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immoral tentation

Chapitre 3

Inceste
Chapitre 3

Christine, 43 ans, la mère de Marc.Marc, 18 ans, le fils de Christine.Jeanne, 51 ans, amie de Christine et mère de François, 21 ans et l’épouse de Jean.
Le mardi soir, Marc passe un coup de fil à sa mère. Il était parvenu à avoir son code de la route, il s’est inscrit en ville comme ça il pouvait participer aux leçons durant la semaine. Il n’avait pas prévenu Christine, ne voulant pas avoir le stress de lui dire qu’il ne l’avait pas obtenu.
« Allo, maman ?‒ Marc, c’est toi ?‒ Oui maman, c’était pour t’annoncer une bonne nouvelle !‒ Ah bon ! Et qu’est-ce que c’est ?‒ J’ai réussi mon code, je n’ai fait que 2 fautes !‒ Oh, c’est bien, mon chéri, que je suis contente, alors on fêtera ça vendredi soir, on ira manger au restaurant pour l’occasion, tu es d’accord ?‒ OK, mais alors, à une seule condition !‒ Oui, laquelle, mon chéri ?‒ Que tu te fasses belle comme on en a discuté et je veux que tu sois tout le temps comme ça et même à la maison !‒ Euh..., oui..., même à la maison ?‒ Maman, je te fais plaisir en travaillant dur, tu peux faire plaisir à ton fils ! Surtout que c’est pour toi que je dis ça !‒ Oui, c’est vrai, mon chéri, excuse-moi ! C’est d’accord, maman se fera belle, j’ai fait les magasins, je te décevrai pas, je te le promets !‒ Merci maman, je t’adore, bisous et à vendredi !‒ Bisous, mon chéri ! »

Après cet appel, Christine réfléchit à ce qu’elle va mettre pour son fils ce vendredi. Marc, quant à lui, n’attend que ce moment pour pouvoir se rincer l’œil. Vendredi arrive, Christine attend comme tous les vendredis son fils devant la gare. Comme promis, elle s’est faite très belle. Très bien maquillée, avec les cheveux en chignons. Elle porte une jupe tailleur noir qui lui arrive à mi cuisse, une chemise blanche avec un décolleté qui reste correct, mais qui lui serre ses deux gros globes. Tellement serrés que les dessins du soutien-gorge se voient à travers. À ses pieds, des escarpins noirs en talons-aiguille.
Elle a bien fait attention à baisser au maximum sa jupe pour ne pas recommencer la même scène que la semaine dernière. Marc arrive un peu en retard, il pose ses bagages et rentre dans la voiture.
« Bonjour maman, ça va ?‒ Oui et toi mon chéri, félicitations ! »
En faisant la bise, Marc observe les cuisses de sa mère, il est navré de voir la jupe bien rabaissée.
« Waouh, maman, je suis très fier de toi, tu es magnifique !‒ Merci mon chéri, chose promise, chose due !‒ Et puis ce collant gris fait très bien ressortir les formes de tes jambes, tu as bien fait, bravo ! »
Arrivés au restaurant, ils s’installent à la table réservée. Marc parle de sa semaine à Christine qui l’écoute, très concentrée sur ses paroles.Un moment, le serveur leur apporte la carte du dessert, Marc choisit rapidement. Quant à Christine, elle discute sur les différents choix, en demandant au serveur de préciser ce qu’il y a dedans.En une fraction de seconde, en voyant que Christine n’est plus concentrée sur lui, une idée lui vient. Il fait tomber sa cuillère sous la table. Il se penche, ce qui lui permet de passer sous la table et de se retrouver à quelques centimètres des jambes de sa mère. Il entend qu’elle discute encore avec l’homme de service.
