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Incartade(s)

Chapitre 5

Nouvelles transgressions

Orgie / Partouze

Au lever du jour, Stéphanie est recroquevillée contre moi, encore assommée par sa prise médicamenteuse. Je quitte notre couche en silence, m’habille et descends prendre un petit déjeuner. Elle émerge seulement lorsque je remonte dans la chambre. Je l’embrasse tendrement.


— Tu veux que je te monte un plateau ?

— Non, merci, je prendrai juste un café. Je vais me doucher. Et c’est adorable de l’avoir proposé.


Elle ressort nue de la salle de bain, et enfile une culotte très échancrée et un soutien-gorge assorti, puis passe un jean clair et un chemisier.


— Ton cul est parfaitement moulé. J’aime bien.

— Il est quand même top gros.

— Pas selon mes critères. En en plus la contemplation de tes mappemondes en levrette est un ravissement.

— Et c’est la position que j’affectionne le plus. C’est profond.


Nous allons boire un café en terrasse, et Stéphanie avale deux cachets.


— J’en ai besoin. Sinon, je perds pied. C’est une béquille indispensable pour traverser une période difficile.

— Fais bien attention à ne pas tomber dans l’addiction.

— C’est déjà le cas, j’en prends depuis plusieurs années, et là, j’ai augmenté les doses. Je ne suis pas celle que tu crois. Perçue comme toujours avenante, aimable, mais complètement shootée du matin au soir. Voila. Tu es certain de vouloir rester avec moi ?

— Oui. Je veux t’aider à surmonter les épreuves. A retrouver la joie de vivre. Tu es un rayon de soleil dans ma morne existence.


Au mépris de toute discrétion, nous échangeons un langoureux baiser en terrasse, sans penser à notre environnement.

Nous nous promenons ensuite main dans la main, comme n’importe quel couple, Stéphanie est radieuse. Nous achetons une jupe assez longue, tant elle se dit complexée par ses cuisses suite aux incessantes remarques de son mari, qu’elle porte en quittant le magasin, puis allons nous restaurer dans une brasserie.


— L’après-midi couples commence à quatorze heures. Toujours partant ?

— Oui, avec toi, je pense que les expériences vont être intéressantes.

— Tu dois me prendre pour une folle du cul. En fait, je suis encline à tout tester, pour me faire mon idée.


A l’heure dite, nous entrons dans l’établissement, d’apparence sélecte. Nous sommes accueillis par une femme de notre âge, blonde, vêtue d’une élégante robe noire au décolleté plongeant.


— Soyez les bienvenus, Madame, Monsieur. C’est votre première visite ?

— Oui, ma... femme et moi sommes... novices...

— Soyez rassurés. Ici, tout est proposé, rien n’est imposé. Nous sélectionnons avec soin notre clientèle. Natacha va vous prendre en charge. L’entrée est offerte pour les couples et femmes seules, seules les consommations sont à votre charge.


Notre hôtesse, une charmante jeune femme d’une vingtaine d’années à l’opulente poitrine, nous guide vers un vestiaire privatif et nous indique une vaste douche avec plusieurs pommeaux.


— Détendez-vous, puis vous pourrez vous délasser dans le spa. Vous avez des serviettes et peignoirs, sachant que la nudité ne pose aucun problème. Puis le bar est à droite, le sauna à gauche, et en face, vous avez les alcôves pour les moments plus...intimes.


Nous nous dévêtons, profitant d’une longue douche chaude, prétexte à des effleurements et caresses mutuels, ce qui ne me laisse pas de marbre. Stéphanie se dirige ensuite, en tenue d’Ève, vers la porte battante donnant sur le jacuzzi, alors que je reste en retrait.


— Tu ne viens pas ?


Je baisse les yeux pour lui signifier ma forte érection. Elle pouffe de rire, visiblement plus à l’aise que moi en ces circonstances.


— Un tel étalon ne doit pas avoir honte de ses attributs.


Je décide donc de mettre en sourdine les notions de décence et pudeur et la suis dans le vaste bain à remous. Un autre couple, et une femme dans la cinquantaine sont déjà dans l’eau et nous sourient apparemment nullement choqués par mon membre fièrement érigé.


— Bonjour, c’est votre première fois ?

— Oui.

— C’est très sympa, nous, on vient régulièrement. André, ma femme Michèle et notre amie Cécile.

— Enchanté, Stéphanie et mon...ami, Eric.

— Il a l’air dans de belles dispositions !


Sur ces mots, Michèle s’approche de moi, et je sens le contact de ses doigts sur ma virilité gonflée.


