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immoral tentation

Chapitre 5

Inceste
Lundi matin, après avoir déjeuné, Christine amène Marc à la gare.Christine n’a pratiquement pas décroché un mot depuis les discussions qu’ils ont eues.Durant la route, Marc, un peu navré, tente une approche :
« Maman, excuse-moi pour hier, tu m’en veux ?‒ Mais non, mon cœur, je ne t’en veux pas ! C’est juste que tu veuilles tellement changer mon comportement, d’un coup, que je n’y suis pas habituée, c’est tout ! »
Rassuré, Marc monte le son de la radio.Après avoir déposé son fils, Christine fait quelques courses et rentre chez elle. Elle ne travaille pas cette semaine, elle a pris une semaine de congé. Secrétaire dans une grande surface, son travail lui laisse tout le temps pour parvenir au besoin de sa maison, comme ménage, cuisine, entretien de la maison et s’occuper de Marc.Vers 10h00 du matin, le téléphone sonne.
« Allo ?‒ Allo Christine, bonjour, c’est Rose !‒ Oh Madame Martin, comment allez-vous ?‒ Oui, ça va, ça va ! »
Depuis 5 ans, Christine a emménagé dans cette maison avec Marc, après la séparation de Gérard, le père de son fils.Avant d’habiter dans ce hameau, hors du village, ils logeaient dans un lotissement calme.Christine avait beaucoup sympathisé avec Rose Martin, sa voisine. Souvent celle-ci s’occupait de Marc, lorsqu’elle partait au travail et pendant que Gérard traînait les bars et le lit de certaines salopes de la ville voisine. Rose, pour Christine, était comme une deuxième mère.
Habitant loin de chez ses parents Rose était la voisine idéale. Léon, le mari de Rose est plus solitaire, s’occupant beaucoup de sa passion, la menuiserie, créer des petites pièces etc. À maintenant 72 ans, Léon se fait plus vieux et doit abandonner toute activité, passant dorénavant ses après-midi à lire, à jouer aux cartes ou regarder la télé.
« Christine, dis-moi, je suis piégée et j’ai besoin de toi, si ça te dérange pas ?‒ Oui, bien-sûr, avec tous les services que tu m’as rendus dans le passé, ça serait normal !‒ Ben voilà, le club des anciens du village organise une sortie de 2 jours. Léon et moi aurions dû y aller. Malheureusement, ce matin, Léon n’est pas bien du tout, je veux rester pour m’occuper de lui. Mais mon mari veut quand même que j’y aille. Je serais moins inquiète si tu pouvais venir les après-midi pour t’occuper de lui, tu vois ?
‒ Oh mais, Madame Martin, bien-sûr, allez-y et je viendrai tous les après-midi pour m’occuper de lui, ne vous inquiétez pas !‒ Oh c’est gentil, ma fille, je suis contente ! Alors, je te fais confiance ! Il y a des médicaments à lui, au-dessus du frigo, il doit en prendre un à midi, un le soir !‒ Très bien, je ferai comme ça, bon voyage, au revoir Madame Martin ! »
Après avoir raccroché, il faut changer de programme pour Christine. Le ménage ne sera pas fait ce matin.Vers 13h00, après avoir mangé, elle prend la voiture pour se rendre chez Rose. 20 minutes plus tard, la voiture est garée dans l’allée de la maison, Christine sonne à la porte.Elle ne s’est pas changée pour se rendre chez son ancien voisin. Christine a gardé sa robe noire qui lui comprime son énorme poitrine et lui bombe bien le cul. La robe lui arrive à mi-cuisse et pour se couvrir les jambes, elle a décidé de porter des collants résilles noirs. Aux pieds, ses bottes noires en cuir.Le chien se met à aboyer, Christine entend Léon lui dire de se taire.
« Bonjour Christine, vas-y, rentre !‒ Bonjour Mr Martin, comment allez-vous ?‒ Oh ben, ça va mieux, on va dire, mais fallait pas te déranger ! »
Christine rentre, Bruce, le labrador commence à sauter sur Christine pour jouer.
« Bruce, voyons..., ça suffit, allez ouste !! »
Léon invite Christine dans le salon, celui-ci était en train de regarder la télé.
« Vous voulez boire quelque chose ?‒ Ah non, Mr Martin, je ne suis pas là pour ça, je suis venue prendre soin de vous. C’est votre femme qui me l’a demandé !‒ Mais, il ne fallait pas !‒ Si, et ça me fait plaisir, alors que faut-il que je fasse ? »
Léon s’assit sur son canapé.
