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Hugo et Juliette

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Cela fait deux ans bientôt que Hugo habite à Clermont-Ferrand. Là-bas, il y a rencontré des tas de personnes super sympa. Sentimentalement et sexuellement, sa vie était plutôt plate. Il était sorti avec une fille pendant un mois mais ils s’étaient séparés car elle n’était libérée. Il se trouvait un peu désespéré sexuellement. Il s’était en revanche toujours promis de ne pas faire l’amour à fille qui ne lui plaisait pas physiquement. Mais il était comme un volcan. Un déclic a eu lieu pendant une soirée. Juliette est une fille de son école. Il la connaît depuis quelques semaines car elle s’invite chez un de ses meilleurs amis tous les samedi soir ou presque.
Juliette est assez petite. 1m60, pas plus. Elle est assez enveloppée, des cuisses et des seins imposants et n’est pas réputé pour sa beauté. Pendant ces soirées, elle draguait tout ce qui bougeait en gardant l’espoir de trouver quelqu’un qui voudra partager son lit. Elle est assez directe et dévore du regard tous les hommes avec qui elle parle. C’est plutôt vulgaire. Hugo l’avait remarqué et évitait donc de trop lui parlé car il ne souhaitait pas finir la nuit avec elle.Une soirée pourtant, une idée lui a traversé l’esprit. En la regardant parlé, Hugo pouvait lire dans ses yeux son désespoir et sa faim de sexe. Il décida donc de s’arrêter de boire pour maîtriser la situation. Tout le monde commençait à bien être bourré. Juliette l’était tout autant. Vers minuit il se décida à aller lui parler. Comme à son habitude, Hugo n’eut pas à faire beaucoup pour qu’elle se montre attentive. Il la captivait alors qu’aucun mot de sa bouche n’était encore sorti.
— Ça va ? — Oui ça me fait plaisir de te parler, je ne t’ai pas beaucoup croisé ce soir ? lui dit-elle avec un grand sourire, accentué par les effets de l’alcool.— Je suis là maintenant, quoi de neuf dans ta vie ?— Ooh tu sais pas grand-chose, je suis juste contente de décompressé de ma semaine car elle était fatiguante.Un détail a été oublié en effet. Juliette est très bonne élève et s’attache à faire son travail de la manière la plus perfectionniste qui soit. Elle aime répondre aux questions du prof en cours et avoir les meilleures notes possibles.— C’est vrai que ça fait du bien… Et les amours ?Hugo connaissait déjà sa réponse dans les grandes lignes mais il avait envie de la tester.— Ooh… Eh bien… Pas grand-chose. Dit-elle les yeux rivés sur le sol. Et toi ? lâcha-t-elle avec plus d’énergie.— Ça ne te regarde pas. La réponse de Hugo avait été sèche et son regard s’était posé sur elle d’une manière assez sévère. Les yeux de Juliette reprirent la direction du sol. Elle sentait sa respiration s’accélérer quelque peu.— Excuses moi. Je ne voulais pas être offensante. Dit-elle dans un souffle.— Viens avec moi dehors. dit Hugo d’un ton plus neutre. On sera plus au calme pour parler.Elle suivit ses pas et ils se retrouvèrent ainsi devant l’appartement de leur ami. Hugo ne lui laissa pas de répit et il enchaîna :— Tu sais que je te vois pendant les soirées ?— Faire quoi ?— Draguer tout ce qui parle et qui a une queue entre les jambes, tiens ! — Je…je… enfin… j’essaie juste de…— D’être vulgaire, voilà ! Ce n’est pas pour autant que tous les mecs vont se jeter sur toi, qu’est-ce que t’en penses ?Juliette essaya de répondre mais aucun son ne sortait de sa bouche. Sa gorge s’était nouée entre temps et Hugo pouvait entrevoir des yeux un peu humides lorsqu’elle le regardait dans les yeux. Il choisit ce moment pour embrasser Juliette. Elle fut un peu surprise mais ne contesta pas. Lorsque leurs lèvres se séparèrent Hugo retrouva le regard de Juliette plein d’admiration qui la caractérise tant. A ce moment, il savait qu’il avait gagné son coup et l’excitation commença à le gagner.— Vas chercher nos manteaux, on y va. lui conseilla t-il.
