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L'île déserte

Chapitre 5

Lesbienne
La conversion Une fois que tout le monde réalise notre tenue un peu légère, ils me font monter dans l’hélicoptère avec Farah et Margaux, toujours nues, il n’y a pas plus de place. Ils n’ont pas grand chose pour nous couvrir. Nous décidons de rester comme ça, ce qui n’a pas l’air de leur déplaire. Pendant le voyage, le pilote prévient qu’il faut des vêtements pour nous, heureusement, il y a des femmes dans leur navire. Les trois hommes ne cessent de nous regarder mais ça ne me gêne pas du tout, je ne fais rien pour me cacher, comme Margaux, seule Farah a l’air un peu gênée, je passe un bras sur ses épaule, ça la détend. Personnellement, j’aime bien qu’on me regarde, j’aime me montrer, qu’ils en profitent. Nous arrivons sur un grand bâtiment de guerre, l’homme se retourne. –Nous allons atterrir sur la frégate Vendémiaire, attendez qu’on vous amène des fringues, si vous descendez comme ça, c’est l’émeute. –Ok bien reçu chef, mais ça ne vous gêne pas notre tenue j’espère.–Devinez. Il se retourne avec un grand sourire, une femme arrive avec de quoi nous couvrir, nous sortons de l’hélicoptère sous les applaudissements des marins. Nous saluons les marins qui nous entourent en nous donnant de petites tapes sur l’épaule.  Nous suivons une enseigne de vaisseau une barrette, pendant que l’hélicoptère redécolle pour aller chercher les dernières filles. Elle nous amène dans sa piaule pour nous donner de quoi nous couvrir décemment. Nous prenons une douche, c’était plus que nécessaire. Elle a à peu près notre taille, elle nous prête des fringues, mais pas de soutif ou de culotte, trop intime. Nous sommes donc elles en robes et moi en jupe et corsage à poil dessous, mais nous sommes les seules à le savoir. Farah ne me quitte pas d’une semelle. –Dis donc, j’ai l’impression que tu connais tous les grades de la marine.–Pas étonnant, mon père est capitaine de vaisseau, j’ai été bercée dans les grades de la marine depuis ma plus tendre enfance, nous vivions à Toulon et j’ai vu défiler pas mal de gradés à la maison.–Je comprends mieux, c’est quoi capitaine de vaisseau ?–L’équivalant de colonel dans l’armée de terre ou l’aviation.–Ok, il a quel âge ?–Quarante huit ans, ce n’est pas extraordinaire ce grade à cet âge quand tu sors numéro deux de « Navale ».– « Navale » ?–L’école des officiers de marine.–Pas mal, il va finir amiral.–C’est ce qu’il espère, le grade suivant est contre amiral. Nous entendons l’hélicoptère revenir, nous montons à la passerelle pour voir atterrir Maëva, Sophie et Barbara qui se précipite hors de l’hélicoptère dès que la porte s’ouvre, mais quand elle touche le pont, la serviette qui l’entourait tombe à terre dévoilant son superbe corps nu aux marins venus les accueillir. Une quartier maître se précipite et la couvre d’une grande cape qu’elle avait prévue pour les couvrir. Les marins sur le pont applaudissent, je ne sais pas si c’est pour le spectacle offert, mais ils ont l’air très heureux de les voir vivantes. Quand elles sont douchées et habillées, nous nous regroupons, je vais vers Barbara. 
