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Ilona, fille vengeresse et cocufieuse

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Joanna et moi entendîmes des bruits de pas qui se dirigeait vers ma chambre. Il était trop tard pour que nous puissions nous rhabiller. Ma nouvelle amie commençait à paniquer.
— Merde ! Putain, qu’est-ce qu’ils vont dire quand ils nous verront comme ça ?!— Ne t’en fais pas, Joanna. Mon père ne va pas être choqué. La preuve : il a bien accepté que je couche avec ce pauvre con de Guy pour le venger.— Bon, d’accord pour ton père mais le mien, je ne sais pas comment il réagira.
On frappa à la porte et la poignée tourna. Mon père entra dans ma chambre, suivi de son ami Laurent.
— Eh bien, on s’est inquiétés pour rien ! Avec vos cris, on ne s’entendait même plus parler. On pensait que vous étiez en train de vous crêper le chignon mais tout va plutôt bien d’après ce que je vois.— Excuse-moi, papa. Je ne pensais pas qu’on vous dérangerait.— Tu n’as pas à t’excuser. Bien au contraire, tu nous as même donné une excellente idée.— Ah oui, et laquelle ?— On vous expliquera plus tard. Pour le moment, nous sommes un peu trop excités pour parler.
Mon père fit glisser la fermeture Eclair de son pantalon et déboutonna sa chemise. Laurent, qui avait compris où mon père voulait en venir, l’imita et les deux hommes se retrouvèrent en sous-vêtements devant Joanna et moi.
— Je pense qu’il vaudrait mieux veiller au confort de nos invités, Ilona.
Mon père me décocha un sourire et se positionna debout, à quelques centimètres de Joanna tandis que Laurent s’amusait déjà avec mes seins en les pelotant entre ses mains.
Je retirai son boxer à Laurent puis, tout en masturbant son sexe, je pris le temps de jauger ce dernier : plutôt long, assez fin et vigoureux. Exactement comme je les aimais.
De leur côté, Joanna et mon père avaient déjà adopté la position du soixante-neuf et semblaient pris dans un ébat passionné. Allongé en dessous de Joanna, mon père prenait beaucoup de plaisir à lécher le sexe dégoulinant de cyprine de sa partenaire tandis que celle-ci, à quatre pattes en dessus de lui, le fessier tourné vers son visage, s’appliquait à lui faire une fellation.
Laurent m’aida alors à me lever du lit et me demanda d’appuyer mes mains contre un mur de la chambre tout en me cambrant au maximum.
— On va leur laisser un peu de place, ma jolie. Pour nous, ça ne dérangera pas de rester debout.
Sur ces mots, Laurent enfonça sa verge dans mon intimité suintante de cyprine et, ses mains crispées sur mes hanches, se mit à me pilonner avec force.
Dans ma position, j’entendis les feulements de plaisir que poussait Joanna. Les cris de mon amie eurent l’effet de provoquer mon orgasme.
Derrière moi, les râles de délectation de nos pères parvinrent à mes oreilles. Laurent se retira de mon sexe et je sentis plusieurs giclées de sperme maculer mon postérieur.
En tournant la tête, je vis Joanna prodiguer une somptueuse branlette espagnole à mon père qui éjacula sur ses seins.
Apaisés, Laurent et mon père nous envoyèrent, Joanna et moi, nous nettoyer dans la salle de bain.
— Ton père baise vraiment bien. Je suis très étonnée qu’il ne se soit pas trouvé une autre femme après ta mère.— Oh tu sais, mon père est un bourreau de travail. Et puis, dans la restauration, on rencontre beaucoup de monde mais on a très peu de temps pour le fréquenter.— Je comprends. En tout cas, je n’ai pas été déçue.
Je lui décochai un sourire entendu puis pris un bout de papier toilette pour nettoyer mon fessier.
— Attends !— Qu’est-ce qu’il y a ?— Quand tu m’as dit que tu avais couché avec ton père, je me suis tout de suite imaginée le faire avec le mien. Et comme je n’ai pas pu réaliser ce fantasme tout à l’heure, à défaut de sa queue, j’aimerais avoir quelque chose de lui en moi.
Comprenant où Joanna voulait en venir, je lui souris et me cambrai le plus possible en m’appuyant contre le mur de la salle de bain. Ma copine s’agenouilla derrière moi et commença à lécher mon postérieur avec avidité, goûtant ainsi au sperme de son père.
Lorsqu’elle eut terminé, Joanna se releva et je me penchai sur elle pour, à mon tour, avaler le sperme de mon père en lui suçant les seins.
Toutes les deux nettoyées, mon amie et moi nous échangeâmes un baiser avant de rejoindre nos pères dans la chambre.
— Eh bien, vous en avez mis du temps, les filles !— On a un petit peu bavardé et nous sommes arrivées à la conclusion que vous êtes des bons coups. Bon, alors, votre idée pour votre restaurant ?— En fait, en vous entendant gémir tout à l’heure, Laurent et moi avons eu une idée géniale : engager des strip-teaseuses pour divertir nos clients masculins. Avec un peu de chance, nous ferons d’une pierre deux coups. — Comment ça, « d’une pierre deux coups » ?— Non seulement, on augmentera considérablement nos revenus, mais, avec un peu de chance, "petite bite" se sera peut-être lassé de ta mère et viendra voir nos magnifiques strip-teaseuses.— Pas mal, ce plan mais où comptes-tu trouver ces strip-teaseuses ?— Oh, tu sais, en tant que Russe, je sais où je peux trouver des filles de l’Est. — Rien d’illégal, j’espère ?— Non, bien au contraire, elles me remercieront de les tirer de la rue pour leur offrir non pas un mais deux jobs. Serveuses le jour, strip-teaseuses la nuit. Avec un salaire plutôt alléchant pour le deuxième job. Bien sûr, je ferai en sorte de leur obtenir des papiers en règle si le besoin se présente. Ne t’en fais pas, c’est une idée brillante qui va marcher plus que bien.— Bon, d’accord. Je te fais confiance. Avec un peu de chance, on rigolera bien.— Alors, on s’y met tout de suite.
Après nous être tous les quatre rhabillés, nous commençâmes les préparatifs de notre futur restaurant.
[ à suivre ]
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