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L'impudeur de ma femme

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
J’ai envie de vous parler de ma femme, de notre relation, des anecdotes qui ont émaillé notre sexualité, de ce qui m’excite en elle et dont elle n’a pas forcément pleinement conscience.Mon plus grand fantasme serait de la voir faire l’amour avec son père. Mais avant de revenir sur ce point, et sur les implications que ca peut avoir, laissez-moi vous la présenter.
Marie a 41 ans. C’est une femme intelligente, drôle, cultivée, attentionnée. Physiquement, c’est une petite brunette menue a minis lolos et chatte poilue, mere de 2 enfants, cadre dans l’administration.Son look est celui d’une petite parisienne type, lectrice de Elle, au look discret mais soigné: pour le boulot petites robes plutôt sombres ou jean et veste; le week en jean et t-shirt; en vacances petites robes, jupettes et débardeurs. Côté lingerie, c’est très varié: ça va du look femme-enfant à base de culottes en coton à motifs fantaisie et brassière, au look pupute rétro à base de culotte-porte jarretelles ou guepiere, en passant par les strings transparents. Le weekend et en vacances, les soutiens-gorges restent souvent au placard (c’est un des avantages des très petits seins).
Nous sommes en couple depuis plus de 20 ans. Quand je l’ai connue elle était une jeune étudiante au physique un peu androgyne, au look oscillant entre la petite intello catho à lunettes et la pseudo rebelle néo hippie en jupe longue et veste militaire. Une des choses qui m’a le plus étonné au début de notre relation était sa spectaculaire absence de pudeur envers sa famille proche: la plupart des gens deviennent pudiques envers leurs parents à l’adolescence, mais elle pas du tout: du point de vue de la nudité, elle se comportait encore comme une gamine vis à vis de ses parents.
Ce n’était pas de l’exhibition (elle ne cherchait pas spécialement à être vue nue, et ca n’était jamais dans un contexte "sexuel"), ni une volonté de choquer ou de mettre mal à l’aise (ses parents étaient parfaitement habitués à la voir nue depuis toujours et ne manifestaient aucune gêne quand ils la voyaient ainsi). Ce n’était pas non plus un mode de vie naturiste (elle ne vivait pas nue, et ses parents étaient toujours normalement pudique, ils ne se trimballaient pas a poil dans la maison). C’était une impudeur parfaitement innocente, une indifférence totale quant au fait que ses parents puissent la voir en tenue d’Eve.
J’ai pour la premiere fois été témoin de cette impudeur un samedi soir ou j’étais passé la prendre chez elle pour aller au ciné. On sortait ensemble depuis quelques semaines, je l’avais vue nue a de multiples reprises, mais jusqu’alors uniquement lorsque nous étions seuls. Quand j’ai sonné, elle n’était pas encore prête, et ses parents m’ont fait rentrer et ont papoté avec moi en l’attendant. Quand elle est sortie de la douche et qu’elle a entendu que j’étais là elle est aussitôt venue me faire un petit bisou... entièrement nue! 
Pour moi qui étais d’un naturel plutôt pudique, la vision de cette jeune femme fluette de 18 ans tranquillement à poil devant ses parents était absolument surréaliste! Presque aussi surréaliste était l’absence totale de réaction de son père et sa mere: pas le moindre signe d’étonnement, pas le moindre froncement de sourcil, aucune inflexion dans la voix, rien! De mon côté j’ai essayé de rester zen, de ne pas trop écarquiller les yeux, de ne pas trop regarder ses petits seins fermes et l’adorable chair de poule qui les faisait se dresser, je luttais pour que mon regard ne descende pas trop ostensiblement vers son pubis a la toison naturelle, ce triangle a l’ancienne si graphique et si magnétique... Bizarrement, j’étais sûrement le seul qui craignait de passer pour un vicieux, Marie et ses parents étaient parfaitement a l’aise et détendus.
Après m’avoir salué tendrement, elle est allée s’habiller avant de me retrouver quelques minutes plus tard. Sur le chemin du ciné, je lui ai demandé si elle se baladait souvent à poil comme ça devant les invités. Elle a rit et m’a dit qu’elle faisait quand meme attention a ne pas mettre les gens mal à l’aise. Je n’ai pas insisté, d’une part parce que je ne voulais pas passer pour un mec coincé, d’autre part parce que au delà de l’étonnement, j’avais ressenti une forme d’excitation à la voir ainsi nue devant ses parents. J’avais été sensible à la sensualité de la scène, et si je voulais qu’elle se reproduise je sentais confusément qu’il etait preferable que je n’attire pas trop l’attention de Marie sur le caractère étrange de son attitude envers ses parents.