–Qu’est ce qui t’a pris de sortir si vite de l’hélicoptère.–Un moment de panique, je ne supporte pas de devoir ma vie à un simple axe qui fait tourner les pales du rotor. Je déteste voler en hélicoptère, j’adore voler en avion, mais je n’ai aucune confiance en ces engins suspendus à trois pales.–En tout cas, je crois que les marins présents ont bien apprécié, voir un canon comme toi à poil, ça ne doit pas leur arriver tous les jours.–Ce n’est pas pour ça que je recommencerai demain.–Dommage pour eux. Nous sommes accueillies par le commandant du bateau, Maëva lui raconte ce qui s’est passé, en insistant un peu sur le rôle de Sophie, il la félicite pour son courage et son abnégation. Mais le principal pour lui est de nous rapatrier à Tahiti, nous ne pouvons pas rester dans un navire de guerre en mission. Je sens le bateau vibrer, je m’en étonne auprès du commandant, il me dit que c’est parce qu’ils sont presque à la vitesse maximum malgré une houle moyenne. Il nous amène au poste de commande, nous voyons l’avant du bateau plonger dans les vagues et faire jaillir l’eau de chaque côté de l’étrave, un superbe spectacle, je revois les images du « Crabe-tambour » de Pierre Schoendoerffer. Mais la nouvelle qu’il nous communique ne plait pas du tout à Barbara, un hélicoptère Super Puma vient à notre rencontre pour nous rapatrier. Barbara est verte, elle commence à se décomposer, mais Margaux la rassure, elle la prend dans ses bras. –Ne t’en fais pas chérie, c’est un gros, nous ne risquons rien.–Qu’est ce que tu en sais toi ?–Mon père est pilote de Puma civil, je suis assez souvent monté dans un de ses hélicoptère, c’est très confortable à part le bruit. Et puis, je suis avec toi, tu ne risque rien avec moi à tes côtés. En plus, il a quatre pales, c’est plus rassurant. Elle réussi à la faire sourire, juste au moment où arrive le Puma. Effectivement, il est beaucoup plus gros que l’alouette trois du navire qui ralenti pour s’arrêter. L’alouette décolle et se met en stationnaire à côté du bateau. Le Puma atterri, les marins refont le plein de carburant, nous sommes à plus de cinq cents kilomètres de Tahiti. On nous donne des jupes et des corsages, sans soutif ou culotte. Nous allons nous changer dans la cabine de l’enseigne de vaisseau qui récupère ses fringues, nous l’embrassons toutes en la remerciant, je sens tout de même sa main sur mes fesses, elle me sourit, je lui sourit. Une fois dans le Puma, il décolle, c’est une autre impression de puissance, on sent que celui là, rien ne l’arrête. Deux heures plus tard, nous atterrissons à Tahiti, Barbara se détend d’un seul coup, elle a passé le voyage blotti contre Margaux qui en profitait un peu en glissant de temps en temps sa main sous son corsage. Je présume que c’était pour lui changer les idées. Farah aussi se serrait contre moi, mais pas du tout pour les même raisons, elle semblait heureuse de me tenir la main. Une fois avoir répondu aux questions des autorités, nous sommes pris en charge par la société de formation. Nous sommes reçues par le patron qui veut savoir ce qui s’est passé, l’avion sortait de la révision, il était en parfait état. Aucunes de nous n’est capable de lui donner une réponse, il nous pose des questions pour organiser la récupération de l’épave et des corps des victimes et nous libère. Farah prend ma main. –Viens chez moi, j’ai envie de te câliner, j’ai envie de ta peau, de ton corps, j’ai envie de te sentir vibrer sous mes caresses.–Ok Farah, mais laisse moi le temps d’assimiler tout ce qui s’est passé, je suis encore sous le choc, un peu de patience s’il te plait.–Bien sûr ma chérie, j’attendrai le temps qu’il faudra. Je la suis tout de même chez elle, c’est un grand appartement de quatre pièces avec balcon donnant sur l’océan, sans aucun vis-à-vis. Elle ne le loue pas, j’en suis étonnée. –Ne t’étonne pas, c’est l’appartement de mon père, il est pilote à royal air Maroc, il a flashé sur Tahiti et a acheté cet appartement. Mais quand il est venu y passer une année de convalescence suite à une opération chirurgicale, il n’a pas supporté le climat pluvieux et surtout le manque de variation des jours et des nuit. Ils durent onze heures au plus court et treize au plus long, c’est pratiquement toute l’année six heures dix-huit heures. Moi, par contre, ça me plait beaucoup, je déteste le froid, je suis très bien ici et j’ai récupéré cet appartement. –Beau cadeau.–De toute manière, je suis fille unique, j’en aurais hérité. –Sauf que tu as failli de plus pouvoir hériter.–Arrête tes bêtises et ne bouge pas. Elle viens vers moi pour me déboutonner le corsage qu’elle m’enlève et jette sur un fauteuil, le zip de ma jupe descend tout comme elle qui se retrouve sur le carrelage. Je suis nue devant elle, elle passe derrière moi, se déshabille et se colle contre mon corps. Je sens ses seins s’écraser sur mes omoplates, son pubis se coller à mes fesses, je suis parcourue d’un énorme frisson, elle le sent. –Tu vois, tu adore que je me colle contre toi.–Je découvre qu’effectivement j’adore. –Viens ma chérie, viens, je vais t’aimer, je vais faire vibrer ton somptueux corps.