Petit résumé:Je suis passée à l’improviste chez un ami et la soirée à si bien tourné que je suis en train de réaliser mon meilleur fantasme.
J’ai mal aux pieds, mes doigts prisonniers écartèlent mes orteils. A chaque crispation s’ajoute une douleur.Max introduit une petite seringue dans ma chatte et m’envoie une giclée de lubrifiant. Puis il introduit doucement le grand spéculum. Il est chaud! — " Il sort de la marmite à vapeur" me dit Max.Il tourne la vis en comptant: — " ... 7...8...9...10...11"La sensation est terrible. Quand c’est fait avec douceur, c’est vraiment bon de se faire dilater. Je vois un bout de l’appareil chromé qui dépasse de mon vagin.Maintenant, il m’introduit une seringue de lubrifiant dans le petit trou.Je me suis déjà fait visiter par derrière, mais ce n’est pas ce que je préfère. Pourtant, ce soir, je me sens impatiente de sentir aussi dans mon cul des sensations nouvelles.Je m’ouvre au maximum, décidée à m’offrir totalement aux fantasmes de mon ami, sachant que je vais aussi en profiter.Il m’introduit l’autre spéculum et recommence à compter.— "...5...6...7...8" Ouffff, c’est gros!Il revient à ma chatte — " 12...13"Je respire par a coups.Mon cul — "9...10"— " Oohhh!" J’ai l’impression que je vais me déchirer, m’ouvrir en deux. Il installe un miroir. Quand j’ai vu l’énormité de mes orifices avec ces instruments qui les écartelaient, j’ai explosé. J’ai envoyé une grande giclée de jus contre la glace. Chaque contraction était douloureuses à cause de tout cet acier qui me forçait. Mon corps voulait expulser ces intrus, mais ils restèrent fichés au fond de mes trous.
Il me laisse respirer un peu en préparant un nouveau joint.Il me fait boire un peu de thé vert, à la paille, me fait téter le joint, puis son sexe. Je retrouve son gros membre avec plaisir, il a le même bon goût.Il remet un tour de vis aux deux écarteurs. C’est vrai que je m’étais presque habituée à cet écartèlement de mes orifices. Je gémis.Il m’ouvre encore plus grand! Me redonne le joint, puis du thé.Il tourne encore ces satanées vis. -" ...16! "— "houh!houh!houh!"— "15!"Puis mon anus — "...12!...13!"— "Ahouah!"— "12!"Il me donne la fin du joint, encore un peu de thé.Puis il sort de son coffret une paire de pinces à linge qu’il me fixe aux tétons, les deux d’un coup. — " Aaahhh!" Je vois un éclair bleu devant mes yeux, et une vague de feu se répand dans tout mon corps.Il sort un petit martinet et me fouette les fesses, les cuisses et le ventre. Fort et au moins vingt fois. J’ai le cul en feu.Il accroche un petit vibro au spéculum, coincé contre mon clitoris et me laisse comme ça, écartelée à la limite de la rupture.J’ai une impression extraordinaire. Je suis tellement ouverte que je n’ai plus d’intérieur ou d’extérieur, c’est une seule et même chose. Le monde est en moi et autour de moi.Je sens des éclairs de chaleur me transpercer le ventre. Je ne suis plus qu’une paire de trous. Avec des tétines brûlantes!Je jouis! Plusieurs fois!Le vibro commence à me faire mal, mes tétons aussi! Trop mal. Trop bon!!Je reste ainsi de longues minutes, à frémir. J’ai des crampes dans le ventre. Je m’entends péter. Je sens que mes tripes se vident.Mes jambes s’ankylosent, j’ai des fourmis dans les doigts et mes pieds souffrent aussi d’écartèlement.Ça doit faire bientôt une heure que je suis dans cette position avec ces outils dans mes orifices. Enfin Max revient. Il tient dans sa main deux gros galets de granit allongés.Je lui demande de me libérer car j’ai besoin de faire pipi.Max rigole et me dit : — " Hors de question de gaspiller du ruban adhésif! Si tu as besoin de pisser, pisse! D’ailleurs, depuis que ton cul est ouvert, il est en est sorti un joli petit tas de crottes."J’ai honte!Il s’agenouille près de ma tête, m’enfile son sexe dans la bouche et se met à me pistonner de plus en plus profondément. Il tape au fond de ma gorge. Je vais vomir! Non, ça passe! Il éjacule à grands jets, que je ne peux pas entièrement avaler, ça déborde et me coule le long de la joue, jusque dans l’oreille. Je me retiens toujours de pisser. Il tire sur les pinces de mes tétons, elles finissent par s’arracher. La douleur est trop forte et je ne peux plus me retenir. Je pisse, mon urine retombant avec bruit dans la bassine