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Impulsions comateuses

Chapitre 8

Inceste
Théophile vit défiler les gens à grande vitesse, sa sœur et ses amies se chargeaient de réguler les rencontres. La personne venait et avait quelques minutes avec l’ancien comateux puis était repoussée pour laisser place à un autre invité. Laura fit faire quelques pauses à son frère, mais celui-ci arriva rapidement au bout de sa patience et de son énergie. Il s’endormit dans son fauteuil roulant, cela sonna la fin de soirée, sa mère et Karine le couchèrent dans la chambre d’amis du bas qui avait été transformée en chambre pour jeune adulte.Au matin, il se réveilla de lui-même sans infirmière, cela le troubla profondément et en même temps, il sentit une félicité l’envahir.Un peu mou, il décida de ne pas prendre de risque et sortit de sa chambre en fauteuil roulant. Une porte à galandage avait été installée facilitant grandement sa sortie. Il arriva dans la cuisine, sa mère en nuisette avec une veste kimono courte l’accueillit. Elle vidait le lave-vaisselle.
— Bonjour mon cœur, dit-elle avec un grand sourire, elle regarda l’heure. Tu es debout tôt pour un samedi matin ?— Bonjour M’man, répondit-il en roulant pour se mettre à côté d’elle. C’est l’habitude des horaires de l’hôpital, elle va être dure à perdre.
Elle se pencha et lui fit la bise. Elle fut heureuse, car il n’en profita pas pour la tripoter ni l’embrasser. De plus, sa nuit n’avait pas été de tout repos, elle n’avait pas arrêté de revoir les images de sa séance avec son fils dans la voiture. Elle avait dû céder et tenté de se masturber plusieurs fois sans réussite avant de trouver le sommeil.
— Mets-toi à table, que veux-tu pour ton petit-déjeuner ?— Je ne sais pas, dit-il en réfléchissant profondément à la question. Normalement, je prends un morceau de pain avec une petite barquette de beurre et une petite barquette de confiture et deux mini-biscottes avec un mini-sablé avec mon café au lait.
Elle rit et attendit sa réponse.
— Je dirai tout, mais pas ça, finit-il par dire en souriant.
Elle sortit des céréales qu’elle mit dans un bol avec du lait frais.
— Du muesli chocolat avec du lait frais, dit Théo en salivant d’avance. Tu es une mère pour moi.— Je sais, répondit-elle en se mettant pour le servir.
Il prit sa cuillère avec sa main droite et avala une première bouchée.
— Ouf, c’est vraiment extra.
Sa main gauche se glissa entre les jambes d’Isabelle, elle ne fit rien pour l’arrêter. Il colla son pouce et son index contre le sexe et fit glisser ses doigts d’un bout à la fente. Il finit sa bouchée et dit :
— Ton sexe est brûlant.
Sa mère soupira doucement, ne sachant que répondre à cette évidence. Elle se contenta de hocher la tête.
— Tu mouilles déjà.
Cela exaspéra Isabelle.
— Pas besoin de me faire le détail de ce que je fais, c’est moi qui le fais.
Il ricana et continua ses caresses.
— Est-ce que tu t’es décidé pour ta console ?
Il ronchonna et dit :
— Non, toujours pas, et tu vois...
Il titilla le clitoris avec son index.
— ... je pense que cela ne sera aucune des deux, je vais partir sur une grosse config PC.
Isabelle ferma les yeux et trembla. Elle prit appui sur la table de sa main gauche et agrippa de la droite l’épaule de son fils.
— On va...ouh la... aller voir ton oncle...oui c’est bon... il va pouvoir te préparer...je vais jouir...ça rapidement.— Oui, il m’a dit hier qu’il bosse chez LDLC maintenant.
Il continua à tortiller le clitoris de sa mère dans tous les sens tout en finissant son bol. A la dernière bouchée, sa mère jouit et arrosa sa main d’urine claire.
— Oh mon Dieu, ça fait du bien ! s’exclama Isabelle.
Un immense sourire dévora le visage de Théo puis il dit :
— Tu vas être en forme pour la journée après ça.
Isabelle prit une serviette en papier et s’essuya le sexe.
— Je vais surtout aller faire un petit somme avant ma douche.
Elle débarrassa le bol et le mit dans le lave-vaisselle vide.
— Moi je vais lire un peu et prendre mon bain.
Elle se pencha pour lui faire la bise et l’embrassa à pleine bouche. Elle attrapa le sexe de son fils en pleine érection et le masturba un peu.
— Soit prêt pour 11 heures que l’on aille faire des courses, lui dit-elle en retournant se coucher.— Oki doki.