Marc est un peu dégoûté, Christine serre les jambes. Et au moment où il va reprendre sa place, Christine, inconsciemment, écarte les jambes. Loin d’imaginer que son voyeur de fils est à quelques centimètres de son entrecuisse, Christine discute toujours de son choix avec le serveur.Marc est aux anges, il peut apercevoir les trésors que sa mère lui cache lors de cette soirée. Il peut maintenant se rendre compte que Christine a enfilé des bas. En regardant plus loin, il peut voir son string à dentelle noire qui lui rentre dans la chatte, laissant ainsi les lèvres extérieures sans la moindre protection de tissu. Des poils pubiens sombres ressortent sur les côtés.
Marc ne traine pas et se réinstalle correctement. Christine ne s’aperçoit de rien et le repas continue. Après le repas, Marc demande à sa mère de l’attendre dans la voiture, car il va aux toilettes.Dehors, il pleut énormément.Lorsqu’il la rejoint, une autre idée lui vient en tête.Il ouvre la porte du conducteur, Christine le regarde surprise.
« Mais Marc, qu’est-ce que tu fais ? Dépêche-toi, il pleut, tu vas attraper un rhume ! »
Marc s’installe sur le côté du fauteuil.
« Laisse-moi conduire, maman, maintenant j’ai le droit, je suis en conduite accompagnée ! »‒ Quoi !! Mais, attends, tu veux déjà conduire ?‒ Oui, t’inquiète pas, j’ai déjà fait 4 heures de conduite !‒ OK, ben, laisse-moi sortir !‒ Mais non, tu as vu comme il pleut, tu vas être trempée, passe de l’autre côté, en enjambant le levier de vitesses et voilà tout !‒ Mais, Marc ?‒ Écoute maman, je suis fatigué et puis j’aimerais bien que tu m’aides à avoir ce permis, tu sais !‒ Oui, je sais, excuse-moi mon cœur ! »
Alors Christine essaye d’enjamber la boîte à vitesse, afin de pouvoir prendre la place du mort. Marc observe bien entendu ses cuisses. La jupe lui serre trop, Christine tente de la remonter un peu pour pouvoir mettre son pied de l’autre côté. Mais dans la voiture, c’est très étroit et en faisant cet ultime effort, les jambes s’écartent trop et la jupe se retrousse jusqu’au bassin.Marc a encore le bonheur de voir la lisière des bas gris et même, en prime, le bas de son string noir. En s’essayant, cela accentue le retroussement de cette maudite jupe qui passe au-dessus de ses fesses. Christine, rouge de honte, essaye en vain de baisser cette jupe qui ne veut rien savoir. L’étroitesse de la jupe sur son large, mais splendide cul, fait que le tissu est trop serré pour être redescendu. Christine ne dit rien, essayant, malgré tout, de cacher ses parties intimes à son fils avec les mains.
Satisfait et en bandant à mort, il s’installe et prend le chemin du retour. Christine ne s’est toujours pas aperçue de l’érection de son fils, pensant plutôt à faire attention à la conduite de celui-ci, car il est, dorénavant, sur la voie rapide, le chemin le plus court pour rentrer à la maison. Puis, en passant sous un lampadaire qui éclaire l’intérieur de la voiture, Christine est attirée par une forme qui attire toute son intention. Sa surprise est grande. Elle ne peut pas ignorer la bosse qui déforme le pantalon de son fils. Marc bande comme un cheval et à cause de l’étroitesse du jeans, sa queue est en biais sur le côté droit, pointant vers sa mère.Christine ne dit rien, essayant de varier ses regards sur la route et l’entrejambe de son fils. Marc sent ses regards. Il n’attend que ça.
« Oh merde, maman... !‒ Qu’est-ce qui se passe mon chéri ?‒ Je perds ma godasse de droite, je dois avoir un lacet qui doit être défait !‒ Ben, arrête-toi !‒ M’arrêter ! Non, non pas sur une voie rapide, en plus avec cette pluie, quelqu’un risque de ne pas nous voir et nous rentrer dedans, c’est pas prudent !‒ Oui c’est vrai..., tu vois, je te l’avais dit de ne jamais prendre des baskets plus grandes que tes pieds, tu as une sale manie... !‒ Oui, excuse-moi maman..., tu..., tu pourrais me faire mon lacet, s’il te plaît ? »
Christine est surprise de la demande de Marc, elle sait très bien qu’en se penchant vers son fils, ceci la rapprochera de la verge tendue de celui-ci.
