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Impudeur avec ma mère

Chapitre 14

Inceste
‌A‌ la fin du repas, je demande aux autres‌ : — Qu’est-ce qu’on fait cette aprèm ?! — Une petite rando ? Propose ma tante. — Ok mais je ferais bien une sieste avant, dis-je moyennement motivé. — Dis plutôt que tu veux te branler !! Répond ma cousine taquine. Elles explosent toutes de rire ! Personne ne s’attendait à cette remarque à ce moment, la pression était bien redescendue. J’adore la spontanéité de ma cousine. Et même si j’ai trouvé sa réponse un peu gênante, c’était plutôt drôle. — Euh oui peut-être mais vous n’avez pas arrêté de me chauffer depuis ce matin… — Et du coup tu va penser à quoi ? A qui ? Demande ma cousine curieuse. — Quoi ? Mais j’en sais rien ! C’est privé !  — Bon allez les jeunes, on se calme sinon ça va encore dériver en câlin, léchouilles et arrosage de fluides corporels… Nous rigolons tous à cette remarques. Le fait que ma cousine ne savait pas tout (et ne semblait pas se douter non plus tellement c’est énorme), rajoutait du comique à la situation. — Moi je vais faire une petite sieste à côté de la piscine dit ma mère. — Je t’accompagne, mais pas trop longue si on veut faire une petite balade et aller au resto, dit ma tante.
 Nos mères partent en rigolant vers la piscine. Je me dirigeais vers la chambre, ma cousine ne dit rien mais me suivi dans la chambre (la sienne, que j’occupais avec ma mère). — Qu’est-ce que tu fais ? — Bah moi aussi, j’ai envie de faire une sieste ! Dit-elle innocemment. — Et j’imagine que tu veux dormir dans ta chambre ? — Bizarre comme question mais oui, je pense qu’on peut faire la sieste dans le même lit. — Euh OK, dis-je en m’asseyant, elle fait de même. — Qu’est-ce qu’il y a ? Tu es déçu de ne pas pouvoir relâcher la pression ? Demande-t-elle en désignant ma queue. — Oh ça va, je suis sûr que toi aussi tu en meurs d’envie ! — Oui j’en ai envie mais pas besoin, je peux me retenir alors que je sais que vous les hommes, vous avez plus de mal… — En même temps tu es toujours seins nus… Difficile de ne pas les remarquer d’ailleurs… — Ça te gêne ? Tu veux que je mette un t-shirt ? — Non ça ne me gêne pas, mais ça me plait. Et de toute façon, je les ai vu, ça ne changerait pas grand-chose que tu te rhabilles. Et puis tu aurais encore plus chaud… J’imagine que toi non plus tu ne dors pas très habillée ?! — Non en effet, mais pour te ménager, je vais rester en bas de maillot. — Ahh c’est gentil à toi ! Nous nous allongeons sur le lit, côte à côte.  — En vrai cousin, je comprends si tu veux te branler, tu peux y aller ! — Quoi ?! Ça ne te dérangerait pas que je me masturbe à côté de toi ?! — Pas tant que ça, tant que tu ne gicles pas sur moi… Dit-elle en rigolant. — Ah ah sinon je vais aux toilettes ? — Tu seras mieux ici, tu n’as qu’à te recouvrir du drap, comme ça les bonnes mœurs sont préservées et je suis à l’abri de toute projection… Je me mets donc sous le drap et enlève mon boxer de bain. — Ça te dérange pas que je te regarde ? Ça m’intrigue… — Ça me fait bizarre mais je crois que ça m’excite un peu… — Hummm moi aussi je crois… Elle glisse une main entre ses jambes, puis me la montre. Elle était luisante. — Waw tu es déjà trempée ! — Oui en effet ! Est-ce que ça te dérange que je vienne moi aussi sous le drap pour me masturber ? — Non au contraire, c’est excitant de savoir que tu te masturbes à quelques centimètres de moi. Elle se glissa sous le drap sans