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Inceste avec ma propre soeur en kabylie

Chapitre 2

Inceste
Depuis la baise avec ma sœur INES, je ne pense qu’à elle, à son joli corps. Mais malheureusement, elle habite chez mon grand frère à Alger ou elle étudie dans un lycée. Je me masturbe presque chaque soir. Quand je pense que notre famille, est un peu conservatrice, surtout dans la région de la Kabylie. Moi j’ai cassé ce tabou, en baisant ma sœur et en la dépucelant, Bien sur avec son consentement. Je suis certain qu’elle doit à Alger faire des parties de jambes en l’air avec ses copains.Nous sommes une famille très réservée. Mon père est agriculteur, disant fellah, il a épousé ma mère très jeune, je pense qu’elle avait 17 ans, lors de son mariage. Elle a eu trois enfant, mon frère aîné, âgée de 24 ans qui vit à Alger, juste après lui, 2 ans après, une fille qui est décédée très jeune. Après c’est moi, j’ai 19 ans et enfin, ma sœur INES âgée de 16 ans. Ma mère a actuellement 43 ans. C’est une très belle femme, aux yeux bleus. Elle porte toujours une robe kabyle, avec un beau foulard plein de coloris noué sur sa tète. Elle est splendide, avec ses habits. Elle est bien en chair avec une poitrine opulente montrant, suivant les robes qu’elle porte, deux seins généreux, séparés par un grand sillon profond. Je me suis branlé quand, j’avais l’occasion de l’apercevoir, robe retroussée, sur les jambes entrain de laver le linge dans un récipient fabriqué à cet effet (maintenant elle a une machine à laver). Elle est blanche de peau. Depuis que j’ai baisé avec ma sœur, et sachant qu’elle est loin de moi, mes regards ont repris, direction de ma mère. Mais, la connaissant, c’est une mission presque impossible de la convaincre qu’on fasse ensemble quoique ce soit. Ma tante, étant très fatiguée, mon père décida de partir pour une semaine, pour la prendre en charge et l’amener chez des spécialistes. Cette nouvelle m’arrangeait et allait me permettre de rester seul avec ma mère, pour que je puisses l’approcher davantage. J’avais une envie très forte de lui sauter dessus et lui avouer mon attirance pour elle. Mais à chaque fois je me ressaisissais et je me ravisais. Le lendemain, j’appris de ma maire une bonne nouvelles, INES ma petite sœur, vient cet après midi pour le week end. Elle vient seule par le bus. J’étais fou de joie. Je pars au marché, je fais des courses, pour que ma mère prépare un bon dîner, on s’est mis d’accord pour un bon couscous.Le soir, on mangea tous les trois ensembles, on veilla un peu, et puis chacun rejoignit sa chambre. J’attendais ce moment, avec impatience. La nuit tombée, je me dirigeais vers la chambre d’INES. Je rentrais, j’étais fou de joie. Je la prenais dans mes bras, je commençais à l’embrasser, elle me serra dans ses bras. Mais, elle me dit qu’elle n’allait pas bien. Elle a des fortes douleurs au bas ventre. « Ce sont mes règles qui me font ça, on ne peut rien faire frérot » « moi qui ai attendu avec impatience ton retour ». « Je viens de les avoir cet après midi, j’ai très mal, j’ai pris des médicaments, mais il faut au moins deux jours pour que ça s’apaise un peu ». « Ça sera pour une autre fois, mon chéri »Je sortis très déçu de la chambre de ma sœur. Je vais dans ma chambre. Je tire des revues pornos cachées dans mon armoire et je commence à me masturber. Mes pensées allaient vers ma mère, son corps, ses seins. Rien qu’à regarder son cul quand elle marche ou à voir ses tétons qui pointent à travers sa chemise de nuit le soir, ça me rend dingue. Mon attirance pour son corps tourne à l’obsession.Une fois, je me souviens, dans la cour de la maison, on avait des toilettes, avec un siège turc, avec une porte de fortune. Ma mère, était entrain de laver du linge, moi j’étais assis non loin entrain de réparer une serrure d’une porte. Elle se leva et se précipita dans les toilettes de la cour. La porte un peu surélevée, de loin, là ou j’étais assis, je pouvais voir ma mère accroupis.Je l’entendais pisser. Je regardais. Elle était accroupie, un peu penchée, les jambes écartées et tenait sa robe levée, de façon qu’on voyait sa chatte bien rasée, ses cuisses blanches et bien galbées. Je vis distinctement le jet sortir, ce qui m’excita