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Inceste..., une affaire de famille

Chapitre 5

Crépuscule

Inceste
Crépuscule.
Le petit domaine viticole est assoupi en cette fin d’après-midi sous le chaud soleil du mois d’août ; l’ombre bienfaisante de ce bon vieux tilleul permet à Jeanne et à moi-même de se rafraichir comme l’on peut avec chacun un verre de rosé maison bien frais. Nous sommes installés côte à côte et main dans la main chacun dans son fauteuil ; ma sœur et moi avons pris notre retraite, nous sommes revenus, Jeanne d’abord, moi ensuite sur les lieux de notre naissance, de notre jeunesse, de nos premières amours ; c’est un moment apaisé, propice à voir défiler le film de nos vies turbulentes mais ô combien excitantes.Jeanne et Thomas se sont mariés, ils formaient un couple heureux, mais les souvenirs de jeunesse nous collaient aux corps à Jeanne et à moi et nous faisions l’amour tous les deux à chaque fois que nous le pouvions. Notre gémellité nous avait depuis longtemps emprisonnés dans un carcan sexuel que nous n’avions ni l’un ni l’autre envie de quitter. Nos corps ne pouvaient se passer trop longtemps l’un de l’autre ; nous faisions en sorte que cela reste très discret pour ne pas éveiller les soupçons et ne pas traumatiser Thomas qui était un très brave homme, malheureusement disparu il y a quelques années et faisait le bonheur partagé de Jeanne. A cet effet nous avions pour habitude de se voir dans une petite auberge isolée entre Toulon et Aix où nous avons passés des moments très sensuels, la rareté de nos rapports ne faisait qu’augmenter nos envies les plus folles. Au fil du temps, le couple d’aubergistes était devenu des amis, sans jamais savoir que nous étions jumeaux ; Jeanne et moi avons poussé notre passion du sexe jusqu’à les inviter dans notre chambre. A cette évocation Jeanne rectifie :— Rappelle-toi Benoît, c’est Alice, la patronne qui te faisait du rentre dedans et Maxime qui n’était pas en reste avec moi qui se sont imposés à nous et ont plus ou moins forcé la porte de notre chambre.— Tu as sans doute raison Jeanne, je ne me rappelais plus de ces détails, mais nous avons passés des moments bien chauds avec eux n’est-ce pas ?— Oui sans doute, mais peut-être au détriment de nos propres amours.Au rappel de ces souvenirs, Jeanne ne peut s’empêcher de caresser mon pénis en passant sa main sous mon short et comme je n’ai pas de caleçon elle y accède sans problème. Toujours vaillante, cette bonne vielle canaille se raidit aussitôt reconnaissant entre mille les doigts de ma sœur ; je sens qu’elle ne va pas tarder à venir me faire une fellation dont elle a gardé le secret. Elle se glisse sous la table et voyant ses cheveux grisonnants entre mes jambes, je me rappelle soudainement de Claire Poussin, notre logeuse d’Aix. Je n’ai jamais dit à ma sœur la relation que nous avions eu elle et moi et je décidais de lever le voile.— Jeanne, je voudrais te parler d’évènements que je t’ai cachés jusqu’à maintenant ; il s’agit de Claire Poussin, ta belle-mère. A l’évocation de ce nom Jeanne relève la tête sans lâcher ma bite et ouvre de grands yeux interrogateurs.— Voilà, je voulais te dire que lorsque nous étions seuls dans l’appartement, nous baisions ensemble. Cette fois Jeanne lâche ma queue et me dit :— Espèce de petit salaud, quelque chose me disait qu’il y avait un truc entre vous, mais je n’ai jamais approfondi. Finalement, j’ai donc bien fait !— Bien fait quoi ?— Bien fait de baiser avec Thomas dès que nous en avons eu l’occasion !