Le lendemain, je devais déjà retourner chez ma mère. Après avoir pris mon petit-déjeuner et fait ma toilette, je me préparai à partir. Mon père me fit la baise et je l’assurai que toute cette histoire serait bientôt terminée. En effet, pour la deuxième phase de mon plan, j’avais déjà une petite idée en tête... Je savais que ma mère rentrerait tard du travail et nous laisserait seuls, Guy et moi, en tout cas pendant deux bonnes heures. À mon arrivée, Guy était allongé sur le lit conjugal et lisait le journal. Quant à moi, j’allai dans ma chambre me dévêtir, ne conservant que mes sous-vêtements, et allai regarder une série télévisée. À la fin de l’épisode, comme je m’y attendais, Guy entra dans le salon pour visionner le journal télévisé. En me voyant dans ma lingerie devant la télé, son visage vira au rouge. — Ilona ! Va te rhabiller tout de suite, sale petite branleuse !— Va te faire foutre ! Je suis chez moi, j’ai le droit de m’habiller comme je veux. Tu n’es pas mon père. Tu n’as pas d’ordre à me donner. Tu es là juste parce que ma mère a été assez conne pour te faire entrer dans nos vies !— Écoute-moi bien, jeune fille. Ton père ne vit plus ici et ta mère m’a choisi pour partager sa vie et l’aider à s’occuper de toi. Et je compte bien t’inculquer les bonnes manières, chose que ton père, ce sale buveur de Vodka, n’a jamais réussi à faire !— Insulte mon père encore une fois et ce sera ta dernière erreur, petite pédale de merde !— Je ne te permets pas de me parler ainsi, salope ! Je vais tout raconter à ta mère et, crois-moi, elle te punira comme il se doit !— Oh... Le pauvre Guy n’a pas l’habitude qu’une femme lui résiste et il va tout dire à sa bien-aimée écervelée... Oh, la petite bite !— Comment tu m’as appelé ?— Tu as bien entendu, petite bite ! Ta réaction parle pour toi. Tu ne sais même pas te défendre seul face à une jeune femme. Je suis sûre que, physiquement, cela doit être pareil. — Tu l’auras voulu, pétasse ! Enlève-moi ça. — Je parie que tu n’arriveras même pas à me faire jouir. — C’est ce qu’on va voir. Guy éteignit la télévision et se déshabilla. Comme mon instinct me l’avait suggéré, le nouveau copain de ma mère était loin d’être aussi bien monté que mon père. Je savais instinctivement qu’après avoir couché avec mon père, j’allais m’ennuyer avec la lamentable petite verge de Guy. Qu’est-ce qui lui a pris, à ma mère ? On dirait qu’elle n’en n’a rien à faire de la virilité. Ou peut-être a-t-elle plaqué mon père par peur de son trop gros phallus et demandé le divorce, qui n’a toujours pas été prononcé, afin d’éviter tout rapport avec lui ? — Allonge-toi. J’obtempérai lascivement et Guy me pénétra sans ménagement. L’amant de ma mère accéléra dès la première poussée, pensant ainsi me faire jouir. Sauf qu’au contraire, cela m’ennuyait beaucoup et me donnait le mal de mon père. Je feignis tout de même le plaisir afin de donner une pseudo-confiance à Guy et, ainsi, le faire éjaculer plus vite. Tombant complètement dans mon panneau, Guy rugit de plaisir et se retira de moi. — Je vais jouir ! Ouvre la bouche. J’obéis à l’injonction et Guy éjacula dans ma bouche, tapissant mon palais de son immonde semence. Cependant, cette situation me donna une idée. — Avale. Exactement le mot que j’attendais ! Je fermai la bouche et me relevai pour me diriger vers ma chambre. Je fis mine d’avaler le sperme mais, juste au moment où j’étais supposée avaler sa semence, je crachai le tout à la figure de Guy et courus m’enfermer à double tour dans ma chambre. Guy se mit à tambouriner contre la porte en m’insultant et en menaçant de tout raconter à ma mère. Exactement comme je le voyais : une petite bite de bas étage. Voyant que je ne réagissais pas, Guy frappa une dernière fois du poing contre ma porte et s’en alla se consoler de son lamentable échec en regardant la télé. Je décidai donc d’appliquer la troisième phase de mon plan. Pour cela, il me fallait faire venir mon père à la maison. Et je savais comment... [ à suivre ]