— Euh d’accord. J’arrive
Elle redescendit avec les deux manteaux, lui tendit le sien et s’habilla. Hugo lui proposa de venir chez lui. Juliette lui répondit avec un ‘oui’ accompagné d’un sourire plein de gentillesse. Sur le chemin ils ne lâchèrent pas un mot. Chacun étant occupé à remuer dans leurs têtes les récents évènements. Dix minutes après leur départ, Juliette se décida à lui prendre la main. Hugo évita volontairement sa tentative et ajouta d’un ton sec :— Qu’est-ce que tu t’imagines ? Et saches que le baiser que tu as reçu tout à l’heure ne sera qu’occasionnel et devra se mériter.Hugo voulait lui faire comprendre qu’il n’allait pas être son prince charmant ni même son coup du soir. Une hiérarchie très claire s’instaurait. Elle sembla s’en accommoder car son sourire disparut et elle murmura un ‘d’accord’ à peine audible. Cette clarification des choses l’avait un peu déboussolée et Hugo se chargeait donc de la remettre à l’aise en lui parlant de l’école, les cours ou bien leurs amis communs. Juliette regagna son sourire mais s’attacha à ne pas lancer des questions trop personnelles à Hugo comme elle avait pu le faire auparavant. Ses avertissements n’avaient pas servi à rien et il en était satisfait.
En arrivant chez lui, Hugo reprit ses fonctions de chef d’orchestre après une bref visite des lieux :— Vas donc prendre une douche. Ahh au fait, es-tu rasé ?— Euh. Euh oui je me rase les bras et les jambes toutes les semaines. Je les ai faites hi…— Arrêtes d’être conne deux secondes. Tu sais très bien de quoi je parle. Je ne veux plus voir un poil à ta sortie de ta douche. C’est bien compris ?— Oui… Excuses moi. Euh je me déshabille ici ou directement dans la salle de bain.Hugo sentait Juliette totalement désemparée. Elle ne maîtrisait plus rien. — Putain mais je m’en fou, tu as dix secondes pour rejoindre la douche ou je vais commencer à vraiment m’énerver.Juliette rejoignit la salle de bain à pas précipités et manqua de se prendre la porte lorsqu’elle l’ouvra. Le discours de Hugo était monté d’un cran pendant cet échange. Il ne voulait plus que des remarques idiotes restent impunies. Le temps qu’elle finisse sa toilette, Hugo en profita pour prendre un bon rafraîchissement en pensant à la suite de la nuit. Vingt minutes plus tard, la porte de la salle de bain s’ouvrit et Juliette apparut vêtu d’une serviette qu’elle avait disposé de sa poitrine jusqu’au haut de ses genoux.
— Pas trop tôt. Viens donc me voir.Juliette s’exécuta. La main de Hugo dégagea le nœud de sa serviette qui tomba à ses pieds. Elle se retrouva nue devant lui. Elle eue le réflexe de cacher sa poitrine avec ses mains et ses avants bras.— Les mains le long du corps ! martela-t-il. Voyons un peu si tu as bien fais ton travail. Mets-toi à quatre pattes sur le sol.Elle le fit d’un mouvement très lent comme si son corps l’avertissait qu’il était encore temps de partir et que l’exécution de cet ordre était le lancement officiel de sa soumission physique et morale. Hugo s’en réjouissait. L’heure était maintenant à la chasse aux poils. Il inspecta scrupuleusement chaque recoin du corps potelé de Juliette en s’attardant tout particulièrement sur son vagin et son anus. Elle s’était appliquée car il ne restait plus l’ombre d’un poil sur son corps. Satisfait, Hugo se releva et la fessa en ajoutant :— C’est bien ma salope !
Elle garda sa position. Le fait de ne pas voir les expressions de visage de Juliette exciter grandement Hugo. Voyant qu’elle ne lâchait plus un mot, il ajouta pour la déstabiliser un peu plus :— Tu n’as pas perdu ta langue en te douchant. Parles donc un peu j’ai l’impression d’être tout seul.— J’ai peur de dire des bêtises.— Réfléchis avant de parler et il n’y aura pas de problème.— D’accord.— Tu ne te sens pas mieux sans aucun poil sur toi ?— C’est vrai que c’est plus plaisant mais en même temps plus gênant.— Une chienne obéissante se doit d’être rasée de près.— Ou… Oui tu as raison. Dit-elle d’une voix de nouveau apeurée.— Je me dois de te donner ce statut, tes comportements aguicheurs dans ta vie de tous les jours doivent être punis. Tu comprends ?— Oui. Je comprends ta colère et je souhaite me faire pardonner.— Ça ce n’est pas gagné…— Que dois-je faire ?— Tu devras suivre mes instructions. A la lettre. Sans quoi ta punition sera sévère. Méfies toi. Je me fais bien comprendre ?— Oui— Bien, bien… Alors comme ça tu cherches désespérément à te faire sauter, c’est bien ça ?— Euh ou… oui— Et ça, c’est un comportement de…Hugo avait volontairement arrêté sa phrase pour qu’elle la finisse.— De salope. — De salope ! En effet ! Et c’est un euphémisme. Moi j’appelle ça un comportement de pute ou de sac à foutre. Hein. ?— Oui. Je le reconnais.— Dis-le !— Je… Je suis une pute. Une grosse pute. Répéta-elle avec plus de conviction.— Et sais-tu ce qu’on fait aux putes ? Eh bien on les nique et les on leur donne une bonne leçon.
