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L’horrible punition

Chapitre 1

Trash
Ma famille et moi nous étions arrêtés pour faire une pause prés d’un champ le long d’une route de campagne. Nous comptions arriver pour la soirée dans une des maisons secondaires de ma tante Marion situées en montagne. Elle était bras croisés regardant son mari et mon père sortir les rafraîchissements. C’était la demi sœur de mon père, une grande femme autoritaire de 56 ans, mince et plate dont la robe d’été orangée ne la mettait pas en valeur. Elle avait la peau cuivrée suite aux séances d’uv et s’était teint en rousse. Elle avait hérité de la fortune de son père, premier mariage de sa mère. Elle était très riche. Son mari, Michel, avait 10 ans de moins qu’elle et les mauvaises langues disaient qu’il ne l’avait épousé que pour sa fortune. Il avait l’air de s’entendre avec Jean-pierre mon père, d’un an de moins que tante Marion. Cheveux poivre et sel, comme moi mince. J’entendis des rires derrière moi, c’était ma mère et ma sœur . Elles commentaient la nouvelle paire de mules qu’avait acquise Christelle, ma sœur. Ma mère, Laurence, disait qu’avec son mini short jean et son tee-shirt blanc , cela était provocant. Ce qui était vrai d’autant plus que Christelle était très belle. Les petits amis défilaient souvent à la maison et elle brisait souvent les cœurs. C’était une brune teinte en blonde, yeux marrons avec de jolis seins ronds. J’avoue avoir eu des pensées peu avouable a son encontre par moments. Elle ressemblait à ma mère quand elle était jeune. Aujourd’hui, Laurence a bien changée mais n’en demeure pas moins une belle femme mature attirante. A 55 ans, elle en faisait presque dix de moins, toujours impeccable. Elle portait une robe noire qui atténuait ses hanches généreuses mais mettait en valeur son imposante poitrine par un décolleté plus que raisonnable. Il m’arrivait aussi de regarder ses seins car j’aimais les belles poitrines de femmes et là, je remarquais qu’elle ne portait pas de soutient gorge car on devinait le bout de ses tétons, mais rien d’exceptionnel, l’été elle faisait tout le temps ça. J’était très fier des membres féminins de ma famille, un peu moins de tante Marion qui ne faisait pas trop d’effort pour paraître sexy. Michel n’en perdait pas une miette non plus. Je l’observais souvent entrain de jeter des regards furtif, tantôt sut le cul de Christelle, tantôt sur les gros seins de Laurence. Mon père ne semblait rien voir. Nous nous désaltérâmes puis reprîmes la route. Nous avions deux véhicules, mes parents et moi dans l’un, Christelle , tante Marion et Michel dans l’autre. Nous arrivâmes enfin à la maison qui était un superbe chalet. Christelle s’émerveilla :-Il est magnifique, Tatie.-c’est vrai dit ma mère, mais un peu isolé de tout. Tante Marion, toujours l’air sévère, répondit.-C’est justement pour ça que je l’ai acquise, pour être bien tranquille et pas dérangée.-D’habitude tu aimes avoir des voisins et surtout proche du centre ville. S’étonna mon père.-J’ai bien changé depuis peu, crois moi, et j’ai de grands projets pour cette semaine que nous allons passer ensemble.Elle jeta un œil furtif à Michel qui lui était plus occupé à se régaler les yeux en regardant les gros seins de ma mère offert par le décolleté et qui en plus bougeaient mollement à cause de l’absence de soutient gorge . Cela commençait à m’agacer et surtout mon père qui faisait genre « je vois pas ». Cela devenait pesant, il semblait vouloir mettre ma mère et ma sœur dans son lit et je pense que Tante Marion l’avait remarqué. A 46 ans, il était pas mal pour son age et un peu trop beau pour ma tante. Musclé et toujours habillé façon beau gosse. On savait que l’amour seul ne motivait pas sa relation avec elle. Nous déballâmes les affaires, ce fut rapide puis nous fîmes le tour du chalet. Tante Marion était de plus en plus froide et distante. Michel, ma mère et ma sœur était un peu à l’arrière et plaisantaient. Mon père était avec Marion. -Je vois que mon Mari ne laisse pas ta femme et ta fille indifférent, Jean Pierre.