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Incertitudes hivernales

Chapitre 9

Hétéro
Après un détour express par mon domicile, j’arrive à midi chez Jessica. Nous allons faire une dernière course qui nous prend l’après-midi tellement il y a du monde. Nous nous préparons ensuite et nous rendons chez Maryline pour 19h. Il y a déjà une demi-douzaine de personnes et je ne connais pas tout le monde. Finalement, nous sommes onze. La soirée est très agréable et je discute avec plusieurs convives qui ont tous entre cinq et sept ans de moins que moi. Notamment l’hôtesse de la soirée, Maryline, la meilleure amie de Jessica, avec qui je me suis toujours bien entendu. C’est néanmoins la première fois que j’ai vraiment l’occasion de parler avec elle et je découvre une fille originale, dotée d’un sens de l’humour peu commun. Elle n’hésite pas à rire notamment de son physique (89 kilos pour 1m65) et de sa poitrine (100D). Nous rentrons à 4h du matin et Jessica me fait un striptease un peu éthylique mais ravissant. Nous faisons l’amour... comme on peut.Je reste chez Jessica jusqu’au week-end et la cabane de jardin est le théâtre de nombreux rapports. Jess ne cesse de répéter qu’elle m’aime et qu’elle est folle de moi.Le samedi soir, nous sortons mais je ne sais pas où nous allons. Jessica me répète qu’il s’agit d’une surprise. Nous allons chercher Maryline en passant. Elle aussi est joliment habillée et maquillée. Nous allons manger au restaurant et les deux filles gardent le secret sur la suite de la soirée. Vers 21h30, nous nous rendons dans une petite salle communale. L’affiche me renseigne sur la soirée et me ravit : un défilé de lingerie. Organisé par Delphine, une amie de Jessica, cet petit évènement se déroule sur invitation et il n’y a qu’une trentaine de personnes autour d’un court catwalk. Il n’y a pas de mannequin non plus, ce sont Delphine et trois de ses amies qui vont défiler. La créatrice de la marque est présente. Je suis assis entre Jessica et Maryline et écoute les remarques des deux filles. En regardant passer Delphine dans une robe blanche ultra-moulante, Maryline dit :
— Si tu me mets la-dedans, je suis le sosie de Bibendum !
Je ris. Quelques instants plus tard, une amie de Delphine à l’imposante poitrine défile dans un ensemble orangé soutien-gorge et string. Maryline remarque :
— Ça, par contre, j’aime beaucoup.
Le défilé est une réussite et Delphine s’en sort à merveilles. Après, il y a un buffet mais également un endroit où acheter les modèles qui ont été présentés. Nous buvons du champagne et je dis aux filles :
— Il faut que je vous laisse, je dois faire des achats.
Jessica rit.
— Tu connais mes tailles, mais tu connais aussi celles de Maryline ?
Sa jeune amie rougit.
— C’est à toi qu’il offre ça, pas à moi.
Je la prends par la taille. Elle frissonne.
— Ma chérie, tu me les donnes ?

Elle rit puis bafouille.
— C’est... heu... 100D pour le haut et... XXL pour le bas. Je ne sais pas s’il va y avoir les tailles.
Je l’embrasse sur la joue sous le regard amusé de Jessica et me rend au coin vente. J’ai observé les réactions de Jessica et Maryline et écouté leurs remarques. J’achète ainsi un ensemble turquoise à Jessica composé d’un soutien-gorge corbeille, d’un tanga et d’un porte-jarretelles. Pour Maryline, je choisis évidemment l’ensemble orangé. Le soutien-gorge est finalement trouvé... dans un carton resté dans la voiture de la créatrice. Il est partiellement transparent et s’accompagne d’un string ficelle complètement transparent pour sa part. Enfin, je choisis deux ensemble pour Cathy. Le premier est un ensemble rouge foncé avec porte-jarretelles et le second est un torride ensemble blanc composé d’un petit redresse-sein pour son 90A et d’un string ouvert. Je fais emballer les quatre parures et vais les déposer dans la voiture, prenant soin de cacher celles pour Cathy sous un siège.Je reviens vers Jessica et Maryline. Nous restons encore un heure puis nous rentrons. Après avoir déposé Maryline, Jess me dit :
— Tu lui as vraiment acheté quelque chose ?— Oui. C’est aussi un moyen de la remercier pour l’organisation du Réveillon. Elle a tout fait seule et c’était très sympa.— Tu sais que c’est la première fois qu’un homme va lui offrir de la lingerie ? Elle n’a jamais eu de mec jusqu’à maintenant.— Ah bon ? Elle est chou, pourtant.— Je suis d’accord avec toi. Mais je suis surprise que tu la trouves mignonne.— Elle a un beau visage, des yeux magnifiques, un sourire charmant. Et ce soir, un de ces décolletés !
