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L'inceste ne connait plus de limite...

Chapitre 1

Le couple interdit

Inceste
Bonjour, je m’appelle Julien, j’ai 23 ans, et je vis seul avec ma mère de 49 ans, Isabelle, et on est tous les deux célibataires. On vit dans un petit pavillon à 2 étages, avec un rez-de-chaussée pour la vie, et l’étage pour les chambres. On est entouré de deux voisins, un à gauche, l’autre à droite.Pour ma part, je suis un jeune homme de taille normale, bien bâti, mais sans réellement être musclé, à vrai dire, je travaille en tant qu’informaticien en télétravail et passe mon temps libre sur Internet, je suis quelqu’un de très calme et posé, ce qui peut être très charmant, pour certaines filles. Je suis célibataire depuis environ 2 ans, très déçu de mon ancienne relation.
Concernant ma mère, elle fait une bonne tête de moins que moi. Elle est plutôt large, mais n’a cependant que très peu de kilos en trop. En fait, elle est taillée comme une bouteille d’Orangina à l’envers, des jambes fines, un bassin plutôt large d’une maman, et une poitrine que l’on peut cataloguer d’énorme. En effet, elle fait du 105D. Elle est au chômage depuis quelques années, les rôles se sont donc inversés, c’est moi qui paie les factures désormais. Elle est célibataire endurcie depuis le divorce avec mon père qui est une vraie pourriture, il y a de ça 20 ans. Cela fait donc autant d’années que ma mère n’a touché aucun homme, malgré son succès, dans la rue, ou lors de rendez-vous administratif. D’ailleurs, elle me dit toujours que ça ne lui manque pas, et qu’elle aime sa liberté. Refaire sa vie n’est pas dans ses plans.
Ce soir, repas simple, fait par maman. 2 œufs, un nem (un reste de la veille), et une salade composée. Je quitte enfin mon ordinateur après une longue journée de travail pour rejoindre ma mère dans la cuisine, et je la vois préparer mon assiette. Que vois-je... Elle me met les deux œufs en haut de l’assiette, et le nem entre, pour dessiner un sexe...
Ma mère et une femme très ouverte d’esprit, ça nous arrive de temps en temps de parler de choses taboues à but instructif, mais jamais dans une optique de séduction. Pour être honnête me concernant, l’inceste m’a toujours attiré, notamment celui entre une mère et un fils, mais jamais je n’ai eu l’idée d’imaginer quoi que ce soit avec ma propre mère. Pour moi, elle a toujours été un pilier inviolable, d’autant plus qu’elle n’a jamais ramené d’hommes à la maison ou refait sa vie.
Elle quitte donc mon assiette pour servir la sienne, en rigolant, et je dis, d’un ton très léger et humoristique « Ah ouais ! Je ne sais pas ce que t’as, mais t’es en feu maman ce soir ». Elle se met à rigoler un peu plus sans forcément dire un mot. Elle rigole même un peu trop à mon goût. Je décide donc, sans arrière-pensée, mais plus dans la continuité du délire, de prendre le nem et le faire dépasser de l’assiette bien plus que ce qu’il était déjà, puis j’ajoute « Non moi ça serait plutôt comme ça », en regardant mon assiette d’un air pensif, tout en rigolant de la blague.
D’un coup, ma mère se retourne pour regarder, tout en sortant de son rire, et examina l’assiette avec attention :
— Ah oui quand même ! Elle est grande hein.— Eh beh ouais (je ne sais pas quoi répondre à ça, honnêtement...)— Enfin je suis ta mère, je n’ai pas à savoir, c’est privé ça.
Après cette discussion étrange, on se met devant la télé pour manger, comme d’habitude. Enfin, à la différence près que ma propre mère, celle que je vois comme une sainte, m’a fait une blague salace, et elle avait l’air tout à fait intéressée par la taille de ma verge, avant que la raison la rattrape. Je mange donc avec un peu plus de difficultés qu’à l’habitude, car je ne fais que de penser à cette blague. Et ce moment-là me met dans un trouble total, parce que la normalité de la relation avec ma mère se mélange à mon fantasme de l’inceste, et quand je tourne ma tête vers elle, au lieu de voir le simple visage harmonieux de ma maman, je vois de magnifiques lèvres se mouler à la perfection aux contours de mon gland, et ses magnifiques yeux se plonger dans les miens pendant cet acte.
Forcément, penser à ce genre de chose rend une partie de moi dur, mais ça s’enchaîne encore, de façon encore plus sombre. Je rive mes yeux vers la télé, mais mon regard est vide. Je suis obnubilé par ma mère, et je m’imagine des scènes de plus en plus obscènes, comme la voir seins nus entre mes jambes, mon sexe entre ses gros seins, ou pire encore, lui faire l’amour en missionnaire, et taper assez fort pour que sa poitrine rebondisse de façon indécente. Mais merde, qu’est-ce qu’il m’arrive, c’est ma mère, c’est interdit d’avoir des pensées comme ça ! D’autant plus que moi, mon style de fille initial, c’est de petite taille, et fine, non pas avec des formes aussi prononcées.
