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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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L'hospitalité

Chapitre 1

Divers
Pas un soir, pas un jour sans penser, ressasser les mêmes idées, les mêmes fantasmes. Situation des plus classiques, une compagne à laquelle je reste fidèle depuis des années (terrain favorable à tout débordement imaginaire et érotique). Son corps, je le connais dans tous ses recoins. Il en garde cependant toujours les mêmes charmes : un visage d’ange, une peau mate des filles du sud, des seins sublimes et fièrement dressés, un sexe merveilleusement dessiné (surtout à la suite d’une épilation intégrale).Cependant, il y a cette amie, Valérie, que nous recevons chaque semaine dans notre ’ nid d’amour ’. Son attitude, des plus provocantes, est marquée par une habitude de se balader avec un tee-shirt et une simple culotte, tout en s’allongeant à mes côtés sur le canapé. Ma ’ légitime ’ étant couché dans la chambre depuis un certain temps, l’ambiance devient terriblement érotique. Nous ouvrons le canapé et nous nous allongeons pour regarder la TV. Je sens ce corps inconnu à mes côtés, déclenchant un début d’érection. Mes yeux fixent cette bouche aux lèvres généreuses et descendent jusqu’à sa poitrine d’un volume plus que respectable. C’est alors que je sens une jambe frôler la mienne, alors que son pied insiste au niveau de mon mollet, me prodiguant un massage des plus délicieux. Cette situation me gêne terriblement, mon c?ur se serre, et mon érection ne peut plus être dissimulée.— ’ Excuse-moi si mon pied te gène, mais il me démange terriblement ! ’Bien sûr, elle croit que je n’ai pas vu son regard enflammé et ses mains qui s’affairent sous la couette, se prodiguant quelques sensations voluptueuses.Ce soir sera celui de l’infidélité. Je ne peux empêcher ma main de se diriger vers ses cuisses ; ce premier contact charnel fait frissonner ma compagne d’un soir. Sa peau tendre et chaude m’invite à continuer mon exploration. Je malaxe le haut de sa jambe, ma main glisse à l’intérieur de la cuisse. J’ai très envie de monter jusqu’à son pubis, mais je sens que Valérie a également entrepris de me procurer des sensations très agréables. Le salon, éclairé d’une lumière tamisée et chaude devient alors le théâtre approprié des débuts d’un recherche fébrile du plaisir. Nos caresses mutuelles nous conduisent à rapprocher nos visages. Je sens son souffle chaud et rapide ; sa poitrine s’écrase contre mon corps et je sens alors tout le poids de ses seins. Nos lèvres se frôlent, s’entrouvrent et nos langues se mêlent dans cet espace indéfini qui n’est plus ma bouche mais qui n’est pas encore la sienne. Associés à nos caresses, ces baisers sont des plus érotiques.Nos mains entreprennent une découverte plus approfondie de nos deux corps. Je sens la sienne remonter le long de ma jambe, passant légèrement sur mon sexe tendu, et redescend sur mes bourses. J’ai fortement envie qu’elle me masturbe, mais je vais devoir encore attendre cette délicieuse caresse. Entre temps, j’ai également découvert son intimité humide et parfaitement épilé. Son ventre palpite, et je m’attarde sur ses seins, objet de toutes mes convoitises.Ma partenaire rompt alors un silence simplement troublé, jusqu’alors, pas le bruit de nos respirations :— ’ Mon corps est tendu par le désir, cela fait des années que je rêve de sentir tes mains, de laisser ta bite défoncer mon sexe ’.Cet aveu ne me surprend pas, et j’ose alors prononcer à mon tour quelques mots :— ’ Te baiser simplement de cette manière ne me semble pas à la hauteur de la situation (si je dois tromper ma copine, c’est pour vraiment prendre mon pied) et je veux t’utiliser pour mon plaisir, pour servir mes fantasmes ’.L’esprit lubrique de Valérie est flatté par cette déclaration. Elle enlève son Tee-shirt, découvrant sa lourde poitrine, déboutonne ma chemise, puis descend avec sa langue le long de mon ventre. Ses doigts s’affaire sur ma ceinture, puis libère mon sexe de sa prison. Ma virilité est fièrement dressé, mon gland gorgé de sang. Elle approche son visage, malaxe délicatement mes testicules, et commence à lécher mon pénis sur toute sa longueur. La sensibilité extrême de mon gland me procure des frissons chaque fois que la langue de Valérie arrive à son niveau. Elle plonge alors mon sexe dans sa bouche chaude tout en enroulant sa langue autour de ma tige de chair.