–Je te suis, guide moi, j’ai envie d’apprendre. Elle prend ma main et m’entraîne vers sa chambre où trône un immense lit de plus de deux mètres de long sur autant de large. –Oui, mon père fait un mètre quatre vingt dix-neuf, il lui fallait un grand lit fait sur mesure, il fait deux mètres quinze sur deux mètres zéro cinq mais j’adore, on peut bouger dedans, tu vas voir.–On peut y être combien.–On y a déjà fait l’amour à cinq. Elle ouvre le lit pour que je puisse m’y allonger. Elle se met à cheval sur mes jambes et me regarde. –Tu es magnifique, j’aime ton bronzage, où vas-tu pour bronzer intégralement ?–Sur la plage du Taharaa, mais ce n’est pas évident d’y accéder, il faut longer la falaise et c’est même impossible quand la mer est forte, il faut y aller en bateau, c’est pour ça qu’on y est tranquille.–Ok, j’espère t’y accompagner, j’aimerai goûter au naturisme, je n’ai jamais pratiqué, ce n’est pas très musulman comme pratique.–Pas de problème, ton père accepterait ?–Il sait que j’aime les filles, que je ne suis plus vierge, il s’en fout, il veut que je sois heureuse, c’est un vrai père.–Bon, passons aux choses sérieuses, tu m’as assuré que tu t’occuperais de mon corps, qu’attends tu ? Elle s’allonge sur moi pour échanger un long baiser, je lui caresse les fesses et le dos, j’aime beaucoup sa peau douce, ses fesses fermes, je regrette de ne pas pouvoir lui caresser ses magnifiques petits seins que je sens écraser les miens. Sa bouche quitte la mienne pour descendre le long de mon corps, elle se pose partout, cou, seins, ventre, nombril, pubis. Elle arrive aux alentours de mon sexe, le contourne pour descendre le long de ma jambe gauche. Une fois au pied, elle passe à l’autre et remonte lentement. J’ouvre mes jambes mais elle les referme de manière autoritaire. –Tu les ouvre quand je te le demanderai. –Oui cheffe, bien cheffe !!! Elle pose ses lèvres sur mon pubis, elle n’en laisse pas un millimètre carré sans l’embrasser. Elle arrive sur le capuchon du clitoris, je ne peux m’empêcher de donner un petit coup de rein. Ses lèvres se posent dessus, elle aspire. Je sens mon clitoris gonfler, il émerge, sa langue me le lèche, ses lèvres me l’aspirent, je sens monter en moi un orgasme, mais elle quitte mon sexe. –Ouvre tes jambes ma chérie.–Oui cheffe chérie. Elle plonge sur mon vagin, sa langue me le lèche, elle boit ma cyprine qui commence à couler à flot. J’ai l’impression qu’elle se délecte, elle aime extraire le jus d’amour des femmes. Mon corps commence à bouger, une onde se forme dans mon bas ventre, je me détends le plus possible, je sais que ça va retarder le moment de l’extase, ce qui le rendra encore plus fort. Mais Farah n’est pas une débutante, elle sait faire languir un corps de femme, quand j’arrive au bord de l’orgasme, elle change de stratégie, mon excitation se stabilise et redescend un peu. Mes muscles commencent à se tétaniser, mon ventre me fait un peu mal, mais je ne dis rien, je sais que ça ne servirait à rien, elle se tiens à sa stratégie. Au bout de cinq minutes, je suis au bord de la syncope, elle doit le sentir car ses dents me mordillent le clitoris, elle l’aspire, le lèche, je suis pulvérisée par une explosion atomique qui me dissémine dans l’univers. Je suis anéanti de plaisir, je hurle à en ameuter tout le quartier, jamais je n’ai ressenti un tel plaisir, mais je n’ai pas le temps de l’apprécier à fond, d’un seul coup, c’est le trou noir.  J’ouvre les yeux sur le merveilleux regard de biche de Farah. –Tout va bien mon amour ?–Oui, mais tu m’as complètement anéanti de plaisir, jamais je n’ai joui comme ça, même avec vous sur l’île.–C’est l’amour ma chérie, je sais que tu aimes ce que je te fais et que tu es bien avec moi, moi, ce dont je suis sûre, c’est que je t’aime mon amour. Elle se penche sur moi pour m’enlacer et m’embrasser. Je succombe, je me donne à fond dans ce baiser. Je réussi à la faire basculer sur le dos, à mon tour de m’occuper de ce merveilleux corps. Je termine sur ses lèvres intimes, elles ruissellent de cyprine, elle aussi est une vraie fontaine à cyprine. Je plonge dans son sexe pour la faire jouir en y prenant mon temps, je lui fais ce qu’elle m’a fait, ça dure quelques minutes, elle finit par jouir en se cabrant et en hurlant son plaisir. Je l’enlace pour bien sentir son corps vibrer contre le mien, mon cœur fond, j’éprouve une merveilleuse sensation de bonheur à la sentir jouir sous mes caresses.  Nous avons fait l’amour toute la soirée, je ne pouvais pas laisser ce corps sans y faire promener mes mains et ma bouche. Nous avons passé une nuit d’amour, le lendemain, nous ne nous sommes réveillées qu’à onze heures, heureusement que nous ne travaillions pas. Nous sommes au repos pendant au moins quinze jours, histoire de nous remettre de notre aventure. Nous devons voir des psychologues, mais nous ne sommes pas très traumatisées, ça fait partie des risques du métier.  La suite de cette histoire dans « Sophie notre fille chérie » catégorie « Inceste » le 2 mars.
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