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Un hôte d'accueil qui aime ses client

Chapitre 1

Gay
Mon directeur me propose d’aller bosser trois jours par semaine au siège, à Paris, pour remplacer en partie un collègue qui est en long arrêt de travail. J’accepte sans hésiter, malgré mes soixante ans, espérant quelques aventures.J’arrive à l’hôtel le premier soir, vers dix-huit heures. Ils sont deux à l’accueil, une jeune femme dans les vingt-cinq ans, et un homme dans les quarante. Ils sont blacks tous les deux, ils sont beaux tous les deux. C’est lui qui s’occupe de moi, il est bel homme, et doit voir que je tombe sous son charme. Il me demande ma carte bancaire pour le cas où j’aurais des frais non pris en charge par ma boite, m’indique les horaires du petit déjeuner et autres consignes, puis me donne le badge de ma chambre.Je monte, et à peine dans la chambre je me déshabille pour m’adonner à mon sport favori: la masturbation. Par chance il y a une grande glace dans laquelle je me vois entier, et je m’astique le manche en pensant à mon accueil, à cette jolie minette, mais surtout à ce beau mec que j’imagine bien monté. Je bande rapidement, ma bite tient toute seule, et je m’occupe de mon cul. Je me fourre un puis deux doigts d’une main, puis j’en rajoute deux de l’autre, une main par derrière et une par devant. Je me fouille, je me masturbe, et je me traite de salope devant la glace. Je fantasme sur le mec d’en bas, lorsqu’on frappe à la porte:— C’est la réception, Monsieur.— Une minute, je vous ouvre.C’est une voix mâle, et je sais que c’est lui. Je ne peux ouvrir dans cette tenue, ou plutôt cette absence de tenue, et surtout avec la trique que je me tiens. Il faudrait que je débande, mais ma queue ne veut rien savoir, et se raidit encore plus. Tant pis, je mets une serviette autour de la taille et j’ouvre.Je vois ses yeux se fixer sur ma bosse quelques secondes, puis il se ressaisit et me dit la raison de sa venue. J’ai oublié de reprendre ma carte bancaire, et il vient me la rapporter. J’ai une main sur la poignée de la porte, et l’autre qui tient ma protection; c’est celle la que je tends pour récupérer mon bien, et du coup ma serviette tombe au sol.J’affiche alors ma nudité, et une érection comme j’en ai rarement eu, une bite béton. Il me demande la permission d’entrer. A peine la porte refermée il pose sa main sur ma queue:— Si Monsieur veut que je lui rende un petit service?— Oui, pourquoi pas, si le service n’est pas payant.— Oh! Monsieur! Je ne me serais pas permis.Il a à peine fini sa phrase, qu’il est accroupis devant moi et que je sens ses chaudes lèvres aspirer mon sexe. Elle est bonne sa bouche, experte, et je ne vais pas pouvoir me retenir s’il continue:— Doucement, doucement, vous allez me faire jouir.— Mais j’espère bien Monsieur, laisser vous aller. Il faut que je redescende, et j’ai juste le temps pour une pipe express.Il me reprend, et redouble d’activité. C’est bon, trop bon, et je m’abandonne. En moins d’une minute il a raison de moi, et j’éjacule dans sa bouche, sans retenue. Je l’entends déglutir, tout avaler, giclée après giclée. Il me vide jusqu’à la dernière goutte, puis se relève pour sortir. Je lui propose de rester pour le sucer à mon tour, mais il décline mon offre au prétexte que sa collègue va s’inquiéter. Puis il rajoute qu’il termine son boulot à vingt-deux heures, et qu’il peut me rejoindre, si je veux. Tu parles bien, que je veux.Je sors pour diner, l’hôtel ne faisant pas restaurant, puis je reviens et monte à ma chambre, lui faisant un clin d’œil au passage, et qu’il me retourne. Je suis nu sur mon lit, ai allumé la télé sans vraiment la regarder, et joue avec ma queue. Il m’a dit de ne pas verrouiller la porte, pour qu’il entre sans bruit avec son badge. Vingt-deux heures, et je ne cesse de regarder ma montre. Vingt-deux heures et onze minutes, la porte s’ouvre et je pousse un grand soupir de soulagement. On échange quelques mots, on décide d’abandonner le "monsieur" et de se tutoyer tandis qu’il se déshabille. Il ne lui reste plus que le caleçon, et je reste bouche bée lorsqu’il l’enlève. Il a une queue impressionnante, qui pend à mi-cuisses, Je me pousse au bord du lit pour lui faire de la place. Il s’allonge et je pose ma main sur son sexe:— Cette bite! cette bite que tu as! Oh putain qu’elle est belle, j’ai trop envie de sucer.