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Incapable de la satisfaire

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Je paniquais à l’idée que Bénédicte me laisse tomber. La seule manière de la retenir près de moi, c’était mon argent et ma position sociale. C’est la raison pour laquelle je lui avais demandé de m’épouser. Elle avait accepté, non sans en avoir parlé à son amant. Nous avions convenu de nous passer de cérémonie. Une simple signature devant le maire, avec deux témoins. Cependant, à notre retour à l’appartement, Bénédicte m’avait envoyé faire des courses, et quelques minutes plus tard, m’avais sonné pour me donner rendez-vous à une adresse à la campagne, sous prétexte d’un petit dîner entre amis. Lorsque j’étais arrivé dans le restaurant, le patron m’avait indiqué une salle dans le fond, en disant que mon épouse m’attendait là. En entrant dans la salle, je vis une dizaine d’hommes, entre 30 et 45 ans. Au milieu d’eux trônaient Bénédicte, en robe blanche de mariée et voile, ainsi que Laurent. Tout le monde éclata de rire en voyant ma mine, et tous crièrent « vive les mariés et le cocu ». Bénédicte m’expliqua que c’était moi qui allait servir à boire et à manger, tandis qu’elle était assise à table avec Laurent. Avant cela, je fus obligé de retirer mon pantalon et mon slip. Je devais ainsi aller en cuisine chercher les plats et servir tous ces hommes hilares. Ces pervers avaient même organisé une cérémonie de la jarretière. C’était moi qui devait relever la robe de mon épouse pour faire admirer ses jambes à tous les mâles. Ceux-ci ne se contentaient pas de donner des billets, ceux qui donnaient avaient le droit de la caresser. De billets de 5 euros, on était passé à 10 et 20 euros, et maintenant, la mariée, à quatre pattes, la robe relevée sur les reins, prenait et bouche et suçait les sexes des donateurs. Les hommes se succédaient dans la bouche de ma femme. A un moment, un d’entre eux brandit un billet de 50 euros. Les applaudissements fusèrent. Bénédicte mis le front par terre et cambra les reins, offrant ses fesses à l’inconnu. Celui-ci y enfonça un grand dard poilu et entama un va-et-vient. Bénédicte se mit à en pleurer de plaisir. Elle allait au devant du mouvement de bassin du mâle, le visage crispé par la jouissance. L’homme tira le meilleur parti de ses 50 euros, lâchant finalement son jus dans la chatte de mon épouse. Il se retira avec un air satisfait, mais Bénédicte en réclamait encore. « Baisez-moi, bande de salauds, je veux de la bite, mettez-moi votre dard bien au fond de la chatte ». Un maghrébin succéda au premier inconnu. Il pénétra Bénédicte en lui arrachant de nouveaux gémissements. Elle reprit ses mouvements de bassin de chienne en chaleur. Je n’en revenais pas de voir ma nouvelle épouse se faire ainsi baiser par des hommes qu’elle voyait pour la première fois. Ma femme se faisait monter par son troisième étalon, lorsque Laurent cria à la cantonade « et pour 20 euros, on peut aussi baiser le mari ». Cela suscita l’hilarité générale. Je n’en croyais pas mes oreilles. Un d’entre eux, un gros noiraud avec un air de maquereau répondit « chiche! » en tendant un billet bleu. En un clin d’œil, sans avoir eu le temps de réagir, je fus mis à terre. Laurent lui même se mis à califourchon sur ma nuque, la serrant avec ses cuisse. J’étais ainsi maintenu à quatre pattes, le cul offert à tous vents. Je sentis un doigt poisseux m’entrer dans l’anus et compris qu’on m’enduisait de beurre, puis à coup de pieds, on me fit écarter les genoux, et deux mains robuste m’empoignèrent les hanches. Un corps dur entrait en moi et malgré le beurre, cela faisait très mal. Je les suppliais de me laisser, mais cela les excitait encore plus, et j’entendais les rires fuser de toutes parts. Le sexe de l’homme était maintenant bien entré en moi et commençait son va-et-vient, me faisant hurler de douleur. Entre Temps, Laurent s’était déculotté, et, relavant ma tête, il m’avait enfoncé sa grosse bite dans la gorge. Je n’en pouvais plus. Mon violeur m’empalait sans ménagement. Je sentais comme un barre de fer glisser dans mon anus, allant bien profondément dans mes entrailles. La douleur et l’humiliation étaient intense, mais malgré moi, je ne pouvais m’empêcher de remuer les fesses pour aller au devant des coups de buttoir. Tout le monde s’en apercevait, et je me faisais maintenant traiter de lopette et de pute. Laurent accélérait son mouvement dans ma bouche, m’étouffant pratiquement. J’étais en train de me faire baiser devant ma femme le jour de mon mariage. Un petit regard sur le côté m’avait permis de voir que Bénédicte elle-même était prise de la même façon, et semblait adorer ça. L’intensité de l’humiliation était telle que je me mis à sangloter comme une femme. Je pleurais, mais je continuais à sucer la bite qui m’était enfoncée dans la gorge et à me trémousser des fesses. Je me rendis compte et acceptais enfin que j’aimais être traité comme une pute, et que j’aimais les mâles. Ma bouche était gourmande et ma langue servile finit par déclencher un jet puissant de sperme qui m’inonda la gorge. Quelques secondes à peine plus tard, je sentais un jet chaud me remplir le cul. On m’empoigna et on me conduisit, toujours à quatre pattes, vers la chatte de ma femme, qu’on m’obligea à nettoyer. Elle était pleine de foutre. Un autre homme venait de me pénétrer et m’enculait avec force. Bénédicte l’encourageait « vas-y, baise cette lopette, encule mon cocu de mari, met lui ta grosse bite de mâle dans son cul de salope ». Un autre avait pris possession de ma bouche, mais lorsque vint le moment d’éjaculer, il se retira et m’envoya le jet dans les yeux. Enfin, il y eut une pose, et ils se remirent à boire. Bénédicte passait des genoux de l’un à ceux de l’autre, les embrassant à pleine bouche, tandis que leurs mains palpaient ses fesses et ses seins. Moi, de mon côte, je servais à boire à ces mâles, le dos courbé car je savais à peine marcher, le sperme de mes maîtres étalé sur le visage et remplissant mon anus.
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