— Vous permettez, Stéphanie.

— Evidemment !


Mon ressenti est mitigé, à la fois excité par cette situation, nu avec de parfaits inconnus, tout en ayant l’impression d’être une pièce de bétail soumise à l’examen d’un maquignon. Sur ces entrefaites, arrive Natacha, notre hôtesse, intégralement nue, accompagnée de deux hommes d’une petite trentaine d’année. Son pubis est totalement rasé et sa lourde poitrine vacille à peine lors de ses déplacements. Un de ses deux cavaliers semble doté d’un pénis hors norme, tant par sa longueur que son diamètre.


— Je vous offre le champagne, s’exclame André.


Sa femme n’a pas cessé de stimuler ma queue, pelotant mes bourses, et un de ses doigts flatte mon anus. Et c’est en gardant mon membre en main qu’elle sort du jacuzzi.


— Un tel morceau, je ne le lâche pas !

— Tu partageras, petite cochonne, ajoute Cécile.


Quant à André, il a pris Stéphanie par la taille, visiblement ravie de susciter son intérêt, visible à son excroissance subabdominale prononcée. Les deux quinquagénaires sont en fait encore très avenantes, prenant visiblement soin de leur corps. Les mamelles laiteuses de Michèle sont certes légèrement tombantes mais restent de belle tenue, tout comme son postérieur bombé, et son petit ventre n’est pas rédhibitoire. Cécile est plus fine, avec une silhouette élancée. Et aucune des deux n’a froid aux yeux.


Après un rapide séchage, nous cheminons de concert, ma verge étant devenue une laisse fermement maintenue par Michèle et nous nous affalons dans de confortables sofas dans l’ambiance tamisée du bar. Une jeune femme, typée méditerranéenne, assure le service, uniquement affublée d’un petit tablier qui ne dissimule nullement son anatomie.


André est volubile, c’est un homme d’affaire très aisé, habitué des lieux, libertin assumé. Stéphanie siffle trois verres d’affilée, tripotée sans vergogne par notre invitant. Un des deux hommes accompagnant Natacha vient s’asseoir à côté d’elle. Evidemment, celui doté d’un énorme pénis, qui même loin de son apogée complexerait tout mâle plus classiquement équipé. Il murmure quelques mots à l’oreille de ma maîtresse, qui regarde André et opine du chef, et tous trois se lèvent  afin de rejoindre une alcôve attenante.


Michèle et Cécile ne sont pas en reste et s’agenouillent devant moi, leurs bouches habiles s’acharnant sur ma queue et mes bourses. Je suis rattrapé par mes scrupules.


— Mesdames... J’apprécie... Mais Stéphanie...

— Ne t’inquiète pas, elle est entre de bonnes mains. Germain est un amant formidable et doux, on a toutes profité de son énorme engin...


Un dernier sursaut de lucidité m’envahit, alors que mon sexe est profondément englouti par Cécile.


— Et...

— Il y a tout ce qu’il faut, préservatifs, lubrifiants... Cécile, petite pute, libère ton trophée, on va lui montrer...


A regret, le succube relâche mon membre gonflé et nous nous approchons de la pièce, entourée de tentures, dans laquelle est entrée Stéphanie. Effectivement, elle semble dans de bonnes dispositions : prise en levrette sur un futon par le monstre de chair du fameux Germain qui a agrippe sa taille, elle suce goulûment André, agenouillé devant elle, qui semble proche de défaillir, tant elle se montre une fellatrice experte.

Malgré la pénombre, on distingue aisément le phallus surdimensionné qui distend sa chatte, coulissant sur pratiquement toute sa longueur. A un moment, André pousse un râle guttural et ressort son sexe de la bouche de Stéphanie, lui aspergeant le visage de foutre.

Il se tourne vers moi en souriant.


— Ta copine est une pompeuse hors pair !


Le visage dégoulinant de semence, Stéphanie gémit sous les puissants assauts de Germain qui accélère la cadence.


— Oui, c’est boooooon ! Bourre-moi fort !


Ses joues sont écarlates, ses yeux comme hagards, elle semble totalement désinhibée. Je ne l’aurais jamais imaginée ainsi, elle qui semblait toujours si posée avant notre rapprochement. Michèle me prend par la main et m’entraîne vers une autre pièce.


— Je suis toute émoustillé... J’ai envie de ta bite...


