue lui souhaiter une bonne journée de travail, bien que la plupart fussent soulagé de la voire partir pour 24 heures, puis s’engouffra dans le portail, et tout devint noir.Lorsqu’elle recouvra la vue, elle se trouvait au bord d’une grande forêt de conifères, et aperçue les lumières d’une ville pas très loin. Sa constitution particulière l’empêchait d’avoir froid, pourtant elle savait que la température était bien en dessous de zéro, et décida donc de forcer de l’allure. Elle ne savait pas que le monde des humains était aussi vaste, et se félicita d’avoir délégué d’autre monstre de la Ville d’Halloween pour chaque ville qui participait à cette fête. Ils devaient tous prendre le portail après elle, le temps que les Mages et autres Chronomanciens change la destination du portail… Elle arriva alors dans la ville, et s’emmitoufla dans une grande cape, couvrant ainsi son visage. Elle regarda d’un air satisfait les enfants sonner chez les riverains, et se faire peur entre eux, et fut heureuse de constater que le spectacle se déroulait aussi bien dans toutes les rues. Satisfaite de voir que les enfants et les adultes participaient avec enthousiasme, elle s’éloigna discrètement, pensant rejoindre la forêt pour trouver quelque chose à baiser, lorsqu’elle aperçut un petit groupe de gamin en pleure. Elle s’approcha d’eux, et leur demanda ce qui c’était passé pour qu’ils soient dans cet état.«_ C’est la faute de la dame dans le chalet… Elle est toujours méchante avec les enfants, même quand c’est les fêtes..! » Pleura une petite fille déguisée en sorcière.« _Oui, c’est une vrai vipère ! » renchérit un garçon déguisé en squelette. « Votre costume est vraiment chouette en tout cas madame. »Après avoir congédié les gamins, Festinatus s’approcha dudit chalet et se cacha derrière un buisson, observant la jeune femme envoyer balader un groupe d’enfant avec véhémence. La garce ! pensa-t-elle très fort, en voyant les enfants partir en pleure tandis que la jeune femme leur jetait les friandises sur la tête et hurlait qu’elle ne voulait plus voire un seul gamin devant sa porte, avant de rentrer chez elle et de fermer à double tour. La jeune Halloweeniste s’approcha alors doucement du chalet, puis décida de faire ce pourquoi elle était venue : faire peur à la jeune femme, comme il se devait. Elle se mit alors à racler la porte, puis murmura une incantation (elle se félicita d’ailleurs d’avoir suivi des cours de sorcellerie élémentaire) pour faire jaillir une brume noire de nulle part, puis baissa la poignée de la porte…Qui s’ouvrit à la grande surprise des deux femmes ! Festinatus tomba tête la première chez la jeune demoiselle, tandis qu’elle poussa un crie de stupeur devant cette femme à priori costumée. Salomé se reprit très vite, et aboya à la jeune femme de lui dire qui elle était et ce qu’elle voulait.«_Les questions ici c’est moi qui les pose ma belle ! » Grogna Festinatus en se relevant. Elle s’approcha de la jeune femme, et ferma la porte d’un coup de sabot. Salomé écarquilla les yeux quand elle vit que la femme en face d’elle en était dotée. «_ Vous… Vous n’êtes pas humaines ?! Je sais reconnaître des vrais sabots de faux sabots, et ça… S’en sont des vrais !» Dit la jeune femme d’une voix blanche.Festinatus ne répondit rien, mais empoigna Salomé par la mâchoire, la souleva du sol avant de la plaquer contre le mur le plus proche, et de lui susurrer dans l’oreille :« _Ma belle, JE pose les questions, vu ? Je te conseille de ne pas me faire répéter trop souvent… »Elle se colla alors contre Salomé, quand soudain, quelque chose lui frappa l’esprit. Elle était divinement belle. Elle en resta bouche bée, Salomé en profita pour se débattre mais rien à faire, elle était tenue bien trop fortement, et elle décida, par dépit, de cracher au visage de la femme qui la maintenait en l’air. Le cracha atteignit sa joue, et Festinatus sembla se réveiller à son contact ; Salomé vit alors avec horreur une langue immense et bleue sortir de la bouche de son agresseurs, et venir lécher le cracha. Festinatus rentra sa langue et esquissa un sourire, avant de murmurer à sa victime : « _Délicieuse salive que tu as là ma belle. Sucrée comme tout… C’est que je pourrais y prendre vite gout. Je me demande d’ailleurs, maintenant, quel gout peut bien avoir ta bouche d’en bas. »Salomé trembla comme une feuille à l’écoute de ces paroles, et ne put s’empêcher de laisser couler quelques larmes. Elle ne croyait pas en ce qui lui arrivait. Ce devait être un cauchemar, aucune autre explication ne pouvait être possible : comment une créature féminine doté de cornes et de sabot, pouvait se trouver chez elle, et la menacer de la violer et… Et serais-ce vraiment un viol, se demanda-t-elle. Tout en pleurant, Salomé n’avait pu s’empêcher de regarder la femme