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Imagine...

Chapitre 1

Hétéro
C’est un soir comme un autre. Les facs sont rouvertes. Tu rentres chez toi après une longue journée de cours... Il fait nuit, tu es fatiguée, mais il fait bon dehors. Tu ne regardes pas vraiment devant toi, tu rêves un peu, regardant les passants, et surtout ce couple d’amoureux sur le banc un peu plus loin. Pour eux, le monde extérieur n’existe pas... Et la position de la jeune femme, serrée-collée à son compagnon, te le confirme. Ils sont si serrés que si le jeune homme avait glissé une main dans la culotte de sa chérie, cela ne se verrait probablement pas sans une observation attentive... Observation attentive dans laquelle tu t’es lancée. Et la pensée d’une main dans ta culotte à toi te traverse l’esprit. Ça te plairait bien, te dis-tu, alors que ton bas-ventre s’échauffe à cette idée.
Pour ma part, je suis pressé. Un dossier en retard et dans deux jours une réunion avec ma grande cheffe. Elle est vraiment dure, très exigeante. Mais bon dieu, elle a un de ces corps ! A damner un saint. C’est ma cheffe, rien ne se passera jamais avec elle, mais ses courbes me perturbent tellement. Ses hanches juste larges comme il faut. Des hanches qui tombent sur des fesses parfaitement rebondies... Et des seins !!! Ça y est, je suis perdu moi aussi dans mes pensées. Je ne fais plus attention au trajet qui mène vers mon hôtel. Encore deux jours sur place avant que mon déplacement se termine. Et je rêve de cette poitrine tellement bandante. Sans regarder devant moi.
Tout à nos pensées, c’est sans la moindre attention que nous empruntons le même angle de rue. Malheureusement en sens opposé. Et ce qui devait arriver arriva. Bing ! C’est le choc. Tu te retrouves les fesses par terre pendant que je m’étale de tout mon long sur le sol. Je ne comprends pas ce qui vient de se passer ! Mais je t’entends gémir à côté de moi :— Aïe...
Je me retourne, et c’est le choc. Le deuxième, pourrait-on dire ! Je vois une beauté assise au sol. Une beauté avec sa jupe légèrement relevée, mais qui se masse la tête, et qui observe penaude son sac de cours ouvert... et les feuilles qui s’en sont échappées. Je réalise alors que c’est moi qui suis responsable de cette situation et je te demande :— Oh, pardon. Je suis désolé. Ça va mademoiselle ?— Oui, je crois, réponds-tu. Merde, mes cours s’envolent !Je me lève d’un bond, et cours après tes feuilles. J’en attrape une bonne partie, mais certaines s’échappent. Tu t’écries :— Oh non ! Il me faut absolument ces papiers !
J’ai fait de mon mieux, et retourne vers toi. Je te regarde. Tu as les larmes aux yeux en rangeant tes documents dans ton sac. Tes mains tremblent un peu, tu n’as pas l’air bien. Je te sens tellement mal à l’aise que je te demande :— Est-ce que ça va ? Je vous trouve vraiment très blanche. Tu relèves ta tête vers moi, et c’est à ce moment que je remarque ton regard. Tu as les yeux rougis, tu as l’air paniquée même, mais moi je ne vois qu’une beauté indescriptible devant moi. Ces yeux, cette bouche, je me sens fondre de l’intérieur. C’est comme si mon cœur avait manqué un battement en te découvrant. Non, deux ou même trois battements ! C’est maintenant moi qui ai les jambes qui tremblent et je dois avoir l’air idiot en te regardant. J’ai l’impression que cette inversion de situation te redonne de l’énergie car tu me réponds enfin. — Ça va merci. Mais j’avais absolument besoin de ces papiers pour bosser chez moi, mon imprimante est en panne, et je ne sais pas comment je vais me débrouiller. Mais ça va oui... Par contre vous, vous faites une drôle de tête ! Tout va bien ?Je suis subjugué par ta voix, par tes mots. Je reste muet, en ayant à peine conscience que tu me parles.— Monsieur ? Lances-tu.Je réalise alors que tu t’adresses à moi.— Oui, oui, ça va, pardon. Ça va très bien même. Je suis vraiment désolé.Et, je ne sais pas ce qui me prend car je suis habituellement réservé, mais je te demande:— J’ai l’impression que ce choc nous a secoués tous les deux. Ça vous dirait de boire un verre le temps qu’on reprenne nos esprits ?— Oui, mais à condition que vous payiez, je suis à sec ce mois-ci. Et je ne serai pas contre manger un bout aussi !Ton enthousiasme me surprend, mais quel plaisir. Je ne vais pas me retrouver seul devant mon assiette ce soir, et en plus en charmante compagnie. J’accepte bien évidemment.