en profiter pour me regarder (je ne me serais pas caché, dommage…), puis enlève rapidement son bas de maillot.Elle se positionne proche de moi, je peux sentir sa jambe contre la mienne, mais toujours aucun contact visuel sur son sexe, ni elle sur le mien, le drap cachait même ses seins. — Même si c’est un peu bizarre, c’est excitant, je crois que j’aime bien quand on me regarde, et encore plus quand c’est toi… — Je comprends tout à fait cousine ! C’est pareil pour moi ! Elle ferma les yeux et je voyais ses mains commencer à bouger, une sur un sein et l’autre entre ses jambes.Les premières minutes étaient plutôt calmes puis elle se débride un peu et pousse quelques gémissements. Je n’en perds pas une miette, j’avais les yeux grands ouverts et je ne cherche même pas à faire semblant de ne pas la regarder. Je me caresse aussi, sans pudeur, sans gêne, sans chercher à cacher les allers-retours de ma main sur ma queue. Ma cousine ouvre les yeux, et sourit en voyant que je la regarde. — Ça va petit voyeur, le spectacle te plait ? — A ton avis ? Dis-je en secouant ma queue avec seul le drap pour rempart. — Waw, contente que voir que l’excitation est réciproque ! — Réciproque, ça veut dire que tu nous refais le coup de la piscine ?! — Ohh que oui ! — J’aimerais bien voir ça… — Hummm tu m’as bien fait voir ton érection à travers le drap… mais il y a toujours certaines limites… ah je sais… Et elle plaque le drap sur sa chatte. Elle se caresse par-dessus le drap et au bout de quelques minutes, le tissu devient transparent et colle dans les moindres détails à sa peau. Je peux donc facilement voir qu’elle n’est pas entièrement rasée, il reste une petite bande de poils. — Waw, c’est très beau ! Très excitant ! — Ah oui ? Pour que ça soit parfait, j’aimerais qu’on jouisse ensemble en se regardant dans les yeux. — On peut essayer ça… Par contre maintenant que tu es sous le drap, rien ne dit que tu ne sois pas aspergée… — C’est pas grave cousin ! Au contraire, ça ne me dérangerait pas que tu me jouisses dessus. Et toi non plus tu n’es pas sûr de rester au sec… Mais j’ai encore certaines limites, comme se voir nu tous les deux.  — Moi non plus ça ne me dérangerait pas que tu me jouisses dessus. Et techniquement, on n’est pas obligé de dépasser tes limites vu qu’on veut jouir en se regardant dans les yeux… — Humm oui c’est vrai ça ! Et en plus on garde le drap sur nous donc c’est bon. — Je ne sais pas pour toi cousine mais c’est très chaud ! — Pour moi aussi, mais ça me change de quand je me masturbe toute seule — Pourquoi ça ? — Parce que normalement j’ai une main qui s’occupe de mon vagin et de mon clitoris et l’autre de mes seins, je suis très sensible de là. Et maintenant, vu qu’il y a le drap, je ne peux pas m’occuper de mon vagin (sa main était toujours sur le drap à caresser son clito, l’autre s’occupait de ses seins). — Oh non je ne veux pas que tu sois frustrée ! Ça dépasserait tes limites si c’est moi qui m’occupais de tes seins ? — Hummm je ne sais pas… c’est très tentant en tout cas ! Nous continuons comme ça quelques minutes, en nous regardant toujours dans les yeux. Elle, une main en haut sous le drap et une en bas sur le drap. — Oh et puis merde ! (comme ça mère avant de me sucer…) Assez fermement, elle prit ma main libre et la plaqua sur un de ses seins après avoir descendu le drap à la limite de son ventre.Mon regard fut inévitablement attiré par ces deux magnifiques globes. Je ne m’y connais pas trop en