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Incertitudes hivernales

Chapitre 7

Hétéro
Durant le week-end chez moi, Jessica a pris plusieurs parures de lingerie qu’elle passe durant les deux jours. Elle insiste pour que je la sodomise, mais malgré ma préparation, je ne parviens pas à la pénétrer. Elle est déçue et culpabilise. Elle pense que c’est à cause d’elle que j’ai ces absences. Je me rends également compte que je suis très loin d’avoir les discussions que j’ai avec Cathy. Malgré toute sa maturité, Jessica s’ennuie à parler de sujets qui me paraissent importants. La semaine suivante est l’occasion de la soirée retrouvailles avec les vacanciers de Martinique. Aussi, Cathy garde ses enfants le jeudi soir pour se libérer le vendredi, jour de cette soirée, qui se déroule chez elle. Je demande à Jessica de m’y accompagner, mais elle hésite à venir. J’insiste. Je ne veux pas qu’elle puisse me reprocher quelque chose par rapport à cette soirée. Je la connais. Elle accepte finalement, même si elle préfère que nous y allions avec deux voitures car elle ne restera pas toute la soirée. Je l’attends donc chez moi et nous nous suivons.Jessica porte une robe noire mi-longue, joliment décolletée en U, à manches longues. Dessous, elle a mis un porte-jarretelles. Nous arrivons après Albert, Sandra et Pierre. Parfait. Les salutations entre Cathy et Jessica me font bizarres. Étrange de voir les deux femmes avec qui je couche se faire la bise si "naturellement". Une demi-heure plus tard, tout le monde est là. La soirée se passe très bien, nous rions beaucoup et nous rappelons plusieurs anecdotes. Nous regardons les photos des uns et des autres, passons commande de retirages, etc. Cathy a fait appel à un traiteur pour un buffet succulent. Tout le monde semble passer une bonne soirée, sauf Jessica. Je lui demande :
— Ça ne va pas ?— Si, si, mais vous êtes dans votre trip et je me demande ce que je fais là. Je savais que je n’aurais pas dû venir.
Je ne réponds rien. Élisa, la copine de Daniel, et Rachel, la femme de Paul, sont présentes également et s’amusent autant que nous. Elles n’étaient pourtant pas en Martinique non plus. L’attitude de Jessica m’agace et je préfère ne pas réagir. A 22h30, elle me dit qu’elle s’en va. Elle salue tout le monde et je l’accompagne à sa voiture.
— Je m’excuse, Florent. Désolée si je t’ai gâchée la soirée. — Tu ne me l’as pas gâchée du tout. C’est surtout dommage pour toi, de ne pas t’être amusée.— Tu me pardonnes ?— Oui. Embrasse-moi.
Notre baiser s’accompagne de caresses et je soulève la robe de Jess au-dessus de ses fesses. Elle dit :
— J’ai envie de toi. Très vite.— Ici ?
Je regarde alentours. La rue est sans issue et peu fréquentée. Quand bien même : il n’y a pas grand-chose pour nous dissimuler, même partiellement. J’ai alors une idée. J’ouvre mon coffre et sors une couverture. Je la pose au sol, entre la voiture de Jess et la mienne. Elle sourit :
— Tu as toujours tout ce qu’il faut !
Jess s’y agenouille et écarte son string. Je m’agenouille derrière elle et la prend très fort en levrette. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour jouir. Nous nous relevons. Jess prend un mouchoir et le glisse entre son sexe et son string. Dernier baiser. Elle s’en va :

— A demain !
Je remonte chez Cathy. Une heure plus tard, il ne reste qu’Albert et Philippe, le frère de Cathy. Je suis sûr que ce dernier se doute de quelque chose. Ses coups d’œil, ses sourires, le laissent supposer. Il s’en va pourtant avec Albert, me laissant seul chez sa sœur, avec qui je finis de ranger. Il est 1h du matin lorsque nous terminons. Nous nous embrassons et avant que ça n’aille plus loin, je dis à Cathy :
— Il faut que j’aille à la salle de bains.
Elle sourit.
— Je crois, oui.
Elle me fait un clin d’œil. Je me lave le sexe et reviens au salon. Cathy est dans le canapé, un verre de rhum à la main. Le mien est posé sur la table basse. Je m’assieds, elle m’embrasse. Elle dit :
— A mon tour d’annoncer une intrusion.— Tiens donc...— Pas dans une chambre ou un appartement, plutôt dans... l’intimité d’un couple.— Je vois. Tu nous as suivi, Jess et moi, quand nous sommes sortis ?— Oui.— Tu as tout vu ?— Jessica n’a pas le moindre poil sur le sexe et elle a un popotin ravissant.— Ah oui, effectivement, tu as tout vu.
Elle m’embrasse.
— Si j’avais eu plus de temps, je me serais masturbée.
Je la regarde. Elle me murmure à l’oreille.
— Je veux aussi que tu me baises comme ça en pleine rue.
Nous faisons l’amour et notre ébat se termine par une levrette, la même que j’ai pratiqué trois heures plus tôt avec Jessica. Depuis que je couche avec elle, j’avais remarqué que la levrette n’était pas la position favorite de Cathy, mais ce soir, je pense qu’elle est ravie de prendre une sorte de revanche sur sa jeune rivale.Le lendemain au réveil, je la sodomise après une courte préparation et m’enfonce dans son anus avec une facilité déconcertante. Cathy a un orgasme magnifique. Je lui apporte le petit-déjeuner au lit, elle est aux anges. Il est passé 11h lorsque nous terminons. Je dis à Cathy que je ne vais pas tarder, mais elle insiste pour que je reste encore. Le soleil brille et elle me propose une balade au bord du lac. Nous prenons la voiture et en cinq minutes, nous nous trouvons sur un joli port que je ne connais pas. Cathy confie qu’elle vient souvent s’y promener et y méditer, car le lieu est calme et peu fréquenté en dehors de l’été. Nous nous baladons main dans la main ou lovés l’un contre l’autre. Il fait un froid polaire. Nous jetons quelques cailloux dans le lac et tentons maladroitement de faire des ricochets. Nous avançons ensuite sur la longue digue qui s’enfonce dans le lac. Au bout, nous nous asseyons sur des rochers en contrebas de la digue, côté lac. Il ne faut pas longtemps pour que je commence à caresser Cathy.
Celle-ci déboutonne mon pantalon et provoque :
— Tu vas y arriver avec ce froid ?
Je ris.
— Bien au chaud sous ta jupe, ça devrait le faire.
Cathy retire son string qui manque de tomber entre deux rochers. Elle porte des bas autofixants. Je plaisante et les lui montrant.
— J’aime bien.— Tu me fais faire des frais. J’ai deux-trois paires de collants mais avec tes histoires de quickies, je me suis achetée une dizaine de paires de bas.— Pour porte-jarretelles aussi ?
Elle sourit et répond en glissant mon sexe dans le sien.
— Peut-être...
Cet ébat n’est pas un quicky, mais un long échange partagé et tendre. Nous nous embrassons durant tout le rapport et Cathy prend son pied à de nombreuses reprises avant que je ne jouisse à mon tour. En revenant à la voiture, Cathy me propose que nous sortions la semaine suivante. J’accepte sans hésiter.Je la dépose devant chez elle et renonce à monter comme elle me le propose. Je pars et après un détour chez moi, je file chez Jessica. La belle est un peu fâchée que j’arrive si tard, mais je m’excuse et l’invite au restaurant.
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