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Inceste..., une affaire de famille

Chapitre 2

Maryse, (Maman)

Inceste
Le lendemain de mon retour je descends en pyjama à la cuisine prendre mon petit déjeuner ; ma mère est déjà là, mais elle me tourne le dos et je devine qu’elle pleure collée à la fenêtre un mouchoir au coin de l’œil. Elle est en chemise de nuit légèrement transparente et j’aperçois à travers le tissu, ses formes bien plus fines que celles de sa sœur. Je m’approche d’elle et lui demande ce qui la met dans cet état. Elle se retourne, se colle contre mon corps et m’entoure la taille de ses bras. Ma mère m’a déjà serré dans ses bras, mais aujourd’hui les épaisseurs des tissus qui nous séparent sont bien minces, je sens ses seins tendus contre mon buste et son pubis contre une de mes cuisses; il n’en faut pas plus à mon sexe pour commencer à grossir, ce qu’elle a dû remarquer puisque je sens sa jambe se coller contre lui. Elle me dit en hoquetant :— Benoît, mon chéri, tu m’as beaucoup manqué pendant ces vacances et hier soir j’ai voulu aller te rejoindre dans ta chambre pour t’en parler, mais lorsque je suis passé devant la chambre de Jeanne je vous ai entendu parler et j’ai fait demi-tour.— Maman, cela ne me dit pas pourquoi tu pleures ce matin ?— J’ai cru qu’avec ta sœur vous étiez en train de faire l’amour !Je sens mes jambes se dérober sous moi, je ne sais que dire sur l’instant, j’essaie d’élaborer en vitesse une réponse qui tienne la route :— Maman, viens, je vais t’expliquer.Je la prends par l’épaule et l’amène près de la table, je m’assieds et la prends sur mes genoux et me décide à lui dire la vérité.— Maman, j’ai un peu peur de ce que je vais te dire, mais voilà : cela fait longtemps qu’avec Jeanne nous avons des rapports sexuels, mais nous n’avons jamais franchi l’ultime étape.— L’ultime étape, qu’est-ce que tu entends par là ?— Nous n’avons jamais vraiment fait l’amour, nous avons fait tout ce que tu peux imaginer mais je ne l’ai jamais pénétrée !— Qu’est que tu me racontes ? Tu me dis que ça fait longtemps que ça dure et vous avez résisté l’un et l’autre ?— Oui Maman, je peux te le jurer, on a toujours pensé avec Jeanne que c’était le mal absolu. — D’accord Benoît, je veux bien te croire, mais alors qu’est-ce que vous faisiez hier soir ?— Maman, s’il te plait, épargne-moi les détails ! Elle est toujours sur mes genoux et moi qui croyais que, furieuse, elle allait partir, je la sens bouger de manière à ce que la fente de ses fesses vienne se placer juste au-dessus de mon sexe. Mon gland s’en trouve tout émoustillé tout en se demandant si tout cela est bien réel ; ma mère remue son arrière train et sens bien que ma bite grossit démesurément ; mes mains s’aventurent à venir caresser sa poitrine menue mais bien ferme et c’est à ce moment de tension intense que nous entendons la porte de la chambre de Jeanne s’ouvrir ; elle déboule déjà les escaliers à toute allure , ma mère se précipite vers la fenêtre, je range mes jambes sous la table voulant cacher mon érection ; elle fait irruption dans la cuisine, me pique une tartine au passage et nous dit qu’elle est en retard et qu’elle doit filer, mais se ravisant elle nous demande :— Ça va bien tous les deux ?Nous la rassurons comme nous pouvons et elle file.Je vais rejoindre ma mère près de la fenêtre, colle mon pénis ramolli par l’ouragan nommé Jeanne et le frotte à son fessier, mes mains reprenant la direction de sa poitrine. Elle se love contre moi et son corps ondoie contre le mien, je sens l’une de ses mains s’approcher de ma bite, la tâter puis la serrer avec un soupir d’aise ; ma respiration s’arrête, ma mère me masturbe, je suis au paradis !Pendant qu’une de mes mains caresse un sein, l’autre s’aventure vers le saint des saints, la grotte sacrée qu’une toison brune assez fournie cache comme un trésor ; elle traverse doucement cette forêt encore vierge pour moi et s’arrête sur son clitoris gonflé que je trouve particulièrement gros si je fais référence à ceux de Jeanne et de ma tante Julia ; puis un doigt tremblant se fraye le chemin jusqu’à l’entrée de