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Incartade(s)

Chapitre 11

Première sodomie pour Cathy

Hétéro

Je m’installe donc chez Eric. Nous faisons l’amour quotidiennement. Et même parfois plusieurs fois par jour. Je découvre la levrette, sa positon préférée, qui lui permet de me pénétrer très profondément. Il m’initie à la fellation, même si l’exigüité de ma cavité buccale ne me permet pas d’ingérer son phallus autant qu’il le souhaiterait. Et à propos de sexe oral, je pratique mon premier soixante-neuf. Et malgré l’avertissement d’Eric qui mordille mon bourgeon érigé, je le garde en bouche lors de son éjaculation. Je manque de m’étouffer et recrache aussi discrètement que possible des miscellanées de sperme et de salive. Je comprends aussi que mon homme apprécierait de venir plus souvent entre mes lèvres. J’expérimente aussi la cravate de notaire, ma morphologie me permettant aisément de comprimer la bite d’Eric entre mes gros nichons, générant chez lui un plaisir qui se répand sur mon cou.


Et lorsque mes règles surviennent, nous décidons que je ne prendrai pas de contraception, souhaitant mettre un bébé en route après notre mariage prévu dans un peu plus de deux mois. Certes la méthode du retrait n’est pas sans risque, mais nous prenons cette décision ensemble. Eric repart en mission de soutien technique l’étranger une dizaine de jours. Je me masturbe chaque soir en pensant à lui, et nous échangeons des messages torrides. A son retour, il me prend quasiment sauvagement, sans préliminaires, relevant ma robe et baissant ma culotte à mi-cuisses, me troussant avec une énergie remarquable. Je me retrouve ainsi penchée sur la table du salon, robe retroussée, virilement maintenue par la taille par Eric qui me besogne vigoureusement en ahanant. Malgré la rudesse de ce rapport assez bref, je jouis comme une folle quasi instantanément. Il est ma drogue, et j’étais en manque. Il est si excité que j’imagine qu’il va venir en moi, mais j’en suis à un stade où ceci m’importe peu.


Contre toute attente, Eric se retire, et appuie sur mon épaule, me faisant fléchir les jambes. Je me retrouve à genoux, le visage face à son énorme queue. Il l’engouffre d’un coup dans ma bouche distendue, j’en ai le souffle coupé. Une seconde plus tard, il déverse en feulant un flot de sperme chaud qui déborde de mes lèvres et vient souiller ma robe. Je me mets à hoqueter, surprise par son geste et cette abondante marée blanche.


— Cathyyyyyyyy ! Salooooooope !


S’ensuit un moment de silence. Le membre encore gonflé d’Eric quitte ma bouche meurtrie. Il a les yeux hagards.


— Chérie, je suis vraiment désolé. Je me suis comporté comme un porc.


Ce n’est pas faux, mais même si je n’ose l’avouer, j’ai aimé être dominée ainsi. Me retrouver agenouillée devant Eric, forcée à recevoir sa semence en bouche après une telle saillie. Non, c’est malsain, je dois chasser cette pensée de mon esprit.


— Tu as été brutal. Ce n’est pas toi.

— En effet. Je ne vais pas chercher d’excuses, même si je suis crevé, j’ai travaillé tous les jours sur place sans compter mes heures, et avec le décalage horaire. Mais peu importe, c’est inacceptable. Si tu souhaites que je parte...

— Non. Tu es un homme, avec ses forces et ses faiblesses. Et je préfère que tu me fasses ça plutôt que d’assouvir tes besoins avec une autre.


Ma fille, tu aurais été bien avisée de graver ce propos dans le marbre. Tu ne serais pas dans cette situation aujourd’hui, à devoir reconquérir ton mari volage.


Après cet épisode, les choses reviennent à la normale, et Eric fait tout pour se faire pardonner, plus attentionné que jamais. Et je remarque aussi qu’il ne perd pas une occasion d’effleurer la raie de mes fesses, lors de nos douches notamment, en insistant sur ma zone anale. Je me doute de ce qu’il a en tête. Et je suis terrorisée. Mais après son comportement lors de son retour, il semble se brider, à l’affût de mes réactions.

Un soir, alors qu’il me prend en levrette, un de ses doigts s’insinue dans mon sillon, sur lequel il doit avoir une vue panoramique, massant les plis de ma rondelle. Je décide de passer outre ma réserve et ma pudeur.


— Chéri, tu touches mon anus...

— Oui, et Cathy, il y une chose dont j‘ai très envie...


C’est bien ce que je redoutais, en sachant que c’était inévitable. Il souhaite me sodomiser. Faire rentrer  son rondin dans mon petit trou du cul ! Inimaginable. Même si à près de vingt-cinq ans, je dois une des seules à avoir conservé ma virginité anale, du moins parmi mes anciennes copines de fac.


— Eric, c’est sale. Et tu si gros que j’aurais mal.

