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Humilié devant sa femme

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Après m’avoir marqué sa soumission de la plus belle manière qui soit, Bénédicte, la femme de mon ex-patron, pût réintégrer sa place auprès de moi. Dès le lendemain, elle fut donc admise dans mon bureau. Pâle et honteuse de ce qu’elle avait fait la veille, mais subjuguée par l’autorité que j’exerçais sur tous, elle gardait les yeux baissés, mais la chaînette brillait toujours autour de sa cheville délicate. Le signal était clair. Je bandais ferme en l’attendant, car notre petite séance de la veille avait déchaîné en moi mes desseins les plus noirs. Je poussai donc sur le bouton rouge qui interdisait l’entrée de mon bureau, côté couloir, et je refermai également la porte du minuscule bureau jouxtant le mien, où j’avais consigné le directeur déchu, et lui commandais de n’entrer dans mon bureau sous aucun prétexte, car j’allais être très occupé avec son épouse. Il leva vers moi un regard incrédule, mais baissa immédiatement les yeux devant la dureté du mien. « C’est bien compris? » lui dis-je? « Bien compris, monsieur ». J’exigeais d’abord de Bénédicte de me renouveler son hommage.— « j’espère bien que tu es toujours aussi désireuse de me prouver ta soumission? »— « oui, Eric »— « qu’attends-tu? Mets toi à genou devant ton maître »Cette fois, elle ne marqua plus d’hésitation et se mit à genou, gênée tout de même par l’étroitesse de la jupe noire de son tailleur BCBG. Dans le processus, la jupe remonta, et je vis le bord supérieur de son bas, retenu par le porte-jarretelle. Je lui ordonnais de me lécher les couilles, ce quelle fit immédiatement. Je regardais la porte du « placard », imaginant son mari qui devait se demander ce qu’il se passait. Bien sûr, j’avais d’abord imaginé le faire devant lui, mais il n’était pas encore mûr pour cela. Je risquais de le pousser immédiatement à la faute, à la révolte qui m’aurait obligé à le mettre dehors. Or, il y avait mieux à faire. Sa déchéance devait être plus lente que cela pour que j’en jouisse pleinement. Je reculais ensuite d’un pas, et lui relevais le menton. « regarde moi ». Elle leva ses yeux embués de larmes vers moi. Je lui mis un doigt en bouche. « suce ». Elle obéit, n’osant plus me quitter des yeux., puisque tel était mon désir. On entendait des craquements dans le « placard ». Je me décidai enfin et lui enfonçais toute la longueur de mon sexe dans la bouche. Elle avait retenu mes instructions et se forçait à saliver pour que je baigne dans sa bouche comme dans un sexe bien moite. Je pris bien mon temps à me faire sucer la hampe et lécher le gland. De temps en temps, je prenais sa nuque à deux main et j’enfonçai toute la longueur jusqu’à sa glotte. Elle étouffait et hoquetait, à la limite du vomissement. Je jouissais intellectuellement autant que physiquement de sa servilité. Je passais à la vitesse supérieure. Me reculant à nouveau, et sans aucune raison, je lui assénai une gifle violente. Elle me regarda avec stupéfaction, puis, comme un enfant puni injustement, elle se mit à pleurer à chaudes larmes. Cela ne m’attendrit évidemment pas, bien au contraire, j’étais rendu comme fou par le pouvoir qu’elle me concédait sur elle. Je la relevais brutalement et la retournais sur mon bureau: « montre moi ton cul ». Ses doigts fins saisirent le bord de sa jupe et elle la remonta au dessus de ses petites fesses. J’arrachais sa petite culotte en dentelle. Je voyais ses fesses pour la première fois. Maigres. Fermes. Plus sexy encore que je les imaginais. Mes doigts fouillèrent sa chatte, elle était déjà baignée. Mon sexe s’enfonça en elle comme dans du beurre. Elle gémit. Je commençais à lui donner de grands coups de boutoir, sans aucun ménagement. Elle poussait des couinements où la douleur et le plaisir se mélangeaient. Cela faisait longtemps que je fantasmais sur elle, mais je n’aurais jamais rêvé que mon triomphe sur sa vertu soit aussi total. Que penser d’une femme qui se fait prendre par son patron dans la pièce à côté de celle où son mari travaille. Je n’avais pas mis de préservatif, et j’explosai bientôt en elle, la laissant pantelante, couchée sur mon bureau, ses petites fesses en l’air. En me retirant, je fis gicler du sperme sur sa jupe, et me gardai bien de lui dire. Elle avait du ricil partout et me demanda de la permission de se remaquiller, ce que je lui refusai. Je la renvoyais à son bureau. Elle dût traverser le bureau des dactylos avec son maquillage ruiné, sa jupe chiffonnée, et une belle tache de sperme au fesses. Les autres employés n’en croyaient pas leurs yeux. Je me présentais à la porte du bureau et les fusillais du regard. Tout le monde plongea sur son clavier. La vie me paraissait vraiment belle, et je rectifiais la ceinture de mon pantalon, ostensiblement.
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