Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 77 J'aime
  • 9 Commentaires

L’hôtel Beau Rivage

Chapitre 7

Lesbienne
Résumé de l’épisode précédent :Sylvie et Laure ont déjeuné toutes les deux dans un restaurant face à l’océan. Après le déjeuner, elles décident de faire quelques boutiques. Le premier magasin dans lequel elles vont, permet à Sylvie de quelques provocations, comme elle en a l’habitude.Ensuite, elles jettent leurs dévolus sur un magasin de lingerie, dont la jolie vendeuse est très accueillante.
— Cherchez-vous quelque chose en particulier ?”— Non, mais tout est si joli”.
La vendeuse prend une serre taille en dentelle blanche et me le montre...
— Je suis certaine qu’il vous irait bien et que votre amie apprécierait “.
Sylvie intervient...”amante vous voulez dire ! Nous sommes lesbiennes” susurre-t-elle en la regardant dans les yeux, comme pour le tester.
— Il m’avait bien semblé ...” dit la vendeuse dans un large sourire sans rien rajouter.
Sylvie renchérit “comme vous j’en suis sûre”.La vendeuse pouffe de rire, un peu nerveusement “lesbienne ? Non... Mais pas insensible aux jolies femmes... pour cela mon métier me comble ».Je laisse Sylvie et la vendeuse, pour aller vers un autre présentoir où j’ai repéré un bel ensemble fuchsia composé d’un porte-jarretelles d’un string et du soutien-gorge.Le porte-jarretelles est bien coupé pour un parfait ajustement sur la taille de façon à être confortable, composé de 6 jarretelles et d’attaches métalliques.
— Cet article est magnifique... Je pense que vous devez être habituée au port des bas pour choisir cet objet ?” Me dit la vendeuse.— Ah oui bien sûr, j’en porte au quotidien, comme ma compagne d’ailleurs. C’est pour ça que je prends un soin particulier à choisir ma lingerie. Il faut qu’elle soit très jolie, mais aussi confortable”.
En disant cela, je remonte un pan de ma jupe, dévoilant ma jambe délicatement gainée, jusqu’à monter les jarretelles.La vendeuse pose immédiatement sa main sur le haut de ma cuisse, me faisant frissonner.
Elle regarde Sylvie qui s’approchant, remonte également sa jupe, dévoilant elle aussi ses bas et ses jarretelles.
— Des bas Fully Fashioned... Vous êtes connaisseuses effectivement” dit la vendeuse ôtant sa main de ma cuisse, pour prendre ma main et la guider sur la sienne.
Je sens une jarretelle sous sa robe.
— Une aussi jolie vendeuse de lingerie si glamour doit aussi en porter... c’est naturel” je dis.

Sylvie est passée derrière elle et lui caresse les fesses pour constater aussi le renflement de sa lingerie.Elle nous prend chacune la main et nous emmène vers le fond du magasin, là où se trouve le salon d’essayage, tire un rideau pour rendre le lieu plus discret... Ses mains se posent immédiatement sur ma poitrine, prend mes seins à pleine main, puis une main se détache de mon sein et vient remonter ma jupe.Sylvie m’ordonne de l’ôter, ce que je fais pendant que la vendeuse s’occupe à caresser Sylvie.Ma jupe à mes chevilles, j’enlève également mon corsage. Je suis devant elle, debout sur mes talons, juste mes dessous.La vendeuse si policée jusqu’alors, se laisse soudainement aller dans sa manière de parler.
— Magnifique... Tu as un beau corps... Enlève ton string de petite gouine... il est trempé... Tu as envie hein ?”.— Oui elle a envie cette pute...” Dit Sylvie, les mains allant et venant sur le corps de la vendeuse...

Cette dernière s’agenouille devant moi, je suis debout, appuyée contre un meuble haut, j’écarte les jambes pour lui faciliter l’accès, mon sexe s’inonde, son odeur si caractéristique de femme excitée, si sensuelle... Elle s’approche, pose sa bouche sur mes lèvres, les mordille, m’aspire... Sa langue s’insinue... C’est soudain, c’est bon...
Sylvie s’approche de moi et prend ma bouche avec la sienne, puis se courbe pour remonter la robe de la vendeuse jusqu’à sa taille. Elle porte des bas avec une large jarretière de dentelle, tendus par des jarretelles blanches, larges et satinées...
Son cul magnifique de métisse a “avalé” littéralement la ficelle de son string. Il appelle aux caresses et bien plus.Elle me lèche goulûment, avec plaisir et savoir-faire... Un spasme monte... je jouis ... Elle boit mon miel...Ding ding... La sonnette nous sort de notre torpeur... Nous mettons quelques secondes à réagir... La porte d’entrée n’était pas fermée et du monde est entré.La vendeuse se redresse soudainement, les yeux apeurés. Elle se réajuste prestement, passe ses mains dans les cheveux et attrape dans une boîte se trouvant à proximité un mouchoir et s’essuie la bouche.
Droite, souriante comme si rien ne s’était passé, elle sort de l’espace d’essayage, heureusement à l’écart et protégé visuellement du reste de la boutique.Nous l’entendons accueillir des clientes.Pendant ce temps, Sylvie profite que je sois dénudée pour me caresser, m’embrasser... et ses doigts viennent me fouiller, me faisant gémir de plaisir.Nous reprenons nos esprits et commençons à nous rhabiller quand la vendeuse revient nous voir et discrètement nous dire :
— Mes clientes vont rester un moment, je pense... dommage. Pouvons-nous nous revoir plus tard ? Ou ce soir ? — Je ne pense pas, nous sommes invitées ce soir par une amie, dit Sylvie.
Je renchéris « Mais peut-être la connaissez-vous ? »
— Peut-être, c’est qui ? — Nous logeons pour le week-end chez notre amie Sophie à l’Hôtel Beau Rivage, dit Sylvie.— Ah Sophie ? Mais bien sûr, je la connais très bien, dit la vendeuse avec un joli sourire. « Bon, je dois retourner voir mes clientes... j’espère avoir l’occasion de se revoir ».

La vendeuse quitte l’espace pour retrouver les deux femmes qui étaient entrées tout à l’heure.Nous terminons de nous rhabiller et remettre un peu d’ordre dans nos tenues.L’ensemble fuchsia, je le prends. Nous entrons dans la partie boutique pour nous diriger vers la caisse en passant à côté des deux femmes, deux bourgeoises... elles pourraient être mère et fille... La vendeuse nous accueille à la caisse. « Merci mesdames, vous avez fait votre choix... » Emballe avec précaution les articles dans un papier de soie et un joli sac cartonné puis encaisse mon règlement.Nous accompagnant jusqu’à la porte, elle nous remercie de notre visite... « Et au plaisir de vous revoir mesdames » ...
Une fois dehors, l’air du bord de mer nous ramène à la réalité.
— Quel agréable magasin ! Une adresse à garder, me dit Sylvie en prenant mon bras pour s’éloigner de la boutique.— Les articles que tu as choisis sont magnifiques, tu as eu raison.

Il est bientôt 16 heures, nous devons rentrer.Un taxi stationne sur la place à côté. Il est libre, nous le prenons pour faire le petit kilomètre qui nous sépare de l’hôtel Beau Rivage.
16 heures pile poil, nous sommes dans le hall.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live