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L'impudeur de ma femme

Chapitre 2

Premieres photos

Voyeur / Exhibition
Les premiers mois de notre relations, nous habitions encore tout deux chez nos parents, et passions énormément de temps ensemble l’après midi quand nous n’avions pas cours, souvent chez elle, et souvent nus. J’ai très vite eu envie de la prendre en photo à poil. Je lui en ai parlé, et contrairement à ce que je craignais elle a opposé très peu de résistance. Sur le moment j’ai mis ca sur le compte de mes talents de fin psychologue et sur mon pouvoir de persuasion. Je me suis dit qu’elle devait être flattée qu’un mec perçoive son potentiel érotique malgré ses petits seins et son look à l’époque pas particulièrement sexy. Flattée aussi que je la considère comme ma "muse" (même si mes ambitions artistiques ont toujours été assez limitées). Avec le recul, je pense que même si le fait que ça flatte son ego a sûrement joué un rôle, elle a accepté avant tout pour le fun, parce que ça l’amusait.  
Une fois qu’elle m’a donné son accord de principe, les choses sont allées assez vite. J’ai ramené mon appareil photo chez elle, une pellicule, et c’était parti! J’ai découvert en elle une modèle très docile. Son intention était de me laisser décider de tout: tenue, pose, attitude... elle attendait que je lui donne des directives et essayait de s’y conformer du mieux qu’elle pouvait. Elle n’était néanmoins pas soumise et prête à tout accepter, il était clair qu’elle faisait ça pour s’amuser et pour que je la mette en valeur. Si elle commençait à trouver ça lourdingue ou inesthétique, la séance risquait de tourner court.
J’ai commencé donc très soft. L’idée était d’y aller très progressivement, de ne pas brusquer les choses. Pour la première photo je lui ai fait nouer son foulard autours de la taille, comme un pagne étroit ne cachant que son pubis, et cacher ses seins avec ses mains, debout, telle une midinette faussement pudique. Puis je lui ai fait empoigner ses seins plus fermement, je lui ai dit de les agripper en écartant un peu les doigts, telles des serres de rapace plantées dans sa chair, donnant ainsi à ses petits nichons un peu plus de relief, et donnant à la photo un côté plus charnel. 
Je lui ai ensuite demandé de poser ses mains sur ses hanches et de prendre un air fier et conquérant, telle une Wonder Woman sûre d’elle et de son charme. Elle s’est exécutée de bonne grâce, dévoilant ses seins face à l’objectif sans la moindre gêne. Le contraste entre ses petits seins blancs dénudés et la croix de communion qu’elle avait gardé autours de son cou, révélateur de sa personnalité a la fois sensuelle et innocente, était à mes yeux particulièrement érotique.
J’ai fait une autre photo dans cette pose, avec la même attitude affirmée, mais sans foulard autours de la taille. Entièrement nue, campée sur ses jambes, assumant fièrement son corps de jeune femme de 18 ans, aux petits seins et a la chatte poilue, a la beauté simple et intemporelle, sans artifices. Elle regardait droit dans l’objectif, un regard plein de l’assurance tranquille d’une femme qui se sent en confiance. 
Je l’ai ensuite faite s’allonger sur le dos, et j’ai fait deux photos: sur la première, elle cachait ses seins avec son avant-bras gauche et son pubis avec sa main droite. Sur la deuxième, elle me dévoilait tout.
Puis je lui ai fait remettre le foulard, mais pas en cache-sexe cette fois. Je lui ai demandé de s’en bander les yeux, et l’impression d’assurance qui se dégageait d’elle s’est complètement évanouie. Yeux bandés elle semblait perdue, presque craintive. Et au lieu de lui dire de l’enlever, je l’ai photographiée. Après tout, c’était le but. Je l’ai aussi caressée. Je lui ai dit qu’elle était belle, en effleurant ses seins. Elle a retrouvé le sourire. J’ai passé mes doigts dans les poils de son pubis, caressé sa fente en l’embrassant. Elle était humide, j’avais envie d’elle. Mais j’avais en tête d’autres photos, il fallait que je me calme.