Jessica rit.
— Oui, ça m’a surprise de sa part. Pas du tout son habitude, mais ça lui allait super bien.
Un peu après, Jessica me demande :
— Tu pourrais coucher avec elle ?— Avec Maryline ? Oui, pourquoi je ne pourrais pas ? — Ben elle est très ronde quoi et visiblement, ça rebute les mecs.— Il n’y a pas de quoi. Je la trouve attirante, c’est tout.
En arrivant à la maison, je refuse d’offrir le cadeau à Jessica qui se vexe et part se coucher sans moi. J’hallucine et j’hésite à rentrer. La fatigue et les kilomètres ne font renoncer. Je me couche. Au matin, Jessica est de meilleure humeur et s’excuse pour son comportement. Je lui offre la parure. Elle la passe et nous faisons l’amour. Au lit ensuite, elle demande :
— Tu lui offres l’ensemble pour son anniversaire à Maryline ?— Oui, c’est bien samedi prochain ?— Exactement.
Je m’en vais vers 20h ce dimanche soir. A 21h, je passe en coup de vent chez moi et à 21h45, je suis chez Cathy avec qui je fais l’amour dès mon arrivée. Alors que nous papotons dans le lit ensuite, Cathy me dit :
— Comme les enfants sont à la montagne pour la semaine, je me demandais si tu ne voulais pas venir ici.— Venir ici ?— J’aimerais bien que tu viennes vivre ici. Au moins deux ou trois jours, si tu peux.— Je peux toute la semaine, même.
Son sourire est immense et pour la première fois, ses yeux s’humidifient. Elle me prend dans ses bras et reste de longues minutes dans le creux de mon épaule.La semaine se révèle torride. Cathy avouera n’avoir jamais eu autant envie de faire l’amour. Nous avons trois à quatre rapports quotidiens. Elle porte des robes et des jupes toute la semaine et remet pour l’occasion son porte-jarretelles ainsi que le rouge que je lui offre le lundi matin au petit-déjeuner. Nous pratiquons la sodomie tous les jours. Une soirée et une journée vont particulièrement marquer notre semaine. La soirée se déroule le mercredi soir. J’ai offert le redresse-sein à Cathy en rentrant du travail. Elle me dit que c’est la lingerie la plus coquine qu’elle n’a jamais eu. Je lui dis :
— Tu la mets ce soir et je t’invite au restaurant.
Elle me regarde, intriguée et coquine :
— Et je mets quoi par dessus ?— J’hésite entre ton col roulé gris et ce magnifique chemisier blanc en mousseline que tu mets parfois pour aller travailler.
Cathy hoche la tête.
— Je vais essayer les deux et on verra.
Le col roulé en coton stretch dessine incroyablement sa poitrine dressée par le redresse-sein. Deux bouts pointus qui sortent du pull. Impossible de porter cela ainsi pour sortir. Le chemisier est plus portable, même si les pointes des seins de Cathy se remarquent nettement et une très légère transparence accentue encore le côté très coquin de cette tenue. Je dis à Cathy qu’elle peut mettre autre chose :
— Non. Je vais garder le chemisier. Mais je sais ce que je vais faire pour que ça se voit moins.
Quelques minutes plus tard, Cathy me rejoint au salon. Elle a passé une courte jupe plissée noire, des bas résille et... des cuissardes en cuir à talons hauts. Elle sourit.
— Voilà comment attirer l’attention ailleurs que sur mes seins. Mais si possible, on sort de la ville.
Je ris et viens l’embrasser. Nous allons manger dans une auberge de la ville voisine. Nous faisons tendrement l’amour en rentrant.L’autre fait marquant de cette semaine se déroule le lendemain. Après la soirée du mercredi, nous nous réveillons difficilement et au dernier moment. Nous partons travailler dans l’urgence mais convenons de simuler la maladie pour avoir notre après-midi ensemble. Un peu malhonnête mais ce n’est qu’une demi-journée. Ainsi, nous arrivons presque en même temps à la maison et faisons l’amour à notre arrivée. Cathy me glisse dans son cul après avoir joui à trois reprises à califourchon sur moi.Après cette agréable arrivée, nous prenons la voiture et sortons manger non loin de chez elle puis nous retournons au port où Cathy aime aller. Il fait grand beau cet après-midi-là et il n’y a personne. Alors que nous jetons quelques cailloux dans l’eau, Cathy me lance un pari : j’ai trois pierres pour toucher une bouée située un peu au large. Si j’échoue, elle peut profiter de moi à sa guise durant l’après-midi. Si je touche, elle s’engage à se préparer tel que je le désire pour se faire sodomiser dès notre retour chez elle. Je lui dis :
— On l’a déjà fait tout à l’heure. Tu es sûre de toi ?— Aucune chance que tu touches la bouée, elle est trop loin.— Si par chance j’y parvenais ?— Aucune chance, je te dis.