— Vas-y, sers toi, fais toi plaisir.Je m’installe à quatre pattes entre ses cuisses et j’ouvre grand la bouche pour le gober. Je vais et viens sur son manche, et je m’efforce d’en prendre un peu plus à chaque fois. Elle est longue sa queue, mais il bande mou, et je sais que je dois pouvoir la prendre toute, qu’elle va être docile pour se courber dans ma gorge. Je suis presqu’au bout, et après m’être retiré plusieurs fois pour ne pas vomir, et respirer, je fini par l’engloutir toute, jusqu’à la racine:— Ouiiii, c’est bon, prends la toute. Tu suces trop bien, tu pompes à fonds je suppose?— Oui, bien sûr, et j’avale comme toi. J’adore sucer et bouffer du sperme.— Et il y a d’autres choses que tu aimes?— J’aime tout. J’encule et je me fais enculer, si c’est ça que tu veux savoir, et ta queue ne me fait pas peur.— Tu es un bon, toi, aussi salaud que moi, on devrait bien s’amuser tous les deux. Il veut déjà que je le suce à fonds, m’offrir sa semence, comme je lui ai offert la mienne. Je cesse de discuter pour me concentrer totalement sur ma fellation. Je le turlutte avec application, en gorge profonde, tandis qu’il m’annonce la suite du programme telle qu’il la voit. Puis il m’avoue que dès qu’il m’a vu, il a su que j’aimais la queue. C’est volontairement qu’il ne m’a pas rendu la carte, pour avoir un prétexte pour monter à ma chambre. Il fait régulièrement ça avec les hommes seuls, et ça marche assez bien. Il va bientôt jouir et je dégage sa queue pour ne garder que son gland entre mes lèvres, et faire de la place dans ma bouche. Je le branle énergiquement, et je le fais décharger à répétition. J’attends qu’il ait terminé, sans avaler, puis je suce avec son foutre plein la bouche. Je déguste sa sauce, et je la bois jusqu’à la dernière goutte. On se félicite mutuellement, et on passe à la suite.Je voulais qu’il me sodomise, mais il faut qu’il récupère. Par contre ma queue est en pleine forme, et il m’offre son cul, en attendant. On est toujours dans le même position, et il relève ses jambes et les bloque sous ses bras. J’ai sa raie au ras de moi, et j’ouvre ses fesses pour me vautrer la gueule dedans. Je parcours son sillon avec ma langue, puis je crache sur son œillet pour le doigter, le lécher, le fouiller de mes doigts et de ma langue:— Oh, salaud, tu me fais du bien. C’est bon de se faire bouffer le cul, tu lèches aussi bien que tu suces. J’espère que tu es aussi doué pour baiser, encule moi, j’ai envie de ta queue.Je viens sur lui, je plaque mon gland sur sa rondelle, et je m’enfonce sans aucune résistance de sa part.J’ai pris appui sur mes bras tendus, et je monte et descend entre ses fesses. Je le matraque autant que je peux, puis veut me retirer ne tenant plus sur mes bras. Il me fait me coucher sur lui, et je continue à le limer. Sa bouche cherche ma bouche et on se roule des pelles. Je m’efforce de bien l’enculer, comme je voudrais l’être, puis sentant mon plaisir venir, lui laisse le choix de ma délivrance. Il me veut en bouche, je me retire, et l’entraîne devant la glace. Il s’accroupit, me pompe goulûment avec des bruits de bouche qui semblent déchirer le silence de la nuit. On se regarde dans la glace, et je balance des insultes et obscénités, avec son accord. Je ne résiste pas longtemps, et me libère dans des râles que je tente d’étouffer. Il garde tout à ma demande, puis on se roule encore une longue pelle et je le laisse tout avaler.C’est maintenant à son tour de me baiser, mais on fait d’abord une petite pause. On est allongé sur le lit, on se caresse, on se raconte rapidement notre parcours sexuel. Puis avant que l’on passe à nouveau aux choses sérieuses je lui explique que je n’ai connu qu’une seule queue aussi grosse que la sienne; aussi grosse mais moins longue. Je l’ai prise plusieurs fois dans le cul mais j’avais vint-et un ans, alors que j’en ai soixante aujourd’hui. Aussi mon fion n’est plus habitué mais j’ai trop envie de lui. Il me promet de bien me préparer.
A suivre..................
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