Je lui ai ôté le bandeau, et lui ai demandé d’aller dans le salon. "Tu es certain?" m’a t elle demandé, l’air un peu déçue qu’on ne poursuive pas ce moment plus charnel. Mais oui, j’étais sur. Nous sommes sortis de la chambre et je l’ai suivie dans le couloir, en regardant ses fesses encore un peu rondes, et je l’ai faite s’asseoir à l’envers dans un fauteuil Voltaire, les pieds joints sous l’assise. Je l’ai prise en photo de dos, en lui demandant de glisser la main entre ses cuisses, pour simuler une masturbation. Elle a accepté sans sourciller. 
Je lui ai demandé si elle n’avait pas de la lingerie un peu "femme fatale" à enfiler pour une photo. Elle a jouée l’offensée, prétendant être vexée que je trouve que sa lingerie habituelle ne fasse pas "femme fatale". Je lui ai demandé si elle ne pouvait pas aller regarder dans les affaires de sa mère pour voir ce qu’il pouvait y avoir de sympa. Miraculeusement, l’idée l’a amusée et elle est allée dans la chambre de ses parents pour faire une sélection. Je n’ai pas pu résister à la tentation de l’y rejoindre, pour mettre mon grain de sel dans le choix. Quand je suis rentré dans la pièce et que je l’ai vue accroupie devant la commode, nue comme un vers en train de farfouiller dans les affaires de sa mère, mon Dieu que je l’ai trouvée bandante! 
Notre choix s’est porté sur une guêpière en dentelle blanche. On ne trouva pas de bas pour l’accompagner, c’était regrettable mais tant pis, on ferait sans. Elle l’enfila immédiatement, avec mon aide pour attacher les agrafes dans le dos. Malgré les élastiques porte-jarretelles qui pendouillaient dans le vide et bien que la guepiere ne soit pas parfaitement ajustée, elle était terriblement sexy. Elle m’évoquait une jeune aristocrate du 18ème siècle prête à enfiler sa robe à crinoline sous les yeux de sa gouvernante, ou une apprentie putain dans un bordel des années folles. Je la fis s’allonger sur le lit a plat ventre, buste redressé, la tête posée sur ses mains, son cul rebondi en évidence, les jambes pliées, les pieds en l’air croisés. Elle me souriait, j’avais envie d’elle. Je l’ai pris en photo, vite, et j’ai posé mon appareil. Je me suis mis sur elle, nu. J’ai frotté ma queue contre ses fesses en l’embrassant dans le cou. Elle gloussait. Je lui ai écarté les jambes, j’ai glissé ma main entre le matelas et sa chatte. Elle était vraiment mouillée, prête. J’ai guidé ma bite vers son vagin, par derrière, et je suis rentré en elle, doucement. Elle a baissé la tête vers le matelas en soupirant. J’allais et venais dans son sexe en essayant de ne pas m’emballer, de faire durer. J’enfonçais ma bite autant que je le pouvais et de la ressortais presque entièrement pour qu’elle sente toute la longueur de ma bite en elle. Le majeur de ma main restée plaquée contre son sexe avait trouvé son clito et le masturbait en même temps que je la limais. Elle commença à gémir, ce qui eut pour effet de m’exciter encore davantage, et de me faire accélérer le rythme de mes vas et viens. "Tu vas me faire jouir" murmura t elle, avant de commencer à pousser des petits cris, qu’elle étouffa à moitié en enfonçant sa tête dans le duvet. Je me cambrais et ejaculais en donnant des grands coups de reins vers l’avant.
Je restais un moment lové contre elle. Quand on se releva, une marque humide d’une dizaine de centimètres de diamètres décorait la housse de couette de ses parents. Vu l’heure, on n’avait plus le temps de la laver et la sécher avant leur retour. Nous nous contentames donc de retourner la couette, en espérant que la petite tache soit sèche avant qu’ils se mettent au lit. Puis elle enleva la guêpière et la rangea soigneusement, en prenant soin de la remettre dans l’exacte position dans laquelle elle l’avait trouvé.
Cette première session fut un succès, L’ambiance avait été joyeuse, Marie avait été d’humeur rieuse, détendue, sans stress apparent. Depuis, des centaines de photos on suivi, dans le même esprit ludique et excitant à la fois.
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