la grotte bien humide, il contourne l’entrée puis se retire, prend la direction de la bouche de ma mère qui le suce avec gourmandise.C’est à ce moment que je décide de soulever maman et de l’amener dans mes bras jusqu’à sa chambre. Je la dépose délicatement, assise au bord du lit ; nos yeux se croisent attisés par le désir mutuel, je la vois baisser mon pantalon de pyjama et ma queue un moment comprimée se tend vers sa bouche affamée ; elle me lèche d’abord le prépuce délicatement, sa langue tourne dans un sens puis dans l’autre autour de mon gland, puis elle décide d’avaler au même rythme ma bite qui se dresse vers sa glotte ; les caresses buccales de ma mère me transportent vers la jouissance et je le lui dis :— Maman, si tu continues, je vais jouir très vite.Elle relâche ma grosse verge et s’allonge sur le lit.Pour la première fois je peux admirer son corps superbe, d’une maturité rafraichissante, si je peux dire ; je m’approche et m’allonge sur elle, l’embrasse longuement, nos langues faisant connaissance pour la première fois, puis je descends vers l’objet du désir, titillant ses tétons au passage, puis léchant son ventre et son clitoris où ma langue et mes lèvres s’arrêtent ; je me dis qu’il est décidément bien gros ce clitoris, ou bien ce sont ceux que je connais qui sont petits ; je le compare à une petite bite. Je sens le corps s’agiter en petites secousses et maman pousser de petits soupirs d’aise, qui deviennent des petits cris, puis un grand râle orgasmique, ma langue allant maintenant fouiller sa chatte inondée de ce liquide savoureux que je teste et trouve identique à celui de Jeanne ou de ma tante. Ma mère me tiens la tête bloquée dans son entre-jambe alors que les secousses de son bassin s’atténuent. Je sens sa respiration reprendre une cadence normale et je me hisse vers le haut de ce corps, ma bite se présente d’elle-même devant son vagin et à ce moment précis je la sens ramollir ; devant mon gland l’endroit exact d’où je suis sorti 19 ans auparavant. Maman a tout de suite ressenti ma gêne et tout en me branlant doucement me dit :— N’aie pas peur mon chéri, ma chatte a très envie de ta queue, j’en ai envie très fort et depuis très longtemps, baise-moi, enfile-moi, je veux la sentir au fonds de moi !Ses paroles et sa main ont vite raison de mon appréhension et j’enfonce doucement ma bite dans le ventre qui m’a fécondé.
— Benoît mon chéri comme je te sens gros dans ma chatte, tu as une belle bite, elle me fait du bien, vas-y, continues à me saillir, je sens qu’elle va me faire exploser de jouissance, j’aime ta bite, je t’aime...Pendant que je vais et je viens dans son antre, ma mère n’arrête pas de parler usant d’un langage que je n’aurais pas soupçonné chez elle et cela m’excite terriblement au point que je sens arriver la jouissance alors que ma mère recommence à se tordre dans tous les sens : elle jouit sous mes coups de boutoirs, l’orgasme lui laissant à peine le temps de me dire :— Chéri, retire-toi avant d’éjaculer !Ce que je fais juste aussitôt. Mon premier jet de sperme atteint son cou, le second les seins, les suivants s’éparpillent sur son ventre ; nos regards se toisent à nouveau, ses doigts recherchent le nectar, elle les porte à sa bouche et m’attire à elle pour un baiser que je voudrais éternel.Je me suis allongé sur elle et elle me serre dans ses bras ; revenu du 7ème ciel je m’allonge à ses côtés, nos mains se joignent et elle me demande :— Dis-moi, tu m’as dit n’avoir jamais baisé avec Jeanne mais je t’ai trouvé pourtant bien aguerri ?— Maman, je t’ai dit que je n’ai jamais défloré Jeanne, je ne t’ai pas dit que je n’avais jamais baisé avec personne !— Ah bon, et je peux savoir avec qui ?— Maman, s’il te plait, c’est personnel !