Elle s’agenouille à nouveau et reprend ma verge raide entre ses lèvres. Et Cécile se positionne symétriquement derrière moi, écartant les globes de mes fesses. Sa langue vient flatter on œillet, s’y enfonçant de plus en plus. Cette double stimulation buccale inédite est réellement divine, et un doigt inquisiteur dans mon fondement accroît encore mes sensations. Puis les gourgandines m’allongent au sol, et Michèle glisse habilement une capote avec sa bouche sur ma hampe et d’un coup vient s’empaler sur moi.


— La vache, quelle bonne queue !


Elle se met à monter et descendre en poussant de petits cris, ses gros seins ballottent à chaque mouvement, alors que Cécile présente son intimité moite devant mon visage. Instinctivement, je débute un cunnilingus qui la fait rapidement feuler tant l’action de ma langue sur son bouton d’amour gorgé de sang répond à ses attentes. Un flot de cyprine ruisselle dans ma bouche alors qu’elle est terrassée par une vague de plaisir intense, quasiment simultanément à Michèle qui hurle avec de fortes contractions vaginales qui matérialisent son orgasme.

Je ressens moi-même les prémices de la jouissance, ce dont j’informe explicitement mes partenaires. Michèle extrait doucement mon dard de son ventre.


— Cécile, petite chienne, il t’a bien faite décoller avec sa langue !

— Oh, oui, fabuleux ! Et tu sais ce que j’aime...


En effet, elle se positionne sur le dos, jambe très relevées, et Michèle lui prodigue un anulingus qui la ravit. Ce sont ensuite un puis deux doigts enduits de lubrifiant qui viennent dilater sa rondelle, visiblement accoutumée à ce genre d’intromission.


— Eric, encule-moi !


D’autorité, Michèle s’empare de ma verge et vient en placer l’extrémité sur le sphincter assoupli de Cécile. Je marque un temps d’hésitation.


— Je ne voudrais pas te faire mal...

— Tu peux la défoncer, elle adore !


Et en effet, je pénètre aisément l’étroit orifice, m’enfonçant jusqu’à la garde, puis entame un va et vient de plus en plus tonique. Cécile geint sous mes coups de boutoir en devenant obscène, ses chevilles sur mes épaules.


— Oui, déchire-moi le cul ! Je suis une puuuuuuuuuute !


Mes couilles claquent sur ses fesses, alors que je la pilonne sans aucun ménagement. L’éruption est imminente, tant je suis excité, n’ayant pas pratiqué de sodomie depuis des années, mon épouse étant réticente à tout ce qui concerne l’anal.


— C’est trop bon, je vais cracher !


Manifestement rodé, le binôme de mijaurées matures ôte prestement le capuchon de latex qui recouvrait mon membre, et leurs lèvres affamées se battent pour s’emparer de mon gland alors que leurs doigts experts massent mes bourses, mon périnée et mon anus.

J’explose en hurlant, libérant de longs jets de sperme sur leurs visages et leurs bouches. Je me sens complètement vidé, tant physiquement que mentalement, alors qu’elles se délectent en lapant la moindre trace de liquide séminal, assurément comblées.


— Tu es un super amant, Stéphanie doit grimper au plafond. Allons prendre un verre.


Nous nous dirigeons vers le bar, les femmes collées contre moi ne cessant de flatter mon pénis redevenu flasque, et passons inévitablement devant l’alcôve ou est toujours ma maîtresse. Et ce que je vois me laisse pantois.

Stéphanie est enfichée sur le membre d’un jeune homme d’une vingtaine d’années allongé sur le dos, et un autre gars est derrière elle, et son pieu s’active dans son rectum. Outre cette double pénétration, André et un second larron se partagent la bouche de Stéphanie. Son corps à la peau claire est également couvert de jus blanchâtre. Je tente de croiser son regard, mais c’est peine perdue, tant elle parait totalement absorbée par ces instants de pure débauche, possédée par le démon du vice.


— Ne t’inquiète pas, elle a vraiment l’air de prendre son pied, me susurre Michèle.


Sur ces mots, nous rejoignons les confortables sofas du bar, accueillis par les gémissements de Natacha qui, cuisses largement écartées, se fait dévorer l’abricot par la serveuse au teint méditerranéen, elle-même saillie par le fameux Germain. Une ambiance orgiaque !


— Tu as l’air perturbé, me glisse à l’oreille Michèle.

— Je ne suis pas particulièrement coincé, si c’est ce que tu veux dire. C’est ma première fois dans ce type d’établissement, c’est assez... déconcertant.

— Et peut-être aussi un peu de jalousie. Si ça se trouve, tu découvres Stéphanie sous une autre facette.