— Je comprends. N’en parlons plus.


La déception est perceptible dans sa voix. Alors je décide d’ouvrir une porte.


— Mais chéri, quand nous serons mariés, je te laisserai essayer. Mais je ne peux rien te garantir.

— Mon amour, je suis le plus heureux des hommes. Et sois rassurée, je serai précautionneux.


Puis vient le mariage, et le voyage de noce sur une île paradisiaque. Eric et moi faisons l’amour plusieurs fois par jour, et dorénavant il se libère en moi, car nous voulons tous deux un bébé.

Il me fait littéralement grimper au plafond avec sa langue, faisant preuve d’une grande habileté pour câliner mon mont de Vénus, me faisant parfois jouir à plusieurs reprises sous l’effet de sa seule caresse buccale. Je prends ainsi nettement plus de plaisir que lors des pénétrations vaginales, ce qui lui fait dire que je suis avant tout clitoridienne, sachant que je ne m’étais jamais posé la question. Et je me dois de lui procurer la même chose.


Après une randonnée éreintante sur un site volcanique, Eric est allongé sur le lit. Il est clair que nous sommes trop fatigués pour envisager de toniques galipettes. Alors, je décide de lui accorder une fellation complète, faisant fi de mon habituelle réticence. Ma bouche parcourt son membre épais, des bourses au gland, que je gobe avec difficulté tout en branlant vigoureusement le pieu de chair. Eric est aux anges, je sens les palpitations du monstre.


— Cathy, attention, je vais venir...


Courage, ma fille, lui, il ne rechigne pas à ingérer ta cyprine. C’est ton mari, et le contenter est consubstantiel de notre union. Je poursuis donc ma succion, en accentuant la pression de ma main. Et ma bouche se gorge peu à peu de sperme. Je m’efforce d’avaler le liquide au fur et à mesure de son arrivée, malgré un haut-le-cœur. Je suis si concentrée que j’y parviens, certes à grand peine.


— Mon amour, c’était formidable.

— Merci, mais je ne pourrai pas le faire trop souvent.


Effectivement, ce sera une des seules fois où je parviendrai à aller jusqu’au bout. A posteriori, faire cet effort aurait certainement changé les choses.


Mais je ne devais hélas pas avoir la maturité nécessaire pour pleinement appréhender la portée de la frustration que je générais. Tout comme pour une autre demande forte d’Eric.


Nous étions ensemble au bain, nous livrant à des attouchements appuyés, ceci peu de temps après la confirmation de ma grossesse. Il commence par masser mon corps, en m’attardant sur mes gros seins, mon ventre, ce que j’apprécie comme en attestent mes soupirs. Puis son index entrouvre ses lèvres afin de caresser doucement mon clitoris. Il glisse mon autre main dans la raie de mes fesses, et entreprend de flatter mon anus pour le détendre. A un moment, son doigt, enduit de gel douche, entre légèrement dans mon petit œillet. Je pousse un cri de surprise, vite remplacé par un halètement puis un nouveau cri, mais de plaisir, quand la friction sur mon bourgeon érigé devient plus forte. Cette plaisante diversion lui permet d’introduire plus profondément son doigt dans mon anus, et il réalise à présent des mouvements de va et vient, tout en douceur.


— Ça va ?

— Oui… tu m’as encore fait jouir… je crois savoir ce dont tu as envie...

— Séchons-nous, et allons dans ma chambre.

— Oui…


Il saisit une serviette éponge, et entreprend d’essuyer complètement mon corps. J’en fais de même. Il me prend tendrement par la main, et m’emmène dans notre alcôve.

Face à face, nous échangeons un baiser profond. Il ne cesse de me caresser, de malaxer ma poitrine gonflée, et je constate que ma chatte est de nouveau trempée. Je m’empare instinctivement de sa queue toujours bandée, et dorlote son membre des couilles au gland.


— Allonge-toi sur le dos, Je vais mettre un oreiller sous ton bassin.


Une fois dans cette position, il continue ses caresses, pelotant ses gros seins, massant son ventre. Il a sorti un flacon de gel intime, certainement en prévision de ce moment. Je relève légèrement mes jambes et sa langue entre en contact avec mon clitoris libéré de son capuchon. Sa bouche est de nouveau remplie de ma liqueur. Mon corps tressaille alors, et je pousse un cri, traversée par un nouvel orgasme. Sa langue descend le long de mon vagin, parcourt mon périnée, puis commence un mouvement en cercle sur les plis de mon petit anus, ce qui contre toute attente ne me déplaît pas. Il salive beaucoup, et je peux sentir s’introduire sa langue dans son orifice. En même temps, son pouce continue à frictionner mon clitoris gonflé. Il remonte ensuite sa bouche pour le mâchonner doucement, tandis que son majeur recouvert de gel s’introduit de nouveau dans mon fondement. Il lui imprime un mouvement de rotation, afin de le décontracter et de le tapisser de lubrifiant.