« Marc, voyons, tu es sûr que tu ne peux pas continuer comme ça ?‒ Je te jure que non, et franchement, je ne tiens pas avoir un accident, maman !‒ Bon d’accord, c’est la jambe droite, c’est ça ?‒ Oui... ! »
Christine se penche alors vers son fils, toute tremblante. Avec ses deux bras tendus, elle tente d’attraper ses deux ficelles.
« Je ne vois rien, Marc, éclaire la lampe en haut ! »
Marc s’exécute et quel bonheur pour lui ! La voiture, ainsi éclairée et Christine penchée comme ça sur lui, elle lui montre inconsidérément son cul à l’air. Du fait qu’elle est penchée, la jupe suit le mouvement en remontant au-dessus du bassin. Marc contemple son cul habillé seulement de son string noir dont la ficelle disparaît dans sa raie fessière. Christine, de son côté, essaye de ne pas trop se pencher, la bosse qui déforme le jeans de Marc est à quelques centimètres de son visage. Ayant honte, elle fait tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas y prêter attention.
« Maman, dépêche-toi, on va bientôt sortir de la voie rapide et je ne peux pas rétrograder vu que tu es penchée sur la boîte de vitesses.‒ Oui Marc, je fais ce que je peux ! »
Christine n’a pas le choix, ses bras sont trop courts, elle va devoir plus se pencher. Puis contre son gré, elle se penche, ce qui lui permet d’attraper les deux ficelles. Mais aussi de coller son visage sur la verge de Marc. Marc est au paradis, il bande comme un fou et sa mère a le visage posé dessus, avec le cul à l’air. Christine, dans un dernier effort, essaye de faire rapidement le nœud, le membre de son fils, à cause de ses mouvements, frotte contre sa joue, son menton, sa bouche, contre le nez. Christine peut, involontairement, s’apercevoir de la rigidité de la queue de son fils.
« Ça y est, Marc !‒ Aah, merci maman ! »
En se redressant, Christine peut voir la luminosité de la voiture. Rouge de honte d’avoir laissé voir, inconsciemment, à son fils, sa partie dénudée, elle éteint rapidement la lumière et remet ses mains pour cacher ce qui n’est, dorénavant, plus un secret pour Marc. Arrivés à la maison, Marc se propose pour faire le tour de la maison pour fermer les volets. Christine rentre dans la maison toute confuse. Marc rentre par la suite et dit bonsoir à sa mère en montant se coucher. Christine quant à elle rejoint sa chambre. Sans faire un bruit, Marc sort de sa chambre et se dirige vers celle de sa mère. Ayant maintenant l’habitude de vivre seul la semaine, elle n’a plus le réflexe de fermer la porte de sa chambre. Marc très malin l’a deviné. Il se place à l’entrebâillement de la porte, sans se faire voir et observe Christine lui faire un strip-tease involontaire. N’ayant toujours pas retiré ses escarpins noirs, elle retire sa chemise, son soutien-gorge noir à dentelle, laissant apercevoir ses larges aréoles à travers, ce qui la rend encore plus sexy. Son soutien-gorge a du mal à contenir les seins et paraît trop petit, ainsi, les aréoles dépassent le tissu par le haut. Puis, elle retire sa jupe qui lui serre les fesses. Ainsi Christine, sans le savoir, se tient à 2 mètres de son fils, seulement habillée de talons avec ses bas gris, en string noir à dentelle assorti au soutien-gorge.Marc se branle à travers le pantalon, mais doit se retirer pour ne pas se faire surprendre par sa mère. Il rentre dans sa chambre bandant comme un fou.
« Oh maman, comme tu es bonne..., un jour je te baiserai... ! »
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