Elle m’a parfaitement percé à jour. En effet, je n’aurais jamais imaginé Stéphanie prendre part avec un tel entrain à ce qu’il convient de nommer une partouze.


— C’est ma maîtresse depuis un peu plus de deux mois. Et je n’ai jamais osé lui demander de...


Je m’interromps, conscient de me livrer comme rarement. Puis poursuis, d’un ton monocorde.


— Au début, c’était comme un jeu de séduction, avec une montée du désir. Et jamais une femme ne m’a sucé comme elle le fait. Et même si je refuse de l’admettre, je sens poindre des sentiments. Nous sommes tous deux mariés, et c’est bien ce que je voulais éviter. Et je n’ai même pas osé lui demander…


C’est cette fois Cécile qui finit ma phrase.


— De la sodomiser ? Apparemment, elle ne rechigne pas. De s’occuper de ta prostate ? Je suis convaincue qu’elle le ferait avec plaisir. Et j’ai bien vu votre langage corporel, votre attitude, à votre arrivée. Vous êtes amoureux. Lâchez-vous !


Ces deux femmes délurées, que je ne connaissais pas il y a encore quelques heures et avec qui je viens de partager des moments intimes, ont remarquablement cerné les choses. Et ont verbalisé les non-dits. A tel point que je reste silencieux, tant l’analyse est juste.


Natacha pousse un hurlement, vaincue par le cunnilingus de la serveuse, sur le cul de laquelle Germain déverse une impressionnant quantité de foutre en ahanant.



Sur ces entrefaites, J’assiste au retour de Stéphanie. Sa démarche est peu assurée, et elle est soutenue par André, au sourire rayonnant. Ils s’affalent tous deux face à nous. Stéphanie est très pâle, et malgré un probable nettoyage, on distingue des coulures de sperme sur son corps. Elle parait absente, et je ne parviens pas à capter son regard, ses yeux sont vitreux. Elle avale d’une traite une nouvelle coupe de champagne, comme ne percevant pas ma présence. André reprend la parole, tout en caressant ostensiblement le ventre et les cuisses de Stéphanie, ses doigts s’immisçant même dans sa chatte sans qu’elle ne réagisse.


— Heureusement que j’avais pris mes cachets bleus… Stéphanie, ma belle, tu es fabuleuse ! Eric, quand vous repassez tous deux à Paris, contacte-moi. Apparemment, tu t’es bien occupé de mes cochonnes, elles sont radieuses.


Je suis envahi par un sentiment de malaise. Voire de culpabilité. Stéphanie est-elle en pleine conscience ? Le cocktail d’anxiolytiques et d’alcool a-t-il pu altérer son discernement ? Et lors de notre arrivée, elle a retiré ses lunettes, sans mettre de lentilles de contact. Dans cette ambiance semi-obscure, avec sa forte myopie, elle doit être quasiment aveugle.



N’aurais-je pas dû la dissuader ? Rester à ses côtés ?



Je regarde l’heure. Nos frasques sardanapalesques ont duré une bonne partie de l’après-midi. Je me lève et annonce à Stéphanie qu’il est temps de regagner notre hôtel. Elle reste prostrée, comme en état de choc. Mon appréhension s’accroît. Il me faut l’assistance d’André et ses cavalières pour la lever. Telle une somnambule, nous la guidons vers les douches et elle semble reprendre peu à peu ses esprits sous les jets d’eau volontairement réglés sur une température assez fraîche. Puis nous la séchons et l’aidons à se rhabiller.


— Je vous ai appelé un taxi, il est déjà réglé, m’indique André en me laissant sa carte.


Stéphanie chancelle, serrée contre moi sur le court trajet pour rejoindre le véhicule. Blottie dans mes bras sur la banquette, elle serre très fort ma main. Et il en est ainsi pour monter jusqu’à notre chambre.



Elle se laisse choir sur le lit. Je m’allonge à ses côtés. Nos mains sont toujours jointes. Nous restons immobiles un long moment. Seule la respiration saccadée de Stéphanie qui fixe le plafond, les yeux mi-clos, trouble le silence. Après un laps de temps que je ne saurais estimer, je tente de lui parler.


— Stéphanie.


Aucune réponse.


— Stéphanie.


Toujours rien.


— Chérie, je t’en prie…


Ces mots sont sortis de ma bouche sans aucune réflexion préalable, mon ton est quasi implorant. Mais le résultat est tangible. Stéphanie tourne doucement la tête vers moi. Avec une inédite lueur dans son regard, elle esquisse un sourire.



— Eric, je t’aime.

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