Tu te retournes pour récupérer ton sac, et j’en profite pour mieux t’observer : une peau très claire, une taille moyenne, et des courbes qui me plaisent immédiatement. J’ai du mal à te voir avec ce que tu portes, mais ta poitrine a l’air volumineuse, et tes fesses me laissent rêveur. Je commence à me demander si ce n’est pas mon jour de chance. Il faut que je me reprenne, je viens de te causer du tort, je n’ai pas envie de passer pour un pervers si ce début d’érection que je sens devient trop important.
Nous nous dirigeons vers un café à deux pas de mon hôtel. Comme il fait doux, nous nous installons en terrasse. Nous commandons rapidement à boire et à manger, et nous nous regardons sans rien dire pendant un moment. En général, c’est le genre de situation très gênante, mais cette fois-ci ce n’est pas le cas. Tu souris et tu as l’air bien, et il en est de même pour moi. Après quelques minutes, nous commençons à parler. Tu t’appelles Maria, tu es étudiante. Nous parlons comme si nous nous connaissions déjà. C’est tellement étrange. Notre boisson arrive, la suivante, et encore la suivante. Nous avons mangé, je m’en suis à peine rendu compte. Il commence à être tard car en regardant autour de moi, je vois qu’il ne reste qu’une table occupée en plus de la nôtre.Je sens une boule se former dans mon ventre. Je n’ai pas envie que cette soirée se termine. Nous ne parlons plus. Tu as les yeux posés sur moi, les miens sont sur toi.— C’est tellement bizarre, dis-je.— Oui, me réponds-tu. C’est très étrange en effet. — Je n’ai pas envie de te laisser partir.Tu ne dis rien. Je constate simplement que le vouvoiement de notre choc initial a disparu.
Je te lance alors :— Viens !
Je te prends par la main, et je t’entraîne dans les rues de Paris. Nous marchons, divaguons, rions. La nuit est là depuis bien longtemps quand nous nous retrouvons finalement devant mon hôtel. Sans poser la moindre question, j’ouvre la porte, et je t’entraîne à l’intérieur. Tu me suis, riant doucement pour ne pas réveiller les autres occupants. J’ouvre la porte de ma chambre, et nous nous engouffrons. Je me retourne, et je te vois. Tu n’as pas bougé, mais quelque chose vient de s’éclairer dans ton visage. Une tension s’est installée. Une tension puissante, qui monte encore lorsque tu refermes la porte de ma chambre. Je te fais face. Nous sommes à un peu moins d’un mètre de distance. Nous ne nous touchons pas. Pas encore. L’air est électrique. Je n’aurais pas été surpris d’entendre le tonnerre gronder à cet instant. Toujours immobiles, nous nous regardons, mais ce que je ressens à cet instant, c’est une attirance sexuelle telle que je ne l’ai jamais ressenti pour une autre personne...
Je fais un pas. Toi aussi. Et dans un mouvement commun, je me jette sur tes lèvres, pendant que tes mains filent directement vers mes fesses. Nos bouches se dévorent, tu gémis déjà. L’excitation est telle que le moment n’est pas à la douceur... Sans attendre, je glisse mes mains sous ton débardeur. Tu ne portes pas de soutien-gorge, tant mieux, j’en profite pour attraper un de tes seins. Je le malaxe, presque sans délicatesse, j’ai une envie folle de toi. Pendant ce temps, tu as saisi ma chemise et tu tentes de l’arracher. Pas si simple, les boutons font de la résistance, mais tu y parviens finalement. Je sens mon sexe raide comme un pieu. Je te veux tellement fort qu’une fois ma chemise à terre, je glisse ma main dans ta culotte et te pénètre directement avec un doigt. Tu es trempée, ta culotte toute mouillée. Mon doigt qui te pénètre facilement te fait légèrement écarter les cuisses en même temps que tu te cambres et que tu pousses un petit cri excité. Ce mouvement nous éloigne un instant, et tu en profites pour retirer ton haut. Je découvre ta magnifique poitrine. Tes tétons et tes aréoles sont gonflés de désir. Je m’approche de nouveau de toi pour t’embrasser et te serrer fort contre moi. Je suis torse nu, et toi poitrine nue.