« Ben écoute, il faut donner à manger au chien, puis y a la vaisselle qui n’est pas faite. Mais vous n’êtes pas obligée, vous savez !‒ Ne vous inquiétez pas, Mr Martin, je m’occupe de tout, reposez-vous ! »
Christine se dirige vers la gamelle du chien pour lui donner sa pâtée. En l’appelant, Bruce court vers elle. Mais le chien, voulant à tout prix jouer avec sa nouvelle camarade, il lui saute dessus. Christine tombe à la renverse, se rattrapant avec ses mains. Léon entend le bruit, se lève pour voir ce qui se passe.
Il retrouve Christine essayant de repousser le chien qui veut lui lécher le visage. Elle a le cul à terre et concentre ses efforts pour le repousser, elle a ses jambes à l’équerre. Léon reste figé sur la scène et surtout sur l’entrejambe de Christine. À travers le collant résille, il peut distinguer un string en dentelle blanc.
Léon rappelle son chien et Christine peut enfin se relever.Elle n’a pas remarqué que le léger décolleté de sa jupe s’est énormément baissé dans l’action à cause de la lourdeur de ses seins.Léon essaye de ne pas trop regarder peur d’être surpris. Il retourne au salon.Christine rajuste sa jupe. Le chien ne veut pas obéir, il mord le bas de sa robe et commence à la tirer vers lui. Christine crie de le lâcher.
Léon revient vite dans la cuisine. Il va mettre un pied au cul à son chien. Mais la scène est trop érotique pour lui. Le chien tire sans s’arrêter sur la courte robe. Celle-ci est remontée au-dessus du bassin, dévoilant entièrement ses jambes à Léon.
Léon ne crie plus sur le chien, lui disant seulement de s’arrêter, en fixant la scène.Christine tombe en avant et la robe remonte jusqu’à la tête. Malgré ses efforts, Christine tombe à la renverse. Ses seins qui sont emprisonnés dans un soutien-gorge blanc en dentelle assorti au string, sortent brusquement des balconnets. Les larges aréoles et les gros tétons de Christine se balancent dans tous les sens devant Léon qui mate comme un vieux pervers.
Le chien redoublant d’efforts, la robe passe par la tête et le long des bras, puis Christine lâche prise et Bruce, content, part dans la salle à manger avec son trophée durement gagné. Christine, rouge de honte, remet rapidement ses seins dans le soutien-gorge et essaye, ironiquement, de se cacher les seins avec une main et de l’autre son entrejambe.
« Je suis vraiment désolé, Christine, quel vilain chien !‒ Oh, hum, mais où est ma jupe ? »
Ils partent à la recherche de Bruce, mais il est trop tard, la robe est maintenant toute baveuse. Léon le prend par le collier et le met dehors. Christine prend la robe. Ne pouvant par rester dénudée comme ça, elle prend la décision de la remettre.
« Vous n’allez pas remettre ça, mon enfant, votre robe est toute baveuse !‒ Mais je ne peux pas rester ainsi, ça se fait pas !‒ Mais si, voyons, il fait chaud dans la maison, allez dans la buanderie et mettez-la à laver ! Puis venez vous réchauffez devant la cheminée ! »
Christine écoute Léon, puis se met devant la cheminée, à côté de Léon."Il ne pourrait pas me passer un des vêtements de sa femme ?", se dit-elle, un peu perturbée de son accoutrement.Léon lorgne sans cesse ses énormes seins, les aréoles dépassent du soutien gorge tellement elles sont larges.Son collant en résille noir lui va divinement bien remontant au-dessus du bassin.Tout ceci avec ses bottes..., superbe !Léon sait très bien qu’il peut offrir un vêtement de son épouse, mais faut se mettre à sa place, ce n’est pas tous les jours que l’on a droit à un tel spectacle, « en live », chez soi.Il n’a pas tord d’en profiter un peu.1/4 d’heure après, Léon propose une partie de cartes à Christine ; elle accepte volontiers.Pendant toute la partie, elle remarque les regards de vieux pervers sans rien pouvoir y faire.Puis vers les 18h00, lorsque la robe est sèche devant la cheminée, elle se rhabille, dit au revoir à Léon en lui laissant le dîner préparé pour le soir.Léon est finalement ravi de cet après-midi et la remercie.Christine rentre chez elle, la tête bouillante essayant de penser à autre chose que cette odieuse fin de journée.Le lendemain après midi, Christine retourne rendre visite à Léon.Elle a, cette fois-ci, prévu le coup en enfilant un jeans et des baskets.Elle se dit : "là, mes coco, vous ne m’aurez pas !".Arrivée là-bas, Christine sonne plusieurs fois sans réponses.Elle s’inquiète, craignant qu’il lui soit arrivé quelque chose pendant son absence.Elle entre par derrière.Et après l’avoir cherché partout dans la cuisine et le salon, c’est dans son atelier qu’ elle le trouve, assis sur un chaise, la tête entre le mains.
