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Imprévus de déplacement

Chapitre unique

Voyeur / Exhibition
Imprévus d’un déplacement
Cette histoire s’est déroulée il y a déjà dix ans lors d’un de mes déplacements professionnels avec un de mes collègues.Ce collègue de quarante-quatre ans se prénomme Henri. Il est un très bon élément au sein de notre Société. Depuis une petite année, j’ai obtenu une promotion et suis devenu son supérieur, ce qui n’a rien changé dans nos relations et dialogues professionnels.
La mise en place d’un projet assez important nous oblige à de fréquents déplacements afin de surveiller son évolution. A chaque fois, nous descendons pour trois ou quatre jours et toujours dans le même hôtel de catégorie supérieure très confortable. Jusqu’à ce fait-tout se passe aucune révélation de part et d’autre. Lui est marié et père de deux enfants. Quant à moi, j’ai cinquante-deux ans, célibataire avec des attirances pour la gent masculine.
J’ai prévu un déplacement, qui doit être le cinquième pour ce projet. Henri me demande si son fils pouvait nous accompagner devant effectuer un stage d’observation en me spécifiant qu’il paierait les frais pour son fils. Je ne voyais pas de problème à cette demande, il faut former nos jeunes étudiants si nous voulons de bons techniciens et ingénieurs. Quelques jours avant notre départ, la direction générale m’avertit qu’elle voulait bien prendre en charge tous les frais de ce jeune Edouard de vingt et un ans s’il partageait la même chambre que son père.
Je fais part immédiatement à Henri de cette proposition. Il me remercie très chaleureusement. Nous partons donc quelques jours après pour ce projet-chantier à Casablanca. Nous allons dès notre arrivée à notre hôtel le Royal Mansour. Le réceptionniste toujours aussi chaleureux bavarde et échange un peu avec nous, comme à chaque fois ; puis m’interroge sur la réservation effectuée par ma secrétaire. Il est étonné en nous voyant qu’il n’y ait pas eu trois chambres de programmées. Mais sur son planning, il y a une chambre avec lit double (moi) et une avec deux grands lits. Je lui confirme l’exactitude en lui présentant Alexandre, le fils d’Henri, qui est venu avec nous pour son stage. Il nous remet nos clefs et nous prenons procession de vos chambres. Vu l’heure, nous avons décidé de rester un peu dans celles-ci nous doucher et détendre pour aller dîner ensuite.
Je trouve ce jeune Alexandre, ce qui est normal, un peu timide, mais très courtois et surtout bien élevé. Il est plus grand que son père, un mètre quatre-vingt-cinq, très fin, un joli minois avec un sourire bien dessiné et des cheveux châtainclair coupés courts complétés par des yeux verts profonds.
Après un dîner avec des conversations très intéressantes, nous passons au bar-fumoir un moment. L’heure tournant et devant partir tôt le matin, nous montons rejoindre nos chambres qui sont au même étage, sans être côte à côte.
Je rentre dans ma spacieuse chambre, me mets à l’aise et passe à la salle de bains. Le drap de bain autour de la taille, je me dirige vers la vaste fenêtre de cette pièce pour admirer la vue du dixième étage. Malgré la nuit, je balaie du regard toute la perspective. Et là, je constate que le bâtiment de l’hôtel est en forme de L ; et donc une aile sur ma droite.
Malgré les rideaux tirés aux nombreuses fenêtres de cette aile, je constate dans l’interstice que de chambres sont encore allumées et d’autres avec des lueurs d’écran de télévision. Mais il y a aussi quelques chambres éclairées dont les rideaux ne sont pas fermés. Et là je peux voir des personnes dans leur fauteuil du mini-salon, d’autres sont couchées, regardant la télévision ou bouquinant. Puis à un moment, je fixe plus particulièrement une de ces fenêtres non obstruées et je vois deux silhouettes masculines se mouvant dans la chambre. J’arrête mon regard, et je devine Henri et Alexandre. Le père a dû prendre sa douche, car il est en peignoir éponge blanc et Alexandre est en chemise et shorty. Très curieux, je préfère éteindre toutes les sources lumineuses de ma chambre pour ne pas être aperçu et vu en observation. Je me dirige vers différentes affaires professionnelles.