Théo roula vers sa chambre et passa dans le couloir, il ne vit pas la porte du placard à chaussures légèrement entrouverte. Laura regarda passer son frère avec son érection qui humidifiait son short.Peu réveillée, elle était rentrée en silence dans la cuisine et s’était retrouvée devant sa mère en plein orgasme, de la cyprine coulant le long du coude de son frère dont la main cachée par la veste de kimono s’activait toujours. Elle était restée prostrée vingt minutes, en état de choc.
— Comment elle peut faire ça avec son fils ? chuchota-t-elle enfin, toujours dans le placard.
Elle eut du mal à reprendre sa respiration.
— Elle le baise... j’en suis sûr...
Une colère sourde ourdait dans son crâne. Elle bondit, sauta dans l’escalier, monta les marches quatre à quatre jusqu’à la chambre de sa mère. Elle voulut entrer comme une furie, mais ouvrit doucement la porte et la trouva, nue comme un ver, alanguie sur son lit et sa couette enroulée sous elle. Elle souriait dans son sommeil. Isabelle sentit un courant d’air sur sa peau.
— Oh la ma chérie ! s’exclama-t-elle, levant la tête. Tu pourrais frapper... je dormais enfin.— Désolée Maman, je voulais savoir à quelle heure on partait pour les courses.
Sa mère tourna doucement la tête vers elle, les yeux ensommeillés.
— Pour 11 heures, c’est gentil mon amour de venir avec nous.
Elle s’approcha de sa mère.
— Tu as l’air apaisée ?
Isabelle se reposa sur son oreiller.
— Je suis... je suis bien, vous êtes tous les deux à la maison alors je suis bien.
Isabelle se mit la tête dans sa couette et se rendormit. Laura chuchota pour elle-même :
— Tu profites de lui comme ses infirmières et le reste de l’hosto, mais maintenant, je t’assure que je le protégerai.
A 11 heures, ils se retrouvèrent tous les trois devant la porte.
— Vous avez vu, dit Théo, habillé et paré sans aucune aide.— C’est super Théo, dit sa sœur.
Il regarda sa mère dont les yeux étaient dans le vague.
— Maman, tu as l’air à l’ouest ?— Absolument, me recoucher fut une grossière erreur.— Ma pauvre maman, dit Laura.
Ils partirent ensemble faire les courses, Théo derrière avec sa sœur pendant que leur mère conduisait. Sur la route, il demandait en continu quand tel ou tel nouveau bâtiment avait été construit, il eut l’impression de découvrir une nouvelle ville tant elle a changé.Laura poussa le fauteuil une fois sur place.
— On va tout de suite voir votre oncle pour qu’il te fasse une config le temps des courses.
Théo leva les yeux au ciel et lui répondit :
— Je pense qu’il ne pourra pas avoir toutes les pièces en un claquement de doigts.
Isabelle regarda sa fille d’un air perplexe, celle-ci haussa les épaules, n’y connaissant rien. Et ce fut Théo qui fut surpris lorsque son oncle l’informa qu’il n’y avait pas de soucis s’il lui laissait 3 heures.
— Tu vois, lui dit Simon, son oncle. On a des modèles d’expo prêts à la vente. Le temps de le nettoyer et de te mettre à jour Windows et il est à toi.— Les temps ont changé, dit sombrement Théo, et il est temps pour moi de parcourir de nouveau les terres de Férelden et d’affronter l’enclin.
Sa mère et sa sœur le regardèrent d’un œil torve.
— Car je bus le sang de l’engeance et suis un Garde des Ombres.
Son oncle sourit avec plaisir. Une vendeuse, qui travaillait à côté, lui fit un clin d’œil avec un pouce en l’air.
— Si vous nous laissez une heure de plus, intervint la vendeuse, j’installe Origin avec la toute dernière version de Dragon Age : Origin et peut-être Steam avec le Limited Édition de Skyrim avec les MOD qui vont bien.— Très bien, on prend ça, dit Théo. Le Dovakin qui est en moi est convaincu et je voudrais avec un écran 27’ avec clavier souris Rogue. A toute !
Il tourna sur lui-même avec son fauteuil, tapa sur les fesses de sa sœur et dit :
— Déferlez la grand-voile, direction les courses.
Sa sœur le poussa en levant les yeux au ciel.
— On devrait peut-être lui mettre aussi Assassin Creed BlackFlag, chuchota la vendeuse à son responsable.— Le seigneur a parlé, dirait-on ! s’exclama Isabelle. Merci Simon, on reviendra après avoir déjeuné à la maison et déposé les courses.— Impec ! répondit Simon.
Ils naviguèrent tous les trois dans les allées.
— Qu’est-ce qui vous ferait envie à tous les deux ?
Théo ouvrit grand les yeux en hochant la tête, n’ayant strictement aucune de ce qu’il avait envie de manger.
