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Hors du commun

Chapitre 2

Erotique
Les vacances approchaient de la fin.Nous étions complètement détachés de la vie occidentale et le retour au pays ne nous tardait pas.
Ce matin-là, j’étais sur notre balcon face à la mer dans un état de somnolence dû à cette chaleur qui malgré le lever du jour rendait l’air suffocant et moite.Je finis par m’endormir, bercé par cette brise marine qui heureusement soufflait de temps à autre et permettait d’apprécier ce moment.Parti loin dans mes songes, je commençais à sentir l’excitation monter en moi. J’imaginais des mains parcourant mon torse de haut en bas jusqu’à la limite de mon short, me faisant m’oublier complètement.Une main parvint à entrer sous l’élastique de mon caleçon, caressant délicatement ma toison et la base de mon pénis qui était dur comme de la pierre. Les caresses étaient maintenant remplacées par un massage de ma hampe, des mains douces aux doigts fins me branlaient tendrement et s’attardaient sur mon gland turgescent de plaisir. Je sentis tout à coup une chaleur entourer mon sexe. Une langue bien humide léchait mon prépuce d’où s’écoulait un liquide pré-séminal bien goûteux.
Les lèvres déposaient de doux baisers sur mon gland et mes bourses tandis que la main agitée de haut en bas me faisait gémir. J’étais loin dans mon rêve et cela procurait mille plaisirs.Maintenant branlé par deux mains qui entouraient l’ensemble de mon membre, je jouis en giclant par saccade. Tout mon être se tordait de plaisirs lorsque sursautant, je me réveillai et aperçus Sophie, la tête entre mes cuisses, qui se délectait de ce jus abondant.
Je ne rêvais plus, je n’avais jamais rêvé ...
— Bonjour mon chéri, dit-elle en suçant ses doigts plein de foutre.— Bon... Bonjour mon amour, bégayais-je tout émoustillé.
Je filai rapidement sous la douche pendant que Sophie allongée sur le transat savourait cet instant. Nous étions attendus.
Arrivés au restaurant « le cambodgien » en bord de mer, un établissement bien connu des locaux pour ces plats de poissons parmi les plus savoureux de la région, nous retrouvions une partie des clients de l’hôtel. Nous avions décidé de nous rassembler avant que chacun ne rentre dans son pays. Il y avait ce couple d’espagnol, José et Yolanda, toujours souriant et jamais avare de bonnes histoires salaces. La fameuse fille au tee-shirt, Anne, et son copain Luc avec qui nous échangions lorsque nous nous croisions dans l’hôtel ou à la piscine. Et pour finir un couple de retraités, Maryvonne et André, qui savourait son temps libre en passant six mois par an dans cet endroit.
L’ambiance était bonne enfant et le cadre idyllique. Tout le monde était détendu malgré la tristesse de devoir quitter ce lieu dans quelques heures.

