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Ils m'ont prise pour une pute

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
ILS M’ONT PRISE POUR UNE PUTE
Dès que nous le pouvons, nous nous échappons en Espagne où nous avons un appart en bord de mer. Habitant à côté de Dijon, nous prenons l’autoroute et je partage le trajet avec mon époux. Partis sur le coup de 4 heures du mat, cela fait deux heures qu’il roule, le sommeil le rattrape, je prends le relais. Sur le coup de 6h30, j’ai une soudaine envie de faire pipi. Je préfère les stations-service aux aires d’autoroute dont les toilettes sont souvent sales et peu sécurisées. Francis dort déjà comme une masse. Je bifurque vers la première station qui se présente et m’aperçois que les pompes automatiques sont ouvertes mais que la station n’ouvre qu’à 7h00. Je reprends l’autoroute et je me dis que la suivante sera peut-être la bonne.
Nous sommes dimanche, il y a moins de camions et la station suivante n’est toujours pas ouverte. Mon envie de faire pipi se fait d’autant plus insistante que mon ventre me tiraille et une autre envie se fait également pressante au niveau de mon intestin. Je vois un panneau sur le côté : Prochaine station à 20 km. Il sera 7 heures passées et j’espère que cette fois-ci ce sera bon. C’est un ouf de soulagement quand j’arrive sur la station toute éclairée. Elle vient certainement d’ouvrir, le parking est désert, seules quatre longues fourgonnettes immatriculées en Pologne sont garées.
J’entre dans la station-service et deux jeunes hommes sont en train de prendre un café. Je me précipite vers les toilettes réservées aux femmes. Une femme de ménage avec des écouteurs vissés sur les oreilles nettoie et une chainette barre le passage. Me voyant, elle me dit qu’il faut que je patiente ou que j’aille vers les autres toilettes disponibles, c’est-à-dire celles des hommes.
Je ne croise personne aux toilettes hommes, j’entends seulement l’eau couler dans les douches. J’ai une telle envie que je ne me pose pas de question et m’installe sur la première cuvette venue. Et comme elles viennent d’être nettoyées, elles sont nickels. Je suis comme on dit sur le trône quand j’entends deux hommes entrer et discuter dans une langue que je ne connais pas. Ce doit être les polonais. Mes petites affaires terminées, je me rajuste en prenant soin de mettre ce qu’il faut au fond de ma culotte car je crois que ça ne va pas tarder à débarquer. Je sors et me dirige vers un lavabo pour me laver les mains.
Les deux hommes qui étaient en train de prendre leur café tout à l’heure sont là en train de me mater. Le premier, un blondinet d’une trentaine d’année est en train de se laver les dents tandis que l’autre qui a une carrure de déménageur et doit avoir la cinquantaine se rase. Le plus jeune vient vers moi et sans prendre la peine d’enlever la brosse à dent de sa bouche me montre un truc qu’il tient entre ses doigts. J’ai du mal à voir ce que c’est alors il me met ça devant le visage. C’est un préservatif dans son étui ! Je le regarde par le miroir et après un instant d’étonnement, je lui montre ma colère.
— Vous me prenez pour une pute ou quoi !
Je fais pour partir mais l’autre malabare s’avance vers moi me barrant le passage. Au moment où je m’apprête à crier, la porte d’une des deux douches s’ouvre et un gars tatoué de partout, chauve et ventripotent sort avec pour seule tenue une serviette enroulée autour de son ventre et des claquettes aux pieds. Il s’adresse au plus jeune en polonais en me désignant avec un large sourire. Je me dis que je suis mal barrée d’autant que la femme de ménage avec ses écouteurs sur les oreilles ne risque pas de m’entendre.
D’un autre côté, le jeune blondinet est plutôt craquant. Je suis partagée entre me battre et tenter de m’enfuir ou me résigner en le laissant faire. Il ne me laisse pas le temps de prendre ma décision. Son corps se colle contre le mien et sa main remonte le bas de ma tunique dévoilant mes cuisses. Les deux autres l’encouragent. Il se saisit de l’élastique de mon collant et le descend d’un coup entraînant en même temps ma culotte. Je suis agrippée au lavabo et les vois dans le miroir en train de rire en reluquant mes fesses. Le blondinet sort son engin, déchire l’étui du préservatif et enfile la capote sur sa queue. Je sens son souffle sur ma nuque tandis que son pénis se frotte dans mon entre-jambe. Il me parle et je ne comprends toujours rien à ce qu’il dit.
Il me prend par les hanches, assure sa prise en m’attirant sur son sexe tout en m’obligeant à me courber sur le lavabo. D’un coup de rein, il me pénètre et je ne ressens pas grand-chose. Mes règles viennent de débarquer en même temps qu’il s’enfonçait en moi. J’ai honte. Je l’entends s’exclamer des trucs dans sa langues. Les autres se foutent de lui en voyant ressortir son pénis plein de sang.Le malabare prend sa bombe de rasage et l’approche de mon cul. D’un jet, il me tapisse la raie. Ah le salaud, il veut me sodomiser. Je me relève en lui faisant face et lui hurle en secouant la tête.
- Non ! 
