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Impudeur avec ma mère

Chapitre 11

Inceste
‌‌Et elle commença à me lécher la bite, encore une fois avec beaucoup de lenteur comme pour profiter de chaque centimètre et du tabou qui va avec. Puis elle commença à me sucer avec plus d’envie et de sensualité, c’était très excitant… — Waw c’est chaud, je veux immortaliser ça ! Dit ma mère en prenant l’appareil photo.  Je pense que ça plaisait à ma tante qui redoublait d’effort en se tournant face à l’appareil. — Hummm waw vous êtes très beau, je suis trempée !... Essaye d’aller le plus loin possible sœurette ! Ma tante appuya plus franchement sur mes fesses pour me prendre profondément dans sa gorge. Ma mère n’en perdit pas une miette. - Encore un petit effort ma belle tu y es presque ! — Oui mais il a une sacrée bite, je ne pense pas pouvoir tout avaler, dit-elle en reprenant de l’air. Tu vas me dire que tu penses en être capable ?! — Je pense oui…
Elle connaissait déjà la réponse pour l’avoir fait un peu plus tôt dans la matinée [le temps passe vite…], mais elle continuait à maintenir le mystère... 
— Laisse-toi guider, il va t’appuyer doucement sur la tête, je suis sûre que tu peux le faire !
Ma tante me dit:
- Ok mais vas-y doucement et si je tapote sur tes fesses, tu me laisses respirer ! Elle recommença avec une envie très crue, elle appuya sur ma queue pour l’enfoncer le plus profondément possible. Je commençais à appuyer doucement sur sa tête. Ma mère prend encore une photo et vint se placer à ses côtés comme pour l’encourager. Malgré les allés-retours et la légère pression que j’exerçais, elle n’arriva pas à tout engloutir. Puis s’éloigna pour reprendre son souffle et ses esprits.
 - Dommage j’y étais presque ! — Oui mais ça n’empêche pas que c’était divin ! Tu m’as donné beaucoup de plaisir ! Dis-je comme pour l’encourager. Elle demanda à sa sœur :
- Tu penses vraiment que c’est possible de tout avaler ?! — Je pense que j’en suis capable, tu ne me crois pas ? — Je ne crois que ce que je vois… Elle fit un sourire à ma tante, se plaça devant ma queue en me regardant dans les yeux. Elle lui adressa un dernier regard avant d’enfoncer ma bite dans sa gorge, lentement mais sûrement jusqu’à ce que ses lèvres touche la base de ma queue. Elle resta quelques instants comme cela puis commença à faire des allés-retours très amples. Elle se donnait pour montrer à sa sœur de quoi elle était capable. Comme s’il y avait une compétition entre elles, je suis un arbitre plutôt heureux… — Waw ! Tu es une vraie diablesse ! Prends le encore à fond que je prenne une photo ! Humm oui comme ça ! Maintenant sors son chibre qu’on voit ce que tu es capable d’avaler ! Hummm j’aimerais être capable d’en faire autant !
— C’est une histoire de persévérance et d’entrainement, tu vas y arriver ! — Et sinon qu’est ce que vous pensez de vous occuper de moi toutes les deux en même temps ?!... — Hummm en voilà une bonne idée ! — Par contre, je ne suis pas sûr de tenir encore très longtemps — Ne te retiens pas… Dit ma tante.  — J’aimerais bien que tu ne nous préviennes pas, que tu nous laisses improviser… Dit ma mère.  — Ok pourquoi pas Elles se mirent à me sucer toutes les deux, certaines fois plus tendrement, et à certains moments de façon plus bestiale. Elles semblaient se moquer de la salive de l’autre, il y a même quelques contacts entre leurs lèvres et leurs langues mais plus par inadvertance qu’autre chose. Bref, j’aurais voulu faire durer l’instant mais au bout de quelques minutes, sans les prévenir comme demandé, j’explosais en plusieurs gros jets épais, elles avaient de quoi partager. Elles prenaient le temps de bien me nettoyer. Puis elles se regardaient dans les yeux et s’embrassèrent comme pour partager vraiment tout et aller au bout de l’expérience et du plaisir. Elles continuèrent à se laver mutuellement jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de trace ni sur l’une, ni sur l’autre.Sans précipiter les choses, afin de profiter de l’instant, nous sortons de la piscine et allons sur les transats nous reposer quelques minutes lorsque ma tante rompit ce silence : — Oulala mais qu’est ce qu’on a fait ? Je ne dis pas que je regrette, c’était très bien mais je pense qu’il faut se calmer sinon les quelques limites que j’ai encore vont voler en éclat… — Moi, je me sens bien ! J’ai pris énormément de plaisir, et je suis sûre que vous aussi ! — Oui en effet sœurette, mais tu ne ressens même pas un peu de culpabilité de transgresser ce genre d’interdit on dirait… Vous n’avez pas l’air surpris de grand-chose en fait… Toi, tu