Anne, toujours aussi élégante et sexy n’était pas très loin de moi. Elle continuait depuis le premier jour à m’envoyer à intervalles réguliers des petits regards en coin dès que Luc avait l’œil tourné. Je n’avais jamais laissé ces appels se concrétiser.
La journée se termina sur la plage du restaurant entre farniente et baignades. La carte des cocktails n’avait plus de secret pour beaucoup d’entre nous.
Lorsqu’il fallut rentre à l’hôtel, tout le monde s’embrassa chaleureusement et s’engagea à garder des liens. Nous étions arrivés en touk touk et le retour s’effectua par le même moyen, exception faite que cette fois, nous le partagions avec Anne et Luc.
Bien que méfiant des réactions de Sophie, je ne pouvais m’empêcher de regarder ses jambes et l’entrecuisse d’Anne. Son paréo laissait entrevoir son maillot et sa vulve épilée de près. Elle ne se gênait pas pour croiser et décroiser les jambes afin que je savoure la vue. Sophie et Luc discutaient de leur avenir professionnel, étant tous les deux dans les énergies renouvelables.
Je croisais mes mains sur mes jambes afin de cacher mon érection naissante.Il nous fallut moins de dix minutes pour rejoindre le lodge et j’aurais volontiers rallongé ce trajet...
Nous nous quittâmes en nous embrassant chaleureusement chacun son tour. Anne en profita pour me murmurer l’oreille :
— Je suis toute humide, tu veux sentir ?
Je ne sus quoi répondre tellement elle me prit de court. Sophie n’en avait rien su ni entendu.
Arrivé dans la chambre, j’avais l’esprit troublé par cette phrase encore vive dans mon esprit.J’invitais Sophie à venir sur le balcon, profiter de la fraîcheur nocturne, elle déclina en me disant qu’elle avait besoin de se doucher :
— Je te rejoins dans quelques minutes mon amour, me dit-elle en m’embrassant tendrement.
Une fois sur le balcon, j’aperçus au bas de celui-ci Anne, mini-short en jean et chemise blanche entrouverte jusqu’au début de ses seins. Elle me fit un signe pour m’indiquer qu’elle montait. Je fus pris d’un début d’angoisse pensant à Sophie qui se trouvait à quelques mètres de nous.Je me retrouvais comme tétanisé sur mon balcon.Elle monta donc. Une fois proche de moi, elle déboutonna sa chemise qui laissa sortir ses seins fermes sous mon regard figé.
— Tu veux toucher, je sais que tu en meurs d’envie, me dit-elle à l’oreille.
Elle le savait, je ne pourrais résister longtemps face à ce corps de rêve.
— Je, je ...... je ne peux pas..... Sophie...— Chut, ne dis rien et donne-moi tes mains, tu bandes déjà.
Elle s’empressa d’attraper mes deux mains pour les poser sur ses seins.
Je fus impuissant à lui résister, elle le constata rapidement.
Je caressai délicatement sa poitrine, ses mains sur les miennes guidaient mes caresses et je la voyais se pincer les lèvres et commencer à gémir doucement. Je prenais garde à ne pas lui écraser les seins, mais plutôt à être délicat, les soulevant un à un. Ses mains courraient maintenant sur mon entrecuisse, elle sentait que le désir était là, mon membre dessinait une bosse sur mon short.Ma bouche s’approcha de ses tétons que je suçais maintenant tendrement, n’oubliant pas l’aréole de chaque sein.Elle s’agenouilla devant moi et violemment, baissa mon caleçon, ce qui eut pour effet de faire jaillir mon sexe raide et droit comme un pieu. Je tentais de la dissuader d’aller plus loin, mais impossible, sa bouche goba mon gland et je dus m’abandonner à son talent de suceuse. J’attendais ça depuis tellement longtemps...
Elle gobait mon sexe d’une manière si douce, sa langue lapait mon gland décalotté entièrement, je me crispais tellement c’était bon. Ses mains caressaient mes fesses.Elle caressait mes bourses, les léchant de temps à autre avant de vite me reprendre en bouche. J’étais figé de plaisir.
Elle se releva et me dit directement :
— Baisse mon short et lèche-moi.
Elle se cala contre la rambarde et je m’exécutai. Sa vulve était là, sous ce string fin en dentelle rouge, je me jetais dans son vagin, ma langue en parcourut toute sa longueur. Je bus son jus. J’arrachai son étoffe. Je lui levais la jambe droite avec ma main, la posais sur mon épaule, ce qui écarta bien ses lèvres et ainsi je pus mieux lécher cette cochonne assoiffée de sexe.
Après quelques instants je me relevai et en la retournant, lui murmurais :
— Je vais t’empaler petite chienne.
Son cul cambré, je ne mis pas longtemps à la pénétrer. Je prenais alors soin de bien l’enfoncer à chaque coup de bite. Je lui tirais les cheveux en arrière, elle adorait ça.
Entre deux râles, elle me fit comprendre que je devais lui réserver la faveur de mon foutre pour sa bouche.
Sentant la jouissance proche, je la retournais et lui appuyai sur les épaules pour qu’elle s’accroupisse, tirant sa tête vers ma queue, je ne pus retenir plus longtemps mon sperme qui lui arrosa la bouche et le front. Elle se délecta de ce jus dense et me suça encore quelques minutes afin de ne rien gâcher.Passant sa langue sur ses lèvres, elle se leva, m’embrassa sur la joue en me faisant promettre de l’appeler dès notre retour à Paris, puis elle se sauva.
Cette situation était pour moi, hors du commun...
La porte de la chambre donnant sur le balcon s’ouvrit à cet instant et Sophie apparut en peignoir.
— Ça va mon amour ? me demanda-t-elle, tu sembles troublé ?— Tout va bien ma chérie, c’est cette nuit magnifique, mais le départ demain me rend triste.— Mon amour tu es trop sentimental, dit-elle en souriant.

Elle laissa tomber son peignoir sur le plancher et s’approcha de moi. Se mettant à genoux et commença à baisser mon short que je venais tout juste de réajuster.
Je la relevai et l’assis sur la chaise à côté d’elle.
— Ce soir, c’est moi qui te lèche, lui dis-je.— Humm, d’accord mon amour, lèche-moi, lèche-moi vite, je suis déjà toute humide.
La vue de sa vulve m’avait redonné une érection forte, mais Anne m’avait vidé les bourses, je n’étais pas sûr de pouvoir cracher à nouveau. Ma bite était propre vu le nettoyage effectué par cette cochonne de Parisienne quelques secondes avant. Mais le risque était trop grand d’être démasqué par le peu de jus à lui offrir.
Agenouillé devant la chaise, je mis ses deux jambes au-dessus de mes épaules et ma langue plongea directement au cœur de sa chatte aux odeurs de vanille.Je m’occupais en même temps de ses seins, je savais qu’elle adorait être caressée ainsi, elle mouillait comme une fontaine.J’introduis un doigt dans son anus, il rentra comme dans du beurre. Je doigtais son anus et sa chatte tout en léchant son clitoris grossit par le désir.Elle ne mit pas longtemps à jouir dans un cri contenu par ma main sur sa bouche...J’en avais profité pour me branler et finalement en quasi simultané, nous avions joui ensemble.
Nous restâmes là sur le balcon encore de longues minutes, moi assis entre ses cuisses, elle les seins à l’air, me caressant les cheveux.Nous nous promettions alors de revenir rapidement...
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