« M. Martin, mais qu’avez-vous ? Depuis tout à l’heure, je vous cherche! !‒ Oh Christine, je ne suis pas bien, vous savez ! »
Christine le prend sous le bras et le ramène au chaud à l’intérieur, puis lui sert un café.
« Mais qu’avez-vous, M. Martin ?‒ C’est vous !‒ Moi... ?‒ Oui, hier en jouant aux cartes, vous m’avez fait rappeler ma fille Isabelle ! »
Isabelle avait le même âge que Christine, elle est morte d’un accident de voiture dans les années 80, elle avait 24 ans.Depuis, Léon ne s’en est jamais remis.
« Oh, je suis désolée, M. Martin, ce n’est pas ce que je voulais !‒ Je sais bien ma petite, mais quel choc ! Et où est ma femme, non d’un chien, je ne la vois plus !‒ Votre femme revient demain matin, ne vous inquiétez pas ! »
Christine est prise de compassion pour cet homme qu’elle prenait pour un vieux pervers.Elle s’en veut énormément.
« M, Martin, voulez-vous que je fasse quelque chose pour vous ?‒ Oui, allez me chercher sa photo qui est sur sa table de nuit ! »
Christine part dans la chambre récupérer le portrait d’Isabelle. Dans sa chambre, rien n’a changé depuis sa mort. Elle revient vers Léon et lui donne la photo.
« Oh ma chérie, elle me manque tellement !‒ Ne pleurez pas, M. Martin !‒ C’est gentil, ma petite, mais vous lui ressemblez tellement !‒ Vous trouvez ?‒ Oh que oui, il suffirait que vous vous habilliez comme elle, à l’époque et vous verriez votre ressemblance !‒ Ah ben, ben, c’est marrant ça !‒ Oh, j’ai une idée, voulez-vous vous habiller comme elle, pour vous en persuader ? »
Christine ne voulant pas lui faire plus de mal se prête au jeu.Ils se rendent tous les deux dans la chambre de la jeune fille décédée.Léon fouille l’armoire. Il sort une robe bleue sans manche.Puis, voulant allez plus loin, il sort des sandales à talon doré.Christine s’approche, en croyant la fouille finie. Mais Léon ouvre l’autre porte, elle se demande ce qu’il veut rajouter de plus. Léon a choisi les grands moyens car il pose soigneusement sur le lit, un porte-jarretelle en soie, avec des bas nylons couleur chair.Une culotte en soie blanche avec dentelle transparente par le devant et un soutien-gorge en soie blanche dont les balconnets sont aussi, en dentelle transparente.Christine reste bouche bée.
Elle regarde ses futurs vêtements en se demandant pourquoi il veut qu’elle mette ça.Léon sort de la pièce en lui disant : "je vous laisse vous habiller".Seule dans la chambre, le visage bouillant, elle prend 5 minutes pour se décider et s’habiller comme Léon lui a demandé.
Arrivée en bas des escaliers, Léon reste figé sur place. Christine est très belle, la robe bleue lui arrive à mi-mollets et avec les talons, c’est superbe.Mais un seul détail fut oublié. Christine a une poitrine beaucoup plus opulente qu’Isabelle, et donc seulement le quart des seins de Christine entre dans les balconnets.Ceci fait remonter les tétons en avant et malgré la robe, on distingue clairement les tétons à travers.Elle a beaucoup hésité avant de le mettre, mais pour lui faire plaisir, elle joue le jeu jusqu’au bout.