-Michel, aime le contact des femmes, on le sait. Et Christelle et fougueuse à son âge.-Hum, elle s’habille toujours sexy, ce qui est normal pour son âge, oui. Mais ta femme est assez dépoitraillée tu trouves pas.-Tu es jalouse, plaisanta mon père. Laurence adore mettre des décolletés. C’est pas nouveauTante Marion avait soulevé un point qui commençait à me travailler. Et si, ma mère adorée mettait ses seins en valeur pour lui ? et si Christelle, ma sœur chérie, s’habillait sexy pour lui, le propre mari de ma tante.-De toute façon, je pense que cette semaine va être très agréable pour moi, dit elle à mon père –pour nous aussi, je suis sûr.Tante Marion le regarda, et son sourire me fit peur. Le soir arriva, Tante Marion a très peu parlé contrairement à nous tous. Elle s’était mise à l’écart et passait des coups de fils. Christelle était avec Michel et mon père et moi avec ma mère. On se promenait dans l’immense parc. Laurence prit une grande inspiration et on avait l’impression que ses seins allaient faire exploser la robe.-Hmm, je me sens revigorée ici, l’air est pur et saint.-Dis, maman, j’aimerai te demander une chose ?-laquelle, mon chéri ?-Tu trouves pas l’attitude de Michel déplacée envers toi et Christelle ?-Comment ça ?-On a l’impression qu’il vous drague.Elle rit.-Michel est comme ça, avant ta Tante, il était connu pour ses aventures. Mais bon, il reste courtois même si c’est vrai que ses coups d’œils sont gênants. Ta sœur est mignonne aussi, il faut le reconnaître.-tu es pas mal aussi, tu sais.Elle me sourit et m’embrassa tendrement. Elle me chuchota.
-C’est surtout ma poitrine que Michel aime. Le reste il s’en fiche.Je rougis et elle rigola. Elle me prit la main et me regarda dans les yeux..-Je tiens à te rassurer, je te jure que jamais je n’ai et ne tromperai ton père, jamais. Et ta sœur, même si elle fait l’allumeuse, je sais que ce genre de relation serait inenvisageable.J’étais soulagé de cette confidence. -allons rejoindre les autres.Nous nous préparâmes au diner. Tante Marion avait bizarrement tout préparé mais ce fut étrange car nous étions 6 et il y’avait 14 assiettes. -Tu ne t’ai pas trompé dans le compte, demanda mon père amusé.-Oh que non, j’ai invité quelques personnes se joindre à nous.-Qui donc ? demanda Michel, que sa femme ne regardait même plus.Un bruit de moteur se fit entendre dehors, deux véhicules venaient de se garer. Huit hommes en sortirent. J’ignorais vraiment ce qu’ils avaient à voir avec Tante Marion. Agés entre 25 et 40 ans, des mines patibulaires. -Mais qui sont ils ? demanda Michel, tu ne me les avais présenté avant. Ce sont des amis ?-Des amis, certainement pas, répondit dédaigneusement Marion tout en sortant une grosse enveloppe du tiroir du meuble de la salle à manger.-Mais alors ?-Alors quoi ? ce sont des invités que j’ai payé grassement pour nous tenir compagnie cette semaine.Ils entrèrent comme s’ils étaient chez eux puis reconnurent Tante Marion sans lui dire bonsoir.