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Inceste et zoophilie à la ferme

Chapitre 2

Zoophilie
Trois jours après avoir vu, mon oncle baiser sa fille dans la grange, en début d’après midi, je suis contraint de revenir dans ma chambre car j’ai oublié ma casquette pour me protéger du soleil qui est assez chaud ce jour là.Je suis obligé de passer devant la chambre de mon oncle et de ma tante, pour m’y rendre. En approchant, de celle-ci, des bruits très bizarre s’en échappe et attire mon attention, la porte est entre baillée.
Qui est là? Tout le monde est parti aux champs, je m’approche lentement sans faire de bruit, et je jette un œil, je suis stupéfait, ma tante Caroline belle femme blonde, est étendue sur son lit, les bras en croix, sa jupe est bien relevée, ses cuisses laiteuse et bien plaine sont grandes ouvertes et légèrement repliées, elle geint et pousse des petits cris sous les caresses de son amant.Je suis très surpris par ce que je vois, celui qui lui donne autant de plaisir, n’est autre que Rex, le superbe berger allemand de la ferme qui avec sa langue est entrain de lécher la foufoune de sa maitresse qui couine et encourage ce bel étalon.Quelle belle chatte elle a, recouverte d’un fin duvet blond, tout en la léchant de haut en bas de sa fente, il essaie d’insérer sa langue dans les parties intimes de la paysanne qui transpire et geint, tant il lui fait du bien.Devant un tel spectacle, ma bite a pris de telles proportions, qu’elle me fait mal tant elle est à l’étroit dans mon slip, à plusieurs reprises, je manque d’envoyer la purée.Caroline ouvre maintenant avec ses doigts ses lèvres, pour que l’intruse la pénètre encore plus profondément, elle encourage le chien par des vas y, c’est bon, enfile moi ta langue bien au fond, allez, tu vas me faire jouir.Au bout d’un moment assez long, après s’être bien fait lécher la moule qui dégouline, ma tante se positionne sur le bord du lit, en soulevant légèrement son postérieur pour que l’animal, puisse lui chatouiller l’anus, pour lui faciliter l’accès à son petit trou, elle écarte ses fesses avec ses mains.Je m’aperçois que le sexe rouge et très veiné du chien, est bien sorti de son fourreau, il est assez long et gros, d’où s’échappe des gouttes d’un liquide transparent, il se dresse sur ses pattes comme pour pénétrer cette salope, qui se relève d’un bond en ordonnant à son amant de se coucher.Elle se positionne alors à quatre pattes sur le tapis, les fesses bien cambrées, la tête à même le plancher, ses cuisses sont bien écartées, je peux admirer cette belle chatte, bien grasse et bien luisante de jouissance et de bave.Elle tape sur ses fesses, Rex saute prestement sur son dos qu’il enserre de ses pattes avant tout en essayant d’enfiler sa tige, dans cette moule bien ouverte d’où coule un mélange de mouille et de bave.Moi qui ai souvent fantasmer sur cette belle femme, essayant quelquefois d’entrevoir le haut d’une cuisse ou la portion d’un slip, et là elle est entièrement nue, les cuisses bien ouvertes pour mon plus grand bonheur.Ils ne doivent pas en être à leur coup d’essai, car la pique a très rapidement trouvée le bon chemin pour s’insérer d’un coup brusque au plus profond de cette cochonne de Caroline.Ma tante est ballottée en tout sens, les coups de buttoir de son amant sont violents, Caro, comme dit mon oncle, est bien embrochée, et semble prendre bien du plaisir, le chien tire la langue et halète, il ralenti ses va et viens, les deux partenaires sont maintenant soudés, comme je l’ai vu bien des fois avec les chiennes.
J’en profite pour m’éclipser, de peur d’être découvert, je rejoins ma cousine, qui en arrivant me regarde et me dit que j’ai mis bien longtemps, et que je fais une drôle de tête, ça ne va pas me dit elle ? on dirait que tu as vu le diable …J’hésite, puis je lui raconte pourquoi je suis si troublé, elle ne semble pas surprise et me sourit en m’embrassant.Le soir en ramenant les vaches, elle me demande si je suis remis de mes émotions, elle me dit que quand tout le monde sera couché, de venir dans sa chambre qu’elle a quelque chose à me montrer.
Je toque légèrement, Isabelle m’ouvre, elle est en chemise de nuit, elle me demande de la suivre, et me fais signe d’être silencieux, nous pénétrons dans la grange ou il y a une légère lueur, nous approchons, en contournant la meule de foin, et là …Devant nous, dans la paille Rex est de nouveau en action, je reconnais très vite la jeune sœur de Isabelle : Sonia qui, les cuisses bien écartées est entrain de se faire lécher son minou qu’elle ouvre bien grand avec ses doigts.Nous sommes positionnés de façon à ce qu’elle ne nous découvre pas, seul le chien a senti notre présence, mais il est tellement occupé à se faire du bien …Ma cousine encourage son amant qui à grands coups de langue donne des sueurs à la minette, son sexe rouge veiné, est bien sorti de son fourreau.La petite, qui est impatiente, de se faire sauter, se positionne à quatre pattes, son joli cul est bien cambré, le chien a bien compris l’invite, il saute sur son dos et l’enfile d’un seul coup.Après quelques aller-retour, le male se fige, les deux amants sont soudés, Isabelle me regarde, et en profite pour me faire un bisou, elle regarde mon pyjama, ou une belle bosse s’est formée.Eh bien toi dis donc, ça te fais de l’effet de voir ma sœur se faire tringler par le chien!La minette et son amant se désaccouple assez vite, libérant un liquide qui coule en abondance sur les cuisses de la petite cochonne.L’animal, lèche les cuisses et le sexe de la minette en chaleur, il tourne autour de la fille qui s’est repositionné, la tête sur une botte de paille, ainsi placé, son cul est moins cambré.Rex, dont la pine est toujours en bonne condition, bondit sur le dos de la jeunette, après deux ou trois tentatives, son mandrin embroche sa maîtresse dans son petit trou.Après plusieurs aller retour dans son étroit conduit, il ne bouge plu, à nouveau collé à la mignonne, qui, la bouche grande ouverte transpire abondamment.Qu’est ce qu’elle prend dans son fessier dis-je à ma cousine qui est très excitée de voir sa sœurette se faire défoncer ainsi.Isabelle me fait signe que c’est le moment de battre en retraite, nous rejoignons nos chambres, non sans s’être arrêté, au coin de la grange, j’ai peloté et embrassé la belle, ma main s’est aventurée dans son entre cuisses toute humide, j’en ai profité de lui doigter sa minette, qui n’a pas mis longtemps à jouir sur ma main tant son excitation était grande.

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