Après la séance de ciné, je l’ai raccompagnée chez elle. Ses parents étaient couchés. Jusqu’à présent, nous n’avions fait l’amour que l’après midi, les jours de semaine, quand nous étions seuls chez elle. Mais ce soir là, j’avais très envie d’elle. Nous avons commencé à nous embrasser sur le palier. Un long roulage de pelle passionné de jeune couple. Elle m’a fait rentrer. Nous avons continué à nous embrasser dans son entrée, puis dans le salon. Je ne sais pas trop pourquoi nous sommes allés dans le salon plutôt que dans sa chambre.... je pense que c’était un méĺange de trois facteurs paradoxalement contradictoires: d’un part une légère hypocrisie, du moins une volonté de faire "comme si" nous n’allions pas faire l’amour mais juste passer un moment ensemble. Si nous avions été directement dans la chambre, nos intentions auraient été claires. D’autre part un certain sentiment d’urgence, l’envie de nous retrouver le plus rapidement possible l’un contre l’autre, au calme, or le salon était la pièce la plus proche, confortable, et la plus éloignée du reste de la famille. Enfin, et surtout, un certain goût du risque, même si nous n’en étions pas véritablement conscient. 
Dans le salon, nos baisers ont rapidement été accompagnés de caresses. Elle portait une jupe longue à fleurs, des Kickers, un top à bretelles et un gilet trop grand. J’ai touché ses seins à travers ses vêtements, ses fesses, j’ai frotté son sexe... Elle a appuyé sur le mien, fort, me l’a frotté aussi au travers de mon jean. J’ai mis ses mains sous son haut, dans son dos, a la recherche de l’agrafe de sous soutien-gorge. J’étais fébrile, j’avais du mal. Elle était plus adroite, déboutonnant sans difficulté mon jean pour en sortir ma queue raide, qu’elle me masturba tranquilement contre la paume de sa main.Enfin son soutif s’ouvrit. J’avais envie de la voir nue, encore. J’empoignais son top et son gilet et les enlevais d’un coup, en prenant son soutien gorge au passage. Torse nu dans son salon, elle était extrêmement troublante. Enfin je pouvais embrasser ses jolis petits seins blancs, les tétouiller, aspirer ses tétons entre mes lèvres... Elle me regardait, souriante. Elle lâcha ma bite quelques instants, le temps pour elle de faire glisser sa longue jupe au tissus fluide et sa petite culotte de coton blanc à ses pieds.
Elle fit quelques pas et s’assit dans le canapé, en me regardant d’un air mi tendre, mi mutin. "Tu viens?" me dit elle. Le contraste entre la blancheur de sa peau nue et le cuir marron du canapé d’une part, et les poils noirs de son pubis d’autre part, le contraste également entre la nudité de son corps et les chaussures d’etudiante sérieuse qu’elle avait gardé aux pieds, ainsi que le contraste entre cet environnement familial et le caractère tellement sensuel du moment était extraordinairement excitant. Et cependant j’étais un peu stressé, je n’arrivais pas à chasser de mon esprit la crainte d’être surpris. Contrairement à elle, je n’ai donc pas osé me déshabiller vraiment, j’ai juste baissé jean et caleçon à mi cuisses, ce qui n’est jamais très sexy, et je me suis mis sur elle.
Je l’ai pénétrée en l’embrassant. Ma bite est rentrée sans peine dans sa petite chatte si délicieusement serrée. C’était tellement bon, chaud, mouillée juste ce qu’il fallait... J’étais légèrement sur le côté, tenant sur un coude et essayant de lui caresser les seins d’une main, le clito de l’autre, tout en bougeant ma queue en elle, allant et venant à un rythme que j’essayais tant bien que mal de maîtriser.... Nos bouches restèrent unies, levres contre levres, langue contre langue, jusqu’à ce que je sente son bassin bouger sur un rythme de plus en plus rapide, de moins en moins contrôlé... Elle allait jouir, sa respiration devenait haletante. J’ai légèrement reculé ma tête pour regarder son joli visage, sa bouche entrouverte, ses yeux clos... J’ai commencé à entendre ses petits couinements, je ne me contrôlais plus, j’accelerais encore et encore le rythme de mes coups de reins, les mouvements de mon majeur sur son clito. Elle agrippa mes fesses et me tira vers elle, en même temps qu’elle donnait de grands coups de reins vers l’avant en gémissant. J’ai joui dans un râle, que j’essayais d’étouffer dans un coussin, continuant à aller et venir jusqu’à ce que mes couilles soient aussi vides qu’elles pouvaient l’être, avant de retomber sur elle et de rester ainsi sans bouger pendant qu’elle me caressait délicatement le dos. 
Enfin je me redressais, me relevais et remontait mon pantalon. Elle se redressa également mais ne se rhabilla pas. Au contraire, assise dans le canapé elle enleva ses Kickers et ses chaussettes. C’est pieds nus qu’elle me raccompagna à la porte. La dernière image que je vis d’elle cette nuit là, lorsque la porte de l’ascenseur s’ouvrit, fut celle d’une jeune femme radieuse aux joues rosies par le plaisir qui me souriait tendrement, entièrement nue dans l’embrasure de sa porte. Dès ce moment, d’autres envies, d’autres images, d’autres idées commencèrent à germer dans mon esprit.
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