« Oh, Christine, vous lui ressemblez beaucoup, vraiment !‒ Vous..., vous trouvez ?‒ Oui, pourriez-vous rester comme ça l’après-midi, s’il vous plaît, ça me ferait très plaisir. Et puis, ça me fera penser aux journées que je passais avec ma fille !‒ Euh..., oui pourquoi pas, si ça peut vous faire plaisir ! »
Léon s’assied devant la télé, mais ne la regarde pas, fixant Christine qui joue le rôle d’Isabelle.Cette dernière fait un brin de ménage, sort le chien et finit la vaisselle.À un moment, Léon s’approche de Christine, il lui dit :
« Ça va, ma fille ? Je peux vous appeler comme ça, ça ne vous dérange pas ?‒ Non, M. Martin, faites comme vous voulez ! »
Alors Léon pose sa main sur le dos.
« Tu es une bien gentille fille !‒ Oui M. Martin ! »
Christine continue sa vaisselle, mais tout son corps tremble.Elle se pose la question : jusqu’où il va la considérer comme sa fille ?Puis Léon, sans prévenir, baisse la main et la pose sur son cul.
« Tu es bien gentille ! »
Christine ne répond rien, elle fait seulement des gros yeux tout en continuant la vaisselle.La main de Léon commence à caresser ses fesses.Christine se demande si tout ça ne va pas trop loin.Puis perdue dans ses pensées, elle fait tomber une assiette qui se casse au sol.
« Ah ma fille, tu ne peux pas faire attention, non ?‒ Je suis désolée, M. martin ! »
Sous le ton sévère de Léon, Christine est prise de panique. Elle se baisse rapidement pour réparer les dégâts.Léon la prend par le bras. Christine, surprise, le regarde.
« Tu sais ce qui se passe quand on fait une bêtise, Isabelle ?‒ Mais je..., M. Martin, je ne suis pas Isabelle !‒ Quoi, tu oses répondre..., vilaine fille, attends, tu vas voir ! »
Léon la secoue, puis la tire par le bras. Christine ne sais pas quoi faire et ne lui oppose pas de résistance.
« Arrêtez M. Martin, vous me faites mal au bras !‒ Oh ce n’est rien, comparé à ce qui t’attend, fillette ! »
Ils arrivent dans le salon. Léon tire une chaise vers lui et s’y pose dessus.
« Allez, enlève-moi cette robe pour que je te mette la fessée que tu mérites !‒ Quoi ???? Mais, ça ne va pas... M. Martin, tout ça va trop loin, reprenez vous, voyons ! »
Léon ne veut rien entendre et la tire vers lui, la retourne et tire la fermeture éclair jusqu’en bas. Christine tente de se débattre, mais malgré l’âge, le vieil homme a gardé toute sa vigueur.La robe ne met pas longtemps pour être retirée. Christine tente de partir, mais Léon la tient pas le bras. Il peut la contempler telle qu’elle est maintenant.Ses sandales dorées, un porte-jarretelle en soie blanc qui tient des bas nylons de couleur chair.Une culotte en soie blanche, trop petite pour Christine, qui a un cul plus large qu’Isabelle.Ce qui veut dire que c’est comme si la culotte était à moitié mise, malgré toute sa volonté, Christine ne parvient pas à la remonter au-dessus de ses fesses.Les poils pubiens dépassent vers le haut et on peut aussi les voir à travers le tissu de dentelle transparente.Le soutien-gorge, trop petit, n’a pas tenu longtemps les gros seins, ceux-ci sont tous les deux sortis se balançant d’un côté à l’autre.
« Allez, viens ici, maintenant, petite mal élevée !‒ Oh, M. Martin, mais vous êtes fou, ma parole... ! »
Léon la tire vers lui. Il la force à se mettre à genoux et de poser son torse sur ses cuisses.Les seins de Christine s’écrasent contre celle-ci.
« Ah voilà, maintenant, je vais te punir ! »
Léon lève la main, puis d’un coup, gifle les fesses de Christine, à moitié dénudées par la culotte trop courte.
« Aïe !!! Mais, ça va pas, arrêtez ! »
Léon recommence la même manœuvre et les fesses claquent sous les coups.
« Voilà ce qui arrive lorsque l’on n’obéit pas à son père !‒ Mais, je ne suis pas votre fille ! »
Clac, Léon n’en n’a que faire des paroles, il continue sa punition.
« Maintenant, compte avec ton père jusqu’à 20, sinon on recommence, t’as compris ?‒ Mais, M. Martin, je ... ! »
Clac !!!Léon ne la laisse pas continuer. Les fesses de la femme soumise commencent à rougir.Et Christine sent que son cul commence à chauffer. Léon cesse ses gestes brusques.