-Asseyez vous messieurs, j’ai mis un prénom à chaque chaise.Tous, nous nous exécutâmes sans trop comprendre où voulait en venir tante Marion. Elle servit les mets à la stupéfaction de ma famille car elle était du genre à se faire servir. Michel, mon père et moi étions en bout de table tandis que Laurence et ma sœur était à l’autre bout bien entourée des étranges invités. C’était bon, mais l’appétit ne venait pas à cause des regards osés et sans gêne qu’ils avaient sur les deux femmes. Ils avaient une prédilection pour les énormes seins de Laurence mais je savais que le cul de Christelle ne serais tarder à les attirer. Je sentais qu’elles étaient mal à l’aise tout comme mon père, Michel et moi. Tante Marion jubilait et était bavarde, elle s’amusait de la situation en servant les plats. Puis à la fin du repas elle dit :-Après ce repas, allons donc nous faire une petite séance vidéo.-Non, Marion, fit ma mère, je suis fatiguée du voyage , j’aimerai aller me coucher !-Oh, crois moi, tu vas y’aller au lit mais après !Elle n’insista pas. Marion avait prévu deux énormes canapés et trois fauteuils. Mon père, Michel et moi nous fûmes orientés vers les fauteuils tandis que les femmes se retrouvaient coincés par les hommes vautrés dans les canapés. Marion sorti un dvd de la grosse boite.-On va commencer par 10 petits courts métrages intitulés, je lis : Ce gros salaud de Michel et sa salope de nièce !Tous les membres de la famille hurlèrent sauf Michel qui se couvrait les yeux. Car , quelques secondes après l’insertion du dvd gravé, ce que nous vîmes nous effara. C’était Michel et ma propre sœur, à poils entrain de copuler comme des fous. Christelle éclata en sanglots sous les rires et les commentaires orduriers des invités. -tu sais que tu es une bombe toi, lui dit un gars en lui caressant les épaules.-Me touchez pas, par pitié !-Baiser son oncle c’est de l’inceste à moitié, vous êtes vraiment des porcs vous deux, oh oui ! Christelle était sur Michel complètement enfoncée sur la bite de son oncle. Ses jolis seins remuant au rythme des coups de hanche qu’elle donnée pour bien exciter son partenaire. Les yeux mi clos, elle gémissait bruyamment de plaisir. Ma sœur était rouge de honte devant ses exploits vidéo. Un des hommes félicita Michel tandis que les autres fixaient ma sœur avec envie. Ils savaient maintenant qu’en plus d’être sublime, elle était une vraie salope. Tante Marion s’approcha de Christelle et la prit par le menton.-Qui pourrait résister à un minois pareil, hein Michel. Certainement pas toi espèce de salaud qui m’a brisé le cœur.Elle me regarda et dit :-Eh oui, ta sœur a baisé avec mon mari ! j’avais de sérieux doute sur la fidélité de Michel et je l’ai fait suivre par mon détective privé qui a fait un travail remarquable.La vidéo continuait et on voyait ma sœur effectuer des strip-teases devant un Michel bien en veine. Elle faisait des danses torrides, remuant ses fesses devant lui telle une jeune chienne en chaleur bien décidée à exciter son mâle. Elle jouait de ses hanches , de ses seins et ondulait son corps. Puis se rapprochait de son amant pour l’embrasser et s’empaler sur sa bite. -Après quelques preuves photos, je lui ai demandé d’installer ses fameuses caméras afin de tourner mon cocufiage en live pour le tribunal. Un attirail qu’il parvient à camoufler à la perfection et auquel il a pu se perfectionner grâce à notre chère amie Laurence.-Comment ça, dit mon père ? Elle était de mèche avec toi ? Marion hurla de rire et ma mère était subitement devenue blême. -Tu es bien naïf mon cher Jean Pierre ou aveugle. Je regardais ma mère qui se décomposait littéralement. Elle ne réagissait même pas aux bras qui s’étaient enroulés autour de ses épaules. -Dis nous, tante Marion, pourquoi as tu mêlée maman a cette sordide histoire ?-Je ne l’ai pas mêlée a quoi que ce soit, cher neveu. Ton père et toi êtes pareil. Depuis quelques années, j’étais aussi suspicieuse à propos de cette chère Laurence. Et bien avant de rencontrer Michel, je l’ai fait suivre pour être sûre de ne pas me tromper. Je ne pensais pas que mon instinct s’avérerait exact car vois-tu ton père était cocu largement avant moi et depuis des années.