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Imprégnée par mon beau-frère

Chapitre 5

Au lit

Inceste
Au moment où Gabriel est arrivé, je m’étais fait prendre dans tous les coins de la maison. Toute ma frustration refoulée était sortie. Toute celle de Raphaël de voir son frère marié sans pouvoir toucher s’était déversé sur moi. Il faut donc maintenant faire comme si de rien n’était, mais je ne suis pas certaine d’y parvenir.

Gabriel voit bien les changements. Il est méfiant. Je sens son inquiétude de perdre sa place au profit de son frère. Il a remarqué que je porte une jupe que j’adore, mais n’avais pas ce matin. Une jupe en sari recyclé qui m’arrive à mi-mollet. Parfois ma jambe passe par l’ouverture selon qu’elle se soit déplacée au niveau de l’accroche. Mes mamelons ne sont pas visibles sous mon débardeur, mais il n’y a pas de bretelles visibles et mes tétons pointes, n’espérant qu’être de nouveaux touchés.
Raphaël n’est pas dans une tenue appropriée. Il ne porte en tout et pour tout qu’un boxeur. Encore une fois, il est excité. Son érection est très visible. Elle semble chercher le moyen de sortir de ce bout de tissu. Il est pourtant simplement assis sur une des chaises hautes de l’îlot central. Je crois que c’est surtout cela qui allume tous les voyants d’alerte chez mon homme. Cela, plus évidemment tout ce qu’il y a eu aujourd’hui…
Forcément, nous avons profité de sa pause technique pour assouvir le besoin de soulagement du plus jeune.
Mon beau-frère a sauté par-dessus l’îlot, baissant légèrement son boxer pour sortir son outil. Il me penche sur le dessus et remonte ma jupe. Pour faciliter sa tâche, je tiens ma jupe. Il va me prendre par derrière et j’ai hâte qu’il la mette au fond de moi. Il se frotte. Il écarte mes chaires. Son membre entre légèrement, avant de se retirer. Il ne me permet pas le plaisir de le sentir tout en moi, le plaisir du frottement, la percussion de ses hanches sur mon fessier.
Quand j’aperçois Gabriel, c’est ce moment que choisit Raphaël pour s’enfoncer de toute sa longueur et me faire gémir. Il me pilonne vigoureusement. Mon mari semble vouloir interrompre notre plaisir, mais se ravise.
Mes gémissements augmentent avec la cadence. Mon beau-frère n’était pas à son maximum jusque là. Je perds la tête. J’agrippe les fesses de Raphaël pour qu’il ne sorte pas trop.
Gabriel quitte la pièce. Cela nous laisse totalement libre de nous adonner aux plaisirs de la chair.
oOo
Dès que mes gémissements et ceux de Raphaël, je vois Gabriel réapparaître. Il semble assez mécontent. Il ne s’attendait certainement pas à ce que je cède si vite à la virilité de son frère et y prenne autant de plaisir. Il est témoin de mon plaisir, témoin de ce qu’il ne peut me donner.
Nous avons remis nos tenues en ordre. Chacun a retrouvé sa place. Raphaël semble captivé par son téléphone. Il est fatigué et moi aussi. J’ai juste plus d’expérience pour le cacher. Je vois l’espoir dans les yeux de Gabriel. Certainement l’espoir que je sois enceinte pour ne pas avoir à nouveau à m’adonner au sexe.
Le repas se passe en silence. Le regard des hommes est sur moi. L’un est satisfait, l’autre regarde chaque trace de nos activités de la journée. J’ai des marques de morsures sur ma poitrine que mon débardeur ne cache pas. Je sens la liqueur de Raphaël qui me coule sur les cuisses jusqu’aux chevilles.
Chacun fait ses ablutions et se prépare pour la nuit. Gabriel m’embrasse et nous nous couchons.
oOo
Au milieu de la nuit, je suis réveillée par le bruit de la porte de ma chambre qui s’ouvre. Gabriel ronfle comme un bienheureux à mes côtés. Cela ne laisse qu’une seule possibilité : Raphaël. Cet homme est fou. Il vient jusque dans la chambre conjugale pour assouvir ses pulsions. Il est un animal en rut à qui j’ai lâché la bride.
J’allume mon téléphone pour qu’il sache où je me trouve. J’hésite à sortir de la chaleur de mes couvertures pour le rejoindre et faire notre affaire ailleurs. Le risque de réveiller mon époux est excitant. Il est juste là. Je me décale pour lui permettre d’entrer sous les couvertures. Par chance, Gabriel dort actuellement sur le flanc.
Oh ! Raphaël est totalement nu et en grande forme. Sans un mot, il m’empoigne et me colle à lui. Il m’embrasse et me mord. Je suis électrisée. Je mouille. Je ne lui laisse pas l’initiative. Je me retourne, le plaque sur le matelas. Je l’enjambe. D’une main, j’attrape son pieu. Pas besoin de l’astiquer, il est dur comme de la pierre. Je m’empale dessus pour mon plus grand plaisir. Je le sens en moi d’une façon totalement différente. Chaque palpitation, chaque impulsion de son bassin se répercute. Je peux jouer avec mes muscles, me contracter autour de lui, lui faire perdre la tête. Je contrôle la situation. C’est jouissif !
Mon partenaire semble être frustré par son manque de contrôle. D’un mouvement vif, il inverse nos positions pour me labourer avec ardeur. Il est plaqué contre moi. Je m’agrippe à lui. Je lui mord l’épaule pour atténuer mes gémissements.
Les mouvements du lit réveille en sursaut Gabriel, qui allume la lampe de chevet. Nous avons été découvert, mais nous ne sommes pas discret pris dans le plaisir de ce coït.
— Raphaël, qu’est-ce que tu fous? crie mon époux.— Tais-toi Gabriel ! lui ordonnais-je. Il fait ce que tu ne peux pas faire et multiplie les tentatives de concevoir notre enfant.”
J’ai choqué mon mari. Je crois qu’il ne me reconnaît plus. Jamais jusqu’alors je ne me suis réellement opposée à lui. Jamais, je ne lui ai donné un ordre.
— Mais… pourquoi maintenant? Tu ne pouvais pas attendre demain ? balbutie-t-il."
Je ne sais si c’est à moi ou à Raphaël qu’il s’adresse. Ses questions ne nous ont pas empêché de continuer notre affaire. Raphaël se déhanche toujours pour mon bonheur. Il me pince même les tétons. Je ferme les yeux pour mieux ressentir le contact de nos corps. Cette fois, Raphaël fait durer le plaisir. Il est plus endurant que je ne le pensais. Nous nous dévorons. Nos langues se joignent. Un combat de dominance s’installe.
Raphaël se fige, avant de me donner quelques poussées lentes et profondes. Il me donne alors toute sa liqueur. Tout ce sport, nous a fatigué. Raphaël s’effondre sur moi avant de se dégager pour me laisser respirer. Nous alletons, mais cela ne nous empêche pas de nous embrasser comme des damnés. La présence de Gabriel nous indiffère.
J’aime mon mari, mais c’est lui qui a choisi cette situation. Il va maintenant lui falloir en assumer les conséquences. Car je ne pense pas abandonner ce corps vigoureux juste après que son sperme ait franchi la membrane d’un de mes ovules.
Laissant mon époux choqué par la situation, Raphaël et moi nous endormons dans les bras de l’autre.
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