qu’il avait préparé.Quand la pression retombe, je sens ma pisse chaude qui coule en gargouillant dans mon vagin distendu. Il vide le bol dans mes trous.Il admire le spectacle que je lui offre. Avec un sourire, il laisse tomber au fond de mon vagin béant le plus gros des cailloux. Qui fait gicler hors de moi la pisse accumulée. Oufff! C’est lourd!Puis dans mon anus, le second. Il ne descend pas assez bien à son goût; Max tourne encore la vis et la pierre finit par tomber au fond de mon cul. Il retire les spéculums en douceur, me laissant pénétrée par deux kilos de granit.Autant je suis soulagée de ne plus être distendue par les appareils, autant je suis satisfaite de ce poids dans mes entrailles. Soudain, Max me saisit et me retourne, me mettant à quatre pattes. Le pierres bougent dans mon corps.De la manière dont je suis attachée, je n’ai d’autre choix que de m’écraser le nez sur le lit.Je sens ses doigts qui fouillent mon vagin autour de la pierre qu’il m’a introduite. Il s’insinuent, rentrent un peu plus, ressortent, reviennent. Puis c’est au tour de mon anus.Il me fouille de ses doigts, m’élargissant de plus en plus. Je n’en peux plus! C’est douloureux et délicieux à la fois. Soudain. Il retire ses doigts et m’ordonne d’une voix sèche de serrer mes trous au maximum. -" Serre encore!..Plus fort!..." Il reprend son martinet me fouette encore les fesses, dix fois, à tour de bras.- " Serre plus fort!"Je lui obéis. Mes muscles tremblent, tellement je me contracte.— " Encore plus fort!"Je sens mes muqueuses épouser ces intrus râpeux, je les sens remonter au plus profond de mes intimités. Il me fouette le dos, me griffe, me fait frissonner.Puis vint le fatidique: — " Pousse maintenant! Éjecte ces pierres hors de ton ventre"Plus capable de discernement, je lui obéis. Je pousse, je sens les pierres se frayer un passage vers la liberté. Je suis ramonée par le granit rugueux. Il m’irrite, je suis râpée de l’intérieur, mais quel bonheur d’accoucher d’une partie de ma terre nourricière!Mon vagin se libère d’abord, suivi de près par mon rectum. Quelle sensation extraordinaire de me vider de ce poids. J’ai encore joui comme jamais.... Je me vois dans le miroir. Les lèvres de mon sexe sont distendues et pendent de chaque côté de ma grotte béante. Mon anus ne se ferme plus. Il ressemble à une bouche aux lèvres pulpeuses. Des jus dégoulinent de mes orifices, mon cul fait des bulles. Mais Max revient à la charge: trois doigts bien raides glissent dans mon vagin béant. Puis quatre! Il tourne, entre, sort, et plante enfin toute sa main, avec douceur mais fermeté tout au fond de mon sexe palpitant.J’en ai le souffle coupé.Il fait de délicats mouvements de de va et vient avec sa main. Je l’accepte totalement, je suis à lui...Il amplifie ses mouvements, mon con commence à faire des bruits obscènes, qui l’incitent à aller encore plus fort. Sa main entre et sort de mon vagin sans résistance, de plus en plus vite. Ma chatte fait le même bruit que si il pressait une éponge. Je dégouline.C’est trop trop bon!J’ai peur/envie de me faire déchirer. Je pense que je ne pourrai plus jamais me refermer.Tout en continuant de me pistonner, il glisse quelques doigts dans mon cul, je ne sais pas combien, je m’en moque.J’en veux encore plus! Il m’en donne encore plus!Il me ramone, me pistonne, ne me laisse aucun répit. Il glisse sa grosse queue dans sa main et se branle à l’intérieur de ma chatte.Je ne suis plus que des trous affamés!Je ne peux plus mettre de mots sur la suite.J’ai perdu conscience. En extase! Je suis réveillée par un rayon de soleil.Max m’avait lavée et enfilé un t-shirt. Je me sentais toute fraîche. Des sensations délicieuses dans mon ventre, des vibrations entre mes jambes, des chatouilles entre les fesses et une mollesse que je n’avais pas connu depuis longtemps. Puis Max est entré avec une tasse de Earl Grey et 2 tartines au Nutella. Il se souvenait, le chouchou. Nous avons encore fait l’amour tendrement, tout doucement. Je suis encore bien ouverte et son gros membre coulisse en moi avec volupté. Merci Max!Je repasserai.A l’improviste...
P.S. A peine rentrée chez moi, j’ai regardé notre film. 2 fois. Je totalise 8 orgasmes depuis ce matin. Je vais demander à Max de le mettre en ligne...