-Ca suffit Marion, ma femme m’a toujours était fidèle, une épouse irréprochable et une mère parfaite pour nos enfants. C’est une honte de l’avoir fait suivre, d’avoir douté d’elle.Je ne disais plus rien, mon père se bornait à ne pas accepter la vérité. Je savais que tante Marion allait porter le coup de grâce avec des preuves irréfutables et c’est ce qu’elle fit en éjectant le dvd des exploits de ma sœur et Michel.-Le titre de cette œuvre : les exploits de Laurence, cette truie en chaleur aux gros seins.les hommes s’esclaffèrent du titre :-Vite, Marion, montrez nous ces preuves !Laurence tenta de se lever pour empêcher l’inévitable mais les deux gaillards la bloquèrent-Reste assise, nous aimons la justice et nous exigeons que Marion nous prouve qu’elle ne ment pas. Je suis sur qu’une femme comme toi, femme fidèle et mère sans reproche ne peut être coupable des horreurs dont elle est accusée.Elle fondit en larmes puis, avec un regard mauvais, Marion lanca le dvd. Là, les preuves furent accablante pour Laurence, horrible et ignoble. Je pus voir la femme que j’admirais , que je vénérais, se livrer à des pratiques sexuelles extrêmement crue. On la vit se faire sodomiser plusieurs fois par ses différents amants. C ‘était pipe sur pipe et branlettes espagnoles entre ses gros seins. Un des ses amants alla jusqu’à uriner sur elle. Le tout, avec ses cris de plaisirs intenses. Rien à voir avec les parties de jambes en l’air de Christelle. Je découvrais le véritable visage de ma mère, celle d’une femme prête à tout pour assouvir ses envies sexuelles. J’observais les invités fascinés par temps de crudités commencer à caresser les superbes cuisses de Christelle tandis que les autres caressaient les épaules et le ventre de Laurence tout en se rapprochant de sa grosse poitrine. Mon père et moi ne disions rien devant les faits, les horribles preuves du moins pour nous car les autres semblaient excités. Puis Marion dit :-Voilà, maintenant le clou du spectacle.Effectivement, ce que l’on vit acheva de nous écœurer mon père et moi. C’était maman, se faisant prendre par derrière par…Michel.-en faisant suivre Michel, j’ai pu voir qu’il me cocufier non seulement avec sa nièce mais aussi avec ma belle sœur, ta femme Jean pierre qui a très vite écartée les cuisses.-Tu es une vraie pute, cria Christelle à ma mère et toi, Michel une crevure ignoble ! Tu disais m’aimer !Mon père ne disait rien, il se murait dans le silence. Les femmes de ma famille, que j’admirais étaient en fait de vraies salopes. Elles cachaient bien leurs jeux et au final leur jeux nous a emmené ici. Tante Marion avait fait son petit show et se mit à gifler son mari plusieurs fois.-Ma petite salope de nièce à raison, tu es une crevure ignoble. Je t’entretenais et toi tu me cocufiait avec elle et cette putain de vache à lait .Elle fit un geste et d’un seul coup, les invités nous ceinturèrent. Mon père et moi furent vite maîtrisés et seul Michel résista mais reçu un coup dans l’estomac. Christelle se mit à crier mais un grand type l’immobilisa et la bâillonna. Ma mère se précipita pour défendre ma sœur mais subit le même sort. -Attachez les tous sauf mon neveu, ordonna Tante Marion, je crois qu’il ne posera pas de problème après ce qu’il vient d’apprendre. Ils furent tous assis sur une chaise puis saucissonnés avec des cordes qu’ils avaient emmenés pour ça. -Vous pouvez enlever leurs bâillons aux femmes. Si elles crient , elles verront ce qui se passera.-Maintenant, vous comprenez pourquoi je vous ai emmené ici ! pourquoi j’ai acheté ce chalet isolé de tout !Tante Marion nous regarda :-Vous m’avez tous brisé le cœur, et vous allez le payer très cher.
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