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Igor et sa tante

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Sa main descend de mon prépuce vers mes couilles pour la remonter rapidement. Elle le recommence ainsi depuis un bon moment, elle s’arrête souvent pour reprendre un moment après. De temps en temps, elle me serre à me faire mal. La douleur est si proche du plaisir. Je sens contre mon dos le corps de la personne qui me masturbe. Il m’a mis entre les jambes sa bite pour se masturber aussi. J’ai refusé qu’il m’encule. C’est excitant de sentir les poils du pubis d’un autre contre ses fesses. Ce qu’il fait est bien meilleur que ce que sa tante (de notre âge) m’a fait. Il va me faire jouir, il le sait quand il accélère son va et vient. Je suis tendu dans l’attente de l’extase qu’est la jouissance.Malheureusement je débande très vite: nous sommes dans son jardin, à l’abri de tout regard sauf que j’entends un bruit.
— « Ne t’en fais pas, le bruit est normal, ce sont des voisins qui se disputent souvent; Il me convainc. Sa main caresse à nouveau ma queue, je rebande. Il reprend la masturbation. Cette fois, il va vite. Je me tends quand mon plaisir arrive à nouveau. Je crois que c’est le fait d’être vu par sa mère qui me fait de l’effet. Je gicle mon sperme. Je le fait sortir d’entre mes cuisses. Il bande comme un taureau. Sa mère est partie depuis un moment: qu’elle bite mes aïeux. Je suis tenté de la toucher, de la branler, pas de la sucer. Je fais comme lui, je passe derrière, mon bras droit passe devant pour prendre sa bite dans la main. Elle me fait l’effet d’un bâton. J’ai peine à en faire le tour, pourtant j’arrive à le branler comme il faut. Je suis jeune, je bande rapidement, ma queue se lève, comme pour aller le sodomiser. Je n’aurai qu’un simple mouvement vers l’avant pour l’enculer. Je sens bien son anus contre mon gland; Lui aussi le sens. Je me retiens, je consacre les efforts à sa bite. Je le sens durcir encore plus.
— « Encules-moi ! »— « Je ne sais pas faire ça ! »— « Pense que c’est le cul de ma tante, tu te la ferais bien, non ? »— « Oui, j’aimerai me la faire, comme tu dis ! »
Il en a trop dit, j’entre un peu dans son cul. Je ne dois pas être le premier, puisque sans trop forcer, je suis au fond. Je vais et je viens, en le branlant toujours. Je sens son sphincter se fermer un peu pour s’ouvrir en grand. Il me dit des mots comme :
— « Tu encules bien, continue, c’est drôlement bon, je vais jouir ! »
Quand il jouit, son anus se ferme sur ma bite à tel point que je jouis aussi.Cette fois, une personne nous voit: C’est sa tante qui vient nous voir, qui ne vient que pour une seule raison : se faire mettre !C’est donc la tante par alliance d’Igor. Le spectacle l’excite : voir un homme avec une bite au cul qui en plus, se fait branler. Elle est vite nue. Elle sait que personne ne nous verra, alors elle est totalement impudique. J’admire son corps, ses seins qui sont un affront à la pesanteur, ses hanches qui soutiennent une paire de fesses autrement plus excitante que celle de son "neveu". Elle vient vers nous, regarde nos bites en deuil. Je dois lui avoir tapé dans l’œil, elle vient m’embrasser. Sans attendre, elle prend ma bite dans sa main, se penche, juste pour embrasser le bout. Elle se colle à moi, ma bite bien arrangée entre nous deux, ses seins frottent contre ma poitrine. Sa seule présence m’excite un peu, je sens ma bite se relever. Elle n’attendait que ça. Pour elle, un homme ne vaut que par sa bite, pourtant Igor en a une plus grosse, je sais qu’elle ne veut pas de lui parce qu’il aime se faire enculer alors qu’il aime, sans doute, les filles. En tout cas moi, même si je viens d’enculer son "neveu", j’adore les filles. J’adore surtout les sucer et ça elle le sait bien. C’est la première chose que je lui ai faite, il y a 15 jours de ça, même si, heureusement, je l’ai baisée et enculée, la dernière fois, cette nuit. Elle doit avoir un peu de mon sperme dans son cul ou son trou principal. Elle s’assied sur la seule souche d’arbre du coin, écarte les cuisses :
— « Viens me sucer ! »— « Comme ça, sans te peloter un peu avant, j’ai envie de sucer tes seins ! »— « Commence par ma chatte ! »
Je n’ai qu’à m’asseoir par terre, ma tête entre ses jambes. Je sens déjà son odeur de foufoune. Je ne sais pourquoi elle sent ainsi, sans doute, entre l’ail et le sucre. Pour le goût c’est pareil, déroutant au début, envoûtant ensuite. Quand j’arrive à portée, je sors ma langue qui, d’un seul coup, passe partout, depuis son anus jusqu’à son clitoris. Elle fait un "oh" de plaisir, avant de gémir quand je continue le léchage. J’aime sentir ses réactions quand ma langue est dans son puits. Je trouve toujours son endroit favori. Je la fais jouir souvent. Entre ce que je fais et les premières caresses de son ventre, je bande assez bien, en tout cas, assez pour l’honorer. Je ne vais pas la baiser assise. Je la veux bien à moi, couchée par terre. Elle n’a rien contre, elle est vite en position, la foufoune bien ouverte. Je vais en elle plus que facilement. Je ne pose jamais mon pubis contre le sien : elle a besoin d’un peu de place pour passer une main sur le clitoris. Et Igor ? Il nous regarde, assis sur la souche, la bite dans la main. Il se caresse les couilles. En réalité, il n’attend qu’une seule chose, que sa tante sois sur le ventre. J’attends qu’elle jouisse. Une fois ce premier orgasme obtenu, d’elle-même, elle se tourne pour offrir son cul à Igor.Elle mouille bien son anus avec sa cyprine, j’écarte mes jambes pour laisser la place à son autre amant qui vient rapidement pour la lui mettre au cul. Elle souffle un peu quand il entre doucement. Je sens, moi aussi, la bite entrer. Je pense qu’elle nous fait jouir à trois, à force d’aller et venir et de croiser les bites dans le corps féminin.
C’est simple, arrive le moment où, ayant joui, nous restons avec les deux bites dans son ventre sans qu’elle ne veuille, surtout pas, qu’on en sorte, même si nous débandons.Aujourd’hui est spécial, elle nous a vu nous amuser en garçon. Elle exige, sans que nous ne pensions jamais refuser, de nous servir tous les trois uniquement de nos bouches. Elle demande à Igor de la sucer, prend ma bite, je dois sucer la bite d’Igor. Nous passons un bon moment pour trouver comment nous mettre. Je ne sais pour Igor, en tout cas pour moi, c’est formidable d’être sucé par cette fille. Je ne m’attendais pas à prendre du plaisir en suçant une bite. C’est finalement doux, gros, dur et doux, comme un réglisse, sauf que le goût différent. Par contre, j’ai moins aimé le jet de sperme dans la bouche.Je suis prêt à repasser le même après midi, avec mes deux acolytes !
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