en face d’elle, et avait été forcé de constater qu’elle avait une peau et un visage absolument parfait. Trop parfait. Elle en était effrayante de beauté, mais en même temps… Salomé sentit ses lèvres inférieurs s’humidifier et son esprit s’engourdir, ce que Festinatus sembla deviner, et elle en eu la confirmation lorsqu’elle colla sa main contre le sexe de la jeune femme. Elle ramena sa main vers le visage le visage de Salomé, et lui montra ses doigts, reliés entre eux par un filet de cyprine bien épais qu’elle lécha du bout de la langue avant de sourire à nouveau. Elles se regardèrent un moment dans le blanc des yeux, et Festinatus lâcha la mâchoire de Salomé, la laissant s’écrouler sur le sol, puis enleva sa cape et dévoila son corps entièrement nu. Elle pointa alors son vagin équin du doigt et ordonna à Salomé, d’une voix glaciale, de le lui lécher. La jeune femme eu un moment d’hésitation : c’était réellement du sexe d’une jument qu’il s’agissait, un fin pelage recouvrait tout son bassin, sa croupe et ses jambes, avant de laisser place à deux sabots… Mais la penser de lécher le sexe d’un animal enflamma finalement l’esprit de Salomé, qui commença timidement à lécher le sexe qu’on lui présentait, avant que la dame pressa son visage contre ses lèvres, forçant la jeune femme à plonger la langue à l’intérieur. Tout ne fut alors plus que délice. Salomé perdait conscience de ce qu’elle faisait, et fit tournoyer sa langue dans le sexe de jument de sa partenaire, son nez frottant contre son l’imposant clitoris de la dame qui grognait de plaisir en lui empoignant les cheveux. Elle caressait les parois humides de sa partenaire avec sa langue, puis remonta un peu le visage et se mit à téter le mont de Vénus de sa partenaire, qui ne retint plus ses gémissements de plaisir, et finit par jouir dans la bouche de la jeune femme. Salomé avala autant de cyprine que possible, mais fut estomaquée par la quantité de mouille qui giclait du clitoris dont elle s’occupait, si bien qu’elle finit par être couverte d’un liquide chaud et légèrement visqueux. Festinatus se reprit un peu, puis s’accroupit et embrassa la jeune femme, avant de l’allonger dans la flaque de mouille répandu sur le sol. Elle intima alors à la jeune femme de bien regarder le clitoris qu’elle venait de sucer, tandis que ce dernier commençait à changer légèrement de forme et à s’allonger, jusqu’à devenir un véritable membre d’étalon en rut. Salomé poussa un cri de surprise au début de la transformation, puis se retrouva en admiration devant le sexe monstrueusement tendu et gonflé. « _Il est… Il est magnifique..! » Ne put s’empêcher de dire Salomé, les yeux brillants d’envie.« _N’est-ce pas ma belle ? Alors qu’attends-tu ? » Salomé s’assit alors sur le sol, tandis que Festinatus était à genoux, le sexe tendu vers le plafond, le gland arrivant pile au niveau de la bouche de la jeune, qui le lécha immédiatement, d’aussi bas qu’elle put jusqu’au sommet, avant de prendre le gland dans sa bouche et de masturber le tronc aussi fort qu’elle pouvait, l’entourant de ses seins et le branla avec , utilisant même ses pieds pour stimuler la base, jusqu’à ce que Festinatus, dont les cris et râle de plaisir n’avaient cessé d’augmenter en intensité et en fréquence, éjacule dans sa bouche. Elle ne put encore une fois contenir la quantité que sa partenaire lui envoyait, et se retrouva une nouvelle fois le corps recouvert de la jouissance de sa partenaire, qui finissait de se branler des deux mains, envoyant encre quelques giclé sur les seins de la jeune femme, qui gisait sur le sol, la respiration saccadée. Festinatus s’e mit alors à quatre pattes au-dessus du sexe de Salomé, et enfonça sa langue à rallonge dans son sexe, lui arrachant un cri de plaisir. Elle fouilla jusque dans son utérus, se délectant de la cyprine se sa jeune partenaire, puis sortit soudainement sa langue pour l’enfoncer dans son petit trou, remontant jusque dans son estomac, avant de la sortir à nouveau pour la faire glisser comme un serpent sur le bas-ventre, le ventre puis les seins, avalant sa propre semence, pour finir par embrasser sa partenaire, qui fit une gorge profonde à sa langue… Les deux femmes s’arrêtèrent un instant pour parler.« _Ba ma belle, t’es bien plus perverse que j’aurai cru ! » dit Festinatus en plaisantant. « Tes amis ne doivent pas s’ennuyer souvent avec toi. »« _Je… Je n’arrive pas à croire que j’ai sucé une bite de cheval ! » Articula Salomé après plusieurs essai infructueux.