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Incertitudes hivernales

Chapitre 12

Hétéro
Nouvelle soirée romantique chez Cathy le jeudi 5 février et week-end suivant chez elle. Le temps est affreux. Nous voulions aller skier, mais c’est juste impossible. Les intempéries sont très importantes : beaucoup de neige en montagne et beaucoup de pluie en plaine. Nous allons au cinéma et au restaurant le samedi soir. Le reste du temps ? Sexe. Je la désire à nouveau ardemment et Cathy n’attendait visiblement que ça. Cinq rapports entre le vendredi soir et le samedi soir. Six le dimanche. Je viens à trois reprises entre ses fesses. Ni elle ni moi n’avions jamais autant baisé. Cette frénésie sexuelle se prolonge durant la semaine puisque je viens la "quicker" à sa porte le mardi 10 février en soirée et nous fêtons la Saint-Valentin deux jours plus tard. Ce jeudi 12 février, j’arrive chez Cathy directement après le travail. Elle en revient également et nous baisons dès notre arrivée chez elle. Nous nous préparons ensuite et allons manger au restaurant. Cathy porte un robe rouge absolument fantastique, mi-longue, manches courtes, col en V profond, étroite sur le haut, évasée à partir des hanches. Ses jambes sont gainées de nylon noir opaques et ses pieds d’une paire de talons compensés. Elle n’a jamais été aussi séduisante que ce soir. Je l’emmène dans un restaurant dont nous avions déjà parlé et le choix se révèle judicieux, tant nous sommes bien reçus. Alors que nous sommes au café, la petite cuillère de Cathy tombe de la table. Je me penche pour la ramasser et à ce moment-là, la jolie blonde décroise et écarte les jambes. Elle est tout aussi discrète pour soulever légèrement sa robe.
Je me tape la tête à la table en me redressant. Ce que je viens de voir est fou.Évidemment, Cathy est tout sourire. Elle me fait nonchalamment du pied.
— Je ne l’avais jamais fait.— De... de... de...
Elle murmure :
— De tout raser.— Et d’oublier ta...— Ça, ça arrive l’été. En Martinique, c’est arrivé deux fois, notamment quand nous avons été faire les courses au grand supermarché. Mais tu n’étais pas très attentif.
Elle rit.
— Et la seconde fois ?— La première soirée, à notre arrivée.
Nous nous regardons. Je fais signe au serveur d’amener la note. Il l’accompagne de deux limoncello. Cinq minutes plus tard, nous sortons du restaurant. Nous nous embrassons et j’ai une furieuse envie de soulever sa robe et caresser ses fesses. Cathy le sens. Nous allons vers sa voiture qui est garée dans une petite rue sans issue. Cathy y pose son sac et m’embrasse sur le trottoir. Je caresse ses fesses. A une vingtaine de mètres des voitures descendent une grande artère, perpendiculairement à la ruelle où nous nous trouvons. Derrière nous, une immeuble ancien en contrebas de notre rue, mais des balcons à notre hauteur. En face, un remblai sur lequel se dresse une maison ancienne dont les fenêtres sont allumées. Malgré cela, Cathy s’accroupit et commence à me sucer. Plus tard, quand elle se redresse, c’est une invitation au cunnilingus. Je la lèche comme jamais je ne l’ai fait jusqu’ici. Cathy jouit avant que je ne la prenne, debout contre la voiture. Cathy m’avait donné le petit tube de gel et je n’attends pas sa demande pour en glisser une noisette sur sa rondelle je m’enfonce quelques minutes plus tard. J’encule la quadra en plein centre-ville. Elle jouit dans un cri. J’explose peu après. Lorsqu’elle se tourne, c’est pour me prendre dans ses bras et me dire :
— J’espère que tu es en forme, car ce n’est pas fini.
Nous rentrons chez elle. J’ouvre une bouteille de champagne et sert deux coupes. L’instant est magnifique et je me sens extraordinairement bien. Nous dansons tendrement avant de nous offrir mutuellement des présents. Cathy m’offre une bouteille d’un grand vin ainsi qu’un bon pour un soin dans un institut situé... dans le village de montagne où se trouve le chalet.
— Ça t’obligera à y remonter.— Tu en doutes ?
Elle sourit.
— J’ai probablement besoin d’être un peu rassurée. Je sors avec un homme qui a treize ans de moins que moi. Je profite de sa présence, de sa douceur et bien sûr, de sa vigueur.
Nous sourions. Cathy poursuit.
