Raphaël ne semble pas avoir entendu son réveil. Je vais devoir aller le voir. Je ne sais pas à quoi m’attendre. Je pousse la porte. Il est sur son lit, sur le dos. Sa position me fait penser à une grenouille. Les draps sont repoussés, me laissant une vision complète sur un slip moulant ne cachant pas son état. Il a une érection. Ce matin, je n’ai pas envie. Je profite de son air endormi pour faire demi-tour. — Jade ! m’appelle-t-il. Il semble que nous allons pouvoir faire une autre tentative…— Tu dois aller à l’université. En plus, nous ne pouvons pas le faire dans le dos de ton frère, lui rappellais-je.— Ne t’inquiète pas pour l’université, il me reste encore quelques heures avant de devoir y aller. Nous ne pouvons pas laisser passer cette opportunité, n’est-ce pas ? m’interroge-t-il.” J’aurais mieux fait de ne pas le regarder. Il semble si innocent et de bonne volonté. J’ai envie de lui céder. Je m’approche pour poser un baiser sur son front, comme s’il était un enfant. J’aurais dû me méfier. Ses mains caressent mes cuisses nues, sous ma robe de chambre en soie. Son visage est collé à mon ventre. Mes fesses se font peloter.
Rien n’est dit. Il n’y a pas besoin de mot. Je sais ce qu’il va arrivé et je ne vais pas résister. Raphaël se lève. Ses yeux dans mes yeux, il se lèche les lèvres. Il est concentré sur sa tâche à accomplir : baiser sa belle-soeur. Sans rompre le contact visuel, il baisse son slip. Son sexe frotte contre mes jambes. J’écarte ma robe de chambre, avant de la laisser tomber au sol. Il ne se jette pas sur moi. Il me retourne. Laisse ses mains parcourir mon corps. Sa bite est entre mes fesses. Je sens ses soubresauts, dus au sang qui s’accumule. Il ne fait aucun doute qu’il me désire. Il me caresse la poitrine. Son pouce passe sur mes mamelons. Il les pince, les tire… Ces sensations… Je suis confuse. J’aime ses caresses. J’aime son corps. J’aime l’avoir en moi. J’aime le sexe. Il y a aussi de la culpabilité à prendre autant de plaisir dans d’autres bras que ceux de mon mari.
Une de ses mains descend dans mon dos. Mes fesses sont palpées. Ses doigts continuent leur chemin dans ma raie. Il tourne autour de mon oeillet plissé. Il semble tester sa résistance. Personne ne m’a jamais touché là. Ce n’est pas une baise rapide. Raphaël semble vouloir une relation sexuelle pleine d’amour, de sensualité et de douceur. Il me surprend encore une fois. Une porte claque dans la maison. Cela me fait reprendre mes esprits. Je quitte sa chambre, le laissant avec son excitation et ses envies. Quand il arrive dans le salon, je parle avec Gabriel. Je suis surprise de voir celui-ci hocher la tête. Je me retourne pour trouver Raphaël avec le slip déformé par son désir. Il enlève son sous-vêtement sans aucune gêne. — Désolé, Jade, mais nous ne pouvons pas gâcher cette occasion, me déclare-t-il.” Je suis gênée. Je rougis. Je suis dans le salon avec uniquement une culotte de dentelle rentrée dans mes fesses. Je suis exposée aux regards. Gabriel ne fait rien. Il nous regarde. Finalement, il se dirige vers son frère. Il lui tapote l’épaule et continue son chemin sans un mot. Mon attention se concentre sur Raphaël qui se rapproche. Mes mamelons pointent toujours. Ils semblent exercer un attrait magique sur le jeune homme. Il en prend un en bouche. Sa langue tourne autour. Ses dents viennent le pincer. Je veux qu’il arrête de me sucer. Je veux arrêter l’excitation qui monte en moi. Je ne peux pas l’arrêter. Je fais de mon mieux pour ne pas aimer ces relations sexuelles avec mon beau-frère. Je crains de compliquer les relations familiales. Son désir sexuel est contagieux. Je n’ai jamais ressenti de telles émotions auparavant. Raphaël profite au maximum de la situation. Il touche mon corps. Il me suce la poitrine. Un de ses doigts teste encore une fois mon entrée plissée.J’ai l’impression de me transformer en prostituée. Mes mains attrapent son érection furieuse. Le dysfonctionnement érectile de mon époux m’a privé de ces sensations. C’est chaud et palpitant. Raphaël me regarde dès l’instant où je tiens son membre entre mes doigts. Ses yeux ont un feu en eux. Ma participation semble avoir réveillé quelque chose en lui. Son pouce vient caresser mes lèvres. Il entre dans ma cavité buccale. Il le remplace par d’autres doigts qu’il fait entrer et sortir. Il reproduit l’acte sexuel dans ma bouche. Nos regards ne se quittent pas. Je sais ce qu’il veut. Je ne suis pas prête à le lui donner. Il me pousse vers le bas. Il me veut à genoux. Je refuse et cela l’excite, mais le met aussi en colère. Je ne fais pas tout ce qu’il souhaite. Je ne réalise pas toutes ses envies, ses fantasmes, ses désirs… Je suis retournée, penchée sur la table à manger. Les fessées tombent sur mon postérieur rebondi. L’excitation et la douleur se mêlent. Il se baisse pour lécher ma peau rougie. Il me mord. Il me marque comme sa chose. Deux doigts entrent dans mon intimité brutalement comme pour me punir. Je ne suis pas assez humide à son goût. Il crache sur ses doigts. Le sentir en moi est mon plaisir. Il insère son membre. Je m’étire. Il me remplit. Il palpite. Je n’ai aucune vision sur lui. Quelques poussées me font gémir. J’aime le sentir avancer en moi. Il semble qu’il s’échauffait. Il me martèle. Il est en rut. Il est perdu dans son monde. Il se pousse si fort en moi, que j’ai du mal à garder la position. Je replie mes bras sous mon visage. Il appuie sur mon dos. Je le sens encore plus si cela est possible. Il me retourne pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je sens qu’il veut vraiment que je le suce. Je suppose que ma bouche autour de son membre pourrait être un spectacle à regarder pour mon mari. Je me laisse pousser vers le sol. Il veut retenter sa chance. A peine agenouillée, il atteint son apogée. Il me prend par surprise. Sa bite ne s’est pas approchée de ma bouche qu’il a éjaculé sur mon visage. Il semble déçu de voir son sperme sur mon visage. Je sourie. J’ai envie de rire. C’est un bon début de journée. — Raphaël, il va falloir apprendre à te contrôler. Ce sperme sur mon visage ne m’est d’aucune utilité. Souviens-toi que j’ai besoin que tu te libère en moi, que tu laisses une partie de toi en moi, que tu m’imprègne, lui acénai-je." J’ai beau avoir dit ces mots, je vois bien qu’il ne m’écoute pas. Il passe son pouce sur mon visage pour tenter d’essuyer cette marque. Il ne fait qu’étaler sa semence. La porte d’entrée se ferme. Mon époux a quitté la maison pour se rendre au travail.