Au bout de quelques longues minutes, je me calme enfin. Je débarrasse la table, et je file dans ma chambre pour la soirée, je suis beaucoup trop remué par ces évènements pour rester une seconde de plus. Je profite de cette soirée de solitude pour vider ma tête devant des vidéos pornos de maman à gros seins. Même si je n’ai plus vu ma mère en maillot depuis des années, j’arrive quand même à deviner son corps au travers de ses habits, très souvent amples. D’ailleurs, d’aussi loin que je me souvienne, elle ne s’est jamais habillée de façon sexy, en tenue moulante, ou avec un décolleté.
Je parviens à trouver quelques vidéos de femmes au corps très similaire à celui de ma mère, et dont certaines pratiquent exactement la même chose que mes pensées confuses de tout à l’heure. Bien que ma porte qui donne au couloir principal soit ouverte, j’entendrais si ma mère se lève de là où elle est, je décide donc de me masturber devant cette vidéo où la femme mature laisse exploser sa libido, en plus de ressembler énormément à ma mère, en moins bien...
Ce qui me trouble pendant ce moment charnel, c’est que j’arrive parfaitement à me plonger dans cette situation, et j’en viens presque à oublier la vidéo pour me concentrer sur la personne qui m’a mise au monde, et je me branle en imaginant sa main, tiraillée par le poids de l’âge, empoigner mon sexe doux et jeune, la voir branler son fils, puis mouler sa bouche, laissant apparaître des rides timidement sexy, pour finir par aspirer ce gland, et le sucer, amoureusement, en faisant un bruit presque animalier, jusqu’à sentir cette bite se contracter, mais ne pas la quitter, et tout accueillir dans sa bouche...
Merde ! Le mouchoir ! Ouf, ça fait du bien... Bon, le mieux c’est que j’aille au lit maintenant, je deviens fou, se branler en imaginant sa propre mère... Je dis bonne nuit à ma mère, et elle me prend dans ses bras. On se fait un câlin affectueux, d’une mère à un fils, et, toujours rongé par mes pensées interdites, je plonge ma tête dans son cou pour lui faire de tendres bisous.Après avoir remarqué ce que je viens de faire, je me replace et essaie de m’en aller, gêné, mais ma mère aussi avait trouvé ça bizarre :
— Euh Julien, tu viens de m’embrasser le cou là ?— Oui pardon, je n’ai pas fait exprès maman, juste un vieux réflexe ahah (mon cœur commençait à battre)— Tu pourras recommencer, ça ne me dérange pas, c’est qu’un cou...
Elle me dit ouvertement qu’elle aime ça ? Waouh. A ces mots, je me replonge instinctivement dans ses bras, mon visage à nouveau près de son cou, et je l’embrasse, ce coup-ci sans me retenir. Ça me fait revenir ma trique presque instantanément, d’autant plus que ma mère, le visage très proche de mon cou et mon épaule également, se met à me serrer un peu plus fort dans ses bras, colle sa bouche contre mon épaule, et j’entends très timidement dans mon oreille droite... Un gémissement... Ma mère gémit de mon baiser ? Je ressens en moi une assurance telle que mes mains se posent sur ses hanches doucement, et viens coller son bassin au mien. Je ne réfléchis même pas à ce qui est bien ou pas, moral ou non, tout ce que je sais, c’est que depuis le dîner, j’ai une terrible envie interdite de ma mère, et qu’elle est en train de gémir dans mes bras, alors je colle son corps au mien, et le bas de son ventre vient s’étaler contre ma verge, dure comme jamais, rangée verticalement dans mon boxer.
Je ne sais pas si elle me repoussera ou non, alors je profite au maximum de ce moment. Elle me serre toujours dans ses bras, fortement. D’ailleurs, sa poitrine, bien qu’épaisse, est loin d’être des gants de toilette. Au contraire, elle fait plus effet bouée entre nous, nos corps se touchent, sa poitrine s’aplatit entre nous, à un point même où elle commence à s’échapper de son rangement, peu à peu. Je décide de relever un peu la zone des baisers pour en faire sous son oreille, puis je monte encore, et encore. Elle ne refuse rien, alors je monte encore, jusqu’à lui faire des bisous sur la joue.
Là, tout est allé si rapidement... Rempli d’excitation malsaine pour ma propre mère, mes mains glissent de ses hanches à ses fesses, et mes lèvres passent de ses joues à effleurer ses lèvres, puis d’un coup... Ma mère tourne sa tête vers ma direction, nos lèvres s’entrechoquent, se moulent en harmonie, on s’embrasse. Le premier bruit de ce baiser résonne tendrement dans le couloir, tandis que je ressens une légère vibration dans mes lèvres, celle d’une mère qui soupire de bien-être... Un smack, puis un deuxième, ça m’excite à un point inimaginable, mes mains sur ses fesses se mettent à les malaxer d’envie, pendant que les siennes se posent sur chacune de mes joues, comme si j’étais son enfant...
