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Inceste avec ma petite cousine

Chapitre 2

Inceste
INCESTE AVEC MA PETITE COUSINE MATHILDE 2
De retour de la visite chez sa tante, mon épouse s’est bien aperçue qu’en son absence, il s’était bien passé quelque chose entre la petite cousine Mathilde et moi.Me questionnant inlassablement, j’ai bien été obligé d’avouer avoir lutiné, puis sauter à deux reprises cette gamine qui ne cessait dis-je de m’allumer. Elle me demande de lui raconter en détail, satisfaite et passablement excitée par mon récit, en s’éloignant, ma femme les yeux brillant, me regarde avec un petit sourire qui en dit long ….Trois jours passent, quand je dois m’absenter pour rejoindre un copain pour faire une partie de pêche à la ligne, et ne revenir que le soir.La partie de plaisir est reportée car mon ami à un contre temps, il doit rejoindre son fils pour l’aider à terminer un travail urgent, de ce fait je regagne la maison, bien plutôt que prévu.
En rentrant dans la maison, tout est calme, les filles sont sûrement parties, c’est bizarre quand même, car la maison est restée ouverte, tout à coup, un bruit venant de l’étage ou se situe les chambres attire mon attention.Je monte l’escalier en prenant soin de me déchausser, pour ne pas faire de bruit et leur faire la surprise de mon retour.Plus je m’approche, et plus les bruits sont distincts, c’est des gémissements de plus en plus forts, on dirait une femme qui est en train de prendre son pied.Arrivé devant ma chambre, la porte étant légèrement ouverte, je peux voir ma petite cousine Mathilde entièrement nue, les cuisses bien ouvertes qui est en train de se faire manger son abricot par ma femme.Les deux femelles sont nues et sont en train de se gouiner, les salopes pensais je, je suis pris entre l’idée de pénétrer dans la pièce et de les prendre toutes les deux, ou continuer de me délecter du spectacle offert par ces deux femelles.Je choisis la deuxième solution, regarder ces deux salopes se donner du plaisir, ma bite me fait mal tant elle se trouve à l’étroit dans mon pantalon. Etre le spectateur de cette partie de jambes en l’air entre les deux cousines me donne des sueurs.Les deux filles se sont positionnées en soixante-neuf, elles se mangent mutuellement la moule, en s’encourageant par des mots assez crus : vas-y enfile moi bien ta langue bien au fond de ma cramouille, ou, tu peux me manger mon petit cul.Mathilde est très gourmande, elle a ouvert ses cuisses en grand et demande à ma chérie de bien lui lécher sa moulette. Pour satisfaire la petite, la langue de Bernadette se vrille, pour aller cueillir au plus profond de son intimité la mouille de la petite qui couine et gesticule de plaisir, en léchant le sexe de sa cousine qui dégouline de cyprine tant Bernadette prend son pied.Très vite, les doigts s’insèrent dans les chairs intimes, les faisant coulisser, lorsqu’ils sortent, je peux constater qu’ils sont fortement empreints de cyprine, preuve qu’elles sont en train de s’envoyer en l’air en prenant copieusement leur pied.Ma femme est écarlate et toute transpirante, elle tente d’introduire son index dans l’étroit boyau de Mathilde qui essaie de s’y soustraire, malgré tout, elle parvint à l’enfiler, la gamine récalcitrante à cette sodomie, semble dès que le passage est bien rodé y trouver de la jouissance.Pour preuve, son petit cul remue en tous sens.Mieux, il vient au-devant de l’intrus, qui s’empale et s’infiltre dans l’étroit canal de la petite qui semble apprécier en gloussant et en poussant quelques oui vas-y plus fort, plus loin, c’est bon, qu’est-ce que tu me mets dans le « fion »….
Après s’être bien chauffé, les deux femelles bras et cuisses écartés récupèrent, mon épouse se penche alors vers la table de nuit pour attraper une trousse ou sont rangés godes et plugs, jouets que nous utilisons pour agrémenter nos parties de baise.Dans un premier temps, elle positionne la mignonne à quatre pattes et tente de lui enfiler non sans difficulté un plug dans son petit trou, malgré une bonne préparation, la bête ne veut pas entrer, et la petite qui doit appréhender de se faire emmancher, se crispe en tentant de s’y soustraire.Après plusieurs tentatives infructueuses, mon épouse parvient à l’enfiler dans les fesses de la miss qui couine en disant qu’elle va lui exploser l’anus.Elle pousse pour expulser le gode, mais ma femme qui avait prévu cette réaction, le maintien fermement avec une main, la minette la traite de salope en lui disant qu’elle a mal, et que son anus va se déchirer… Pour adoucir cette sodomie, Bernadette a saisi un gode vibrant qu’elle enfile dans la chatoune de la petite, qui n’est pas longue à apprécier cette pénétration, et qui du coup, lui fait oublier ce qu’elle a d’emmancher dans son jeune anus.Bien pistonné par le godemiché, Mathilde, crie et pleure, tant sa jouissance est intense, elle demande à ma compagne de l’emmancher avec le gode ceinture qui est posé sur le lit.Ainsi équipé, ma chérie enlève dans un flop le plug de son fondement.Elle écarte les fesses avec ses mains et présente le gland à l’entrée de l’anus qui est maintenant bien ouvert, la petite qui a senti ce qui allait se passer, ouvre bien ses fesses avec ses mains, et tend son petit derrière pour faciliter au pénis de s’infiltrer dans son intimité.Je vois cet imposant phallus, pénétrer lentement dans l’étroit boyau, puis accélérant, elle laboure le fondement de la fille qui apprécie d’être ainsi possédé.Après plusieurs va-et-vient effectués à un rythme bien soutenu, la minette pousse un cri à chaque fois que le phallus vient buter au plus profond de son intimité anale.Après lui avoir limé pendant un bon moment son fondement anal sous les encouragements de la mignonne.Les deux femelles se positionne en soixante-neuf pour se terminer en se broutant le minou, Mathilde n’est pas la dernière à s’activer entre les cuisses de mon épouse qui couine et transpire sous la langue et la bouche de sa maîtresse.Elle ose même enfiler son index dans le fondement de ma très chère, qui un peu surprise tente de s’y soustraire, en traitant de salope et de petite pute sa cousine.Les deux femelles en chaleur, très excitées et sentant le plaisir venir, collent leurs bouches sur le puits de leur partenaire, pour y récolter leur jouissance.En regardant les deux filles se donner du plaisir, je m’astique la queue qui n’est pas longue à exploser et à répandre une longue traînée de foutre sur le parquet du couloir.
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