Une claque s’était abattue sur ses fesses. Juliette répondit instinctivement par un petit son aiguë en tordant son bassin. L’excitation de Hugo avait atteint des sommets mais il ne devait pas s’arrêter en si bon chemin. Le fessier de Juliette ayant pris une couleur rouge vif et il lui demanda de rejoindre le lit à quatre pattes. Elle s’exécuta. Elle garda sa position de canin sur le lit ce qui n’était pas pour lui déplaire. Mais il n’était pas question de la féliciter.— Assez, grosse vache. Lui dit-il méchamment. Mets-toi sur le dos, écartes les cuisses et lèves les jambes.Hugo voyait à présent son visage. Les yeux de Juliette le regardaient d’un air intrigué, attendant la suite de la sentence. Ne détournant pas les yeux, Hugo dirigea lentement trois de ses doigts vers la bouche de Juliette. Il n’eut pas besoins de lui demander de l’ouvrir, elle le fit d’elle-même. Ses doigts allaient et venaient à l’entrée de sa bouche. Elle se servait de sa langue pour les humidifier. Hugo se dirigea alors vers son vagin qu’il caressa à la surface. Juliette laissa échapper un gémissement accompagné d’un long soupir. Le but n’étant pas qu’elle prenne du plaisir, Hugo passa à son anus. Il n’avait pas été exploré par le passé c’était une certitude. Hugo se fit donc une joie d’enfoncer un premier doigt dans cet orifice.
Après deux bonnes minutes passées à inaugurer ce trou de fesse, il ressortit son doigt. Il fut excéder d’y trouver des teintes d’excrément.— Qu’est-ce que c’est que ce bordel, putain ! Je t’avais demandé de te laver partout. Ce n’est pas croyable ça !!— Pardon. Je ne pensais pas que tu all…— Je ne veux rien savoir, tu m’as désobéi et en plus de ça tu m’as dégueulasser. Tu vas me le payer.— Encore désolée. Attends, je vais te chercher une lingette.— Non, non, non. Reviens un peu par là. C’est de ta faute, donc tu vas régler ça toute seule. Commences par me nettoyer le doigt avec ta langue.Sans alternative, Juliette s’empara de sa main avec les deux siennes et nettoya impeccablement son doigt. Hugo la récompensa par une tape sur chaque fesse.— Tu n’as que réparé ton erreur. Maintenant vas te mettre sur le dos, dans le sens inverse du lit et laisse ta tête pencher légèrement dans le vide.Une fois en place, elle le vit approcher, le sexe durcit par le caractère excitant de la situation.— Tu veux de la bite, tu vas être servi ma chienne. Tu en veux, pas vrai ?— Oui j’en veux. Je… j’en raffole— Ah oui ?
Juliette l’avait provoqué sur ce coût. Hugo décida donc de lui en faire payer le prix fort.Il s’introduit brutalement dans sa bouche. Juliette fut surprise et tenta de repousser Hugo avec ses mains. Il l’avertit de ne plus le faire. Juliette tentait de contrôler comme elle le pouvait les vas-et-viens incessants entre l’entrée de sa bouche et sa glotte. Elle fut prise de haut-le-cœur qui laissa échapper quelques fluides qui ne trouvèrent place que sur ses yeux, son front ou ses cheveux. Hugo n’en pris pas compte et continuait son travail. La laissant reprendre son souffle, Hugo l’avertit que l’éjaculation était proche et qu’il souhaitait que Juliette avale chaque goutte de son sperme. Le sexe de Hugo reprit donc place dans la gorge de Juliette et l’explosion arriva rapidement. Elle se montra docile et avala la totalité de sa semence, sans rechigner. Pour lui signifier de laver mon sexe, Hugo laissa son pénis dans sa bouche et Juliette comprit son utilité.— Bon maintenant tu as une idée de comment on traite les saloperies comme toi.— Oui… Je tacherai de me tenir le mieux possible, à présent.— C’est un bon début mais il y a un travail plus profond à effectuer. Cette nuit, tu dormiras seule et nue sur le canapé. Vas t’en, je ne veux plus te voir.— Bonne nuit— Oui c’est ça.
Après avoir pris sa douche, Hugo vint contempler Juliette qui s’était déjà endormie, sûrement épuisée par tous les évènements de la nuit. Elle s’était recroquevillée sur elle-même pour gagner en chaleur. Hugo décida de la recouvrir d’une couverture en guise de récompense.
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