J’en sors ma trousse de travail dans laquelle j’ai toujours une paire de jumelles (de style chasse) qui me sert pour observer à certains moments des détails de chantiers. Je reviens vers la fenêtre en m’appuyant sur la margelle de la baie. J’ajuste la vision de mes jumelles. J’aperçois Henri avec son peignoir qui laisse deviner un torse légèrement poilu. Je ne vois d’Alexandre que ses longues jambes. Il se dirige vers la salle de bains. Pendant ce temps, son père s’assoit dans un fauteuil face au poste de télévision et sort de la poche de son peignoir son téléphone. (Probablement, téléphone-t-il à son épouse ??). Au bout d’un petit quart d’heure, Henri avait terminé son appel et regardait la télévision, affalé dans le fauteuil. Alexandre revient de la chambre avec seulement comme moi le drap de bain autour de la taille. Il fait des gestes à son père et s’éclipse de mon champ d’observation. Il revient de nouveau avec deux verres qu’il dépose sur la petite table.
Alexandre se met dans un fauteuil légèrement en bais et trinque avec son père. J’allais cesser de les observer pour me coucher, quand je vois Henri bouger un peu et Alexandre se lever pour se diriger vers le fauteuil où Henri est avachi. Celui-ci bouge dans son fauteuil et que vois-je ? Alexandre se mettre à genoux face à son père. Il se glisse entre les jambes d’Henri, j’ai du mal à voir. Henri a l’air d’ouvrir plus largement son peignoir. Je commence à me sentir frémir et ma queue me démange. Henri pose ses mains sur la tête d’Alexandre. J’ai beau ajuster la vue de mes jumelles, je n’arrive pas à tout observer. Mais la tête du jeune monte et descend de façon très cadencée. Les mains d’Henri lui caressent la tête ou le dos. Alexandre d’un coup se lève. Son père aurait-il déjà joui ?? J’attends un peu, mais stupeur, Henri se lève et ôte son peignoir ? Je constate le corps impeccable de son père et une verge bien dressée avec un pubis un peu poilu. Henri fait des gestes.
Alexandre avec un torse apparemment lisse dénoue le drap de bain qui tombe à terre et laisse apparaître un bas-ventre complètement glabre avec une queue qui semble à l’exemple de sa stature et de belle dimension. J’ajuste, tremblant la vision. Je suis, malgré la distance, assez surpris par son appareil génital qui est impressionnant pas la grosseur également. Ils discutent tous les deux avec des gestes.
Henri se met à genoux sur le fauteuil crapaud et se maintient aux pseudo accoudoirs. Alexandre qui s’est éclipsé revient avec un tube à la main. Il a l’air d’enduire le cul de son père et jette le tube sur le lit. Il tient sa queue d’une main et de l’autre prend appui sur le dos d’Henri. Alexandre commence à introduire son beau chibre dans le fondement de son père. Moi qui croyais Henri comme un homme exemplaire tant professionnellement que familièrement ; selon ses dires : famille tranquille avec son épouse et ses enfants.
Alexandre après des va-et-vient assez paisibles et lents commence un peu à se déchaîner avec un rythme plus intense et un peu brutal. Il donnait des bons coups de queue. Pendant l’exercice d’Alexandre, Henri se branle assez rapidement. Tout cela dure plus de quinze minutes, Henri lève la tête, il doit être en train d’éjaculer sa semence paternelle sur le fauteuil. Alexandre à ce moment retire son long tuyau anatomique et prend de sa main l’épaule d’Henri pour qu’il se retourne. Henri semble ouvrir la bouche pour recevoir les jets de sperme de son fils. C’est à ce moment que j’ai accéléré ma main sur ma verge pour la faire de son épais foutre qui se répand et maculer la moquette de la chambre.
Je vais dans la salle de bain pour un brin de toilette. Lorsque je reviens, la lumière de la chambre 1015 est éteinte. Cela est le premier jour.Je pense qu’il va falloir que je fasse lors d’une conversation avec Henri une allusion sur l’éducation des enfants jeunes adultes afin que nous puissions durant ce séjour faire quelque chose à trois.C’est ce qui c’est produit le surlendemain que je vous raconterai prochainement.
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