D’un geste, je te projette sur le lit, sur le ventre. J’ai envie de te baiser. Tu pousses un petit cri, surprise. Mais tu as l’air d’aimer quand je vois le regard que tu me lances en te retournant. Je te saute dessus et fais descendre fébrilement ta jupe et ta culotte au sol. Tu es allongée sur mon lit, les fesses tendues vers moi. Ton sexe est recouvert d’une fine toison, habilement taillée. Et surtout, il est légèrement ouvert dans cette position. Mon pantalon et mon boxer rejoignent rapidement le sol, et je m’approche de toi. — Je te veux, dis-je— Oui, vas-y, baise-moi, me réponds-tu. Je crache sur ma queue pour la lubrifier, m’approche de toi, te saisis par les hanches, et je pousse mon sexe à l’intérieur de ton intimité détrempée. Nous poussons tous les deux un soupir d’extase, comme deux amants qui se retrouvent après une longue séparation.
Tu es tellement excité qu’à peine ma queue au fond de toi, tu bouges tes fesses pour la faire s’agiter en toi. C’est le signal pour que je commence mes mouvements. Lorsqu’elle ressort une première fois, je constate que ma queue est brillante de ta cyprine. Je la rentre à nouveau, d’un geste vif, presque brusque. Tu pousses un nouveau gémissement. Je recommence le geste, mais cette fois-ci tes fesses claquent contre mon bas-ventre lorsque je retourne au plus profond de toi. J’accélère. Je te baise. Non, je te lime profondément, je te défonce même. Avec tes deux mains, tu viens écarter ton cul, m’offrant une vue divine sur ta petite rondelle. Tu aimes le sexe, ça se voit. Moi aussi, ça tombe bien.Je me démène en toi au rythme de tes soupirs et gémissements qui se font de plus en plus forts. D’une main, je prends appui sur ton dos au niveau de tes reins, ce qui a pour effet d’accentuer ta cambrure. Ton cul est totalement offert pour moi.— Ah c’est bon, tu me défonces, arrives-tu à placer entre deux coups de boutoir.Tu remontes tes bras au niveau de ton visage. D’une main tu essaies d’étouffer les gémissements qui deviennent difficiles à contrôler.Je me redresse derrière toi pour admirer ton cul qui ondule au rythme de mes coups de bite. Je suis tellement excité. Et soudain, je lève la main pour te mettre une claque sur une de tes fesses. Je n’ai pas mesuré ma force, une trace rouge apparaît. Tu pousses un cri. — Aaaah !Ma queue se déchaîne en toi, ta mouille recouvre une partie de mon bas-ventre et des draps. Je te mets une nouvelle claque un peu plus forte encore sur ton autre fesse.— Aaaaaah oui, cries-tu. Défonce-moi !J’alterne entre un rythme frénétique de ma queue dans ton vagin et les claques qui font rougir ton postérieur. Tu as l’air en transe, toute à ton plaisir. Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là. Je me rends compte que je n’ai pas mis de préservatif, l’idée ne m’avait même pas effleuré l’esprit. — Je vais gicler.— Ah oui, vas-y, lâche-toi, je viens moi aussi. Aaahhh. Je veux que tu me remplisses de sperme. — Ahhh oui.Dans un cri animal, je sens la jouissance arriver, le sperme monte dans mon pieu profondément planté en toi. Tu remontes tes fesses vers moi, me poussant le plus au fond possible. Je pose une main sur ta nuque, te plaquant ainsi encore plus sur le lit. Tu es brûlante, ta jouissance monte aussi, je peux voir tes joues devenues roses, tes yeux fermés, et ta bouche ouverte dans un cri silencieux, le visage tendu par le plaisir intense qui te traverse. Et soudain, tu pousses un cri, ton corps tremble pendant que mon sperme se déverse en toi et que l’onde de plaisir me terrasse en me faisant lourdement retomber sur toi.
Après quelques minutes, je rouvre les yeux. Je suis allongé sur toi, sur ton dos et tes fesses. J’ai le visage posé à côté du tien, tu souris béatement. — Quel orgasme ! Dis-je— Le tien ou le mien ? Car je n’avais jamais connu ça avant, soupires-tu.— Les deux je pense, c’était incroyable !
Je me retire de toi, tu te retournes, et je peux enfin prendre le temps de t’admirer, nue, totalement offerte. Tu me regardes aussi. Je baisse les yeux, je vois ta fente. Mon sperme s’écoule doucement, témoin de l’acte sexuel que nous venons de vivre. Je m’approche pour t’embrasser tendrement, et caresser ton corps avec douceur.
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