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Inceste par procuration

Chapitre 2

Hétéro
Le lendemain matin, je prétextais un besoin d’aide sur les exos du bouquin pour me rendre chez mon pote de la veille. Après un faux coup de fil pour leurrer mes parents, je sautais sur mon vélo. Je m’étais tellement masturber la veille que le contact de la selle me faisait mal maintenant. J’étais autant excité qu’inquiet: n’avais-je pas rêvé la proposition de Valérie hier? Aucune chance, j’avais planqué les 2 culottes dans le pavillon de mon sax avec le chiffon ce matin. Reste que je ne savais pas quoi dire: Toc toc toc, Oui bonjour, je veux bien te baiser. Lève ta jupe? Et que faire si Natacha est là, ce qui est probable? Pas de quoi me faire rebrousser chemin, en tout cas.
Il était à peine 10 heures quand je sonnais à la porte. Natacha m’ouvrit et j’aperçus Val dans l’entrebâillement de la porte de la cuisine au fond de la pièce. Elle portait une robe de chambre blanche avec de petit motif rouge que je ne distinguais pas. Elle me faisait un large sourire et un clin d’œil qui disparut aussitôt que sa fille se retourna vers elle, après que je lui ai dit que j’étais venu voir sa mère. Elle me répondit en me faisant signe d’entrer:
— Tu es bien matinale. La nuit a été courte? Les révisions, je présume… Comme tu vois je sors tout juste du lit. Viens prendre le petit déjeuner avec nous. Enfin moi surtout, car miss lève tôt en est déjà à la vaisselle. Mais je suis sûre que la vilaine curieuse va reprendre du jus d’orange.
Val mena la conversation. Elle faisait croire à sa fille que j’étais là pour l’aider à choisir un cadeau pour elle, son anniversaire approchant. Du coup cette dernière s’incrusta et fit mine à 2 reprises de partir en restant derrière la porte. Heureusement Val la connaissait bien et me fit signe de me taire à chaque fois. On rigola bien de ce petit jeu de cache-cache qui nous rappela de bon moment d’enfance. D’autant plus que Val n’arrêtait pas de gesticuler et me dévoiler son soutien-gorge débordant. Et j’aperçus ses cuisses si haut que je me demandais si elle portait quelque chose en bas. Sans maquillage, le visage encore chiffonnée et bouffis, je la trouvais néanmoins sublime. J’avais envie de plonger mes mains et mon nez dans ses longs cheveux bruns, lécher ses lobes d’oreilles et lui dévorer ses 2 lèvres pulpeuses. Même ses pieds, dont je remarquais la petitesse pour la première fois, m’excitaient.
Enfin, Natacha monta l’escalier et on entendit la douche de l’étage. Val me murmura que Natacha pouvait toujours entendre via les conduits de ventilation et qu’il fallait être discret. Se rapprochant de moi, elle me murmura: « Alors, tu acceptes ma proposition d’hier, je présume? » je lui fis un signe affirmatif de tête. Elle insista: « Dis le moi, s’il te plaît; dis-moi: Oui, je veux te baiser ». Je le lui dis, ne pouvant m’empêcher de lui lécher le lobe de l’oreille au passage.
Puis elle recula légèrement et me dit, assez fort, se rappelant de la présumée espionne du 1er étage: « Tiens goûte ça, tu vas adorer ». Et je la vis faire tomber son peignoir, qu’elle ramassa doucement et suggestivement pour le poser sur le dossier de la chaise. Elle prit une tranche de pain qui lui restait et la tartina avec son doigt, qu’elle venait de lécher. Puis je la vis glisser sa main dans sa culotte et s’astiquer en me regardant droit dans les yeux puis retartiner le morceau de pain avec ses doigts luisants, et ce à plusieurs reprises. Enfin elle tendit la tranche de pain en me demandant: « Alors, ça te plaît? ». Je dévorais la tartine en guise de réponse tandis qu’elle me disait, toujours aussi fort: « c’est de la confiture faite maison » avec un clin d’œil. Elle sembla hésiter un instant puis se rapprocha en me marmonnant de guetter si Natacha redescendait. Elle ajouta: « et essaye de te taire ». Sur ce, elle se mit à genoux sans même me regarder puis entreprit d’ouvrir mon pantacourt et baisser mon slip pour libérer mon pénis dont le gland dardait dehors. Elle murmura: « pauvre mignon, tu es tout irrité, comme je l’aurais parié. Laisse-moi te soigner ». Puis elle engloutit mon sexe d’un seul coup. Sans bouger, elle commença par me compresser de plus en plus fort la bite entre son palais et sa langue et fit quelques petits mouvements de langue rapide. Ensuite, tandis que la sauce commençait à monter, elle s’arrêta pour m’embrasser la hampe en alternant la langue et la main pour m’astiquer lentement. Sachant qu’elle n’avait pas trop de temps elle me suça ensuite rapidement et goulûment, manquant de s’étrangler à plusieurs reprises mais sans que cela ne semble vraiment la gêner. Devant ce spectacle et se traitement j’explosais dans sa bouche après qu’elle m’eut fait comprendre qu’il n’était pas question de lâcher la purée autre part. Elle se releva me laissant la queue en l’air sur ma chaise et à moitié stone. Je la vis recracher le sperme sur une tranche de brioche et elle me fit signe de me rhabiller en me montrant le plafond, pour me faire comprendre que la douche ne coulait plus et que Natacha pouvait redescendre d’un moment à l’autre.
