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L’hôtel Beau Rivage

Chapitre 1

Lesbienne
En préambule :Ce récit érotique et saphique n’est que pure invention, particulièrement teinté de fantasmes.
*******

Ça faisait un moment que Sylvie me demandait le privilège de passer un week-end complet avec moi, toutes les deux.Mariée, cette chose me paraissait impossible. Mais au fur et à mesure de nos relations, ça me tentait et j’attendais impatiente que l’occasion se présente.Sylvie et moi sommes amantes. Nous avons le point commun d’aimer la féminité, de porter de la jolie lingerie et quotidiennement des bas nylon. Ses expériences libertines l’ont rendue audacieuse en amour, et poussé au paroxysme son plaisir pour l’exhibitionnisme et la soumission. Elle m’a progressivement guidée vers de nouveaux plaisirs... les plaisirs saphiques.
Nous sommes au printemps, la dureté des froids d’hiver s’estompe, le temps se radoucit, la lumière revient éclairer nos vies.Christophe, mon mari, m’annonce qu’il doit programmer un déplacement professionnel à l’étranger, sur une durée de plusieurs jours nécessitant qu’il reste sur place le week-end. Cela arrive très rarement, j’y vois là une opportunité. J’ai confiance en mon mari. Bel homme, coquin, celui-ci n’aime que sa femme... Éperdument, au point de s’inquiéter de me laisser seule près d’une semaine.Je m’en désole en lui disant que finalement, ce serait une occasion pour moi de me rendre dans ma famille, visiter oncles et tantes, ceux-là mêmes avec qui il ne s’entend pas. Donc j’en profite pour ne pas lui infliger ce supplice.Les enfants sont grands, ils savent se garder seuls et en profiteront pour passer du temps avec leurs amis.Finalement, tout le monde est satisfait et je savais que Christophe n’allait pas vérifier ma présence auprès de la famille.
— Sylvie chérie, j’ai une bonne nouvelle. Si tu es d’accord, je peux me libérer le week-end dans trois semaines. Un week-end complet comme tu me le demandes.
Tu pourrais toi te libérer ?”.
Sylvie est mariée également, elle est aussi maman et ses enfants sont grands aussi. Son mari est souvent en déplacement, Sylvie est donc plus libre. Mais elle et lui forment un couple libre, ouvert, et son mari connaît et accepte avec plaisir la bisexualité de sa femme. Souvent même, il l’a partagée avec son épouse lors de leur libertinage.Ce n’est pas mon cas. Je cache sa bisexualité à mon mari, tout comme ma relation avec Sylvie.
— C’est vrai ma chérie ? Tu peux te libérer ? C’est génial. Pas de problème pour moi, je dirais à Stéphane que je vais passer un week-end avec toi, il sera content pour moi.
Tu as une idée de lieux ? D’hôtel ?
— Euh non, pas du tout. Je vais chercher”— Écoute, si tu veux, je connais quelques endroits très sympas. On prend un hôtel haut de gamme n’est-ce pas ?”— Oui oui avec plaisir, si tu connais, propose-moi, je réserverai”— Ne t’inquiète pas de ça, je suis tellement heureuse de pouvoir être avec toi. Je m’occupe de la réservation. Laisse-toi guider, tu es mon invitée pour ces moments de délice et de luxure. Je serais ta petite coquine tout le week-end, toi aussi ma chérie... Nous serons un petit couple de lesbiennes, ça va être formidable. Ça fait tellement longtemps que j’attendais ça !!! »

...« Je serais ta petite pute ma chérie pendant ce week-end, et toi aussi ! »Je suis sans voix suite à sa dernière phrase. Bien sûr avec Sylvie, je suis habituée à ses folies, ses excentricités... J’ai toujours beaucoup de plaisir à me retrouver dans ses bras. Elle est une amante exceptionnelle.A la fois, je suis intriguée, j’ai très envie... Et une petite peur aussi.Gourmande de sexe comme est Sylvie, je redoute presque la durée d’un week-end. Saurais-je être à la hauteur ? Me fera-t-elle faire des choses dont je n’ai pas envie ? Cette aventure m’attirait et m’inquiétait.En plus, je trompais Christophe, un petit mensonge, et j’allais laisser mes enfants. Bon, d’accord, ils ne demandent que ça... Mais voilà, je ne peux pas m’en empêcher.
Les trois semaines qui séparaient ce moment se déroulaient en apaisant mes inquiétudes. Nous préparions le voyage de mon mari qui se sentant redevable (s’il savait mon chéri...), me promettait de me ramener plein de cadeaux de son voyage.
Un message de Sylvie me ramena à la réalité.
— Laure, mon cœur, ça y est, j’ai réservé l’hôtel. Je le connais, tu verras, il est génial... Cinq étoiles, tout luxe, nous serons bien. Arrivée vendredi soir, départ dimanche soir... C’est d’accord ?”— Magnifique ma chérie, c’est où ?”— Ttsss, surprise... Mais tu vas adorer. Deux jolies putes de luxe, je te dis.”— Rires... Mais oui mon cœur”— N’oublie pas, dans ta valise, je ne veux que du glamour, du charme et de l’hyper féminité, comme j’aime pour toi. Moi, je ferai pareil. Guêpière serre taille, bas et talons... Sans oublier quelques jouets pour nous deux...”— Promis, tu le sais, j’ai toute cette lingerie. Je choisirais pour te faire plaisir.
Au fait, comment faisons-nous pour nous y rendre ?”
— Rendez-vous vendredi 16h à... Tu laisses ton véhicule, je t’emmène avec le mien.”— Très bien alors... Merci”