— ’ Vas-y, continue à me lécher comme ça ! Tourne ta langue ! Branle moi ! ’Valérie me rétorque :— ’ Tu apprécies ce traitement ? J’ai envie d’être une vraie salope ce soir, une putain livrée à tous tes fantasmes, une catin dressée pour assouvir tous tes désirs ’.Cet aveu me libère de tout interdit. Tout en me léchant, je lui amène son cul et sa chatte à portée de mes yeux et de mes mains. J’empoigne chacune de ses fesses, j’y enfonce mes doigts, et je parcours la raie de ses fesses jusqu’à la naissance des lèvres de son sexe. Je remarque alors que ma salope apprécie particulièrement que je lui touche le trou du cul. Mes doigts caressent ses lèvres intimes tout en pénétrant un doigt, puis deux, puis trois dans son tunnel remplit de jus. Après une masturbation énergique, une phrase s’échappe de ma bouche :’ Ecarte tes fesses, je veux te mettre un doigt dans le cul puis tous ceux que je souhaiterai ! ’En guise de réponse, ma salope tend son cul et s’abandonne entièrement à mes doigts qui la défoncent.La vision de sa chatte, de ses jambes écartées, me font me lever et j’entreprends de la ramoner énergiquement.— ’ Ahhh Oui !!!! Défonce-moi, baise-moi, utilise-moi comme un trou ! Ce soir je veux être ton objet. ’Ma bite se trouve comme dans un écrin chaud et humide qui me branle merveilleusement bien.Alors que ma compagne légitime est endormie dans la chambre à côté, j’entraîne Valérie dans la cuisine. Je la fais s’allonger sur la table, les deux pieds montés sur le rebord. Je la baise à nouveau et je vois ces seins bougés sous mes assauts. Ce spectacle m’excite terriblement ; mon regard part de son visage pour s’arrêter à son sexe défoncé.Soudain, une main puis une langue s’affaire sur mes fesses puis se hissent jusqu’à mon entre jambe. Finalement je me retrouve à baiser cette chatte inconnue toute en me faisant lécher sur tout le corps par ma petite amie. Notre trio finit par se retrouver dans la chambre où nous enchaînons les combinaisons les plus diverses. Très vite, les deux jeunes filles se lèchent mutuellement dans un 69 des plus obscènes. Face à moi, le cul de Valérie, sous lequel la langue de ma petite amie mal traite son sexe. L’envie de l’enculer devient irrésistible et je dirige mon gland à l’entrée de cet étroit conduit. La surprise fut totale lorsque je commençai à m’enfoncer dans ses entrailles. Sa raie des fesses est totalement humide, sa chatte déverse un flot impressionnant de jus ; l’odeur, un mélange de sécrétions corporelles diverses, nous envoûte totalement. Face aux assauts de mon sexe, Valérie répond par des mouvements énergiques de son bassin. Au bout de quelques instants je l’encule profondément.Face à moi, mes deux partenaires s’embrassent, se lèchent mutuellement, pénètrent des doigts dans tous les orifices disponibles. J’ai l’impression de voir deux chiennes en chaleur, prêtent à toutes les fantaisies et à tous les fantasmes. Leurs deux corps se touchent, s’enlacent. Parfois, je peux distinguer leurs poitrines qui s’écrasent, provoquant un gonflement exagéré de chaque côté des deux corps. Ceci est d’autant plus impressionnant que Valérie possède des seins d’une taille très honorable, renforçant le côté obscène de la situation. Après avoir subi ce traitement plusieurs dizaines de minutes, je sens le sperme monter dans ma bite, instant des plus délicieux, point ultime entre la rétention et l’éjaculation.Je dispose alors mes deux partenaires l’une sur l’autre afin que leur ventre et leur poitrine se touchent. Je dirige mon sexe vers le visage de Valérie qui domine ma petite amie, et je lui décharge tout mon foutre sur le visage. Une bonne partie de ma semence se retrouve dans sa bouche, alors que le reste coule sur le visage de la deuxième partenaire. Cette séance se termine par un baiser saphique où mes deux ’ lesbiennes ’ s’échangent le foutre qu’elles ont pu avaler.Reprenant ses esprits, Valérie souffle péniblement :— ’ Ce soir, je me suis sentie comme un objet entre tes mains, un corps livré à tous tes caprices. Etrangement, j’ai aimé cette impression et je voudrais recommencer dés la semaine prochaine. Cependant, je souhaiterais que vous soyez présents tous les deux dés le début ’.Nous nous sommes alors endormis, abandonnés au sommeil et aux rêves?érotiques d’une chaude nuit d’été.Autant vous dire que ce souvenir reste gravé dans ma mémoire, et qu’il sera, peut être, le début d’une longue série d’expériences sexuelles diverses, et plus perverses les unes que les autres.
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