Je souris, car elle a l’air tellement sûre d’elle-même. Je relève tout de même le défi. Je lance ma première pierre de toute mes forces et constate qu’il sera compliqué de l’atteindre. Cathy sourit. Je décide de tenter autrement car le lac est particulièrement plat, il n’y a pas de vent du tout et plusieurs cailloux à mes pieds se prêtent aux ricochets. J’en trouve un parfait et tente le coup. A ma grande surprise, et à celle de Cathy, le caillou atteint nettement la distance. Le nombre de ricochets est impressionnant, le caillou semble glisser sur l’eau. Je passe néanmoins à plusieurs mètres de la bouée. Il me reste un essai. Je regarde Cathy. Elle sourit toujours. Je prends plusieurs minutes pour choisir le caillou le plus adapté. Puis, après m’être concentré, je lance. Le caillou prend la direction de la bouée puis en dévie. Cathy ose :
— Dommage...
Mais à peine a-t-elle terminé sa phrase qu’un vaguelette rabat le caillou qui vient heurter la bouée de plein foute. Le petit claquement se fait entendre jusqu’à la berge. Je lève le bras. Et enlace une Cathy qui rit un peu jaune.Nous restons encore une bonne partie de l’après-midi au bord du lac. Il y fait si bon. Sur le chemin du retour vers 16h, je lui demande ce qu’elle a comme lingerie et elle me parle d’une nuisette très sexy qu’elle s’est offerte quelques jours auparavant. Ainsi, à peine entrée, elle file dans la chambre d’où elle m’appelle peu de temps après. Je la découvre à quatre pattes sur le lit, dans une nuisette en dentelle noire, ses bas résilles et sans string. Cambrée, elle me regarde par-dessus son épaule et me dit qu’elle va régler son pari. Je bande instantanément et me déshabille. Son anus est abonnement lubrifié et déjà bien dilaté par la préparation de Cathy. Je m’y introduis rapidement et entièrement. Je l’encule comme un marteau-pilon pendant plusieurs minutes, faisant tout mon possible pour retarder l’éjaculation. Je prends un pied terrible et visiblement, elle aussi. J’éjacule enfin planté dans son cul jusqu’à la hampe et me retire : son fion est largement ouvert et bien défoncé. Nous nous couchons côte à côte.
Je lui demande si elle n’a pas mal. Elle me dit que non et que dans cette position (levrette), elle préfère la prendre dans le cul que dans le vagin où elle a moins de sensations "même avec un sexe comme le tien", ajoute-elle. Elle m’avoue également que c’est la première fois qu’elle pratique la sodomie à deux reprises dans la même journée. Nous passons la fin de la journée à boire du thé et à papoter au salon. Nous regardons un film, enlacés sur le canapé. En allant au lit, nous faisions une nouvelle fois l’amour. Cathy est à califourchon sur moi, je commence à lui caresser l’anus à nouveau. Elle me regarde d’un air mi-interrogateur, mi-amusée. Je lui dis :
— J’ai très envie d’y venir encore.
Elle se marre et refuse tout d’abord. J’insiste un peu et finalement, elle va chercher le lubrifiant et revient dans la même position. Elle lubrifie son cul et ma bite, mais au premier essai d’introduction, elle grimace. Au deuxième essai, très doucement, elle glisse ma queue dans son cul. Elle va et vient lentement et si je sens qu’elle prend du plaisir, la douleur est vivace. Je décide de faire semblant de rien, tandis qu’elle retrouve des sensations. Cela dure à nouveau plusieurs minutes. Sur la fin, elle me dit :
— Je n’en peux plus, je ne sais plus si j’ai trop mal ou si c’est trop bon !
Je jouis dans son cul pour la troisième fois de la journée. Et lorsque je me retire, elle pousse un cri de soulagement. Elle m’embrasse et me dit :
— Tu ne le répèteras pas, mais j’adore la sodomie. Particulièrement avec toi, j’adore la taille de ton sexe.
Je lui dis en riant :
— On remet ça demain matin avant le boulot.— Oh là, après cette journée, il va falloir quelques jours de repos à mes petites fesses !
Nous rions. Nous faisons une dernière fois l’amour le vendredi matin, avant de partir travailler. Le soir, je vais chez Jessica.
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