« Et ta culotte, là, hein ? Elle ne sert à rien, ta culotte pour une fessée !‒ Non, arrêtez, non ! »
Léon baisse d’un trait la culotte jusqu’aux genoux et recommence à lui gifler durement le cul.Christine essaye de se débattre, inutilement face à la poigne de ce vieil homme qui cache bien son jeu sur sa force physique.
« Allez, compte !‒ Aaaaaaaaaaahhh !!! M. Martin, je vous en supplie, arrêtez !!‒ Allez, compte, je te dis ! »
Christine n’a pas bien le choix.Si elle ne compte pas ce traitement pourrait durer indéfiniment.
« 1..., 2..., !‒ Oui, ça y est, te voilà raisonnable, allez compte ! »
Christine se soumet à Léon et compte jusqu’à vingt. Léon, essoufflé, se frotte le front avec son bras droit pour essuyer la sueur due à son activité.Christine respire fort, les larmes aux yeux, elle vient tout de même de recevoir plus de vingt coups par cet homme à qui, au départ, elle venait ici pour s’occuper de lui.
Léon pose tendrement sa main sur les fesses de Christine et les caresse doucement.
« Voilà, tu as obéi. J’espère que tu as compris et que tu ne feras plus de bêtises, ma chère fille ?‒ Oui..., M. Martin ! »
Puis le doigt de Léon commence à passer sur la raie fessière. Il descend avec assurance et le doigt s’arrête sur l’anus de Christine. Celle-ci a un sursaut. Elle prend peur, ce doigt, il ne l’a pas mis là par hasard !S’il m’a giflé les fesses, il est tout aussi capable de me faire autre chose, se dit-elle.Christine commence à se lever et empêche la main perverse du vieil homme d’aller plus loin.Mais brusquement, Léon lui prend les deux mains et les met derrière le dos de Christine.Son corps se recouche brusquement sur les cuisses du vieux salop.Dans cette position, les mains tenues derrière son dos, elle ne peut plus rien faire.
« Oh, mais que faites-vous M. Martin, je vous ai obéi !‒ Oh mais, dites-donc jeune fille, vous m’auriez pas caché quelque chose, par là, hein ? Il est vrai que je vous ai laissée toute seule dans la chambre de ma fille, quelque chose me dit que vous auriez pu voler des bijoux qui se trouvent dans la pièce !‒ Non arrêtez, je ne suis pas une voleuse, laissez-moi ! »
Léon pousse petit à petit son majeur contre les parois du fion.Christine tente de le lui en empêcher, en faisant basculer son cul dans tous les sens.Mais ceci excite encore plus le vieux pervers à poursuivre son exploration.
« Aaah, tu ne veux pas me laisser voir, hein ? Ça veut dire que je ne me suis pas trompé..., petit voleuse !‒ Non, M. Martin, vous vous trompez... Arrêtez, s’il vous plaît ! »
Mais Léon n’écoute rien et après un effort, son doigt commence à disparaître dans le cul de Christine.
« Aaaaaaaahhh !!! Nooon !! Oh mon dieu, M. Martin, retirez-vous !‒ Attendez, laissez-moi voir ce que vous cachez ! »
Finalement, c’est le doigt entier qui rentre dans le cul de Christine.Christine ne bouge plus, car le moindre de ses mouvements ne fait qu’étirer d’un côté à l’autre l’anneau de son anus.N’ayant jamais pratiqué la sodomie, la pénétration du doigt de Léon lui donne une certaine douleur.Mais celui-ci ne l’entend pas de cette oreille et commence alors un va et vient qui augmente de vitesse en quelques secondes.
« Aaaaah, M. Martin, mais que faites-vous, vous avez dit que c’était juste pour voir..., retirez-vous, vous me faites mal !‒ Vous n’allez pas me dire ce que je dois faire..., je fais ceci pour me rendre bien compte si vous n’avez rien mis tout au fond de votre cul ! »
Les autres doigts de la main exploratrice claquent contre les fesses, à chaque venue dans l’anus.Ça fait au moins bien 5 minutes que Léon la martèle avec son majeur. Christine ne dit plus rien. Au contraire, à la grande surprise du vieillard, Christine commence à faire de grands soupirs, comme si elle commençait à avoir un orgasme.