— Et c’est moi que tu traites de petit salaud ?Nous éclatons de rire et elle reprend sa fellation un instant abandonnée. Il fait encore trop jour pour baiser Jeanne sur la pelouse, la maison est isolée, mais prudence ! Derrière le tilleul il y a un cabanon de pierres sèches où nous remisons les outils de jardin ; c’était, en dehors de nos chambres, l’endroit où nous aimions jouer à touche pipi étant adolescents. Nous décidons d’aller nous y planquer ; Jeanne a vite fait de se dénuder se met à quatre pattes et je me baisse pour lui rendre sa fellation en la léchant du clitoris à l’anus et retour, comme elle a toujours aimé. Quand je la pénètre en douceur elle me dit :— Rappelle-toi, Benoît, quand tu as commencé à éjaculer vers 13 ans, une des premières fois c’était ici ; je promenais ta bite sur mes petits seins en te branlant et me chatouillais les tétons avec ton gland, quand tu as giclé j’en avais partout sur ma petite poitrine ; tu es venu lécher un téton plein de sperme et tu es venu m’embrasser ; c’était aussi la première fois que j’y goûtais et ma foi je n’avais pas trouvé ça si dégoutant, comme me le disaient mes copines plus âgées!— Tu as raison, je me rappelle bien, mais à me raconter ces souvenirs et à te sentir vibrer je sens que ça va venir, tu veux à nouveau y gouter ?— Oh oui mon chéri, décharge tout ton foutre en moi, lèche-moi la chatte et viens m’embrasser.Nous sommes de retour sous le tilleul après avoir fait quelques provisions dans le frigo pour le diner, charcuteries, fromages, fruits et une bouteille de vin.J’ai été marié quelques temps avec Michelle que j’avais rencontrée à Toulon. C’était une jolie femme (trop ?) mais avec qui j’allais vivre un enfer.— Tu te rappelles de Michelle, bien sûr, n’est-ce pas Jeanne ? Je me suis toujours demandé pourquoi je m’étais laissé embarquer dans cette histoire !— Le cul Benoît, le cul !— Tu as sans doute raison, mais c’est aussi à cause du cul comme tu le dis si bien que notre mariage a capoté. Cette femme, au fil des ans, s’est avérée être un véritable volcan. N’importe quel prétexte était bon pour baiser, le matin, le midi, le soir, la nuit, les hommes, les femmes, le couple de voisins, les clubs libertins, en gros l’impératrice des nymphomanes ! Tu es bien placée pour savoir que j’ai toujours aimé le sexe, mais trop c’est trop ! Comme je devais m’y attendre avec une telle furie, elle est partie un beau jour avec sans doute « le » superman du sexe que je n’étais pas à ses yeux.— Mon pauvre Benoît, la vie est vraiment une épreuve terrible!— Fiche-toi de moi si tu veux, il n’empêche que ce fût pour moi une bien mauvaise passe.En dégustant notre en-cas nous en venons à évoquer le souvenir de notre mère. Nous sommes restés silencieux et pudiques sur nos faits d’armes incestueux, comme s’ils s’étaient évanouis avec elle et nous nous sommes rappelés des bons moments passés avec la merveilleuse maman et femme qu’elle était. Un instant j’ai eu envie de parler à ma sœur de l’épisode des vacances chez Tante Julia ; jusqu’à ce jour Jeanne a toujours pensé que lorsque je l’avais dépucelée c’était aussi ma première fois, mais j’ai finalement préféré lui laisser cette illusion intacte. Nous sommes certainement l’un des couples incestueux le plus ancien de Provence. Cela ne mérite certes pas de médaille, mais à refaire le film de notre vie cela ne mérite pas non plus l’enfer promis par la doxa populaire. Nous avons sans doute pêché aux yeux de certains, mais nous avons toujours eu un profond respect l’un pour l’autre, jamais de violences, jamais d’injures, jamais de situations dégradantes. A voir Jeanne incestueuse mais heureuse, toujours agréable à vivre, croquant la vie à pleines dents, prof agrégée de lettres aimée de ses élèves, cela suffit à m’auto pardonner. Je ne doute pas un instant qu’elle ait le même jugement à mon égard. Au loin, sur les hauteurs, le campanile de l’église du village prend des allures d’ombres chinoises éclairé par les dernières flammes du jour qui s’estompe.Jeanne rompt le silence seulement perturbé par les grillons qui stridulent:— Il commence à faire frais Benoît, rentrons. Ce soir je t’invite dans ma chambre de jeune fille, nous pourrons y évoquer d’autres souvenirs de jeunesse et surtout terminer ce que nous avons commencé tout à l’heure dans le cabanon !
Fin.
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