Puis il insère doucement un second doigt, également lubrifié.

Je pousse de nouveau un petit cri, tant cette intromission nouvelle est perturbante. Ce n’est pas tant une douleur physique qu’un blocage intellectuel. Il accentue alors l’action de sa langue sur mon clitoris, provoquant une génération de cyprine qui envahit sa bouche, alors que des spasmes orgasmiques me traversent tant ce cunnilingus est bien réalisé.


Eric bande comme un fou, son gland est gonflé comme jamais, les veines de sa hampe sont saillantes. Il retire délicatement ses doigts de mon rectum, qui semble dorénavant bien assoupli. En continuant à titiller mon clitoris, il badigeonne sa queue de gel, en déposant une couche épaisse sur le gland.


Il relève alors doucement mes jambes, et présente l’extrémité de son membre à l’entrée de mon anus, toujours en caressant mon clitoris. Il exerce alors une délicate poussée. Mon sphincter résiste, mais son gland entre à moitié. J’ai l’impression d’être ouverte en deux !


— Eric, j’ai mal…


Il se retire, toujours très délicatement, et entreprends de renouveler ma préparation : sa langue entre de nouveau dans mon petit œillet, puis un et deux doigts, très progressivement, tout en douceur. Je ne sens plus de résistance, ma rondelle parait vraiment assouplie.

Il présente de nouveau son gland turgescent enduit de lubrifiant devant mon anus. Une lente poussée, il rentre, petit à petit, guettant tout signe de souffrance de ma part. C’est fait ! Son gland est complètement inséré dans ma rondelle vierge. La sensation est vraiment étrange, indescriptible. Je pousse un long soupir.


— Eric, je sens remplie…


Il continue sa progression, toujours avec une grande douceur, tout en alternant les caresses sur mes seins, mon ventre, mon clitoris. Je mouille énormément, et la cyprine coule sur sa queue, qui est maintenant rentrée à plus de la moitié. Il entame un lent mouvement de va et vient, en enfonçant toujours davantage sa bite dans mon cul si serré. Eric cherche visiblement à garder le contrôle, sans quoi l’explosion va arriver trop vite. Sa verge est maintenant totalement enfoncée dans mon anus, ses couilles sont en contact avec mes fesses. Mes joues sont incandescentes, ma respiration est saccadée. Il se penche vers moi, et nous échangeons un baiser torride, nos langues se mêlent.


— Oh… Eric… Tu es en moi… Je te sens, tu es énorme…


Après quelques instants sans bouger, il recommence à aller et venir, en augmentant l’amplitude, allant presque jusqu’à ressortir son membre, puis l’enfonçant de nouveau à fond. Il accélère aussi le mouvement, constatant je suis dorénavant pleinement décontractée, sans cesser de stimuler mon clitoris gonflé

Je perçois à son expression que le plaisir monte inexorablement. Il va bientôt venir tant cette gaine est étroite.


— Cathy, c’est trop bon…. Je vais jouir…


Il attrape mes deux gros seins à pleines mains et me pilonne dorénavant sans retenue. Et arrive l’explosion. Sa jouissance est extraordinaire, et je ne peux estimer le nombre de jets de sperme qu’il libère dans mon cul. Je l’entends hurler mon prénom. Il semble comme assommé par l’orgasme, des étoiles dans les yeux. Il reste ainsi plusieurs minutes, toujours emboîté en moi. Nos regards se croisent. Eric m’embrasse à nouveau et nos langues dansent de concert.

Il commence à se retirer de mon fondement, très lentement. Lorsque sa queue, à peine ramollie, ressort, un flot de foutre s’écoule de mon anus encore dilaté. Jamais il ne va se refermer !

Il s’allonge ensuite auprès de moi et me prend dans ses bras. Sa respiration est rapide, il semble épuisé mais si heureux.


— Tout va bien ?

— Oui… C’est incroyable, tu es venu en moi…Je t’ai vraiment bien senti… Je ne trouve pas les mots… Et tu es magnifique quand tu jouis…

— Je ne t’ai pas fait mal ?

— Juste un peu, au début, mais après c’était supportable. Tu as vraiment été doux.

— Tu sais, il faut qu’un homme et une femme soient vraiment en confiance pour cela…

— Je comprends. Tu es mon mari. Par contre, il ne faudra pas me le demander trop souvent.


Et dans les faits, tout comme l’éjaculation buccale, on pourra compter les sodomies sur les doigts de la main, bien que l’expérience soit loin d’être désagréable. Ces satanées inhibitions me coûtent cher. 

Mon mari me trompe.

Et pourtant, j’ai eu une enfance heureuse, n’ai jamais manqué de rien ou été abusée... Un jour, il faudra que je détermine sérieusement les causes de mes blocages. Mais après avoir reconquis mon homme. 


Par tous les moyens.

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