— Des fajitas ? proposa Laura.— Bonne idée, répondit sa mère.— Ça fait une éternité que j’en ai mangé ! souffla son fils. Et quand je dis éternité, je ne déconne pas vraiment.— Parfait, allez chercher les boîtes Old El Paso ! Je vais chercher la viande hachée.
Laura poussa le fauteuil jusqu’au rayon cuisine du monde. Théo attrapa la boîte de préparation à hauteur et sa sœur se tendit pour prendre les sauces qui étaient en haut. En lisant la liste d’ingrédients derrière la boîte, Théo passa sa main sous l’entrejambe de Laura et lui tâta les fesses avec son pouce.
— Il faudra prendre quelques tomates, énonça-t-il.
Laura s’était figée, elle retomba sur ses talons avec la sauce entre ses mains et regarda autour d’eux. Ils étaient seuls dans le rayon. Le côté de l’index de son frère parcourait sa fente sur toute la longueur. Elle sentit le pouce de celui-ci rentrer entre ses fesses et venir faire des ronds sur sa pastille. Elle était perdue.
— On pourrait faire un guacamole aussi, dit-il, se dégageant de l’entrejambe de sa sœur et tendit la main vers les sauces toutes faites.
Elle soupira et de légères contractions agitèrent son bassin.Je n’ai rien vu venir... il m’a passé la main sous la chatte et je n’ai même pas osé bouger !
— Je ne sais pas ce que vaut le guacamole Old El Paso.
Il se tourna vers sa sœur qui ne répondait pas.
— Tu vas bien ? Tu es rouge comme une tomate.
C’est l’idée... et puis il s’en fout complètement d’avoir fait une olive à sa sœur !Elle se reprit et répondit :
— Oui, oui.
Elle fit un pas en avant et sentit un frisson venant de son entrejambe. Elle ne sut identifier de quel type c’était.
— Il n’est pas terrible le Old El Paso, dit-elle, faisant pour l’instant comme si de rien n’était. On va prendre des avocats prêts à manger et du mélange d’épices Old El Paso.— Vendu, dit Théo.
Laura se pencha prendre le mélange. Théo posa sa main droite sur la fesse droite de sa sœur et la pelota. Elle jeta un discret vers lui, il s’était remis à la lecture de la boîte de fajitas.
— Est-ce que tu peux arrêter de me peloter, s’il vous plaît !
Théo leva les yeux, fit la moue :
— Désolé, mais elles sont tellement serrées dans ton jeans que je n’ai pas résisté.
Il écarta la fesse de sa sœur et fit glisser son pouce au milieu.
— Et il est sacrément élastique.
Elle lui tapa sur la main, rouge comme une pivoine et la respiration saccadée.
— Ce n’est pas un vrai jeans, c’est un jeggings un peu épais.
Elle se releva avec le mélange à la main.
— Je croyais que tu ne devais pas tripoter n’importe qui.
Théo ouvrit la bouche en grand, puis s’expliqua en faisant le geste de la balance avec les mains :
— Je sais bien, mais comme je t’ai sentie à la fois émoustillée et énervée depuis ce matin... je me suis dit que quelques caresses te détendraient.
Il se mit à lire l’arrière du sachet d’épices qu’il avait pris des mains de Laura sans qu’elle ne s’en rende compte, trop surprise des remarques de son frère. Après quelques secondes, elle prit la parole.
— Je suis ta sœur et non une nana que tu peux faire grimper au rideau avec un doigt pour l’ajouter ensuite à ton carnet, lança-t-elle, furieuse.
Théo prit la mouche et riposta en la regardant droit dans les yeux :
— Ne juge pas les femmes qui m’ont aidé et supporté.
Il retourna à sa lecture de la liste d’ingrédients du mélange d’épices et ajouta :
— Car au moins elles, quand elles mouillent, elles ont le mérite de l’avouer.
Laura fit une moue méprisante et voulut le taper sur la tête, mais se stoppa.Maintenant qu’il le dit ce con...Elle baissa les yeux vers son entrejambe et tira son jeggings, puis lança un "Merde" sonore. Une ligne sombre se voyait clairement à la couture de l’entrejambe.Elle le regarda fixement, au bord crise de furie.Tout ça ! C’est de ta faute ! A me chauffer !
— Woooh ! Woooh, ne m’en veux pas, c’est toi qui mouilles, pas moi.— Oh parce que toi, je ne te fais pas bander, peut-être ? répliqua Laura, cinglante.
Mais qu’est-ce que je raconte comme connerie.Théo prit un air docte et dit :
— Ce n’est pas pertinent... je suis un homme... je bande tout le temps.
Avec cet argument fumeux, elle ne sut que répondre et poussa son frère dans l’allée. Elle l’envoya percuter violemment une pile d’essuie-tout en promotion. Celle-ci s’égaya.Théo se retourna pour bombarder sa sœur d’insultes, mais elle avait disparu.
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