taille mais je dirais 85C voire D. — hop hop hop les yeux… — Désolé, mais ils sont tellement beaux cousine ! — Merci c’est chou ! Et je rigole, tu peux les regarder, tu les as déjà vu tout à l’heure et puis tu es en train de les toucher… D’ailleurs, si tu pouvais les pincer un peu plus, j’adorerais ! — Comme ça ? — Encore un peu plus… Humm Comme ça !! Je ne vais pas tenir longtemps si tu continues ! — Il y a un truc que j’aimerais avant que tu jouisses — Oui mon beau ? — Est-ce que je peux te goûter ? — Comment ça ? — J’ai envie de jouir avec ton goût dans la bouche…, et comme te lécher la chatte serait dépasser la limite, j’aimerais te lécher les doigts. — Humm c’est très cru, mais très excitant ! Je vais m’en mettre plein les doigts pour que tu puisses en profiter… Elle avait toujours sa main sur le drap sur son clitoris et l’autre faisait des allers-retours encore plus forts dans son vagin. Un bruit très explicite de ‘’floc floc’’ se faisait entendre à chaque passage de ses doigts. — J’aime entendre à quel point tu es excitée ! — Humm et ça monte de plus en plus… j’ai maintenant trois doigts dans la chatte ! Tu es sûr que tu veux me gouter ? — Plus que jamais ! — Alors tiens ! Dit-elle en me tendant sa main luisante ! Je commence doucement à lui lécher un doigt, puis la main, avec beaucoup d’entrain, jusqu’à ce qu’elle soit propre. — Encore cousine ! — Quoi ? — Tu as très bien compris… Sans un mot de plus elle fait de nouveau descendre sa main et le ‘’floc floc’’ reprit une ou deux minutes.Elle s’arrête puis approche elle-même ses doigts de ma bouche. — Humm c’est tellement cochon ! J’adore être en phase avec toi cousin ! Moi aussi j’ai envie de te goûter… — Hummm ça serait avec plaisir mais je ne sais pas trop comment on pourrait faire pour ne pas dépasser les limites. — Viens sur moi et fais-moi un câlin ! Dit-elle en me regardant toujours dans les yeux. — Tu es sûre ? Et les limites ?! — Fais-moi confiance, assis-toi sur mon ventre dans ce sens-là ça va, si c’est moi qui était au-dessus, ça serait beaucoup trop dangereux… — Tu ferais des folies ?! — Humm des folies je ne sais pas, mais il y aurait de fortes chances pour que ça dérape… j’aurais bien envie de m’empaler sur ta queue, chuchote-elle à mon oreille Je m’assois donc sur son ventre, je suis toujours recouvert du drap mais pas elle. Elle ne cherche pas à regarder ma bite, mais me regarde toujours dans les yeux. J’ai réussi à faire de même avec difficulté. Ça aurait été dommage de la choquer et de gâcher ce moment.Nous nous calmons un peu en se prenant dans les bras l’un de l’autre quelques minutes. — Avance encore un peu que je puisse glisser une main entre mes jambes… Toi aussi tu peux continuer à te masturber cousin… — Vu comme je suis excité, je risque de ne pas tenir longtemps… — C’est le but, j’ai envie que tu me jouisses dessus, j’ai envie de beaucoup de choses en ce moment… -… Comme quoi ? — Humm si tu savais… Bref, même si j’ai envie de craquer, je préfère qu’on se regarde dans les yeux. — C’est vrai c’est excitant de ne pas tout savoir et d’imaginer. Et puis ça se trouve, j’en ai une toute petite et tu serais déçue… — Hummm, ne me dis pas des choses comme ça, tu vas me faire regarder… Je suis sûre qu’elle est bien grosse et bien dure ! — Peut-être que tu auras l’occasion de vérifier ça, les vacances ne font que commencer… — Hummm, on verra bien ! Maintenant tais-toi et pense à toi, à ton plaisir et n’oublie pas de me regarder dans les