Toujours en polonais, il dit des trucs tout en me prenant délicatement les épaules. Il m’entraîne vers les urinoirs plus loin et place mes mains sur le bord, fort heureusement c’est propre. Me poussant le dos avec sa grosse paluche, il m’oblige à me courber. Mon front touche presque le carrelage du mur. Il commence à me doigter le fion avec ses doigts emplis de mousse à raser. Il a baissé son pantalon et sa queue butte maintenant contre ma rondelle. Il insiste, mon sphincter ne résiste pas longtemps. Je sens son sexe s’enfoncer au plus profond de mes entrailles. De lents va-et-vient me pilonnent le conduit. II accélère, me secoue de plus en plus les épaules. Et tel un animal en rut, il jouit dans mon cul avec un râle de plaisir.
Mais alors que je croyais être quitte, je vois celui qui avait pris sa douche enlever sa serviette. Il tient entre ses doigt son pénis que je devine épais sous son gros ventre. Lui aussi veut sa part du gâteau. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que son ventre cogne sur mes fesses. C’est un rapide car au bout de trois ou quatre aller-retours, il jouit à son tour dans mes boyaux. Cette fois, c’est bon, j’ai eu ma dose et je remonte tant bien que mal mon collant et ma culotte. Mais au moment, où je passe devant les cabines de douche, la porte de l’autre cabine s’ouvre. Un géant barbu avec une queue de cheval s’interpose devant moi. Il est poilu comme un singe avec pour seul vêtement un short bleu. Il pose à mes pieds son énorme sac à dos et me toise de façon dédaigneuse. Lui aussi doit croire que je suis une habituée qui fait le tapin sur les aires d’autoroute.
Les autres le regardent et lui parle en polonais. Et là, je me dis que je vais devoir y passer une fois de plus. Suite aux explications de ses collègues, son regard s’est adouci. Il est pas mal dans son style, genre viking. Il s’adresse à moi dans un français approximatif. Il m’explique qu’il aimerait me présenter d’autres compatriotes polonais qui se reposent actuellement dans les camionnettes. Je lui rétorque que je ne suis pas une pute et que mon mari m’attend dans notre voiture. En gentlemen, il n’insiste pas et me laisse partir.
Les toilettes femmes sont à présent nettoyées et je m’y rends pour me laver et me rendre plus présentable à mon époux. Je sors maintenant du bâtiment et mes quatre gaillards sont dehors en train de discuter. Celui qui baragouine le français s’avance vers moi et me demande si le véhicule garé là-bas est bien le mien. Je lui réponds par l’affirmative. Il m’explique que mon mari dort encore d’un sommeil profond. Et que si ça me dit je peux les accompagner dans leurs camionnettes pour rencontrer ses autres camarades. Encore une fois je suis partagée. Pour avoir visionné quelques séquences de femmes prises en gang bang, je me suis toujours demandée quelles sensations on pouvait ressentir. Et si je veux être sincère avec moi-même, j’en ai même rêvé. Ils sont polonais et je ne suis pas près de les revoir. Alors pourquoi pas, peut-être que je n’aurai jamais d’autres opportunités.
Je les suis et ils ouvrent l’arrière d’une fourgonnette aménagée en dortoir. A l’intérieur, ça sent le fauve et il fait très sombre. Je distingue au premier plan deux jeunes beurs allongés dans leur sac de couchage. Ils se redressent en me voyant découvrant leur torse musclé. Eux aussi me prennent pour une pute que leur copain a ramassée sur le parking. Ils me sautent dessus sans crier gare. Je me laisse faire car dans ma tête je suis devenue une salope qui a envie de baiser. Je suis complétement à poil en moins de temps qu’il faut pour le dire. Au fond du fourgon, il y a quatre autres males qui se mêlent aux deux autres. La chaleur humaine dégagée par ces six males en rut dégage une forte odeur musquée. C’est parti pour un gang bang en règle.
Deux bites se présentent à moi que je suce en alternant. Mes seins sont malaxés sans ménagement pendant que des doigts pénètrent mes orifices. Quelqu’un me prend sans ménagement par les épaules et me guide vers un pénis sur lequel je m’empale. Pendant que je le chevauche un gars me pénètre par derrière. Puis ils alternent. Dans la pénombre, ils ne se rendent pas compte que j’ai mes règles. A cette idée d’ailleurs, j’ai cessé toute fellation. Des bites plus ou moins épaisses, grosses ou longues se succèdent dans mes trous. Je ne suis plus qu’une machine à baiser et certains y reviennent. Un beur profite de l’euphorie ambiante pour enculer son congénère. C’est la première fois que j’assiste à une telle scène, deux hommes entre eux. Mais tout à une fin, je sors pantelante de la fourgonnette et le polonais parlant un tant soit peu français se propose de m’accompagner jusqu’à ma voiture. Je le remercie mais préfère me diriger vers la station où je me précipite une fois de plus vers les toilettes femme pour remettre tout ça en ordre.
En sortant pour regagner l’auto, je m’aperçois que les fourgonnettes ont levé le camp. Le parking commence à se remplir et mon mari dort toujours. Mon cul est tout endolori et j’ai mal aux tétons mais des petits papillons emplissent encore mon bas ventre à l’idée de ce je viens de faire. Je pense que je me souviendrai encore longtemps de ce moment où je suis entrée dans cette fourgonnette. Je ne devinais que des silhouettes, j’étais devenue une autre femme, transformée en professionnelle du sexe. Et le pire dans tout ça, c’est que j’ai adoré.
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