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Hors du commun

Chapitre 1

Erotique
L’Asie est connue pour être une destination chaude, et pas seulement pour son climat moite et sa chaleur constante.
Ceci en faisait une destination rêvée pour des vacances méritées, mais loin de nous l’envie de faire partie des de ses hordes de touristes dits du sexe.Nous avons jeté notre dévolu sur le Cambodge, loin de toutes ces dérives.
Deux semaines de repos et de nature sauvage pour ma femme, Sophie et moi-même. Se retrouver seul.L’hôtel type lodge était situé sur une colline surplombant la mer. Peu de monde à cette période de l’année.
Chaque jour, une balade et le calme de ce coin du pays encore préservé du tourisme de masse.Rentrant d’une balade sur l’ile voisine, nous passons près de l’accueil afin de réserver une table pour le soir. En passant devant la piscine, je remarque allongée sur un transat un couple du même âge que nous, posé tranquillement, les pieds dans l’eau.
La femme, tee-shirt à hauteur du nombril, laisse transparaitre une poitrine généreuse, et son teint hâlé renforce son charme évident. Un bikini blanc attire mon œil entre ses cuisses interminables. Mon regard insistant est vite découvert et constatant que son mari est plongé dans ses pensées, elle me lance un clin d’œil furtif. Gêné, je détourne le regard, mais Sophie a tout vu et file directement dans notre bungalow d’un pas décidé et rageur.
Jetant un coup d’œil rapide à cette belle inconnue, je file également entre la végétation pour rejoindre la chambre.Personne derrière la porte, je traverse la pièce et entends le son de la douche située dans un écrin de verdure à l’abri des regards. Sophie est là. Ne faisant pas de bruit, je décide de la rejoindre afin de me faire pardonner. Elle ne m’entend pas arriver. Je suis encore tout raide et mon short est tendu par ma verge gonflée.
J’ôte délicatement mon maillot et mon sexe vient heurter les fesses de ma femme qui n’avait vu, elle sursaute et se retourne. J’ai le droit à un petit sermon sur cet épisode de la piscine, j’ai oublié de vous dire ; Sophie est très très jalouse. Mais son petit cul et sa paire de seins à faire pâlir n’importe quelle femme me font tout lui excuser...
En me voyant face à elle, mon sexe droit et gonflé, elle recule d’un pas puis me repousse... Je lui souris et me colle à elle. Son bas-ventre frotte mon pénis. Je l’embrasse dans le cou, mes mains descendant le long de son dos jusqu’à ses hanches. Ma verge me fait mal tellement elle est dure, le gland rougeoyant. Ma main droite glisse devant et parvient à sa vulve qui n’est pas mouillée que par la douche tiède qui coule sur nous. Elle tressaille, se crispe. Elle n’osait pas se lâcher, mais je sens finalement que sa colère est loin, elle s’oublie.
Mes doigts sont en elle, j’en profite pour lécher ses tétons qui pointent et me rendent fou à chaque fois. Je la retourne et mon sexe et maintenant en contact avec ses fesses, je lui écarte les jambes et la pénètre sans aucune forme de politesse, elle se cambre, j’aperçois son anus qui demande de l’attention. Je viens délicatement introduire mon pouce dans cet orifice, qui je le sais, décuple sa fougue. Elle gémit, retourne sa tête afin que je l’embrasse. Mes coups de boutoir vont me faire jouir, elle le sent, et d’un coup, me repousse et me dit :
— ça c’est pour tout à l’heure, finis-toi tout seul.
Elle quitte la douche et s’engouffre dans la chambre.Je suis là, le sexe au bord de l’explosion, seul ... encore tout surpris par ce comportement, l’érection retombe aussi vite et je reste là, pantois...
— Sophie, crié-je, tu ne peux pas me faire cela !
La fin de journée fut quelque peu tendue, je connaissais sa jalousie, mais là... Il me fallait attendre, c’était la chose à faire dans ce cas, ce soir, tout serait oublié.
La table était prête, le dîner n’attendait que nous. Deux familles dinaient là également. Les enfants étant pour l’instant sages, et les rires et la bonne humeur régnaient dans cette salle.
Sophie avait enfilé sa petite robe noire avec le haut qui épousait parfaitement ses seins. Elle portait le dernier ensemble noir en dentelle que je lui avais offert avant de partir... L’épisode de la piscine était loin...J’étais avec mon pantalon en lin et une chemise cintrée qui me moulait également. Elle adorait cette chemise.Le repas se déroulait bien, on se régalait. Tout d’un coup, elle se leva et me fit signe de la suivre en me demandant d’attendre quelques secondes... Plus tôt dans la soirée, elle m’avait suggéré d’aller au bord de la piscine, derrière le restaurant pour se poser un peu. Et prendre le digestif.J’imaginais donc qu’elle se trouvait là-bas, c’était ça, je l’aperçus poser sur un transat, sourire en coin, et la langue coincée entre ses deux lèvres pulpeuses. Elle me fit signe de m’approcher. Je m’exécutai et viens me poser debout à côté d’elle :
— Arrête-toi, me dit-elle, reste là.
Elle se redressa, s’assit sur le transat et me tira vers elle.
— ouvre ta braguette, dit-elle brusquement « montre-moi ce que tu as là-dessous ».
Je m’exécutai, mon sexe commença à se raidir au seul son de sa voix.Elle mit sa main dans mon pantalon et sortit mon pénis, en une seconde, elle le mit en bouche et se mit à me pomper. Elle aimait ça, sa langue tournoya autour de mon gland, mon corps tremblotait.Elle posa ses deux mains sur mes fesses, en goba entièrement mon manche. Elle aspira vigoureusement mon membre qui ne tarda pas à cracher mon sperme au fond de sa gorge, sperme dont elle but jusqu’à la dernière goutte. Elle continua à me sucer en branlant délicatement mon sexe, se délectant jusqu’à la dernière goutte de mon jus.
Reprenant mes esprits, je vis derrière la haie de plantes tropicales, l’inconnue de la piscine qui avait tout vu depuis sa terrasse du rez-de-chaussée.Sophie n’ayant rien vu, s’était rallongée sur le transat et se caressait l’entrecuisse laissant entrevoir son string noir entre ses lèvres brillantes de cyprine. Je sautai alors sur le transat et mis ma tête entre ses cuisses, reniflant ce parfum doux de liquide féminin. Ma langue vient délicatement lécher sa vulve, par petits à-coups. Elle resserra ses jambes sur mon visage et appuya de sa main sur mes cheveux pour m’indiquer de rester là. Je la léchai quelques minutes, en profitant pour explorer son vagin de mes doigts humectés au préalable par sa bouche encore dégoulinante de mon foutre. Elle jouit dans un gémissement contenu, pinçant ses lèvres pour ne pas crier trop fort.
J’étais de nouveau dur comme de la pierre et m’empressai de la chevaucher. Je relevai ses deux jambes derrière ma tête afin de m’introduire profondément dans sa vulve humide et ouverte à souhait. L’excitation était telle qu’en deux minutes, je crachais mon jus dans ses entrailles bouillonnantes. Elle ne put contenir un cri de plaisirs, et tout l’hôtel dut entendre cette jouissance proclamée haut et fort.
Nous étions tous les deux pris d’un fou rire et partions en courant nous réfugier dans notre bungalow, de peur que le monde nous découvre après toute cette agitation.Avant de partir, j’aperçus de nouveau la fille au tee-shirt qui n’avait rien raté de nos ébats...
Je n’allais pas tarder à la revoir....................... et découvrir sa vraie nature...
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