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Inceste destructeur

Chapitre 3

Inceste
En me réveillant le lendemain matin, je fus pris d’un sentiment de mal-être général. J’avais vu à trois reprises ma soeur et mon père se livrer à des actes sexuels.
Pendant un certain temps, la vue de ces scènes immorales me mettait uniquement en colère mais depuis la veille, en laissant trop longtemps mon regard se promener sur le corps de Julie, j’avais pu relever qu’elle possédait, en plus de son joli minois, des courbes très séduisantes ainsi qu’une poitrine suffisamment attrayante pour qu’un homme ait envie de la sucer.
Ces qualités physiques remarquées chez ma soeur me donnaient à présent des images de plus en plus immorales. L’heure était grave : je ne voyais plus les femmes de ma famille comme les femmes de ma famille mais comme des femmes tout simplement. Sans compter qu’il m’arrivait de me prendre à imaginer un plan à cinq avec ma mère, ma soeur, ma tante et ma cousine !
Je devenais fou, sans aucun doute. Il fallait que je me sorte ces horribles idées de la tête. Pour cela, la solution semblait encore une fois simple : tout raconter à ma mère. Cependant, le fait que ce soit à ma mère que je devais annoncer l’infidélité de son mari rendait le problème compliqué car, en bon fils, je ne souhaitais pas que ma mère souffre.
Après le petit-déjeuner, ma mère remarqua qu’il manquait certains ingrédients au repas qu’elle comptait préparer pour le dîner.
— Il manque le poulet et le riz. Et je ne peux pas aller au centre commercial parce que j’ai encore beaucoup de repassage à faire. Yan, Julie, allez-y. Et revenez pour midi au plus tard.
Et voilà qu’à présent, je me retrouvais seul avec ma soeur pour trois heures maximum. Un sentiment de crainte m’envahit. Et si elle savait que Lily et moi les espionnions, mon père et elle ? Et si elle savait, comment allait-elle se comporter avec moi ? Il y avait cependant une chance qu’elle n’en sache rien. Je décidai donc d’être le plus naturel possible de manière à ne pas éveiller les soupçons de Julie quant à ses activités avec mon père.
Après avoir fait ma toilette et m’être changé, j’allai attendre ma soeur à l’extérieur de la maison. Celle-ci me rejoignit quelques minutes plus tard et nous prîmes la direction du centre commercial.
En chemin, je m’aperçus que Julie portait son sac à main, ce qui me paraissait étrange compte tenu du fait que je portais le sac à commissions et l’argent nécessaire à l’achat des ingrédients manquants. Pensant finalement qu’elle y avait mis son portable, je mis de côté mon impression d’étrangeté et poursuivis ma route sans plus y penser.
À notre arrivée au centre commercial, ma soeur voulut entrer dans une boutique de vêtements. Devant mon air interloqué, elle répliqua :
— Nous avons deux heures et trente minutes devant nous. Il ne nous faut pas autant de temps pour acheter du riz et du poulet puis rentrer à la maison. Autant en profiter pour essayer quelques robes. Comme ça, tu me pourras me dire si elles me vont.
Je la suivis donc dans la boutique. Julie prit quelques robes en rayon et se dirigea vers une cabine d’essayage.
Puis, alors que je l’attendais devant la cabine, ma soeur me fit signe d’entrer. Elle referma ensuite le rideau et se retourna vers moi.