Ce qu’elle fit 2 minutes après. J’espérais avoir récupéré de mes émotions et guettais ma tenue pour ne pas trahir ce qu’il venait de se passer tandis qu’elle rentrait dans la cuisine.
— Alors toujours pas fini de déjeuner?— Si, ma chérie, tu peux débarrasser si tu veux. Laisse-moi finir ma brioche.
A l’écoute de cette phrase, un frisson glacé me traversa le corps: la tranche de brioche recouverte de mon sperme: on ne l’avait pas jeté! Je me retournais vers Valérie qui, brioche à la main, me fixait des yeux en mordant lentement la tranche de brioche et se passant la langue sur les lèvres à chaque bouchée, tandis que Natacha débarrassait et fit la vaisselle restante. Je proposais puis aidais Natacha à finir la vaisselle, histoire de calmer mes pulsions. Quelques instants plus tard, Val déposa son verre dans l’évier puis nous arrosa en partant à toute jambe au premier étage, nous laissant continuer la bataille d’eau entre nous. On finit la vaisselle bien mouillé et miss tôt devint miss tee-shirt mouillée, pour ma plus grande satisfaction. Je voyais son beau soutien-gorge rose et ne put m’empêcher de lui dire qu’il était beau. Elle piqua un phare et monta à son tour pour se changer.
Je finissais d’essuyer la table quand Valérie réapparue vêtue d’une jupe et d’un body moulant. Natacha la suivait avec un nouveau tee-shirt. Val lança à la cantonade: « Que c’est bon d’avoir un homme à la maison! » Puis elle s’adressa à sa fille: « A quelle heure tu vas chez Vanessa cet aprem? ». « Je sais pas, elle m’a juste dit de passer après manger et on ira au stade ensuite. ». Et Val de lui dire: « Je pensais aller voir mamy cet après-midi, si tu veux je t’emmène chez elle, c’est sur le chemin. Je passerais te reprendre au retour. ». « OK. Bon je vais faire mes devoirs. Salut Fabien ». Puis elle me fit la bise avant de remonter.
Val m’accompagna dehors en me faisant signe de la suivre vers le garage. Une fois à l’intérieur elle me dit malicieusement: « Tu fais quelque chose cet après-midi? ». Elle se dirigea au fond du garage, caché par la voiture et me fit un signe du doigt, suivi d’un signe vers son sexe en me disant: « C’est ton tour! ». Je compris le message, accourus à ses pieds et disparus de l’horizon, caché de l’entrée par la voiture tandis que seul le buste de Val dépassait. Je remontais lentement sa jupe en caressant ses cuisses toutes douces et ne fus pas surpris de voir qu’elle n’avait pas de culotte. Je l’entendis dire: « Un vilain garçon m’a volé ma culotte, tu imagines?! ». Malgré la pénombre je pus voir son sexe entièrement rasé: c’était une première pour moi et en fus étonné. Tout comme de voir ses petites lèvres ressortir autant, comme se tendant vers moi pour me rouler une pelle. Ce que je fis en insérant ma langue le plus profondément que je pouvais en lui titillant le clitoris avec mon pouce. Je lapais ses lèvres tèl un chien pour recueillir sa cyprine qui affluait de plus en plus. A l’entendre respirer de plus en plus fort en me plantant ses ongles dans le crane, je décidais de l’achever en la pénétrant brusquement avec 2 doigts puis lui gobant et caressant le clitoris avec ma bouche, rythmant les deux pour ne pas lui laisser le moindre répit. Lorsque ces cuisses me prirent la tête en étau et que j’entendis un râle malgré mes oreilles entravées tandis que mon visage dégoulinait de son jus intime, je sus que j’avais été à la hauteur de sa magnifique pipe de tout à l’heure.
Elle s’accroupit ensuite à ma hauteur puis me roula un long et langoureux patin. Tandis que j’essuyais mon visage avec mon mouchoir, je la vis prendre un sac plastique, y mettre un pot de fleur dont ne restais plus que la terre dedans puis divers vieux chiffons qui traînaient. Elle me dit: « Si quelqu’un nous a vu entré, il ou elle se dira que s’était pour récupérer quelque chose dans le garage. ». Elle me le tendit et continua: « Tu n’auras qu’à le jeter dans une poubelle un peu plus loin. Pour cet aprem, je passerais te chercher à 14h15 à côté du lavoir où tu laisseras ton vélo. Tu te dissimuleras dans la voiture que je rentrerais dans le garage comme ça personne ne te verras arriver chez moi. Il ne faudrait pas que des commérages se fassent et que Natacha apprenne tes longues visites régulières par le voisinage. Je te redéposerais en allant cherche Natacha chez sa copine. »
Après un nouvel aller-retour chez moi, je prétextais la récupération de nouveau bouquin pour continuer les exos avec mon copain et déjeunais rapidement avec mes parents avant de foncer au lavoir. Valérie arriva avec 5 minutes d’avance, comme pressée; ce qui se confirma quand je la vis conduire comme un chauffeur de rallye dont j’aurais été le copilote. On suivit le plan évoqué et elle me mena, me tenant par la main, à l’étage, une fois arrivé à la maison. On se dirigea vers sa chambre quand elle s’arrêta et me dit: « Je viens de changer mes draps, je dois nettoyer ceux de Natacha aujourd’hui; autant aller dans sa chambre. ».