(Je n’allais évidemment pas lui dire que c’était sa propre sœur qui m’avait « déniaisé » comme l’on dit chez nous). Elle vient poser sa tête sur mon buste :— D’accord, je ne te poserai plus de questions indiscrètes, mais je voulais te dire que je n’avais pas joui comme cela depuis très longtemps. Ton père me baisait à la va-vite quelquefois dans la cuisine ou dans la remise et au lit ça durait 3 minutes, il allait se laver la queue et venait s’endormir, toi, au contraire tu as su prendre ton temps et m’amener à deux orgasmes foudroyants et en plus tu as une plus grosse bite ajoute-t-elle hilare; tu pourras dire merci à celle qui t’as éduqué !J’esquissai un léger sourire avant qu’elle ne se lève en me disant qu’elle devait aller faire des courses au village. Elle est allée dans la salle de bains, a fait sa toilette en chantonnant et est revenue nue s’habiller devant moi, m’a déposé un baiser sur les lèvres et est partie toute guillerette ; cela faisait bien longtemps que je ne l’avais vu aussi détendue. Nous déjeunons sur la terrasse à l’ombre du tilleul et prenons le café au salon, la chaleur devenant pénible. Avant de s’installer sur le canapé, je lui demande :— Maman, est-ce que cela t’ennuie que je t’appelle par ton prénom, Maryse, lorsque nous ferons l’amour ?— Mais non, au contraire mon chéri, je trouve cela très délicat de ta part d’y avoir pensé.Elle se blottie contre moi et je la sens s’assoupir. Ce n’est qu’une impression car sa main avance doucement vers ma braguette, la déboutonne, m’enlève slip et pantalon et va chercher ma queue qu’elle lèche depuis les couilles jusqu’au gland et redescend; j’ai la main sur sa cuisse, je soulève sa jupe et m’aperçois qu’elle a enlevé sa culotte, la coquine ! Je lui dis :— Maryse, je voudrais qu’on se lèche et qu’on se suce en même temps, j’ai envie de goûter à nouveau les effluves de ta chatte trempée.On se met en position, moi dessous et nous explorons chacun de nos sexes ; juste au-dessus je devine la rondelle de son petit cul, j’y introduis un doigt que j’active assez rapidement, la réponse de Maryse est immédiate, je sens un de ses doigt pénétrer mon anus à la même cadence ; son clitoris grossit démesurément comme une petite bite et je le suce comme tel ; cela m’intrigue, mais ce n’est pas le moment de poser des questions. Par contre ma bouche doit lui faire de l’effet car je la sens se contorsionner, ma langue reçoit une petite giclée de cyprine et j’entends des soupirs étouffés et des sons bizarres et elle me dit :— Benoît, tu me fais jouir putain, continues, accélère ton doigt dans mon cul, oui, oui encore ! Elle n’avait pas terminé ces mots que je la sentais se relâcher ma bite toujours dans sa bouche. — - Maryse, remets-toi à quatre pattes je veux te baiser par derrière !Sonnée, elle a du mal à se redresser, j’arrive à me glisser sous elle, elle a la tête sur le canapé et le cul en l’air, j’en profite pour l’admirer et enfonce mon pieux dans son vagin et je sonne la charge en la baisant à toute vitesse ; le résultat ne se fait pas attendre, je vide mes couilles au fonds de son divin trou. Harassé, son corps s’écrase sur le canapé puis le mien sur le sien ; un long moment de silence s’ensuit ponctué par des respirations saccadées et lorsque nous revenons sur terre c’est pour s’enlacer langoureusement. Nous passons tous les deux dans la salle de bain puis nous nous rhabillons. Jeanne ne doit rentrer que plus tard et en l’attendant nous jardinons un massif de fleurs. Nous faisons une pose et je dis à ma mère :— Maman, j’ai bien réfléchi et depuis ce matin il ne fait pas de doute que la situation a changé et que si je continue à fricoter avec Jeanne cela va poser problème !— Oui, mais si tu comme tu le dis tu ne fricote plus, elle va se poser des questions.— Il va falloir trouver une solution.— J’y ai pensé aussi et je crois que j’en ai une me réponds ma mère.— Ah oui et laquelle ?Elle m’explique alors qu’un soir déterminé sachant que je suis dans la chambre de Jeanne elle pourrait venir à l’improviste, ouvrir sa porte et nous surprendre tous les deux. Et selon la réaction de Jeanne nous improviserions.C’est un peu bancal à mon goût, mais je lui réponds :— D’accord maman, nous allons réfléchir à ce scénario et l’affiner s’il le faut. Au fait, Maman, nous avions bien l’intention avec Jeanne de vraiment faire l’amour pour la première fois hier soir, mais c’est remis à plus tard, elle est indisposée...





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