Mon excitation est si forte, que sans réfléchir, et sentant sa langue pénétrer un peu plus dans ma bouche chaque seconde, je décide de me baisser légèrement, et d’empoigner à pleine main ses fesses, pour la soulever. Sans dire un mot et continuant notre baiser qui sort plus d’un porno qu’un film romantique, ma mère enroule ses jambes de guêpes autour de ma taille, sa poitrine à moitié dans mon visage, et je la monte à l’étage, pour la ramener dans sa chambre.
Je la déshabille, moi aussi, et on se retrouve tout nu, moi au-dessus d’elle. Je vois pour la première fois son corps de maman...Autant les femmes à forte poitrine n’est pas ma tasse de thé au départ, mais là, la situation et sa plastique parfaite, je craque quand même. Je reste un petit peu à genoux, ma bite posée contre son ventre, et on se regarde, on se mate, sans rien dire. Jusqu’au moment où elle utilise ses jambes toujours enroulées autour de moi pour me donner une légère impulsion qui a pour but de me pousser vers l’avant. J’ai compris. J’empoigne ma bite et la plonge dans le trou qui m’a donné naissance, et malgré une légère toison mal soignée (ce que je comprends vu la surprise de la situation), je pénètre lentement le bout de son fils en elle, et je fais quelques va-et-vient de plus en plus profondément, ce qui a pour but de la faire chanter bien plus que je le pensais. Elle gémissait si fort que même les voisins pourraient l’entendre. En parlant des voisins, il doit être vers les 23h, on a les lumières allumées, et les volets de la chambre ne sont pas fermés.
Il faut savoir que ce sont des maisons identiques sur toute la rue, donc la fenêtre de la chambre du voisin donne sur cette de ma mère, une trentaine de mètres plus loin. Pourvu qu’il ne nous voie pas commettre l’irréparable...
La sensation douce et humide de sa maman, c’est si bon... Merde ! Je n’ai pas mis de capote ! J’essaie donc de ressortir mon sexe, alors ancré au plus profond de ma mère, en chuchotant « maman, j’ai oublié le préservatif, je suis désolé ». A ma grande surprise, avec ses talons, elle appuie suffisamment fort sur mes fesses pour que j’arrête ma démarche, en me chuchotant à son tour « Chéri j’en ai plus besoin, maintenant... » tout en me souriant de façon extrêmement coquine. En effet, elle est ménopausée. Je ne l’ai jamais vue de la sorte. Mais ça me chauffe terriblement plus. Je décide donc de retourner bien dans ma mère, et d’y aller de façon bien plus dominante. Et je vois ce dont je rêvais, sa poitrine gigote dans tous les sens, et bordel que c’est beau de voir ça !
Après de longues et savoureuses minutes de chant pour ma maman, toujours dans la même position, mais avec des vitesses et mouvements différents, la purée commence à monter... Mais elle monte beaucoup trop vite, entre les sensations, la situation, le fait de le faire avec ma mère qui a un corps unique, et le tout sans protection, ma bite se met, sans crier gare, à se contracter violemment dans le minou de ma mère, qui serre ses jambes autour de moi de façon si passionnée que je n’ai plus aucune envie d’en sortir, tout en criant des mots d’amour. Je ressens pour la première fois de ma vie cette sensation de se vider dans une chatte, et en plus, c’est celle de ma propre mère...
Je reste quelques instants à l’intérieur, profitant de la douce peau de ses cuisses me caressant le corps, les bras tendus au-dessus d’elle pour me tenir, et elle me regarde, d’un visage si tendre, presque amoureux. Je décide de me lever, je l’aide, et on part ensemble dans la salle de bain, sans se dire grand-chose, mais surtout sans parler un seul moment de ce qu’il vient d’arriver.
On finit notre toilette, maman passe devant, j’éteins la lumière. Elle se dirige vers sa chambre, et je la suis. Elle se retourne, toute nue, ses seins si ronds s’exhibant sans retenue devant moi, et me dit :
— Bon, eh bien euh, je pense que c’est le moment de se dire bonne nuit, non ?— Maman, tu veux que je dorme avec toi ? Après ça, je crois que rien ne pourra être pire (mon sexe en demi-molle rebondissant devant elle).— Ouais, mais que pour cette nuit alors (en rigolant)— Oui maman, que cette nuit, bien sûr...
On se couche tous les deux l’un à côté de l’autre, au vu de la situation ambiguë, je pensais avoir un peu de distance de sa part, mais au contraire, elle se rapproche très vite de moi, mettant une jambe sur les miennes, une main sur mon torse ainsi que sa tête sur mon bras qui fait le tour d’elle, se posant sur son épaule, la caressant tendrement. On s’endort ensemble, dans les bras, presque comme un couple normal, à la différence près que je suis avec ma maman. On a encore beaucoup de choses à se dire...
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