« _Ça n’avait pas l’air de te déranger plus que ça tout à l’heure, hé hé. » répondit la dame en embrassant la joue de Salomé en souriant. « Tu t’y es même particulièrement bien appliquée ! »« _Comme si j’avais le choix.. ! D’ailleurs vous êtes quoi au juste ?! Vous venez d’où et pourquoi vous m’avez forcé à vous faire un cunni et une pipe ? »« _Forcé, forcé, c’est vite dit. C’est toi qui t’es jeté dessus comme une folle. Et je viens de la ville d’Halloween. Mon boulot, c’est de m’assurer que tout le monde respecte bien la fête, ce que tu n’as pas fait, ma belle. » Finit de dire Festinatus en embrassant à nouveau Salomé, mais sur la bouche cette fois-ci.Festinatus se leva alors, et marcha dans la cuisine où elles s’étaient rendues. Elle se servit une tasse de café, puis regardant Salomé accoudée sur la table, le regard fixé sur le mur d’en face, une envie soudaine lui vint en tête. Elle posa sa table sur le bord de l’évier, puis pointa Salomé du doigt et murmura une incantation en direction de la jeune femme. Salomé se retourna alors, juste à temps pour voire Festinatus finir, et lui demanda alors ce qu’elle venait de faire, d’autant plus inquiète, mais excitée, qu’elle voyait le membre de la dame se dresser à nouveau vers le plafond.« _Je t’ai jeté une sort ma belle. Un sort d’extension dermique plus précisément. » Elle s’approchait d’elle à petit pas. « Le principe est simple : si tu fais rentrer quelque chose de trop gros, ou de trop long dans notre cas, dans un tissus dermique, de peau donc, le tissus se rompt, et provoque de grave blessures chez la personne. Mais grâce à mon sort, tu vas pouvoir prendre ça –elle pointa le sommet de son gland- dans la chatte, et en entier, sans que ça puisse te déchirer quoi que ce soit~ »Salomé la regarda avec de grands yeux, mais n’eut pas le réflexe de s’esquiver à temps. Festinatus l’avait déjà attrapé, allongé sur la table de la cuisine et avait même déjà collé son gland équin contre l’intérieur des cuisses déjà écartées de la jeune femme. Salomé protesta, mais Festinatus ne l’écoutait pas, le désir ayant pris l’ascendant sur sa raison. Elle donna plusieurs coups de bassin, et finit par rentrer son gland dans le sexe relativement étroit de la jeune femme, puis commença à faire des allers retours, enfonçant son sexe chaque fois plus profondément, jusqu’à ce qu’il soit entièrement dedans. Salomé se surprit à ne pas avoir plus mal que ça, et finit par se laisser aller au plaisir qu’elle ressentait dans son bas ventre, et qui remontait jusqu’à son nombril. Festinatus reprit alors des vas et viens, limant son amante de fond en comble, la faisant hurler de plaisir et mouiller comme une fontaine dont l’écoulé d’eau serrait bouché. Elles continuèrent pendant longtemps, Salomé conduisit Festinatus dans sa chambre, tout en se faisant prendre, et elles finirent par jouir ensemble dans les draps de la jeune femme, répandant une nouvelle fois une quantité incroyable de jouissance partout dans le lit. Elles s’endormir alors toutes les deux, le membre équin de Festinatus toujours fiché dans le sexe de Salomé, s’embrassant encore jusqu’à ce qu’elles tombent dans les bras de Morphée.
Lorsqu’elle se réveilla le matin, Salomé pensa avoir fait un rêve particulièrement étrange, mais ouvrit grand les yeux quand elle vit qu’elle baignait dans la semence qui s’écoulait encore de son sexe, et poussa un « ET MERDE ! » tonitruant lorsqu’elle se rendit compte qu’elle devrait tout nettoyer en voyant les flaques rependues dans l’entrée devant la porte, sur la table de la cuisine, et partout ailleurs où elles avaient jouis. Elle eut alors une pensée émue pour la Mère Noël qui elle au moins, avait tout rangé et nettoyé avant son départ…
Festinatus de réveilla péniblement le matin du 1er Novembre. Elle se leva, le sexe endolorie, puis une fois s’être assurée qu’elle était présentable alla faire son rapport à la délégation des Fêtes, là où les Maîtres des Fêtes diverse et varié se rendez une fois que l’une des fêtes été passée. Elle s’assit sur la seule chaise libre, entre la Lapine de Pâque et la Mère Noël.Elle fit son rapport à la délégation entière, puis retourna s’asseoir, la Mère Noël prit alors la parole, et déclara, tout comme Festinatus l’avait fait avant elle, les « soucis » qu’elle avait rencontré deux fois déjà avec la jeune femme habitant dans les Pyrénées et qui répondait au nom de Salomé. Les membres de l’assemblé se consultèrent, et déclarèrent alors :« Étant donné qu’elle appartient à la branche des Fêtes Catholique, il revient à la Lapine de Pâque de décider quoi faire, puisque les fêtes de Noël et d’Halloween sont déjà passé. Si cette… Salomé venait à manquer de respect à la Fête de Pâque, elle aura alors les règles des trois fêtes attribué à sa religion, et devra être punis en circonstance. L’année dernière, elle semble avoir respecté Pâque, mais par mesure de sécurité pour elle, Lady Lapine devra lui rendre visite pour lui expliquer la situation dans les deux semaines précédant sa fête. Le verdict est rendu ! »
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