J’entrais à sa suite dans la chambre de sa fille. Seul un lit simple y figurait, accolé le long du mur. Des posters de chanteurs et groupes divers sur les murs rappelaient l’âge de l’occupante des lieux. Val s’assit sur le rebord du lit puis tapota à côté d’elle à mon attention. On s’embrassa alors dans cette position, main dans la main, en se déboîtant le cou comme de ados empotés; puis elle s’étendit en arrière, fermant les yeux, me suggérant que son corps était tout à moi. La voyant mal installée, je l’allongeais sur la longueur du lit puis la chevaucha. Je lui caressais le corps tout en l’embrassant sur le visage, les oreilles et le cou tout en évitant les zones les plus érogènes pour la chauffer au maximum. Au fil de mes massages, je la déshabillais petit bout par petit bout. La chevauchant dans l’autre sens, je lui léchais ensuite les pieds tout en massant ses genoux. Je ne cessais de l’embrasser partout.
Je l’invitais à se retourner et improvisa un massage qui sembla lui plaire. Je me déshabillais à mon tour puis m’allongea sur elle, l’écrasant de tout mon long sur le lit. Avec mes jambes, je lui écartais les siennes puis plongea ma main dans son entrejambe pour la masturber, tout en lui malaxant un sein de l’autre. J’alternais ce traitement jusqu’à ce que ces soupirs se transforment en couinement de jouissance. Elle se retourna ensuite pour m’embrasser et me repoussant sur les genoux, elle écarta les jambes et déclara en tapotant sur son sexe: « Saute-moi, maintenant ». Obéissant avec empressement, je plantais mon sexe dans le sien en plongeant mes yeux bleus dans ses yeux noisette. Elle était si chaude et si mouillée que j’avais l’impression de fondre en elle. Elle m’invita par quelque mouvement de bassin à la pilonner, ce que je fis d’abord doucement et de plus en plus violemment. Au moment de jouir, elle me dit de me répandre sur son ventre. Je maculais donc son ventre et remplis son nombril de ma semence. Elle me montra la commode et me dit de regarder dans le premier tiroir. Je trouvais les chaussettes et culottes de Natacha et lui en ramena quelques-unes, suite à sa demande. Elle trempa un doigt dans mon foutre puis en badigeonna le fond des culottes de sa fille, en me disant qu’elle les baptisait. Elle me dit ensuite d’imaginer Natacha, toute la journée avec ma semence sur sa chatte, à l’école sur sa chaise, dans le bus; le mélange de sa liqueur intime et de la mienne, comme prélude à nos futures baises. Je rebandais immédiatement à l’évocation de ces images et elle se mit à genoux.
Elle écarta ses fesses avec les mains plongeant sa tête dans l’oreiller. Je l’entendis m’inviter à l’enculer. Là encore c’était une première pour moi. Après quelques difficultés et avoir lubrifié ma queue avec sa mouille, je m’enfonçais dans son cul et me sentis tout serré, ce que j’adorais. Elle me tendit ses bras en arrière et sans comprendre je les pris et m’aperçut que cela me donnait une position d’appui idéal pour l’empaler sur ma bite en la pilonnant. Cette deuxième séance dura plus longtemps et je pris mon pied comme jamais à l’entendre geindre dans l’oreiller, prise dans cette position obscène. Je larguais ce qu’il me restait de foutre dans ses entrailles en m’écroulant sur elle.
Après une pause encas on remonta pour remettre cela une dernière fois avant de nous quitter. Je lui mangeais la chatte dans le couloir de l’étage en la serrant contre le mur. Elle me passa une jambe sur l’épaule, puis je l’invitais à poser l’autre sur mon autre épaule et tout en lui dévorant la chatte je la levais le long du mur vers le plafond où elle pris appui pour décoller un peu son bassin afin d’être mieux placé par rapport à ma bouche. Pour mieux contrôler sa position et son rythme, je l’enculais de mon pouce jusqu’à la garde pour la soulever et mieux la posséder de ma langue. Elle jouit comme une folle à plusieurs reprises. Je la redescendis ensuite en l’empalant sur mon sexe prêt à exploser et la pilonnais sauvagement contre et en faisant vibrer le mur pour jouir rapidement en elle. Épuisés, nous sommes restés à côté l’un de l’autre le long du mur jusqu’à ce qu’on doive reprendre la voiture pour qu’elle me ramène. Comme promis, elle me donna une culotte sale de sa fille.
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