yeux. Nous n’étions pas moins excités avec cette discussion au contraire, mais moins concentrés.Je sentais ses mains recommencer à s’agiter sur sa chatte, et moi j’étais toujours accroupi sur elle, nos deux poitrines très proches.J’avais une main sur ma queue et l’autre en train de lui pincer légèrement un téton. Je faisais varier l’intensité, j’ai l’impression qu’elle aime ça. — Hummm c’est tellement bon, tellement excitant ! — Pour moi aussi, j’espère que tu n’es pas loin de jouir parce que je ne vais pas tenir longtemps… — Hummm, vas-y mon coquin lâche-toi ! Oh ouiiii ! Gicle sur ta chaudasse de cousine ! — Arrrrrrgh, je me redressai un peu pour mieux la voir, et je jouis en la regardant dans les yeux ! — Ohhh oui vas-y et elle ouvrit la bouche avec un regard de braise Je me lâchais encore une fois très abondamment, 4 grandes giclées lui zébraient les seins, le visage, les cheveux et comme elle avait encore la bouche ouverte, elle en reçu une bonne quantité dedans. — Ohhh, c’est bonnnnn ! Ahhhhhh, parvient-elle difficilement à articuler. Elle jouit bruyamment et très intensément, mes deux mains lui pinçaient les tétons. — Waw ! C’était incroyable !!! Et même si je voulais que tu me jouisses dessus, je ne pensais pas que ça giclerait aussi haut. J’en ai partout ! — J’espère que ça ne te gêne pas ! — Oh non au contraire, je n’aurais pas ouvert la bouche et avalé sinon, mais j’en espérais pas tant… — Hummm tu as même avalé petite coquine ?! — Oh que oui, je t’avais dit que j’avais envie de te goûter ! C’était délicieux d’ailleurs ! — Avec plaisir ! Tu es magnifique comme ça ! — Recouverte de ton sperme ? — Oui !! Est-ce que je peux prendre une photo avec mon portable ? — Ok mais tu voudras l’ajouter sur l’appareil photo ? Que vont dire nos mères pendant la séance de visionnage ? — Je suis sûr qu’elles ne seront pas choquées… ça va les faire bien rigoler ! — Ok si tu le dis… Je te fais confiance. Et je pris quelques photos avec son sourire rayonnant. — Bon, remets-toi sur le côté avant que j’ai trop envie de jeté un coup d’œil à la source de tout ce sperme… — Ok mais ne remets pas le drap sur toi, tu vas tout le salir… Je te passe des mouchoirs — Ok mais seulement pour la finition les mouchoirs, je vais faire le plus gros avec mes doigts… — Hummm c’est très excitant ! — Oui j’imagine, je te sens encore dure contre ma cuisse… — Oups, pardon ! — Ce n’est pas grave ! J’aime bien te sentir contre moi, ne bouge pas. Une fois son nettoyage fini… — Bon on la fait cette sieste ?! — On remet nos maillots histoire de pouvoir enlever le drap ? — OK, je me déplace juste un peu de ton côté car le lit est trempé… Puis nous nous endormons rapidement après avoir enfilé nos maillots, collés l’un à l’autre.  Nous nous réveillons doucement au bout d’une heure. Nous nous levons après nous être étirés.Nous allons dans le jardin et trouvons nos mères endormis tendrement enlacées, l’appareil photo à proximité… — Bonjour les marmottes ! Dis-je doucement. Ma mère semble déjà réveillée. — Des marmottes ?! C’est pas très gentils, c’est tout gras et poilu une marmotte… Cette remarques nous fit bien rire car en effet elles ne sont ni grasses, ni poilues — Hum, vous avez bien dormi ?! demande-t-elle encore ensommeillée. — Disons que c’était une sieste très agréable ! — Humhum pour nous aussi ! dit-elle en regardant sa sœur. — On se prépare pour faire une balade ?! Propose ma mère.
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