davantage. Je bandais comme un fou. Je continuais à me masturber, en me remémorant cette scène. Jusqu’ à ce que je jouisses. Mon sperme giclait abondamment, dans mon boxer, sur mon pyjama, un peu partout. Je m’étendis, haletant. Il était minuit passé, j’essayais de dormir un peu.Mais un petit gémissement, venait du couloir. Je me suis dit que c’est ma sœur, se sont peut être ses douleurs qui se sont accentuées. je me levais et courrais en direction de sa chambre, je rentre, mais, elle dormait à poing fermés. Je sortis de sa chambre, mais cette fois ci, je localisais les gémissements, ils venaient de la chambre de mes parents, ça doit être ma mère. Je pousse la porte, la scène que je vis, allait me faire tomber à la renverse. Ma mère, les jambes écartées, avec ses doigts entrain de se frotter sa chatte. Ma mère leva les yeux et m’aperçu. Elle crie, « tu es fou, tu pénètres dans ma chambre comme ça » « je m’excuse maman, j’ai pensé que tu étais souffrante ». Elle replia les jambes, rabaissa sa robe de chambre. « Écoute, maman, je m’excuse de cette intrusion » elle me répondit « c’est ma faute »Je prends mon courage, je rentre dans la chambre, et je me mets à coté d’elle, assis sur le lit. Elle commença directement à parler sans me regarder « Tu sais, ça fais plus de 14 ans que ton père et moi, on ne fait plus l’amour. Ton père a des problèmes sexuels, il est malade, il n’arrive plus…. Tu …. Me comprends… »Je profitais de la proximité avec ma mère, je mets mon bras autour de ses épaules, et de l’autre main, je la mets sur ses cuisses, bien galbée. Et je lui mets un bisou sur le cou. Elle passa son bras autour de moi. Elle me dit, « si tu n’étais pas mon fils, je ferais l’amour avec toi, je suis vraiment en manque » je lui dis « maman, tu es une belle femme, moi aussi, j’ai envie de faire l’amour avec toi » et enchaînant, je mets mes lèvres sur les siennes, et je l’embrassais. Elle sursauta, elle me dit « tu es fou » « Non maman, je veux te faire l’amour » elle enchaîna « Non… non … c’est de l’inceste… c’est péché….. » je continue mon offensive. Je pénètre ma main et je prends un sein, je le masse, le soupèse, et le fis sortir de la chemise de nuit, elle se débâtait un peu, mais sous la chaleur qui l’envahissait se laissa légèrement aller. Je pris le téton du sein, je le suce, je le mordille. Elle gémit doucement. Puis je lui relève sa chemise de nuit, ses belles jambes apparaissent. Je lui écarte ses jambes Et j’enfouis ma tête, dans sa chatte, qui est devenu un brasier. Elle se débat encore, elle me dit « non pas ça… tu es mon fils …. », mais l’envie est plus forte. Je lape sa mouille, qui sort à profusion, ma langue rentre dans ce puits d’amour à la recherche du clito, qui apparaît et qui est déjà gonflé de plaisir. Elle gémit… « heinnnnnnnnnnnnnnnnnn » ; des non…non….non… qui se succèdent et qui s’estompe au détriment du plaisir ressenti par cette lèche. Je lèche le contour du vagin, ses lèvres bien entretenues, me coincent ma langue avec leur contraction. Soudain elle explosa…. Elle me serra tellement ma tête entre ses cuisses, elle a joui.. sa cyprine … était délicieuse. Moi ,mon sexe, tellement raide, me faisait mal sous mon boxer. J’enlevais le pantalon de mon pyjama et j’ôtais mon boxer. Mon sexe très tendu apparaît. Ma mère, le saisit, et commença à le lécher… « hmmmm hmmmm, c’est bon, ça fait longtemps que je n’ai pas eu un sexe entre les mains ». J’allais jouir, je lui dis écoute, « enlève ta chemise de nuit »Ce qu’elle fit. Je la fais coucher, sur le lit les jambes écartées, et, là, je présente mon sexe, devant sa grotte. Je la pénètre, c’est très chaud et agréablement humide. Je fais des va et vient. Elle apprécia. Elle me dit « nike moi, j’ai tellement envie… vas y….. Baise moi… je suis une salope……. » Elle s’arrêta de parler, elle m’empoigna par les fesses, me serra contre elle, elle vient d’avoir un orgasme. Moi j’explose, en elle, et ma foudre par giclées emplit ses entrailles. Elle me lâcha après et se laisse aller. Je me lève, je sors pour aller me laver. Je passai le reste de la nuit entrain de déguster ce plaisir intense, que j’ai ressenti d’une mère salope, qui était en manque depuis longtemps.
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