— Maintenant, on va parler sérieusement, petit frère. Papa et moi savons très bien que Lily et toi nous espionniez et que vous nous avez photographiés. — De quoi est-ce que tu parles ?— Ne me prends pas pour une idiote ! Tu sais très bien de quoi je parle. Je sais aussi que tu comptes montrer les photos que tu as prises à maman. Je vais te dire un truc que tu ignorais jusqu’à maintenant : dans cette famille, tout le monde couche avec tout le monde. Maman a trompé papa à plusieurs reprises avec des collègues de travail et même avec notre oncle Alfred. Maman n’a aucun respect pour papa et pour sa propre soeur.— Vraiment ? Maman a vraiment fait ça ou c’est papa qui t’a fait croire ça pour que tu couches avec lui ? En plus, j’ai des preuves de l’infidélité de papa. Peux-tu en dire autant de celle de maman ?— Bien sûr que je peux ! Papa a fait venir un témoin qui m’a tout raconté.— Et alors ? Même si maman l’a réellement trompé, papa n’avait pas à te mêler à ça ! Pourquoi est-ce qu’il ne couche pas avec l’une de ses collègues ou avec tante Donna ?— Papa est très vengeur. Il veut vraiment faire payer maman pour son infidélité et le meilleur moyen pour ça est que je me donne à lui. Maintenant que tu sais tout, je te laisse réfléchir à ce que tu comptes faire avec les photos. En attendant, si on s’amusait un peu entre frère et soeur ?
Julie commença à déboutonner mon pantalon, provoquant un mouvement de recul de ma part.
— Allons, petit frère, tu crois que je ne t’ai pas vu me lorgner ? Je sais que tu fantasmes sur moi et je dois dire que, compte tenu de la situation, cela me fait plaisir. Allez, n’aie pas peur, déshabille-toi.
Comme pour m’encourager, ma soeur retira ses vêtements la première, exposant à mon regard sa nudité la plus totale. De près, elle me sembla encore plus désirable. Son corps était cette fois à portée de mes mains et, honte à moi de l’avouer, j’allais enfin réaliser le rêve de voir ma grande soeur toute nue.
Julie s’agenouilla devant moi et déboutonna mon pantalon. Elle fit ensuite tomber mon boxer, découvrant mon sexe durci par une excitation immorale.
— Hum... Belle pièce, petit frère ! Très appétissante...
Sur ces mots, ma soeur se mit à lécher ma verge sur toute sa longueur, d’abord de bas en haut, puis de haut en bas et de nouveau bas en haut avant de laisser sa langue s’attarder sur mon gland.
Julie mit ensuite ma verge et se mit à faire de lents mouvements de va-et-vient, me faisant ressentir un frisson de plaisir me parcourir le dos.
Ma soeur recracha ma verge et s’allongea sur le dos en me faisant signe de me pencher au-dessus d’elle. J’obtempérai et Julie m’intima l’ordre de lui lécher la chatte.
Pendant que je m’exécutais, j’entendis un bruit, comme si ma soeur cherchait quelque chose dans son sac. Puis, soudain, je ressentis une vive douleur au niveau du postérieur. Julie rit suite à mon cri et continua, d’une main, de bouger d’avant en arrière ce que j’imaginais être un gode tandis que de l’autre, elle masturbait ma verge.
Au fur et à mesure que ma soeur accélérait le rythme de ses mouvements, j’accélérais celui des miens. Nous finîmes ensuite par jouir tous les deux dans un râle de plaisir immoral.
Après nous être rhabillés et avoir acheté les ingrédients, nous rentrâmes à la maison pour le dîner. Après le dîner, Lily m’entraîna dans sa chambre.
— Alors ? Julie t’a aussi dit qu’elle était au courant de ce que nous faisions toi et moi ?— Oui. Mais comment le sais-tu ?— Ton père est aussi venu nous voir, ma mère et moi pour nous raconter toute l’histoire. Ta mère, mon père et tout le reste. Et ma mère et moi avons couché avec lui. J’imagine que Julie a aussi voulu coucher avec toi. — Tout juste, cousine. Mais tu crois que c’est vrai, ce qu’il nous a raconté, à Julie, à toi, à ta mère et à moi ?— Pour tout te dire, je n’en sais rien. Il m’avait l’air sincère quand il m’a raconté cette histoire donc je l’ai cru et j’ai pensé que je l’aidais vraiment à se venger de ta mère en couchant avec lui. — Si tu veux mon avis, il n’y a qu’un seul moyen de connaître la vérité sur cette sombre affaire. Ce soir, nous montrerons les photos à ma mère. — Je suis de ton avis. Cette histoire prendra fin ce soir.
Épilogue : Lily et moi montrâmes les photos à ma mère. Choquée et blessée par l’attitude de mon père et de ma soeur, elle demanda le divorce et voulut, dans un premier temps, déshériter ma soeur. Apprenant par la suite que tout ce que mon père leur avait raconté au sujet de ma mère était faux, ma tante, ma cousine et ma soeur lui présentèrent leurs excuses et ma mère finit par leur accorder son pardon et revenir sur sa décision de déshériter Julie. Mon père quitta la ville et alla s’installer dans un appartement à Paris, haï par toute sa famille. Quant à moi, je voulus oublier cette période sombre de ma vie et décidai de mettre le cap en direction de la Suisse en compagnie de ma cousine. Je finis par rencontrer une femme à qui j’ai pu raconter ce que j’avais vécu. Nous eûmes quatre enfants mais, le traumatisme de mon passé ne me quittant jamais réellement, je me gardai bien de parler de sexe avec mes fils et filles. Contrairement à ce que certains prétendent, l’inceste ne fait pas du bien car, pour moi, il n’a fait que de détruire ma famille.
FIN
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