Ce fut après une nuit fort désagréable et l’esprit tourmenté que je descendis le lendemain matin à la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner. Tous étaient déjà assis autour de la table et avaient commencé à manger. — En voilà encore un qui n’a pas très bien dormi, dit mon père. « Si tu savais pourquoi j’ai mal dormi, le sourire disparaîtrait de ton visage pour un bon bout de temps...» Assise en face de moi, Lily aussi avait des cernes sous les yeux. Elle non plus n’avait pas réussi à dormir. Au cours du repas, nous discutâmes du programme de la journée. — Si on allait à la plage, cet après-midi ?— Pourquoi pas ? Il fait chaud aujourd’hui. Alfred, Donna, envie de vous baigner ?— Avec un si beau soleil, ce serait stupide de dire non. Ce fut ainsi qu’il fut décidé que nous irions à la plage dans l’après-midi. Bien sûr, l’idée d’y aller avait été émise par mon père, ce qui, au vu de ce à quoi nous avions assisté, Lily et moi, ne présageait rien de bon. Surtout, fait à l’appui, que j’avais vu ma soeur sourire à cette idée. Ils avaient prévu ça depuis le début, j’en aurais mis ma verge à couper ! Mon regard croisa celui de ma cousine. Elle aussi pensait que cette idée n’était que pur prétexte pour Julie et mon père de se voir dénudés ne serait-ce qu’en partie. Une fois la vaisselle faite, nous fîmes chacun notre toilette et nous changeâmes. Le déjeuner arriva puis, une fois le repas fini, nous partîmes en direction de la plage. Après nous être installés sur le sable, nous ouvrîmes notre paravent et notre parasol puis posâmes nos serviettes. Nous nous couvrîmes ensuite tous de crème solaire. Là aussi, Julie profita de cette occasion pour sentir les mains de notre père sur son corps. — Papa, tu pourrais me mettre de la crème solaire sur le dos, s’il te plaît ?— Bien sûr, ma chérie.
Mon géniteur se mit de la crème solaire sur la main et en tartina le dos de ma soeur non sans en profiter pour lui effleurer les seins au passage, faisant croire à un contact fortuit. De plus, Julie semblait apprécier les caresses soi-disant involontaires de mon père puisqu’elles lui arrachaient un sourire vicieux. Le même que celui que j’avais vu la veille sur son visage. Nonobstant l’immoralité de la situation, ma soeur s’était faite appeler "ma chérie" par mon père. Certes, cette appellation n’aurait rien eu de bien douteux dans des circonstances normales mais, dans le cas où je me trouvais, cela sentait la relation interdite à plein nez. — Bon, si on allait dans l’eau maintenant ? Tous, à l’exception de ma cousine et de moi, se levèrent pour aller à la rencontre des vagues. — Vous ne venez pas, vous deux, demanda ma tante. — Non, en ce qui me concerne, je préfère rester ici un moment pour bronzer un peu. — Comme tu veux. Et toi, Lily, tu ne viens pas ? — Non, je n’ai pas très envie de me mouiller pour le moment.— Très bien. Restez ici pour surveiller nos affaires. Puis ils partirent, nous laissant seuls Lily et moi. — Alors, cousin, qu’est-ce qu’on fait pour notre... Souci ?— Je ne sais pas. Et toi, tu as une idée ?— Oui. Ils recommenceront forcément à un moment ou à un autre. C’est pourquoi nous devons les prendre sur le fait. Nous les prendrons en photo quand ils forniqueront. — Oui mais je te l’ai déjà dit : même si nous dévoilions les preuves à ma mère, nous ferons triompher la vérité mais ma mère... Je n’ose même pas imaginer à quel point elle se sentira blessée et trahie. — Si nous ne nous dépêchons pas pour agir, elle nous verra comme des traîtres, nous aussi. Plus nous gardons cela pour nous, plus nous la blesserons parce que, que tu le veuilles ou non, chaque minute que nous passons sans qu’elle sache la vérité fait de nous des complices d’adultère. Et puis, quand elle saura, ta mère nous aura, nous, ma mère et mon père pour la soutenir. Ne t’en fais pas, nous ferons tout pour qu’elle surmonte l’épreuve qui l’attend.— Tu as raison, cousine. Voilà ce que je propose : nous surveillerons mon père et ma soeur en ayant toujours sur nous de quoi les prendre en photo. S’ils franchissent à nouveau la ligne rouge, ce sera la dernière erreur qu’ils commettront.— Bien parlé, cousin ! Si on s’y mettait tout de suite ?— Pas de problème. Lily et moi essayâmes de repérer les autres membres de la famille depuis notre point d’observation. Ce fut alors que nous aperçûmes Julie et mon père qui s’étaient éloignés du groupe. Ils se tenaient à une proximité douteuse l’un de l’autre. — Je te parie ce que tu veux qu’il est en train de la doigter sous l’eau.— Il n’y a qu’un seul moyen de le savoir : plonger. Je vais essayer de voir ce qu’ils font sans me faire repérer. — Bonne chance. Lily mit ses lunettes de plongée et se dirigea vers la mer. Elle prit soin de plonger à une distance raisonnable de Julie et de mon père afin de ne pas être vue. Ma cousine revint quelques minutes plus tard, une mine choquée et impressionnée sur le visage. — Tu ne vas pas me croire ! En plongeant, j’ai pu voir ce qu’ils faisaient ! Et ce n’était pas joli... Ton père caressait la chatte de ta soeur à travers son maillot et ta soeur le masturbait sous l’eau. — Bah dis donc ! Ils n’ont pas froid aux yeux puisqu’ils n’hésitent pas à le faire en public et à quelques pas de ma mère ! Ils recommenceront ce soir ! Et je peux te dire que nous ne les raterons pas ! Lily passâmes le reste de l’après-midi à échafauder un plan de prise sur le fait. Puis le soir vint et tous les autres membres de la famille nous rejoignirent pour remballer nos affaires et rentrer à la maison. Après un dîner rapide, nous prîmes tous une douche et, après avoir fait notre toilette, allâmes nous coucher. Bien sûr, Lily et moi faisions semblant de dormir en attendant le moment propice pour sortir de nos couches respectives et révéler la vérité. Il me fallut attendre jusqu’à environ 3h du matin pour entendre des pas se diriger vers la salle de bain. Je pris mon téléphone et suivis les pas. Mon instinct ne m’avait pas trompé : mon père et ma soeur s’apprêtaient à remettre leurs ébats ! J’attendis qu’ils eurent fermé la porte de la salle de bain pour marcher à pas de loup sur leurs talons. J’entendis ensuite des pas derrière moi. Lily les avaient entendus elle aussi. Ma cousine nous postâmes en faction derrière la porte de la salle de bain et attendîmes que Julie et mon père soient à un point suffisamment important de leurs ébats pour les photographier. Après les avoir vus effectuer leurs préliminaires qui consistèrent en quelques baisers langoureux et un soixante neuf, je levai mon téléphone puis, après m’être assuré que le flash était coupé, j’attendis que mon père insère sa verge dans l’anus de ma soeur pour prendre les quelques clichés incriminants dont j’avais besoin. Une fois cette triste tâche effectuée, Lily et moi retournâmes nous coucher. Je détenais à présent les armes pour faire éclater la vérité mais la question était de savoir si je saurais être assez courageux pour annoncer cette horreur à ma mère et, si oui, où et quand... À suivre