Mercredi, ça y est, Christophe est parti ce matin. Il prend l’avion dans l’après-midi. Je pourrais l’avoir ce soir au téléphone, ensuite ce ne sera que quelques mails, jusqu’à son retour mercredi de la semaine prochaine.Je fais le plein de nourriture pour ne pas laisser les enfants avec le frigo vide. J’en profite pour aller me racheter quelques paires de bas, je craque sur un joli porte-jarretelles (mon chéri va aimer, c’est certain)... Et une paire de boots très jolie avec des talons fins de 10 centimètres de haut.Également, rendez-vous chez l’esthéticienne jeudi soir pour un entretien intime. Je veux être parfaitement lisse pour Sylvie. Et je termine par une manucure.Vendredi matin, je vais travailler, mais je termine à midi. Le reste de l’après-midi sera consacré à me préparer et finir ma valise. Elle est faite depuis la veille, mais je préfère la vérifier.
Vendredi 16 heures. Je stationne mon véhicule au parking de la gare, là où Sylvie m’avait dit qu’elle m’attendrait. 16 heures pétantes, je suis à l’heure, Sylvie aussi. Elle est là, valise à ses pieds. Mon Dieu, elle est élégante, Sylvie porte un tailleur bleu marine par-dessus un chemisier en satin gris bleu.
Sa jupe est courte et laisse voir une paire de jambes bien sculptées gainées de bas coutures FF de couleur grise et des escarpins aux talons vertigineux... au moins 12 centimètres.
Moi je ne suis pas en reste. Sylvie m’a dit “glamour”, “élégante”, “sexy”... Dont acte. Je porte pour l’occasion une robe noire à manches courtes, décolletée avec un petit gilet orange par-dessus, ce qui fait bien ressortir ma blondeur. Ma robe arrive environ cinq centimètres au-dessus des genoux. Dessous, je porte un string minimaliste en dentelle noire et la serre taille coordonnée. Mes bas sont noirs à couture. Des escarpins à talons fins de 10 centimètres.
Sans se soucier si l’on peut nous voir, elle s’approche de moi tout sourire et m’embrasse à pleine bouche. Je suis surprise, un peu gênée, mais grisée par son initiative.
— Chérie, notre train est dans 15 minutes, dépêchons-nous”
En effet, le TGV à quai part en direction de la Baule nous attendait. Place côte à côte dans un box du wagon de première classe. Étrangement peu de monde, malgré l’heure et la veille d’un week-end.Nous prenons place, gentiment... La jupe de Sylvie peine à cacher les jarretières de ses bas. Elle y veille, redescend sa jupe tout le temps, jusqu’à abandonner l’idée de la maîtriser.Ce fut pour le grand bonheur du contrôleur qui venant contrôler les billets ne décrochait pas les yeux de ses cuisses...La garce... Voulant jouer, Sylvie lui dit qu’elle n’a pas eu le temps de prendre un billet et qu’elle veut l’acheter auprès de lui... se tortillant sur le fauteuil, sa jupe remonte encore un peu pour dévoiler les attaches métalliques de son porte-jarretelles... Le brave garçon est rouge et bégaye...
Jouant du charme, essayant d’amadouer cet homme jusqu’à tenter d’obtenir une faveur afin de ne pas payer l’amende... mais jusqu’où serait-elle allée si ce jeune homme ne lui avait pas dit “D’accord, je ferme les yeux sur l’infraction Madame, je vous facture que le billet... Mais il ne faut pas recommencer”.
Avec un grand sourire, Sylvie sort sa carte bancaire de son sac en remerciant le contrôleur, qui rouge vif, a la plus grande difficulté à détacher ses yeux de cette attache de jarretelle qui dépasse négligemment de la jupe de Sylvie.
Le contrôleur esquisse un sourire crispéL’idiot... Peut-être aurait-il eu droit, s’il avait insisté, à un petit “dédommagement”.Une fois parties, nous rions de la plaisanterie faite à ce jeune homme.Le parcours se déroule sans problème, nous discutons de tout de rien, nous rions... Et faisons quelques allusions au week-end à venir.Et le contrôleur repasse pour nous demander “tout va bien mesdames ? Vous faites un bon voyage ?”Le coquin... Il veut se rincer l’œil.
L’arrivée est dans quelques minutes et Sylvie se penche amoureusement vers moi et me susurre à l’oreille:
— Au fait, chérie, j’ai oublié de te dire que je porte mon plug... Ce soir, mon étoile sera à toi” et me dépose un baiser chaste sur la bouche. Le baiser n’est pas passé inaperçu... Un homme passait au même moment dans le couloir.
A suivre
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