n’as pas l’air étonné que ta mère soit femme fontaine alors que c’est plutôt rare. Et toi, madame gorge profonde, tu n’as pas l’air surprise de pouvoir tout prendre ni de la quantité de sperme… J’ai peu d’expérience mais ça me parait hors norme. Vous me cachez des choses, pas vrai ?! Ma mère me lança un regard interrogateur, elle comprit que ça ne me gênait pas qu’elle puisse tout raconter à sa sœur — Puisque tu le dis, il y a bien deux-trois choses que nous n’avons pas dites…  — Ça j’avais compris… J’aimerais que vous me disiez tout, je me sens bien avec vous, à êtes très proche et très intime ! Je suis en confiance ! Et ce n’est pas uniquement parce que nous venons de partager un moment très excitant, ça va plus loin que ça ! Ce n’est pas de l’amour non plus, en tout cas pas dans le sens conventionnel… — Bon Ok mais prépare toi à être de nouveau excitée ! Et ma mère déballa tout depuis le début ! Sans filtre, sans la ménager… Son mari distant, le début des vacances, l’arrêt dans les toilettes, les premiers dérapages, le changement de maillot qui a été un peu long avec la sodomie, la pipe sur le transat pendant qu’elle était de dos… — Voilà je t’ai tout dit, nous ne te cachons plus rien ! Ahhh ça fait du bien ! Même si c’était rigolo d’avoir des petits clins d’œil et des sous-entendus avec mon fils ! — Waw, je suis sur le cul ! Je ne suis pas choquée outre mesure, je m’attendais à quelque chose comme ça mais pas des détails aussi chauds… Waw et tu as pissé sur ta mère ! Et toi tu as même goûté ?! Et le coup de la sodomie… Je n’en reviens pas ! Sur ce point, je suis peut-être un peu jalouse car je n’ai jamais connu ce genre de plaisir. J’ai bien essayé, mais ça n’a jamais fonctionné. — Hummm… il ne faut jamais dire jamais… Et puis on ne sait pas, les vacances ne font que commencer, des fois que tu rencontres une femme expérimentée dans ce domaine, même si elle n’a pas beaucoup pratiqué ces derniers temps… Et un beau jeune homme doux et attentionné qui saura y aller avec douceur en pensant à ton plaisir… — Ah si seulement des personnes comme ça existaient…
— Si seulement… — Hummm, bon arrête, je crois qu’on parle d’une limite que je ne suis pas prête à franchir, enfin du moins pas encore… Parce que la pipe n’était pas spécialement au programme, mais sur le coup j’ai trouvé que c’était plutôt une bonne idée… — En effet, une très bonne idée ! Confirmai-je.  Quelques instants plus tard, ma tante qui s’était allongée (toujours nue) nous interpella. — Il y a un truc qui me trotte dans la tête… C’est le côté pipi… Ça ne m’a jamais attiré, je ne me suis même jamais posé la question de si ça se faisait.  — C’est la même chose pour nous, les événements se sont déroulés de manière progressive, presque logique même. Ce qui me plait, c’est l’interdit, le côté inédit. Enfin presque parce qu’avec mon mari nous avions fait des choses similaires, il y a bien longtemps. Mais c’est surtout le côté partage ultime que j’aime, la confiance absolue que ça demande. — Quand tu en parles c’est presque beau, pas vulgaire ou dégradant, mais au contraire valorisant de partager complètement son corps avec l’autre. — Bon ce n’est pas tout mais la pression est redescendue. Déclarai-je. — Ah oui c’est vrai, je n’y avais pas prêté attention mais c’est la première fois que je le vois au repos…
— Oui, même si je suis résistant, je ne suis pas toujours dur comme du bois… Bref la discussion m’a rappelé que je devais aller au petit coin. Ça ne te dérange pas que je fasse pipi dans le jardin ?! — Bien sûr que non ! — Je crois que si ça te tente, tu peux déjà commencer progressivement… dit ma mère en regardant ma tante. — De quoi tu parles ?
— Tu pourrais lui tenir la queue pendant qu’il se vide, tu verras c’est assez drôle finalement et ça aide à comprendre comment il est fait… — Ça a l’air tentant mais je ne sais pas trop… — Tu fais ta timide maintenant ?! — Ok dit-elle en se levant d’un bon — Mettez-vous face à moi, je veux profiter du spectacle, mais pas trop près non plus, je suis toute propre maintenant. Nous nous installons debout devant elle, à trois mètres environ. Ma tante prit ma queue ramollie en main, et ma vessie se relâcha quelques secondes plus tard. — Vous êtes beau à voir comme ça ! Je prends une photo… — Merci, toi aussi tu es belle toute nue ! Tu avais raison, c’est assez drôle en fait et pas dégoûtant au contraire ! Mais je n’irai pas jusqu’à goûter… Ensuite nous retournons nous allonger tous les trois côte-à-côte, nu. Nous sombrons dans un sommeil agréable et léger.  
DING DONG
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