— Mais je suis mère de famille, j’ai des responsabilité que tu n’as pas et parfois, j’ai peur du vide, car je sais que notre relation peut s’arrêter du jour au lendemain. J’ai envie de te présenter mes enfants, Florent. J’angoisse à mort de faire ça, vraiment. Et en même temps, je veux qu’ils sachent que leur maman a le cœur qui bat pour un homme charmant, certes un peu plus jeune, mais sacrément attachant.
Nous nous embrassons. Elle dit encore :
— Je sais qu’il est agréable de vivre au jour le jour, j’aime la spontanéité de notre relation, etc. Mais par exemple, cet été, les enfants vont partir trois semaines avec leur père et j’aimerais bien savoir si pendant cette période, je dois voir avec mes copines s’il y en a un qui veut partir avec moi ou si nous partons ensemble.— On réserve dès que possible.
Elle me serre dans ses bras. Longuement. Quand elle relâche son étreinte, Cathy a les larmes aux yeux. Nous nous embrassons à nouveau. Je lui donne ses cadeaux. Le premier est une paire de boucles d’oreille qu’elle avait vu dans une bijouterie à la montagne.
— Tu as été l’achetée là-haut ?— Presque ! Non, j’ai appelé, j’ai décris les boucles et l’endroit où elles se trouvaient dans la vitrine. Le vendeur m’a envoyé une photo et donné la référence. J’ai été dans la même boutique ici pour l’acheter.— Tu es fou, Florent. Entre le restaurant de ce soir et cela... Je ne veux pas que tu dépenses autant pour moi. — Je suis heureux d’être avec toi, c’est tout.
Je lui donne encore une petite boîte en carton, blanche, neutre. Cathy l’ouvre et déballe une combinaison en résille. Elle sourit et dit :
— Tu sais, je me suis toujours achetée moi-même ma lingerie fine, car les hommes avec qui j’ai été n’osaient pas le faire. Plusieurs me l’ont dit et ça me frustrait. Et toi, tu m’offres une pièce que je n’aurais même pas osé acheter moi-même tellement elle est hot !
Nous rions. Elle ajoute :
— Bon, à part ça, je pourrais mal le prendre.— Je ne crois pas. Peut-être je te cerne mieux que tes ex, c’est tout.— Et qu’aurais-tu mieux cerné ?— Qu’il y a une partie de toi qui aime être sexy et coquine.
Elle m’embrasse.
— Peut-être que c’est toi qui me donne envie d’être sexy et coquine.
Puis elle ajoute :
— Et une salope qui se faire enculer en pleine rue.
Nous faisons à nouveau l’amour. Si l’entame est brûlante suite aux derniers mots de Cathy, nous nous calmons petit à petit et finissons avec douceur. Nous nous déshabillons ensuite mutuellement et allons nous doucher ensemble. Au lit, nous papotons encore un peu puis nous nous endormons. Au matin, Cathy met le réveil plus tôt pour que nous prenions le temps de coucher ensemble.Voilà un mois, je quittais Jessica et je pense que c’était la meilleure décision à prendre. J’ai revu de nombreux potes que j’avais bêtement délaissés. Je suis heureux de ressortir avec eux et il me semble que je retrouve un équilibre. Je ne cours plus. Je prends le temps. Et il y a Cathy. Je ne sais pas où nous emmènes notre relation. Comme elle, je ressens beaucoup d’appréhension avant de rencontrer ses enfants, sa famille, ses amies. Quelles seront leurs réactions ? J’ai moins de différences d’âge avec le fils ainé de Cathy (10 ans) qu’avec elle (13 ans). Mais je constate surtout à quel point Cathy me fait grandir, mûrir. Nos discussions profondes, nos échanges stimulants, je ne me suis jamais senti aussi bien avec une femme. J’éprouve une immense fierté à sortir avec elle. Elle me fait découvrir de nouveaux horizons et je me sens évoluer. Et puis, il faut bien avouer qu’au niveau sexe, outre la sodomie, Cathy me surprend agréablement. Je ne pensais pas qu’elle serait si demandeuse, si aventureuse ni qu’elle apprécierait autant les quickies. J’aime son approche de la sexualité, sans tabou et assumée. Cathy sait ce qu’elle veut. Enfin, j’ai été ravi d’apprendre le soir de la Saint-Valentin qu’en trois mois, Cathy s’était achetée cinq jupes et trois robes, soit, selon elle, "autant que lors cinq dernières années".
J’ai des sentiments pour elle, ça ne fait aucun doute. Et je sais qu’elle en a pour moi, même si nous ne nous l’avouons pas.
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