« Dis-donc- petite garce- mais c’est que tu commences à aimer ça- on dirait, tu n’as pas honte ?‒ Ah..., ahhhh, non, arrêtez, je ne veux pas, noon ! »
Christine est morte de honte, malgré ses protestations... Elle commence, malgré elle, à prendre son pied avec ce doigt orgueilleux qui ne s’arrête pas de rentrer et sortir dans son anus qui est encore vierge à 43 ans !Jamais, elle n’a donc ressenti les joies de la sodomie, il faut que ce soit un vieux pervers qui lui fasse découvrir cette nouvelle façon de jouir en tout bien tout honneur.Léon lui lâche les mains, il ne se gène plus. Il lui prend ses gros seins qui pendent et se balancent sous la cadence des coups de sa main.Christine n’est plus dans son état normal, elle n’impose plus aucune résistance et ses mains sont posées sur les cuisses de son administrateur pour se maintenir par rapport aux coups.
« Tu aimes ça, petite salope, hein ? Ça te demande de te montrer à poil devant moi ?‒ Aaah, ah, ah..., M. Martin, ooohhh, enlevez-vous ?‒ M’enlever, mais tu en redemandes, petite salope…, attends, tu vas voir ! »
Léon la soulève. Il baisse sa braguette et baisse son slip.Il sort un membre bandé dont le gland est gonflé d’envie.
« Oh, mais que faites-vous ?‒ C’est bien clair, tu vas me sucer, allez !‒ Non pas ça !! »
La main droite toujours de le cul, la main gauche est posée sur la tête de Christine, essayant de la forcer à pencher la tête vers cette queue qui n’attend que sa bouche pour être sucée.
Christine s’appuie de toute ses forces pour ne pas avoir à faire ce qu’il demande ou plutôt ce qu’il lui ordonne.Après avoir essayé sans y parvenir, Léon sort sa main droite de son cul pour remplacer celle de gauche.Avec l’autre main libre, il prend sa verge et commence à la branler sous les yeux de Christine qui n’arrête pas ses efforts pour ne pas à avoir à goûter ce sexe.
« Ooohh oui, salope, je vais te décharger dessus, tu vas voir. Ooohh ! »
Christine ne dit rien, trop occupée à repousser ses avances. Puis d’un coup, Léon explose.
« Oohh oui, ça y est, ooohhhh, je jouis, oui..., oh oui, saloooope ! »
Léon ferme les yeux la tête dirigée vers le ciel. Une première giclée de sperme sort d’un coup du gland du vieil homme, s’écrasant sur la joue de Christine. Celle-ci, surprise, a la maladresse de relâcher ses efforts. La main de Léon lui fait rapprocher son visage de la queue. Léon continue à se branler et le reste sort en plusieurs giclées.
Christine reçoit, impuissante, tout le sperme sur son visage, en faisant un râle de dégoût, tout en fermant les yeux.Elle en partout, sur le front, le nez, les joues, les lèvres et le menton. Léon a bien joui, il est satisfait. Il prend sa queue et la frotte contre le visage de Christine qui ne dit rien et se laisse faire.
On peut voir sur son visage, son air dégoûté. Il lâche Christine et se retire. Celle-ci se lève, remet la culotte qui est restée sur ses genoux et part dans la salle de bain, pour se nettoyer le visage, puis remonte dans la chambre pour se rhabiller, comme quand elle est arrivée.Léon monte et ouvre la porte.
« Vous vous êtes rhabillée ? »
Christine ne répond rien et sort de la chambre, une fois rhabillée.Léon la retient par le bras.
« Attendez, voyons, je voudrais m’excusez et je... ! »
"Clac"Christine gifle Léon.
« Espèce de vieux pervers, vous avez abusé de ma gentillesse. Vous mériteriez que je vous balance aux flics !‒ Non..., attendez Christine... !‒ Non, je ne veux rien savoir... ! »
Christine descend et ouvre la porte d’entrée. Léon la suit, voulant s’excuser !
« Je ne ferai rien, juste par respect pour votre femme qui a été si gentille avec moi par le passé ! Sur ce, nous ne nous reverrons plus jamais ! »
Christine claque brusquement la porte et rentre chez elle.Christine se demande si elle ne vient pas de vivre un cauchemar.Elle s’en veut d’avoir été si gentille avec ce sale pervers, mais surtout d’avoir défailli sous le doigt audacieux de cet homme.Elle rentre chez elle en se sentant coupable et prend la décision de ne surtout pas en parler à son fils car ceci le brusquerait, il est si fragile, se dit-elle.Mais elle est bien loin de se douter que les pensée de son fils ne sont pas différentes de celles de Léon.

la suite bientôt ...
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